[rp] Voyage en Eaux trouble

[le bateau naviguera sur les eaux de la principauté mais aussi française et celle du mont]

Cylouan arriva au quai ou le bateau était amarrée, cyl fut un peu surpris en voyant le bateau il était bien plus grand que ce que esteban lui avait dit mais il n’avait pas l’air en très bon état… au moins si il devait se cacher cylouan trouverai bien un endroit.
Esteban lui avait dit de n’aller parler que au capitaine a personne d autre avant que le navire ai levée l’encre.

Petit coup d’œil a gauche et a droite puis il s'approcha d un homme, il s’assura qu il était bien le capitaine,

Je viens de la part d’esteban

L’homme le regarda de haut en bas… mmm c est toi …
Tu touche a un seul truc que tu dois pas et tu vole a la flotte, tu vas t’assoir quelques part ou tu gêne pas et tu n en bouge plus jusqu en France…

Cyl un peu mal a l’aise acquiesça et monta a bord.. le capitaine le suivis

Et t inquiète si je vois les ennuis arriver on te trouvera un endroits a l’abris … j ai des services a rendre a esteban.

Cyl eu juste le temps de mètre un pied sur le pont que la passerelle était enlever et que le capitaine donna l’ordre de se mètre en route.
Quelques minute plus tard le bateau avais quitté le port saint pierre port… et c était a esteban de jouer maintenant …

Limites des Eaux de la principauté et des Eaux française

le cardinal sortit de sa cabine et monta sur le pont. l'aire était frai et rafraichissant et la mer était limpide tel une flaque d'huile.

Que fessait le cardinal sur ce bateau ? ce navire lui appartenait de part sa compagnie commercial car il venait juste de l'acheter au port de SPP a un mystérieux personnage encapuchonnée désireux de le céder avec tout son équipage.
il vérifia avant tout que cette affaire n’était pas une entourloupe et inspecta l'etat du navire et son équipement, l'inspection s’avéra utile car l'embarcation était dans état moyens mais pour le prix, il n'allait pas refuser une pareil offre, il pouvait toujours le faire rénover, il gagnerais encore de l'argent.

il l’eus pour une boucher de pain et le mystérieux personnage pressez dans finir s'en alla après lui avoir céder les titres de propriété et obtenue une bourse d'une cinquantaine de louis.
Une belle affaires se dit dit a lui même, car il n'avait pas eu besoin de marchander le prix ni de négocier.

il en profita donc pour charger le navire de denrée et marchandise précieuse lui appartenant qui attendaient dans un entrepôt non loin de la.
Plusieurs caisses de thés, de cafés, quelque tonnelet de rhum, des ballots de la laine écossaise, de la porcelaine chinoise et plusieurs coffrets de pierre précieuses fut charger et entreposer dans les cales.
il fit connaissance avec l’équipage et le capitaine un peu bourru puis donna ses ordres. le navire rebaptisée "fortuna" devait se mettre en route pour le mont gaulefier puis Cherbourg-Octeville dés que l'équipage était prés a appareiller.

il décida ensuite de se reposer dans la cabine du capitaine et d'y faire un petit somme.

Sur le pont, après avoir prit l'aire goutée les vents marins qui ébouriffa de peu sa coiffure, le cardinal se dirigea vers la cunette ou le capitaine était en pleine discutions avec son barreur.

"Capitaine, c'est une belle journée pour navigué..."

"Excellente, oui, m'seigneur, le cracha d'hier soir c'est dégager, et on a cette flotte d'eau douce pour la journée"
"Bien, une très bonne journée, la chance nous sourie alors. Je vous est trouvée comme il fallait, mais dite moi qu'elle était la raison de la vente de ce navire. votre propriétaire était si pressé que je n'ai pas eu le temps d’éclaircir ça situation. il est partit si vite"

le capitaine eu un temps de réaction assez long, réfléchissant a se qu'il allait dire.

"....hé bien, c'est que....je n'le connaissait pas ce pouilleux, s'te mec nous a embauché qu'hier en taverne et nous a promis une bel somme en salaire, ce sale rat, ha. Mais vous un homme de dieu mo, bon seigneur, vous allez pas nous la mettre a l'envers"

"Non, non, rassurer vous vous serez payer comme il se doit, tout travaille mérite salaire. Étrange personne en tout cas, il ne vous a pas dit son nom ni d’où il venais ? les contrats du navire stipule un messire "VAN DYK", un non originaire des régions unis néerlandaise mais a l’entendre parler, il n'avait aucun accent et parlais plutôt bien français..."
"heu....je saurait pas vous dire, ct'homme parlais l'français oui et plutôt bien. il avais l'aire d'un magouilleur d'premiere, ptéte que ce VAN DEK comme vous dite était ptéte l’ancien proprio....je sais pas"

le capitaine se renfrognais et regardait ailleurs quand il parlait, il ne lui disait pas toute la verité sur ce qu'il savait. il en savait plus sur l'origine de cette vente.

"bien, ou se trouve mes marchandises que nous avons embarquée ? je voudrait les inspecter et voir si il ne manque rien."
"Heu..... non, vous pouvez pas, y a du vent et on risque de manœuvrer...vous pouvez pas..."
"arrêter de me mener en bateau, je sais très bien quand manœuvre, les cales son accessible,... je vais aller voir par moi même"

le capitaine s’arrêta nette et coupa la route au cardinal et le tira par la manche a l’écart du barreur.

"Heu.....j'vais vous dire s'qui c'est passer, mais ne descendez pas.......mais J'veu point qu'vous m'renvoyer, j'veux ma solde qu'il ma promit pour ca......"
"Pour ça quoi, il vous a promit quoi ?"
"je d'vais faire quequechose pour lui en echange dl'a solde promis, 4 mois d'salaire, voyer, j'pouvais pas r'fuser."

le cardinal mis une main compatissante sur l'épaule du capitaine.

"Vous aurez ces 4 mois de salaires a votre arriver a Cherbourg-Octeville si vous me dite se qui se passe et bien plus encore car le salaire que je vous offre est nettement plus supérieur. ma compagnie doit convoyer de nombreuse marchandises et votre aide nous sera précieuse."
"Mais c'est que....."
"Pascal et dieu le père vous regarde mon fis"
"daccord, ok,Il s’appelle esteban, il a gagner le navire a une partie de carte a Douvres, VAN DYk, un hollandais avait parier son bateau et l’équipage, il était sur d'avoir gagner l'coup mais esteban a sortie une paire d'as au dernier moment....j'etait sur que c'te rat avait tricher, j'ai voulut partire mais il mas promis une belle solde pour conduire le navir A spp, c'est qu'aprées qu'il ma d'mander bien plus. j'pouvais pas refuser"

A ce moment, on entendit un bruit, un bruit de vaisselle plutôt en bas sous le plancher.

"c'estait quoi ca ?"
"J'ai pourtant bien tout attacher. c'est ptéte......."
"C'est ptete quoi capitaine."
"La chose que je pouvais refuser."

le cardinal suivit le capitiane qui, par depit et de degout d'avoir reveler une partie de l'histoire trainait des peid pour le guider dans la cale du navire.
cela n'etait que la partie immergée d'un iceberg, le cardinal se promit d'enqueter d'un peu plus prés sur l'origine de cet "esteban", mysterieu personnage visiblement connut comme un gredin.

Deux Mousses les accompagnais, deux jeunes d'une bonne stature les suivait dans ce dedal de planche pourrris et de cloue apparent. Le navire neccesitait une bonne remise en etat, le plancher craquait a chaque pas et l'humidité ambient n'edait pas. de la corde, voile, hamac, cliquetis de fer brinquebalais dans un merveilleu foutoirs. les couloirs et coursives etait encombrée de caisses, tonneau et divers ustensile. des draps sale et noircis couvrait des cloisons de bois visiblement pourris.
Des chaines courrais de l'ong en large, retenue par des poulies, un vrais capharnaum ambulant.

"Dou sort t'il ce navire ?"
"nous v'la bien dans les confidences monseigneur, autent vous dire s'que chais alors. c'navire est un vieux d'la veille, VAN DYK, l'proprio, un marchand d'tulipe d'amsterdam fesait un peu d'contrebande et d'traite en tout genre. il a pas pas mal mouillée dans des affaires louches et pas franchement trés net, j'en sais pas plus jusqu'a la, il m'a embauché y a quequ'mois a Callais, l'ancien cap'taine dit t'on gardais une part pour lui en scret d'la marchandise qui r'portait gros et r'vandais a d'aute, on l'a r'trouvée ligotée, evicerée dans sa cabines un soir. On n'a jamais sue qui c'etait...."
au allentour d'un couloir dans un coin, il apercut une malles pleine de fanion et de drapeaux de toute nationnalité ansi que des porchoirs de letrres et de la peinture. le cardinal, sans le savoir avait racheter un encien rafiot de contrebande.

"....on n'a jamais fait l'menage, y s'pourrait qu'on y r'trouve des truc dans se tas d'bois, ptete méme des cadavres, vue la puanteur a certain endroit, c'est méme probable."
"On vera sa plut tard capitaine, on vera sa plut tard, expliquer moi plutot le drole de service que vous avez rendut a Esteban a SPP, et la cause de tout se rafut."
"On a prit......un clandestin a bord, j'vous l'est dit que j'pouvais pas r'fuser...en plus il m'a dit qu'il ferait un bonne monnais d'echange, y parais qu'c'est un gars r'chercher par les français, l'esteban voulait le leur rendre contre une bonne prime, on l'a mis la d'dans, bien qu'le jeune sache rien et qui croie qu'on l'debarquera a la premiere escalle."

Avec une parreil compagnie et un rafio tel que celui ci on pouvait s'attendre a tous.

"Arrivée !!! ms'eigneur"
ils arrvient devant une porte fermée bloquée par un bastaing, le capaitne ouvrit la serrure et les deux jeune s'occupérent d'enlevée la planche qui barais l'ouverture.

"Hé ? Sort de la P'tit, t'a d'la visite."

"hé ptit, c'est moi, l'capitaine, Sort de la, j'ai a t'causer.." dit le capitaine en direction de l’intérieur de la cale ou il n'y avait presque pas de lumiére, seul un peu de lumière extérieur rentrait par la porte ouverte et reflétait des ombres divague immobile.

"Haut faite, votre nom capitaine, comment on vous appellent?"
"Billy bolls m'seigneurs, Capitaine billy bolls, évidement c'est un nom qu'on ma donnée, ha, les ingrats..." il crachat par terre par dépit de se surnom.
il avait un timbre de voie particulier a ceux qui avait trop fumée de tabac et la nostalgie d'un passée bien trop violent. le silence se fut et les quartes hommes attendirent une réponse qui tardait a arrivée.

"J'lai vue tout d'suite, cte jeune a la trouille, il v'nait d'monter que ses gambettes avais la tremblotte. les gars? aller m'le chercher et m'labimée pas heins! et lui faite pas frousse"

les deux idiots, car il faut bien le reconnaitre, c en'etait pas des intellectuelles rentrèrent dans ce noir complet, en fouillant et déplaçant les premiére caisses qui barrais le chemin et qui gênais leur progression pendant que le capitaine et le cardinal attendirent a l’encablure de la porte.

"et votre vrais nom en dehors de ce surnom que je ne preférent pas connaitre la causse, comment est ce? "
"Harff, une salle histoire croyiez moi, chuis content qu'vont voulier pas connaitre l'fin mot mais mon prénom c'est henry, Henry Knaki, j'vien d'une ptite ville de Bretagne, Herta comme ils l’appellent les vieux du bourg ,harfff, s'fait lognteng j'y suis pas r'tourner."

le capitaine s'impatienta et cogna du poing un chambranle de porte.

"Alors, sa vient..."
"On trouve pas captaine, y fait trop noir la d'dans"
"On s'prend les gibolles dans des trucs. c'est la merde"

"Me casser rien surtout messieurs, ces trucs comme vous dite ont une grande valeurs et une fois vendus, ils me permettrons de vous nourrir et de vous habiller comme de vrais bourgeois."

une voie retentis fessant transpercer le silence ambiant ponctuer du brui des déplacements des deux mousses dont le manque de lumiére les gênais quelque peu dans leur progressions.

Citation :

voila voila je sort de ma cachette

"ha enfin, te voila..."

le capitaine et le cardinal fit quelque pas en arrière pour laisser passer l’individu, ce passager clandestin temps décrier par ce chère capitaine bolls.
une masse arriva des profondeur des ténèbres et fit place a un jeune homme qui n’était cependant pas étranger a l'homme d’église car il était physionomiste des visages et une bonne mémoire visuels. ce clandestin n’était autre que Messir cyl, une personne assez mouvante dans ses actions et ses déplacements et qui brassait des réactions en chaine en sa défaveur a chaque fois qu'il allait quelque part se fessant des ennemis pas si concilient envers lui.
A vrais dire cette adolescent tardif ne transpirait aucune violence en lui, il l'avait deja rencontrer auparavant et avait comprit son etat bien plus que les autre, il éprouvait et ressentait pour lui de la sympathie bien qu'avec le choc de la disparation de sa mère, les gens ne lui avait pas laisser de cadeaux.

il lui sourit, étant surpris a demis par cet apparition soudaine de jeune homme sur ce navire.

Citation :

"delarosa ... je suis un peu étonnée de vous voir sur ce bateau ."

il lui ouvrit les bras pour l’accueil.

"surpris, je le suis moi même et étonnée que vous ayez eu ce choix de transport si particulier. Venez et allons sur le pont vous aérer l'esprit et raconter moi dans quel histoire vous vous êtes mis cette fois ci... l'on ma dit que vous étiez rechercher ?"

il lui indiqua une coursive ainsi qu'une échelle non loin de la qui montait vers le pont supérieur. le capitaine et ses deux aides refermais deja derriere eux la cale.

"Vous étés sur mon bâtiment messire Cylouan, "le Fortuna" un navire de la compagnie commercial la rose des vents. enfin, que depuis ce matin car un encapuchonnée me la vendue pour une somme dérisoire. Enfin bon, vous n'avez rien a craindre ici, de moi comme de l’équipage même si j'ai doute sur ce capitaine." lui dit t'il a labris d'oreilles indiscrète.

"Par Votre découverte et votre présence ici, je crains que le future nous resserve de délicate situation pour nous deux, je ne l’espèrent pas en tous cas, vous n’êtes plus obligée de vous cachée. Que vous est t'il arrivé pour vous retrouvée dans ses soutes malodorantes ?"

l'homme de dieu était souriant et agréable avec ce virtuose de la cabriole, le guidant vers les ponts supérieur jusques a la dunette afin de le faire profiter de la vue sur l'horizon et la mer.

[Au port]

La marine sur les chapeaux de roue ! Un peu d'action ne faisait pas de mal, depuis le temps que, Cara attendait cela. Parce qu'à part les patrouilles et, les marins qui venaient à l'infirmerie pour, une égratignure de rien du tout. Des muscles ils en ont mais, dans la cervelle, c'est autre chose, des vraies chochottes. Donnant des directives aux marins, matelots et, mousses afin qu'il prépare tout le matériel qu'il fallait. Les bras chargés de sac de poudre, de vivres, de munitions, les marins montèrent tout cela sur, le bateau, la fameuse Boudeuse sur, lequel elle avait embarquer pour la premiere fois avec, son meilleur ami et, père, qui lui manquait vraiment énormément.

L'état du bateau laissait à désirer, qu'est ce que c'était que toute cette saleté? A croire que personne ne faisait son boulot correctement ici. Dos au la passerelle, les marins matelots attendant pour passer, Cara resta plantée la un instant.

Eh m'dame, on peux passer s'iou plait? J'vous signal qu'on a les bras chargés nous !

Ouais hein !

Se tournant, rouge de colère.

Décharger tout cela en bas, pour le moment vous allez me nettoyer ce bateau ! Allez !

Était elle énervée? Non, juste un peu, beaucoup. Grognant dans ses moustaches, le matelots soupirant se mirent à l'ouvrage pour nettoyer mais, les mousses étaient plus doués qu'eux, c'était incomparable. Le capitaine passa la passerelle, les mains jointes derrière son dos, le regard fixe et, droit, il ne dit rien quand aux marins qui, astiquaient le planché et, regardant Cara, il ferme les yeux, un signe de tête et, passa son chemin. Murmurant tout bas, elle donna un coup elle aussi pour, aider tout le monde.

Qu'elle arrogance, ou Ada la t-il trouvé celui la?

Soupirant, le bateau était propre comme un sous neuf et, les paquetages chargés sur le bateau, il était temps de partir.

[Sur les eaux françaises]

Longue vue à portée de main, carte tout près d'elle, accoudée sur le rebord, Cara scrutait l'horizon. Toujours aussi malade en mer, elle n'avait pas le médicament de son père sur elle, malheureusement alors, son déjeuner y passa et, bientôt le repas du soir également. S'endormait presque à son poste, une légère brise lui caressant le visage, une petite secousse la fit sortir des bras de Morphée. Malgré la fatigue, il fallait qu'elle tienne. Prenant une grande rasade d'eau, essayant de se réveiller, un bateau était non loin du sien. Qu'est ce que c'était? Bateau suspect en vue, ce n'était pas bon du tout.

Affalez vous les marins ! Préparer les canons ! Magnez vous !

Ouai ouai, on arrive !

Magnez vous ou, la nourriture je la jette par dessus et, le rhum avec !

Aussitôt qu'on parlait de rhum, y avait foule et, en quelques minutes, les canons étaient en place, poudre prête à être chargée et, les matelots en positions. Le capitaine à la barre, un air de "je m'ennuie ici", Cara se mit a rédiger une missive et, accrochant le mot à la patte de son pigeon, elle l'envoya jusqu'à Ada, pour le prévenir de ce qu'il se passait.

regardant les poissons volant se courbant dans le sillage du navire qui avançait a bonne alure, le cardinal en compagnie du jeune messire conversait ensemble accoudée a la balustrade de la dunette. le jeune homme lui expliquais les raisons de sa presence ici et son etonant moyen de transports.

"M'seigneur, Un navire arrive pleine boure sur nous, il vient d'levée ses sabords, ch'comprend pas s'qui veut ? Acrocher vous et aller vous r'fugier dans la cabine" dit le capitaine bolls les interrompant dans leur discutions.

"Quelle sont ses couleurs ?"

" Heu....."

il prit sa lunette et regarda vers l'horizon

"Ses des français, la marine...je croie, sont bien sur les dents en tout cas...on va essayer d'passer au travers, c'ta de bois est bien plus rapide qu'eux."

"vous n'etes plus en marge de la societé capitaine, votre passer de contrembier est revolue, vous etes maintenant capitaine d'un navire de commerce, ralentiser et signialer leur qu'on les a vue, qu'on ne se prennent pas de la mitrailles pour rien."

"Mais ses des français M'seigneur, on n'est pas obligée d'se rendre, on n'est pas encore sortie des eaux du prince, on peut contournée par...."

"...On ne contourne pas, d'ici un moment on sera obligée de passer dans leur eaux pour aller au mont, ils n'ou retrouverons capitaine, ne suivont pas de mauvaise voie, et nous ne somme pas armée, je ne veux pas que la compagnie soit impliquée dans une affaire avec la justice du royaume de france."

le capitiane ordonna au barreur des ordres et fit reduire la voile afin de ralentire, il fit levée les signeaux.
le cardinal doutait de sa fidelitier et craignait que bolls pouvait l'entourloupée a la moindre ocasion, qui sait, il n'avait pas la moindre idée de que le bateau transportait en dehors bien sur de ses propres marchandises.

Les matelots en place, attendant l'ordre de tirer, il y en avait un qui, était, vraiment bizarre, l'air de dire "c'est quand qu'on tire"?", cela lui faisait froid dans le dos à Cara. Le Capitaine, toujours aussi fier la, laissée prendre les choses en main. C'était bien la première fois qu'elle était, en première ligne pour, les missions de ce genre. Leur allure ralentissait, pourquoi réduisaient ils leur voile? Avaient ils peur? Continuant d'avancer doucement mais, surement, la Boudeuse se dirigea vers le bateau suspect et, jetèrent l'ancre quelques instants.

Messieurs, je vous souhaite le bonjour sur les eaux françaises. Ne vous connaissant pas et, je pense que vous savez ou vous êtes, nous devons procéder à une fouille de votre bateau, c'est la procédure. Permettez?

Ordonnant aux marins de, faire passer une passerelle sur, l'autre côté du bateau, papiers en main et, une plume, elle fit le tour des marchandises en, demandant d'ouvrir les caisses pour, voir ce qu'elles contenaient. Des caisses avec des pommes, pas très fraîches les pauvres, d'autres avec des, bouts de tissue. Pour le moment, il n'y avait rien de suspect, tout ce la paraissait normal. Se dirigeant vers la cale, il y avaient beaucoup plus de cargaisons à cet endroit. Les vérifiant une par une, beaucoup contenait des armes, de la poudre, des munitions, bien entendu de l'alcool comme tout bateau. Réfléchissant, se posant des questions sur, ce pourquoi ils transportaient des armes.

Pointant son regard sur, une caisse cachée par un tissu, elle le souleva et, demandant d'ouvrir la caisse. Qu'est ce que c'était que tout cela? Des lettres, des lettres et, encore des lettres, des journaux révolutionnaires? Notant tout cela, elle remonta sur le pont et, fit un bref résumé sur ce qu'elle venait de découvrir. Depuis les reconnaissances des côtes anglaises, elle portait toujours son arme sur elle, celle que son père Mickaël lui avait donner, en cas de danger ou, de problèmes.

Bien, je ne vois aucunes cargaisons suspectes, si ce n'est deux comme, celle des armes et, la plus importante qui, contenait des journaux révolutionnaires et, des lettres qui ne me dise rien qui vaille.

Regardant l'un des hommes, elle le reconnut mais, ne savait pas si elle, devait le saluer. Continuant, les matelots, main sur les sabres, attendaient les ordres, ainsi que ceux de la Boudeuse.

Monsieur, je vous demanderait votre nom et, ce pourquoi vous êtes la, s'il vous plait?

Attendant ses explications, elle espérait qu'il serait clair.