[RP] Brasserie-Hostellerie "La Rive Bleue"

Depuis quelques temps, Alazaïs forgeait le projet d'ouvrir une brasserie-hostellerie sur Rouen. Afin que les habitants, comme les voyageurs, puissent y trouver un lieu d'accueil, avec de quoi dormir et se restaurer, mais aussi un lieu de communauté pour partager quelques bons moments autour d'un verre.
Le choix de la jeune fille s'était portée sur une vieille batisse au bord de la rivière, entourée d'un joli parc ombragé. Celle-ci était judicieusement placée car elle se trouvait proche du pont qui enjambait la rivière et qui permettait d'entrer dans la ville. Par ailleurs, elle était à la croisée de lieux communautaires tels que le vieux palais, la cathédrale ou le marché, ce qui lui conférait une situation de choix.

La batisse réclamait pour autant de menues travaux, aussi la jeune fille avait-elle embauchait des ouvriers qu'elle fournissait en divers planches et autres produits issues de son atelier de menuiserie. Elle avait par ailleurs embauché des jardiniers afin que le jardin soit présentable et verdoyant, permettant notamment d'y installer une terrasse.
Lorsque les travaux de gros oeuvre furent achever, elle se fit également aider pour installer les meubles qui occuperaient la pièce principale et les quelques chambres.

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Enfin le jour de l'ouverture approcha, lorsqu'il ne resta plus à Alazaïs que le soin de faire quelques finitions telles que faire luire les tables en bois, accrocher des rideaux ou mettre des fleurs dans des vases. Enfin, il lui fallait également accrocher le panneau sur lequel était inscrit le nom de l'hostellerie : "La Rive Bleue". Elle avait songé à ce nom en admirant la Seine coulait non loin d'elle, qui reflétait alors une douce couleur bleue sous les rayons du soleil.

Lorsqu'elle eut achevé ses besognes, la blonde regarda le résultat puis, satisfaite, ferma la porte.
Elle lui fallait maintenant aller donner les clés à Dorotha sa gouvernante, qui serait en charge de l'accueil.


Balise ajoutée. Merci d'y penser la prochaine fois !
Caïus

Le 21 mars 1655 tôt dans la matinée

Le grand jour était enfin arrivé. Tout d'abord celui du printemps mais aussi et surtout celui de l'inauguration officielle de l'hostellerie. Techniquement elle était déjà ouverte depuis quelques semaines, mais ce jour était l'occasion de la faire connaitre et peut-être l'occasion pour les villageois de sortir s'amuser. Du moins l'espérait-elle.
Sur le chemin qui menait à "La Rive Bleue" le soleil montait dans le ciel. Alazaïs huma avec délice les fragrances printanières qui parvenaient jusqu'à elle ce qui lui donna du baume au coeur pour la journée chargée qui s'annonçait. Parvenue sur les lieux elle ne put s’empêchait de sourire tant elle appréciait le cadre verdoyant de cet endroit.
En pénétrant à l'intérieur par la porte entre-ouverte, elle remarqua Dorotha sa fidèle bonne à tout faire, qui s'activait déjà à ranger ici ou là.
Alazaïs déposa son panier et s'approcha d'elle :

-Bonjour Dorotha, je vois que tu es déjà sur le pied de guerre ! je t'apporte dans ce panier plusieurs choses qui devraient t'être bien utiles pour la suite des préparatifs.

La jeune fille dirigea le panier vers les yeux de Dorotha qui semblèrent s'illuminés ce qui la fit sourire.

Je te laisse te servir, prend tout ce qui pourra t'être utile pour que tout brille. Quant à moi je vais m'occuper un peu du jardin, voir si quelques fleurs pourraient venir orner ces lieux.
Elle sortit donc de nouveau profiter du joli jardin.
Plus tard lorsqu'elle entra de nouveau dans l'auberge tout brillait comme un sou neuf.  
-Joli travail Dorotha !
Dorotha avait par ailleurs dressé des tablées prêtes à recevoir boissons et entremets, que devaient amener Perceval. La jeune fille orna quelques vases des fleurs qu'elle venait de cueillir pour qu'il flotte dans l'air une douce odeur et que la pièce soit décorée.

Ce jour-là, le jeune maire arriva tôt pour préparer l'inauguration de l'hostellerie de son amie, de sa conseillère à l'accueil. une fois entré sur les lieux il la vit, toute belle comme à l'accoutumée, qui constituait des bouquets de fleurs.

Bonjour dame Alazaïs, comment vous portez-vous ? Heureuse de présenter cette hostellerie aux Rouennais ?

Perceval lui lança un sourire réconfortant et commença à disposer sur les tables quelques boissons. Quelques bouteilles de calva, de vins, de jus de pommes, de cidre et bien d'autres boissons alcoolisées ou non qui satisferont l'ensemble des goût attendus.
Ils disposèrent ensuite sur les tables plusieurs plats. Perceval ayant dû changer de métier pour répondre à la demande en vin, avait pour l'occasion, le temps d'une journée, changé d'uniforme et s'était glissé derrière les fourneaux.
Les préparatifs terminés, il rejoignit la belle Alazaïs pour attendre les invités.

Je trouve que vous avez fait un excellent travail avec cette hostellerie. Comment vous sentez-vous à l'aube de cette inauguration ? J'ai l'impression de vous voir paniquer.

Mercedes arriva en diligence avec son époux a Rouen ,heureux tout deux de cette sortie et surtout pour Mercedes de revoir sa charmante

amie et lui demander si tout se passait bien dans sa maison si aucun fantôme ne faisait une apparition ^

Arrivés devant l 'hostellerie ;le devanture était sublime et ce nom "La rive bleue '' était bien trouvé

Jérémy portait le bouquet de fleurs et Mercedes une énorme boîte de chocolats

Mon chéri nous y sommes je pense que nos amis vont arriver aussi Alazaîs est une jeune fille fort dévouée et je si contente pour elle et que tout aille bien .

Avant d 'entrer Mercedes déposa un baiser a son époux en lui souriant

Angelique descendit de la diligence aidé par Lou,dont les deux mains encerclaient sa taille fine. Leurs levres se frôlèrent et  un doux baiser fut echangé
Quand il la déposa au sol elle avait déjà les joues rouges ,le trouble qu'elle ressentait face a Lou était toujours aussi intense

Angelique s'approcha d'Àlazais et lui sourit

Bonsoir demoiselle Alazais ,nous nous sommes rencontrées plusieurs fois et je suis ravie de vous revoir

Angelique admira le travail réalisé par Alazais...Ayant par le passé habité a Rouen elle se souvenait de cette vieille batisse
Alazais en avait fait une  magnifique demeure tout en respectant le style normand
il était évident qu'elle avait du talent

Les enfants préssés  vinrent les rejoindre . La petite Ange qui avait entendu les présentations tira sur le bas de la veste de Lou

Dis Lou ze suis pas petite moi ,ze suis grande

Ange lui tendit les bras en lui adressant un adorable sourire

Angelique prit la main de Gabriel et se tourna vers la diligence dont elle sortie un beau bouquet de fleurs qu'elle tendit a Gabriel

Tiens mon ptit cœur ,tu veux offrir ce bouquet a demoiselle Alazais?

Gabriel tres fier sourit a sa maman et lui chuchota

C'est la jolie dame qui a les même cheveux que toi? d'accord maman

Angelique prit un paquet joliment enrubanné puis accompagnée de son fils Gabriel,alla rejoindre Lou et Ange pour entrer dans le magnifique restaurant

Le voyage avait été très agréable, la campagne environnante reflétait déjà les prémices d'un printemps radieux, malgré quelques nuages grisonnants par moments. Le vieil homme avait la veille accepter de rendre service à son ami Esteban, qui ayant lu l'annonce de l'inauguration d'une nouvelle Brasserie-Hostellerie sur Rouen, souhaitait à sa façon rendre hommage à sa créatrice.

C'est donc à dos de mule, celle avec laquelle il œuvrait quotidiennement à son moulin, que Gontran arriva clopin-clopant longeant les abords de la rivière, au pied de l'auberge, ayant décliné l'offre de son ami de prendre diligence, ou monture plus grande.

Déjà beaucoup de monde était arrivé, et Gontran se senti soudain intimidé par tant de personnes réunis et venant de tout horizon. Il lui fallut une petite dose de courage supplémentaire pour en franchir le seuil, et se rendre auprès de la charmante Alazaïs, la propriétaire de ces lieux, s'y magnifiquement agencés.

Ayant eu description faite de la dame par Esteban, il lui fut aisé de la reconnaitre, mais point de l'apercevoir en première lieu de visu. C'est donc après avoir tournoyé quelque temps parmi la foule, qu'il la trouva et se présenta à elle, avant de lui remettre un pli...

- B'jour Dame... Je suis Gontran un vieil ami de Messire Esteban d'Eu, il m'a chargé de vous r'mettre ceci.

Citation :

A Eu, le vingtième jour de mars de l'an LDCLV

D'Esteban d'Eu

à Damoiselle Alazaïs,

Bonjour damoiselle Alazaïs,

J'ai été agréablement surpris de votre initiative et tenais à vous faire part de mon immense joie, et par le biais de ce pli, ainsi vous en féliciter.
Ne pouvant malheureusement me déplacer sur Rouen pour l'inauguration, mes devoirs et responsabilités de Capitaine de mon bâtiment m'en empêchant, j'ai donc chargé un bon vieil émissaire, ami fidèle et honnête homme, messire Gontran, de cette délicieuse mission. J'espère que vous lui ferez bon accueil, tout comme s'il s'agissait de ma propre personne.

Je vous réitère ma plus grande admiration, et vous souhaite réussite et prospérité pour les décennies à venir.

Cordialement et respectueusement,

Puis il la félicita à sa manière, un peu gauche certes mais tellement naturelle, sur la qualité de son travail ici réalisé.

Alazaïs arrangeait les dernières fleurs lorsque la porte de l’hostellerie s’ouvrit laissant la place à Perceval, le maire de Rouen, portant des victuailles. La jeune fille, dont une pointe de nervosité commençaient à jaillir en elle, fut quelque peu apaisée de le voir. Sa présence avait souvent pour effet de la rassurer. Elle lui fit un grand sourire et répondit à son salut pendant que celui-ci disposait les mets qu’il avait apportés :
-Bonjour Messire Perceval, oui je suis heureuse mais quelque peu nerveuse en effet vous avez vu juste. J’espère que tout se passera pour le mieux.
En tout cas merci grandement pour tout ce que vous m’avez porté, à ce que je vois vous n’avez point chômé. Puis se tournant vers sa domestique : Dorotha soulagez donc Messire Perceval et occupez-vous de tout arranger. Ce n’est pas le travail d’un élu voyons. Elle rit doucement.

Ils continuèrent ensuite de discuter gaiement et d’arranger ici ou là. Puis l’on frappa à la porte. La jeune fille s’empressa d’aller l’ouvrir et découvrit son amie
Mercedes tout sourire accompagné de Jérémy son époux :

-Bonjour Bonjour ! bienvenue à la "Rive Bleue" ! mais entrez donc je vous prie, comment vous portez-vous ? Je suis heureuse de vous revoir vous me semblez en bonne forme !
La jeune fille les laissa entrer à sa suite et déposa au passage une grosse bise sur la joue de sa blonde amie.
Puis ils furent suivies de près par un second groupe d’invités composé de Louis-Oscar, Angélique et de deux jolies têtes blondes. Heureuse de les voir Alazaïs s’avança vers eux en souriant tandis que Louis-Oscar la saluait et lui offrait un bouquet de belles fleurs et un petit paquet emballé. Il la complimenta sur les lieux et lui présenta ensuite la suite du petit groupe.

-Coucou Louis-Oscar ! Bienvenue et merci pour le compliment et pour les présents. La jeune fille ouvrit le petit paquet et découvrit une jolie bougie qui, allumée, présageait d’émaner une agréable fragrance. Oh elle est très jolie merci beaucoup ! Je la mettrai sur la cheminée de l’auberge.
La jeune fille se tourna ensuite vers la belle Angelique en lui souriant :
-Mais j’ai déjà eu le loisir de rencontrer plusieurs fois votre amie Angelique ! bien le bonjour comment vous portez-vous ma chère ? A voir ses joues roses et ses  yeux pétillants elle devinait sa réponse, ce qui lui faisait plaisir.
Elle fut ensuite rejointe par l’un de ses enfants avec qui elle retourna à sa diligence un instant tandis que Louis-Oscar prenait la petite demoiselle dans ses bras.
Alazaïs les observa attendrie puis vit arriver Cartouche, son collègue municipal et ami qu’elle accueillit également :

Bonjour Messire Cartouche, merci c’est très aimable à vous. Mais vous savez restaurer cette bâtisse et en faire ce qu’elle est désormais fut un plaisir avant tout !
Et puis j’ai été aidé par des ouvriers de la connaissance de monsieur le maire qui m’ont été d’une aide précieuse ajouta-t-elle en désignant des yeux Perceval.

Suite à tout ce beau monde, dont la présence faisait chaud au coeur de la blondinette, pénétra un homme semblant un peu intimidé qu’elle n’avait jamais vu. Il  s’approcha d’elle et lui expliqua qu’il était un ami d’Esteban d’Eu et qu’il avait un pli pour elle de ce dernier. La jeune fille fut surprise à l’entente de ce nom, qu’elle croyait disparu. Elle fut heureuse de constater que ce n’était plus le cas.
-Bonjour messire Gontran, merci. Elle prit la lettre puis ajouta permettez que je lise son contenu ?. Elle ouvrit ensuite le pli, le lu et sourit car son contenu était fort aimable de la part de messire Esteban. Elle leva les yeux et s’adressant à nouveau à Gontran : vous remercierez pour moi votre ami je vous prie. Il la complimenta ensuite à sa manière sur son travail sur les lieux ce qui la toucha : merci du compliment, si vous le souhaitez restez donc un moment à profiter avec nous de l’inauguration.
La jeune fille replia le pli et aperçut ensuite une apparition qui s’approchait d’elle et qui la toucha, son amie Marie venait également participer à l’inauguration !

-Bonjour jolie brune ! je suis également heureuse de te voir tu m’as l’air en bonne forme cela me fait grand plaisir. Oui cette hostellerie est pleine de charme n’est-ce pas ? je n’ai pu résisté à l’envie de la remettre en état. La jeune fille rit doucement tout en bisant son amie puis elle vit Gaston portant un grand panier garni et se tournant vers lui : Bonjour Gaston, voyez donc avec Dorotha pour disposer le goûteux contenu de ce panier. Elle lui sourit puis de nouveau à Marie : je vois qu’une fois de plus tu ne manque pas de nous gâter de tes délicieuses victuailles. D’ailleurs il faudra que tu me pardonne, je suis allée hier dans ton herboristerie piocher quelques flacons pour préparer les lieux. Mais elle se porte bien je te le promets, je n’ai rien dérangé fit-elle avec un petit air enfantin.

Puis elle se retourna, s’éclairci la voix et s’adressa à la cantonade :

-Hum hum, je vous propose de vous rapprocher de Dorotha, qui se fera un plaisir de vous servir la boisson de votre choix, alcoolisée ou non à votre guise. Je vais attendre de voir si quelques autres personnes se présentent, avant de vous adresser quelques mots.

Du monde arriva Mercedes ne fut pas étonnée Alazaïs était une jeune fille charmante et souriante ,elle les accueillit avec gentillesse et ne vit pas de suite son grooooos ventre ^^ et Mercé retira sa cape et là on le vit

Bonjour ma beauté ,nous sommes ravis de passer une soirée avec toi et de vider tacave boire un bon jus de fruits et des envies de gâteaux ( l 'excuse ^^)Mercé la bisa avec affection

Angélique et Louis Oscar arrivèrent suivi de Cartouche et Marie Mercedes alla les saluer

On va passer une bonne soirée les amis et boire pour fêter cette belle bâtisse ça sent bon j 'ai déjà faim pas vous ?

Un sourire pour chacun et Mercedes passa son bras sous celui de son époux heureuse d 'être là avec lui et des gens qu 'elle appréciait beaucoup .

Elle regarda l 'aide d Alazaïs et sourit comprenant pourquoi Augusto disparaissait souvent "Hum

La fidèle Dorotha s'activait avec sa légendaire discrétion mais non sans une grande efficacité afin que la réception se passe pour le mieux. Elle s'était attachée à ces lieux qu'elle tenait désormais et souhaitait donc qu'ils soient accueillants.
Elle débarrassa les invités qui le désiraient de leurs effets personnels encombrants tels que capes ou manteaux puis alla en cuisine et en revint les bras chargés de plateaux emplis de petits fours et autres gourmandises qu'elle déposa sur les tables nappées pour l'occasion. Elle amena également des plateaux vides et avec Gaston, le fidèle homme à tout faire de Marie, ils disposèrent les victuailles fournies par celle-ci.
-Vous venez Gaston, on va mettre les charcuteries dans ce plateau et dans celui-là ces petites tartelettes. Elles ont l'air bien bonnes d'ailleurs, ça devrait leur plaire tout ça aux invités dit-elle doucement, regardant l'ensemble des compositions de la table.
Tout sentait très bon mais ils n'étaient pas là pour déguster.
-Bon maintenant on s'occupe des boissons vous pouvez me passer celles que vous avez amené dans vot' panier ? que je les ajoute aux autres.

Une fois que tout fut installé, Dorotha remercia le brave Gaston pour son aide. C'était quelqu'un de calme et minutieux malgré son imposante personne et la gouvernante appréciait cela. Cela la changeait de cet Augusto qui à son grand dam venait parfois traîner dans ses pattes, toujours prompt à faire des bêtises !
Elle se mit ensuite derrière les boissons installées sur la table, prête à servir un premier verre à qui en ferait la demande.

Et justement après que sa blonde patronne ai convié les invités à venir se rafraîchir, un homme et une dame tout deux aux profonds yeux bleues et accompagnés de deux petits chérubins, s'approchèrent. Ils lui demandèrent du cidre et du lait pour les enfants ce qu'elle s'empressa de leur servir. Elle leur tendit d'abord des verres ronds emplis de lait, que les enfants pouvaient aisément tenir dans la pomme de leur main.
-Voici d'abord le lait pour vos deux enfants.
Puis lorsque les verres furent donnés elle leur tendit deux verres à pied de cidre de la région.
-Et voila pour vous le cidre leur dit-elle aimablement.

La petite fille d 'Angélique avait déjà fait fondre le coeur de son ami Louis Oscar ,un tableau touchant Dorotha fit le tour des invités avec un plateau bien garni de boissons Mercedes demanda un jus de fruits quand une voix se fit entendre cette voix c 'est .. non impossible elle a pleuré son absence maudit l 'armée de lui avoir pris ça y est elle entends des voix 'soirée fantôme ' non hein !

Et cette voix lui parle ( débile mercé ) et lui fait une révérence et oui c est bien

DOEEEEEE mon ami mon cher ami c 'est bien toi et comment oses tu dire que je ne pourrais te reconnaître j 'ai passé tant d 'années avec toi et je t 'ai cru mort et tu es là Mercedes ne pu s 'empêcher de le serrer dans ses bras et de verser une larme "de joie "

Tu m 'as fait verser des larmes tu mérites ... non rien je suis trop heureuse de te retrouver ,voilà mon tendre époux Jérémy et si mon ventre prends un peu de rondeurs ( un tonneau oui ) c est que c 'est le fruit de longues discussions auprès du feu .

Mercé regarda Doe et se mit à rire ,sûr il la savait un peu taquine mais sa joie de le revoir était sincère et les bons moments refirent un instant surface .

Jérémy, l'époux de Mercedes offrit à Alazaïs un joli bouquet de fleurs, de primevères semblait-il, dont la jeune fille appréciait les belles couleurs.
-Bonjour Messire Jérémy, c'est moi qui suit ravie de votre présence ici-lieu et vous en remercie grandement ! Et merci du compliment, oui je n'ai pu résister à ce cadre enchanteur pour ouvrir cette hostellerie. De fait je me porte à merveille et vous-même ?
Pendant que le couple saluait les autres personnes présentes et se débarrasser de ces effets, Alazaïs alla mettre les beaux bouquets offerts dans des vases.

Lorsqu'elle revient elle fit des yeux ronds en observant son amie Mercedes :
-Eh bien ma belle, auriez-vous abusé de vos délicieuses crêpes ? Puis elle se mit à rire, à ce que je vois votre futur bébé commence à prendre ses aises elle lui fit un petit clin d'oeil, en tout cas votre grossesse a l'air de se passer à merveille j'en suis ravie. La jeune fille déposa la boite de chocolats que lui avait offerte Mercedes sur la table des gourmandises, et en piqua un au passage.
Mmh très bon chocolats ! N'hésitez pas à la vider ma cave, elle est là pour ça ! fit-elle avec amusement.

La jeune fille observait avec contentement Dorotha servir Louis-Oscar et son petit groupe, lorsque Doe apparut à la porte.
Alazaïs s'en réjouit, prédisant de touchantes retrouvailles. Il se dirigea vers elle et la salua de ces belles phrases dont il avait le secret et qui rendaient toujours la jeune fille admirative.

-Bonjour Doe, oh vous me flattez, c'est seulement je crois le plaisir que me procure cet événement qui me confère cette beauté dont vous parlez. Elle lui sourit puis poursuivit vous ne me monopolisez point mais je vous laisse moi-même aller saluer certaines personnes de votre connaissance qui je crois devrait être heureuse de vous voir dit-elle avec un petit sourire malicieux.

Et en effet après avoir salué Marie et son frère près desquels elle se plaça, elle l'observa se diriger vers Mercedes, son amie de longue date qu'il n'avait revu depuis longtemps. Depuis son retour il était toujours en vadrouille, et elle-même qui s'était affairée à sa bâtisse, ils n'avaient pu se rendre sur Eu.
Mais voila qu'ils se retrouvaient ce jour et Alazaïs en fut très heureuse pour eux. Mercedes semblait ravie, les yeux humides, faisant apparaitre un sourire ému sur les lèvres d'Alazaïs. Elle attendit donc encore un peu avant de s'exprimer à la cantonade.

Angelique sourit ,amusée de voir sa fille , Ange , tenir sous son charme Lou
 Dorotha arriva les bras chargés de plateaux rempli de mets plus appetissant les uns que les autres
Quand Dorotha leur servit a boire Angelique remarqua l'attention particuliere avec laquelle elle leur prepara leurs verres de lait

Merci a vous de penser aux petites mains des enfants...et félicitation pour tous ces préparatifs

Angelique lui sourit puis demanda a Gabriel de la suivre avec le bouquet de fleurs tandis qu'elle portait avec elle le paquet
Ils s'arreterent devant Alazais et Gabriel tendit le bouquet a la jolie demoiselle  "qui a les cheveux comme maman"

Bonjour Madame  c'est pour vous

Gabriel tres fier, inclina légèrement le buste comme maman lui avait appris
Angelique le regarda tres fiere  de leur education
Elle tendit le paquet  a Alazais et lui dit doucement un cadeau pour cette belle journée
Angelique avait fait des macarons a plusieurs parfum,avait deposer un papier de soie dans le chaudron..
Apres avoir attendu que les macarons  refroidissent elles les avaient disposés dedans

Avec un sourire  elle retourna en compagnie de Gabriel ,vers Lou ...Angelique glissa sa main dans celle de Lou
Elle prit son verre de cidre et trinqua avec Lou

Perceval était heureux de voir tant de personnalité se presser jusqu'à la brasserie pour son inauguration.
Il salua chaque visage qui venait à sa rencontre. Lorsque Doe entra dans la salle, il décrivit un drôle de parcours pour ne saluer Mercedes qu'en dernière. Il vint alors parler à Alazaïs pour la féliciter de son travail et en profita pour taquiner son jeune frère qui se trouvait juste aux côtés d'Alazaïs.
Perceval lui sourit alors sans trouver de répartie digne d'être énoncé ou conté. Ses joues rosirent alors et sans mots dire, son frère s'éloigna pour terminer son parcours.
Perceval se retourna alors vers Alazaïs qu jouissait de la naissante renommé de son établissement.

Madame Alazaïs, j'espère que vous profitez convenablement de ce moment qui est le vôtre.

Perceval lui sourit alors tendrement.

Alors que la réception se poursuivait dans la bonne humeur, Angélique se rapprocha d’Alazaïs accompagnée de son jeune enfant. Ce dernier s’adressa alors à elle en lui tendant un bouquet de fleurs. La jeune fille se pencha vers lui pour recevoir le bouquet avec un grand sourire :

-Bonjour mon grand, oh merci beaucoup ton bouquet est très beau ! et il sent bon. Le jeune Gabriel s’inclina ensuite ce qui impressionna la demoiselle.
La jeune fille inclina de la tête comme elle l'aurait fait pour un adulte puis se redressa. Angelique lui tendit ensuite un paquet en cadeau pour la journée. Alazaïs l’accepta également en souriant :

-Merci Angelique. Dites moi Gabriel est très bien élevé félicitation. S’il m’arrive d’être mère également il faudra que vous me disiez quelqu’uns de vos secrets. Alazaïs lui sourit amicalement puis souleva le papier de soie.  Ses yeux s’arrondirent de surprise devant les couleurs chatoyantes qui en émanaient.
-Oh ce sont des macarons n’est-ce pas ? Je n’en avais jamais vu de tels, ils sont magnifiques ! Il me faut en goûter un au plus vite. Dorotha venait m’aider à déposer les macarons je vous prie.
La domestique vint prendre le chargement et le déposa en bonne place sur le buffet. Alazaïs en profita pour en prendre un rose, assorti à sa robe. Elle croqua dedans et savoura son gout délicieux.
-Ma foi chère Angélique leur saveur me semble à la hauteur de leur apparence. Il va m’être difficile de résister à l’envie de goûter toutes les couleurs. Elle rit de bon cœur. Puis Angélique retourna auprès des siens et Perceval, situait non loin d’elle lui posa une question.

Perceval a écrit:

Madame Alazaïs, j'espère que vous profitez convenablement de ce moment qui est le vôtre

-Oh oui je passe un excellent moment, je suis heureuse que tous ces charmants amis soient venus visiter l’hostellerie et y partager un verre. Il me faut d’ailleurs les remercier tous maintenant. Permettez ? Ensuite si cela vous convient vous me procurerez de quoi me désaltérer, élever de la voix me donne toujours grand soif lui dit-elle malicieusement.
Puis elle s’adressa à la cantonade se raclant légèrement la gorge au préalable :

« Hum… Hum… Mes chers amis je voulais vous remerciez toutes et tous d’être venus inaugurer ce projet de brasserie-hostellerie qui, comme vous le savez, me tient à cœur depuis un certain temps maintenant, qui voit enfin le jour et qui je l’espère saura contenter de futurs visiteurs comme elle le fait je crois ce jour auprès de vous.
J’espère que vous passez un agréable moment et puis surtout n’hésitez pas à vous rafraîchir ou restaurer auprès de Dorotha. Par ailleurs si vous le souhaitez vous pouvez visitez le jardin sa vue sur le fleuve et ses belles fleurs, par lequel on peut accéder par cette porte. Elle leur désigna une grande baie vitrée que Dorotha, plus rouge qu’à son habitude était en train d’ouvrir aidée de Gaston.  Etait-ce la raison de sa rougeur ? La jeune fille poursuivit :
Nous avons de la chance aujourd’hui le soleil est de la partie ce qui est fort agréable pour un premier jour de printemps.  
La jeune fille acheva son petit discours d’un sourire sincère à l’assemblée puis alla voir si Perceval lui avait déniché un petit verre.