[RP] Cadastre de la ville de Paris

Ma petite farouche rassasiée, je décidais de me rendre au cadastre, afin de rencontrer mon ami Hiram, avec qui, j'entretenais une correspondance fournie et dont il m'entretenait d'un projet de remise en forme des plans de la capitale.
La tache serait certes ardue, mais l'aventure est passionnante.

J'arrivais devant une belle bâtisse, je poussais la porte d'entrée, m'adressant à une personne affairée dans son travail.

Pardonnez moi de vous importuner, pouvez vous m'indiquer le bureau du sieur Hiram, s'il vous plait.

L'employée me désigna du bout de son doigt une porte située au fond d'un grand couloir, je la remerciais d'un signe de tête et vers la dite porte je m'avançais.

Une fois devant je frappais.

Toc Toc Toc

Derrière tout en attendant la permission de venir, j'examinais les lieux d'un regard circonspect

Lolita suiva son ami Gareland, d'un pas semblable au sien, bras dessus bras dessous.
Le sourire se peignit sur son visage malgré la pression du vent qui pénétra légèrement en ce lieu.
Son regard se portait sur la grande pièce, elle fut éblouie par la vastité.
Elle n'avait jamais eu l'occasion de mettre les pieds et aujourd'hui, accompagnée de son bel ami à ces côtés, elle contempla chaque détail de la bâtisse.

Pendant que les deux sieurs échangèrent longuement une discussion.
Lolita prit place sur une chaise que lui a indiquée aimablement le messire Hiram.
Elle les regardait tour à tour malgré sa méconnaissance en matière d’affaire.
Un sourire se peignit sur son visage lorsque le messire lui servit un chocolat chaud.
Laissant les deux sieurs dans leur projet, elle but le délicieux breuvage puis voyant le retour de son ami Messire Galerand se diriger vers elle.
Elle se releva de sa chaise, le regarda

_ Je vous en prie mon cher ami, faite donc ce qui est de votre devoir !

Elle maintenait son habituel sourire et se tourna vers le messire Hiram

_ Messire Hiram, je suis admirablement enchantée de faire votre connaissance et je vous présente tous mes remerciements pour votre délicieux breuvage. Au plaisir de croiser votre route et je vous souhaite une agréable journée.

Puis elle attendit, le départ du messire Galerand pour reprendre la route en sa gente compagnie.

Dame Lolita, réchauffée par un chocolat bien chaud, moi ayant consulté les documents, messire Hiram avait fini de me présenter ses visions sur les travaux à engager, je décidais de reprendre la belle à mon bras et de partir arpenter, les rues de la cité.

Hiram, avait de bonnes idées, puis dire le bonjour à dame Overline, était la moindre des politesses. Nous prenions congé.

Messire Hiram, je pense que nous avons une vue commune sur la manière d'aborder les problèmes, avec dame Lolita, je vais aller me promener dans Paris et évidement je vais passer chez gente dame votre marraine, lui présenter mes respects, il ne saurait en être autrement.

Farouche commençait à gesticuler de plus en plus, j'espérais que une fois dehors, il ne pleuvrait pas, de sorte que je puisse la nourrir à mon aise.
Offrant mon bras, ouvrant la porte du bureau, un dernier regard sur ce qui serait mon bureau en ces locaux, un sourire au sieur Hiram, accompagnée d'une chaleureuse poignée de mains.

Messire, nous allons suivre vos conseils, mais je dois vous avouer que dame Lolita, n'est point ma compagne, ne la faite point rougir, je vous en prie. Au revoir et à bientôt, passez une agréable journée mon ami.

Bras dessus, bras dessous, nous sortons de l'édifice cadastrale.

Dame Lolita, pardonnez la méprise de mon ami à notre sujet, il ne pouvait point deviner que nous ne sommes pas unis.

Je lui adressais un sourire du plaisir partagé de partir ensemble se promener.

Dame Lolita, une question, vous avez déjà une demeure en la ville de Paris?
Ou vous ne faites que passer chiner les boutiques avant de repartir.

Nous marchions tranquillement, l'air frais nous vivifiait les poumons, le temps mitigé me laissait pensif, neige ou pluie, je ne saurais le dire, mais une chose est certaine, dans ce cas il nous faudrait nous abriter, je ne voudrai point que la petite Farouche attrape froid.

Dans le bureau de son hôtel particulier, Pénélope s'était mise en oeuvre de recenser tous les habitants qui avaient acquis une demeure et des champs dans et autour de la ville. Son regard s'attrista lorsqu'elle vit le nombre de décès dont était accablée la ville. Le plus simple pensa t-elle était de tout recommencer de zéro, cadastre rénové, ville en expansion, champs de moins en moins nombreux autour de la ville...Elle envoya donc missive aux Sieurs Hiram et Galerand.

Citation :

Bien le bonjour à vous messires,

Après mures réflexion et à la vue du nombre de maisons laissées vides ou à l'abandon par leur occupants suite à un déménagement ou un décès,
je vous propose d'envoyer un courrier massif à toute la population parisienne afin qu'elle revienne choisir une nouvelle demeure.

Certains souhaiteraient surement quitter l'ancienne pour une plus grande et les nouveaux habitants pourvoir en choisir une selon leur moyen financier
(être minimum niveau 1 et avoir construit sa maison)

J'ai jeté un oeil sur les nouveaux plans et j'avoue qu'ils m'ont plus que plut.

Qu'en pensez vous?

Je me tiens à votre disposition pour vous fournir la liste des habitants concernés.

Bien à vous

Que Pascal vous garde

Cordialement

Pénélope D'Estrées.

Une petite fille de 6 ans pénétra dans le bureau, interrompit brièvement la conversation entre la dame et le messire.
Elle s'approcha tout doucement du Messire et lui murmura:

_ Je vous prie de m'excuser Messire mais la Demoiselle Lolita m'a transmis de vous remettre ce pli!

Citation :

Mon cher Galerand,

Comme prévu, je vous ai réservé une chambre à l'auberge "au plaisir de Paris".

Dès votre arrivée, la gente Dame Aurélya, vous remettra soigneusement la clé à destination de la chambre à noisette.



Sinon, j'espere que vous vous portez bien.

Je vous souhaite une agréable journée bel ami et au plaisir de vous recroiser sur ma route.

Mes sincères salutations

Lolita

Un léger sourire se fit apparaitre avant que l'enfant ne s'éclipe dans les rues de Paris.

Quittant, les nouveaux arrivants, je me rendais prestement à mon propre bureau, à peine arrivé, je trouvais un pli de dame Lolita, qu'une petite fille m'attendant me remettait, avec le sourire du devoir pleinement accomplis.

Prenant lecture de la missive, je demandais à la petite fille de bien vouloir en retournant à l'auberge, donner cette lettre à dame Lolita.


Me dirigeant vers mon bureau en chemin, je retrouvais dame Marya.

Dame Marya, vous n'avez nullement trainée, vous êtes ainsi décidée à demeurer parmis nous, venez entrons, nous serons mieux pour discuter.

Je lui ouvre la porte, la laisse passer.

Asseyez vous donc , j'ai bien réfléchis au meilleur lieu pour vous. Ne désirant point vous voir traverser le tout Paris pour vous rendre sur votre lieu de travail, ne tenant pas non plus à vous savoir isolée, j'ai pensais vous proposer une parcelle et votre demeure dans le quartier de l'hôtel de ville.

Cela me semble une bonne opportunité pour vous, centre ville, loin des marauds éventuels, dans un endroits paisible ou il me semble vous vous plairez.


Je ne la quittais pas des yeux, attendant, une remarque, une réponse ou peut être avait elle déjà trouvée en flânant dans la ville ce qui lui conviendrais.

Assis derrière mon bureau, je lui montrais le plan et l'emplacement.

Je vous vois bien au numéro, 417, allez le voir si vous le désirez ou adoptez le de suite, c'est comme il vous conviendra.

J'attendais maintenant ses remarques.

Overline s'arrêta au cadastre car elle avait des modifications à signaler.

Elle poussa la porte du bureau et vit Galerand fort occupé à mettre à jour tous ces registres.

Elle toussota

hum hum!!

Bonjour messire.

Quand il l'entendit, il leva les yeux de ses livres, elle s'avança.

Bonjour dit elle à nouveau.
Si je viens à vous aujourd'hui c'est pour que vous signaler une légère erreur
sur vos registres. Voyez vous je suis encore une jeune fille et n'ai point d'enfant.
Je ne suis donc pas mère au foyer mais joaillière.
Je voulais aussi vous annoncer que je vais faire des travaux au dessus de ma boutique pour y vivre.
Je vous serai gré de bien vouloir noter ces modifications.

Elle attendit sa réponse avant de quitter les lieux afin de s'assurer que les changements seraient bien noter.
En effet elle trouvait gênant que ses clients la considèrent comme une femme ayant enfanté hors du mariage et
elle tenait plus que tout à sa bonne réputation surtout maintenant que Firenze venait de la demander en fiançailles.

Entendant un léger toussotement, je me retournais. Là devant moi se trouvait gente dame Overline

Elle s'avançait vers moi, puis me parla d'une chose qui effectivement avait attiré mon attention.

Citation :

Bonjour
Si je viens à vous aujourd'hui c'est pour que vous signaler une légère erreur
sur vos registres. Voyez vous je suis encore une jeune fille et n'ai point d'enfant.
Je ne suis donc pas mère au foyer mais joaillière.
Je voulais aussi vous annoncer que je vais faire des travaux au dessus de ma boutique pour y vivre.
Je vous serai gré de bien vouloir noter ces modifications.

Bonjour dame Overline, ravi de vous voir en ce lieu, tellement cher à votre coeur.

Je m'étais levé, afin de venir à ses cotés la saluer.

Oui, les propos dont vous venez de me faire part, avaient attiré mon attention, il me semblais bien que tout cela n'etait pas juste et qu'une erreur, c'etait glissée dans les anciens registres.

Il est certain que dans votre position, ce fait soit gênant, pour une jeune fille.

Ne vous inquitez nullement, je vais corriger tout cela sous les plus brefs delais, en ce qui concerne votre projet d'aménagement concernant votre demeure, je suis persuadé que votre filleul, m'en aurait parlé.

D'ailleurs, il me reste encore certaines corrections à effectuer, j'en profiterai pour mettre tout ce petit monde à jour.

Je m'approchais d'elle, la regardant dans les yeux, cela est une manie chez moi, comme d'autres ont des tics divers, moi c'est le regard.

J'espère avoir répondu à votre attente dame Overline.

Je vous remercie d'apporter ces corrections au plus vite dit elle en soutenant son regard.

Elle se demandait bien pourquoi il la regardait avec tant d'insistance, avait elle un reste de chocolat collé au coin de la bouche?

Bien, alors, nous sommes en accord.
Je vous souhaite une très agréable journée dame Overline, que vos affaires prospères selon vos attentes

Je la raccompagnais, lui ouvrant la porte du bureau.

Surtout, n'hésitez pas à passer, si vous avez le moindre soucis, je suis là à votre disposition.

Je passerai vous voir prochainement, tout comme je dois me rendre à l'auberge du sieur Hiram, que je n'ai malheureusement pas encore eu le loisir de visiter.

Je la saluais respectueusement, d'une inclinaison de la tète.

Me retournant maintenant vers dame Marya, elle était debout, je la regardais, elle etait jolie dans sa robe plissée, soignée sur elle, je pensais que mon choix devrait lui convenir

Citation :

Puis-je voir le plan de la ville, s’il vous plait ?

Mais oui, gente dame, j'ai là un plan de la cité, vous le regardez et si vous avez la moindre question, n'hésitez surtout pas, je ne veux pas que vous regrettiez votre emplacement celui ci une fois déterminé.

Bon, il s'agit d'un plan d'ensemble, les nouveaux sont en préparations, il nous a servit bien des fois au début de nos investigations.

Je déroulais sur mon bureau le dit plan,

Regardez par vous même, le quartier de l'hôtel de ville se trouve ici, et l'emplacement auquel je pensais pour vous est bien situé, entre jardin et centre ville


[img:40c5]http://www.casimages.com][/URL][/img]

Voilà le quartier de l'Hôtel de Ville et l'emplacement se trouve par ici.

Je lui indiquais avec l'aide de mon doigt, les différents lieux de la capitale.

Mais si votre préférence se porte sur un autre endroit, cela ne pose aucun problème pour moi.

Je la laissais prendre son temps, tranquillement bien tout inspecter.

Désirez vous une boisson chaude, une tisane, si vous voulez.