ARCHIVES] Chantier Naval - Port de la Flotte de Guernesey

j'arrivai devant un magnifique Brig mis au sec, je me dirigea vers le bureau pour savoir la nature de mes travaux. Là un préposé me confia diverses tâches, voyant l'ampleur des travaux et le peu de temps qu'ils nous restaient, je devais m'activer.

Je commença par l'artimon, il était bien avancé, il me restait a le poncer, le vernir et fixer les attaches pour les cordages. Je testai la solidité et tout en travaillant je vis l'amiral, au loin, inspecter la flotte.

Bien que pas très croyant, je prie pour notre indépendance, et je sais que la bataille sera rude, mais on a des coeurs vaillants. Et on se battra jusqu'au bout. Pour nous battre, faudra couler notre île..


Fort de cette pensée, je redoubla d'effort.

Quand je vis l'Amiral Erwan se mettre a travailler, je me suis dit enfin un homme qui n'a pas eu son grade derrière les bureaux, un mec qui n'a pas peur de mouiller sa chemise.

Les travaux avancés bien, Romeuf m'a dépêchés de bons menuisiers, je commencé a désespéré de travailler avec des branquignoles.

En fin de journée, on installa le mât avec l'aide des matelots, puis ils installèrent les cordages, ils m'impressionnèrent a la vitesse a laquelle ils grimpèrent aux mats, tels des singes.

Je contemplais le résultat, a mon niveau il était fini, fallait attendre l'aval de Romeuf et de Erwan

Aurélya fière comme Artaban se tient droite le long des cordages fixant d'un œil connaisseur les déflagrations que provoque les bombardements de la couronne sur le port ,Laeshan embarquée un peu de force n'aime guère cela mais elle sera précieuse lors du débarquement ou l'abordage d'un quelconque navire voulant faire voile en sortie du port de Guernesey


Les flammes embrasent le quartier du port ou un entrepôt de munition semblait bien garnit, emportant les quelques maisons à côté



La mer commence à recevoir des morceaux enflammé du dépôt qui a explosé



Aurélya assiste a un magnifique feu d'artifice , l'odeur âcre de la poudre à canon commence a flotter dans l'air et une fumée noire de l'entrepôt dévasté au loin provoque un branle bas de combat sur la frégate ancré trop près de celui ci



Partout les marins courent en tout sens afin d'éteindre le feu sur le pont

Un autre bateau arrive en filant à toute allure et essaye de saborder la "couronne"

Mais une salve de boulets chauffer au rouge vient atterrir en notre voilure alors Aurélya s'active autant que les marins a jeter de l'eau sur le pont et la coque pendant que le capitaine se replace afin d'éviter une nouvelle salve de boulet ..chose pas facile avec une voilure amputée , il réarme les canons afin d'empêcher l'autre navire de s'éloigner vers le large pendant que de grosse gerbes d'eau jaillissent un peu trop pres au goût de laeshan envoyé directement de la frégate du port

Une frégate au pavillon privé arrivait du large elle était grée pour la course et affichait sa grande maniabilité même comme en ce moment quant elle allait sous voilure restreinte. Sa vitesse même comme cela était importante.

le commandant vint frapper à la cabine d'Henri - Monsieur le Marquis il y a un problème Guernesey où nous devions faire de l'eau est sous le feu de navire mais semble se bien défendre.

- Quoi est-ce encore de la piraterie comme quand j'ai aidé à reprendre l'ile ?

- Non Monsieur le Marquis les attaquant sont français !

- Français mais ils n'en finiront jamais d'enquiquiner ceux qui veulent la liberté !!! Branle bas de combat Monsieur mettez les enfants à l'abris et chargez à démâter la première brodée

La frégate met toute sa toile et se porte en avant vers le bâtiment ennemi. De conception moderne son artillerie porte plus loin que celle du bâtiment d'en face.

La confrontation est imminente, les sabords s'ouvrirent les canons portés en avant hausse à démâter

[ Le 24 Mars Sur le Chantier Naval ]

Le tocsin retentissait dans tout Saint-Pierre-Port.

Le Commandeur pris la tête d’une partie de la Garde Princière afin de descendre défendre le port.
En arrivant il aperçu le Chantier Naval était en flamme, les Habitants s’affairaient à éteindre le brasier.
Chevauchant Nérin, il rejoignait avec ses Hommes, la Milice dont plusieurs membres étaient déjà camouflés derrière les cinquantaines de tonneaux gorgés de sable, disposé en ligne tout le long du quai. Les Miliciens avaient prévue une attaque terrestre de plus grande ampleur.
Alignée sur deux rangs, Milice devant, Garde sur l’arrière, tous armés de Mousquets ils n’eurent aucun souci à défendre la position,
canardant à tour de rôle la valse des Français jusqu’à les réduire à néant.
Plus en retrait, une Batterie de canons donnait le ton dans un battement régulier de métronome qui fessait tremblé le sol sous les Pieds,
elle pilonnait la Couronne.


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Henri donne le commandement à un demi mille environ profitant que la houle surélève le flanc qui va tirer

- Feu





Les boulet de "la Tendre Annie" fusèrent vers le bâtiment français, ils arrivèrent en sifflant, liés deux par deux par une chaine les premiers emportèrent le beauprés et les bâtons de foc fragilisants ainsi la misaine dont les câbles trouvent leurs attachent sur lui.

FRRRRttttttt TCHACC TCHACCCC ffllltt

Les câbles se rompent et cinglent la plage avant de la frégate royale tandis que la misaine est réduite au bas mât de misaine et au petit mât de hune, les petit mât de perroquet, petit mât de cacatois et petit mât de contrecacatois s'effondrent sur le pont et dans la mer.

Les autres mats sont moins touchés mais la flèche de grand cacatois du grand mât est maintenant manquante tandis que les mât de cacatois de perruche, mât de contrecacatois de perruche de l'artimon pendent par le travers du pont et encombrent un pont où le chaos semble régner. Les focs, clinfoc et trinquettes s'entassent et pendent le long des mâts ainsi que les perroquets et perruches et autres bonnettes en lambeaux qui s'accrochent au reste de la mature en désordre. Les balancines, étais et sous-barbes battent les flanc du bâtiment au grès de la houle et du vent.

La frégate française a perdu beaucoup de sa manœuvrabilité et des blessés gisent un peu partout. La "Tendre Annie" passe et va virer au large pour présenter son autre flanc et éventuellement si la frégate n'amène pas son pavillon la réduire à l'état de ponton. Cette fois pour le gros des mats ce seront des boulet ramés qui feront œuvre de destruction.

Sa faisait trois foutu jour qu'il évitaient les patrouilles ennemis et filaient a toute vitesse sur le port et plus le navire se rapprochaient plus j'avais un mauvais préssentiment qui se vérifia au loin un bateau l'un des notres se faisait pilonner par deux navires en même temps je fonça vers la poupe et m'arrêta a coté de mon père lui vissant une longue vue a l'oeil en disant

Regarde sa ils pilonnent l'un des notres faut aller l'aider je vais prevenir les autres faut que tu donne tes ordres on fonce et on pillonent le navire .. qui se dirige vers le port il a l'air endommagé donc il lui en fout plein la figure allez !

Je le regarda en me disant que mes mots sonnaient comme ceux d'un gosse voulant jouer avec son père puis réprima ma pensée et fila chercher tout les autres et principalement Firenze

Par.. Caporal venez voir vite les notres faut faire un truc ! Prevenez le colonelle je retourne voir mon père !

Je remonta et écouta mon père donnez ses ordres en aidant les marins a armés les canons

Rodrigue tenait la barre lorsque son fils lui vissa littéralement une longue vue sur l'oeil le forçant a regarder et jura en espagnol le navire allié en prenant pour son grade et pas qu'un peu il attendit que son fils soit parti et cria ses ordres a ses hommes



Bien les gars le moment tant attendu est arrivé on va se battre d'abord sur la mer et après on tentera d'aborder notre cible ! Armé tout les canons même ceux qui sont dans les cales et on fonce dans le tas, compris !!!

Oui !!!répondirent tous ses hommes d'une voix claire et unis et tou filèrent commencer leurs travails au pas de course et a sa grande surprise son fils s'y joignis aussi il le regarda surpris et ne dit rien et se plaça dans la trajectoire du navire et contunia son chemin le visage déterminé tout en gardant un oeil sur son fils avec un sourire plutot fier