[RP]Paris-Eu : Un voyage macabre!

Charles n'était pas très aguerrie aux armes mais du moins son père lui avait fait quelques enseignements à leur maniements ainsi qu'à sa soeur mais il ne savait pas ce qu'il en était des deux autres alors il préférait ne pas prendre de risque même s'ils auraient certainement pu se défaire de leurs assaillants mais la prudence était de mise. Il ne tenait pas plus que ça à mourir, il se laissa donc baîllonner et attacher comme les autres. Il pouvait entendre le galop des chevaux et la respiration rapide de ses co-détenus et son esprit faisait le tour des questions qui lui parvenaient à l'esprit comme qui était ces hommes? Que leurs voulaient-ils? Où les emmenaient-ils? Tout se mélangeait dans sa tête mais il devait garder l'esprit clair et surtout pas paniquer.

La diligence s'arrêta enfin et on leur intima l'ordre de monter dans des barques tout en séparant les femmes des hommes certainement pour éviter que les hommes ne tentent quoique ce soit contre leurs gardes. Le plan semblait bien rôder. Ils avaient dû préparer leur coups des semaines voir des mois à l'avance. La traversée lui parut interminable, il fallait dire qu'il n'avait pas le pieds marins mais les malfaiteurs s'en moquaient bien. Chacun semblait silencieux mais qu'auraient-ils pu dire?

Les barques touchèrent enfin terre ce qui soulagea Charles. On les fit descendre sans ménagement avant de les entraîner dans une maison qui a l'odeur ne devait avoir que très peu de visiteurs. L'un des leurs qui semblaient le chef se mit à hurler avant d'emmener Charles à l'étage dans une pièce qui sentait le moisit.

Charles osa quelques mots

QU'est ce que vous nous voulez? Si c'est de l'argent nous pouvons certainement vous le fournir ma soeur et moi n'en manquons pas.

Sentant la main d'Anne, réfléchissant, pourquoi nous étions aussi malmenées, par  une organisation bien préparée, pensant à ses enfants, une multitude de questions lui vient en tête , ou est son tendre époux?  surement dans une autre pièce, elle ne savait pas est -il vivant ?

Oui Anne je suis là.

Il commence à faire froid, la faim lui tiraillait les entrailles,  pas un bruit ,la tête appuyer contre le mur, toutes deux attendaient  un je ne sais quoi.ou est ce malfrat que faisait ? était  il là à nous observer.

qui va pouvoir l'alerte leurs disparition ? peut être Cara ?  on devait se rendre à l'auberge
Anne ? crois-tu  que Cara va donner l'alerte ?  lorsqu'elle verra que nous ne sommes pas arriver à EU.
Elle ne pouvait pas trop bouger, ses poignée lui  faisait mal par des liens  trop serrer.

Les femmes et les hommes étant séparés chacun avait sa tâche. La tête pensante s'occupant de Charles, André se chargea des femmes qui comme à leur habitude étaient entrain de piailler.

Il entra dans la pièce en ouvrant la porte violemment.

Vous allez la fermer?
Vous n'êtes pas dans un de vos salons de thé?
Gardez votre salive pour tout à l'heure vous allez en avoir besoin pour ce qui va suivre.

Il éclata de rire et alla voir à côté ce que Wesley faisait.

Le regard sombre, fixant l'homme qui venait d'entrée en poussant violemment la porte, elle sursautât lorsqu'il lui crie dessus de la fermer.
Elle ne voulait pas  trop lui répondre, ce n'est pas l'envi qui lui manque, et pourtant elle ne pu se taire, c'est trop fort advienne ce qu'adviendra par la suite.

Qu'est ce que vous voulez ?  gardez notre salive, on pourrait avoir à boire et à manger ?

Vous n'êtes qu'un lâche ....lorsqu'il celui-ci ressorti de la pièce refermant à clé, avait il entendu ou pas ?

tu as raison Anne!  on ne va pas rester longtemps ici,
comme si nous avions l'habitude des salons de thé?
il n' est pas bien lui.

Wesley ? et Charles  ou sont ils ? pourvu qu'ils ne leur fasse pas  trop de mal.

Tout en visionnant la pièce, une petite infiltration de lumière traverse le mur lézardé  purifier le pénombre de la pièce , déjà il ne fait pas nuit, aucun idée de l'heure, sauf son ventre gargouillant de faim et de soif.

La main noire se délecte de ce moment de souffrance et d’agitation. Le plaisir est tel que ses yeux s’embrasent lorsqu’il la relève et qu’elle se laisse aller à une verve belliqueuse. Il en rit ouvertement.

Que de doux mots pour une si charmante rebelle. Malheureusement pour toi, la patience n’est pas mon fort dans une telle situation.

La première gifle part, puis la seconde et elle se retrouve au sol. Il monte sur elle et sort un poignard de son ceinturon dont il tente d’introduire le manche dans sa bouche afin de la garder ouverte.  Mais la belle se montre réticente. Il agrippe alors son cou et serre tel un étau furieux  avant de se pencher pour murmurer.

J’ai pour ton amie de sombres desseins si tu continues à faire mumuse avec nous. Peut-être que pour que tu la fermes, il faut te trancher la langue. C’est ce que tu veux peut-être ?

Il desserre son étreinte autour de son fin cou et fait glisser la lame le long de sa gorge.

Ou tu préfères peut-être que j’enfonce ma lame dans ta gorge ? Tu as l’embarras du choix. Ta langue ? Ta gorge ? Ou assister à la souffrance de ton amie ? Caresse sa délicate joue de sa lame.

Qu’est-ce que tu  décides ma jolie?

Sans crier gare, il glisse le poignard entre le creux de sa poitrine et lacère sa robe sur toute la longueur. Subitement il se redresse avec elle et les lambeaux de sa toilette jonchent  le sol. Elle conserve son corset et ses jupons.

La tête sortie de l'eau, une bouffée d'air, il devait se réjouir ce sale rat,  rit bien, rit le dernier quand il lui parle,  le regardant droit dans les yeux, charmante ? Mais pas pour toi espèce de sale chien.

C'est fort dommage que la patience, ne soit pas ton fort, il est vrai que tu te sens fort mais... avant qu'elle ne finisse de parler reçut une gifle magistral et l'autre pas mieux lui fait tourner la tête dans tous les sens comme un patin, qu'elle en tombe à terre sans perdre connaissance,  bien secouée, sans  se plaindre, pas un gémissement  rien qui pourrait lui donner satisfaction,  elle l'observait,  lorsque qu'il osât monter sur elle, sortant un poignard essayant de lui mettre le manche dans la bouche, lui crachant à la figure à nouveau, d'une main lui saisi  la gorge  la serrant presque juste la strangulation, ne pouvant plus respirer le regarde de son air le plus sombre.
Pensant à Anne, il lui faut rester calme,  mais dans une colère noir bouillonne en elle.

Tu fais du mal à Anne!  tu es mort,  je te tuerai de mes propres mains, je te poursuivrai jusqu'en enfer.

Héléna sentit la lame glisser le long de sa gorge, le  malfrat très énerver  ce qui lui prouve qu'ils n'ont pas satisfaction de se veulent.

l’imbécile,  lui donne des choix elle devait décider et vite.  

Ce que je préfère ? Ta tête au  bout d'une corde.

Sentant la lame lui caresser la joue tuméfier par les gifles, serre encore plus les dents,  le poignard glisse entre sa poitrine fermant un instant les yeux croyant sa dernière minute, il venait de lui couper sa robe dans toute sa longueur, surprise elle le fût , un lâche  voilà  ce qu'il est un lâche,  soulever  d'une main, sa pauvre robe n'est plus qu'un lambeau,  à terre,  un petit sourire antérieur , pensant  « si une personne passait dans les parages, il y avait peu de chance, le lieu trop isolé a moins d'un braconnier mais ça ? Et sa tête se mit à tourner,  prise d'un vertige, perd connaissance.

Charles se retrouvait avec celui qui semblait être le chef. BIzarrement il n'avait pas peur enfin pas pour lui mais pour les autres. Lui avait déjà très bien mené sa barque et il en était content mais les paroles de l'homme ne firent que justifier ces craintes et il savait qu'on ne parlementait pas avec ce genre de personne. Il fut attacher par une brute de la pire espèce à une chaise avec une violence qu'il n'avait pas connu depuis longtemps et donc cela le confortait dans l'idée que ces hommes étaient prêt à tout pour parvenir à leurs fins.

Finalement il se retrouva seul avec ses pensées mais qu'allait-il faire face à cet homme?

Des bruits étouffés pareils à des bruits de lutte puis plus rien, le silence. Peut-être étaient-ils en train de s’acharner sur le surintendant pour le faire parler ? C’était peut-être à mon tour d’être torturer et cela m’énervait grandement d’être dans l’ignorance. Je percevais bien cette fois-ci des bruits de pas qui se rapprochaient de plus en plus près de la porte et dans un gémissement de poignée et un grincement de gongs, celle-ci s’ouvrit.

Je me soulevais et attendais leur bon vouloir tout en restant sur mes gardes, ne sachant nullement sur quelle partie du corps aller partir le ou les coups de poing. Je sentis l’homme s’approcher en ricanant puis « Oh ! Eurêka ! La lumière ! » Il m’ôta le bandeau et agita devant moi un chiffon avec un grand sourire, ne distinguant point ce que cela voulait dire et pouvait être car la pénombre me faisait clignoter des yeux. Le grand morceau de chiffon prenait une forme telle que je pâlissais et ma gorge se serra à la vue de la robe déchirée de ma douce épouse. « Ah ! Non ! Non ! Ils n’auraient point osé faire ça ! Oh ! Non ! Pas ma tendre Hélèna ! » Et quand le malfrat ouvrit la bouche pour me dire que leur chef s’était un peu amusé avec mon épouse, mon sang ne fit qu’un tour. Tirant de toutes mes forces sur mes chaînes, j’essayais de l’atteindre avec mes pieds ou avec ma tête sans compter que l’animal avait gardé une certaine distance. Fou de rage, je lui hurlais.

Espèce de face de rat, si malheur arrive à mon épouse, je vous truciderais tous que vous êtes ! Détache-moi et on verra si tu garderas toujours ton beau sourire. Rit, rit bien tant que tu en as l’occasion, espèce de déchet de basses fosses.

Combien de temps est-elle restée à terre inconsciente ? ho très peu de temps, les yeux fermer les ouvrit , essayant de scruter les lieux, lorsque soudain elle fit soulever comme un vieux sac , faisant presque la morte,  l'abruti la mit sur son épaule, donnât des grands coups de pieds dans la porte, et fut jeter à terre, il est fou dingue cet abruti, en heurtant le sol, se cognait violemment la tête,la figure boursouflée par les gifles et les coups , sa tête lui faisait très mal, puis elle était dans une tenue presque nue, l'eau dégoulinait de ses cheveux, en écoutant quand même, d'un œil observe la scène,  si il faisait du mal à son amie Anne , il le regretterait, jurer sur la tête à Pascal,elle le poursuivrait jusqu'en enfer, lorsqu'elle l'entendait dire qu' à cause d'elle les hommes seront puni, mais qu'est ce qui allait leur arriver ? .

Un petit gémissement se fit entendre.

Espèce de porc, sale pestiférer,  tu regretteras ce que tu as fait, si tu touche à Wesley et Charles je te jure que même ta  de mère te reconnaîtras pas, tu l'as peut être tuer aussi sale chien galeux.

lorsqu'il fut sortie de la pièce, Héléna essaye de s'asseoir se calant contre le mur.
 
Anne  n'avait pas bougé, pourvu qu'aucun mal ne lui soit fait ? et son tendre époux et Charles ? ou sont ils ?
Anne? t'inquiète pas, tout va  bien et toi ? il ne t'as pas fait de mal ? au moins.

Une fois la porte refermée, la brute venait de partir  sûrement quelques instants, recroquevillée sur elle même, repliait un peu les jambes, mit sa tête sur ses genoux et se mit à sangloter, elle pensait à son tendre époux à ses enfants, leur petit Richard aurait aimer venir , heureusement  que nous lui avons fait comprendre le but de ce voyage, bref pour EU, et maintenant  qu'elle heure pouvait il être , bien que la faim et la soif se fait sentir, elle maudit ces brutes sans foi ni loi,jurant sur Pascal elle les poursuivrai jusqu'en enfer, les voir pendre au bout d'une corde, Anne devait aussi penser à son fils Nicolas.

En écoutant Anne lui parler relève la tête, heureusement, la pauvre elle n'a rien , et qu'elle a toujours son bandeau sur les yeux , elle ne voyait pas son état , la tête boursouflée par les  coups, les cheveux tremper et dégoulinant de l'eau du puit ,  sa robe arrachée, en lambeau, n'était en corset et jupon,,sentant encore la lame de son arme lui descendre sur sa poitrine, tremblant de froid.

Ne t’inquiète pas, Anne ça va , ces chiens galeux  le payeront,pour ce qu'ils font, et toi Anne ? Il ne t'as pas toucher au moins  tu vas bien?
tu crois qu'ils le savent eux même ce qu'ils veulent ?  Il faut être des crapules, des « crèves la faim »  c'est vrai ils peuvent être très violents.
Si seulement nous avions ce qu'ils ont fait de Charles et Wesley ? Pourvu qu'ils ne leur ont pas fait de mal.
Écoutant si personne ne venait,il faut être prudente aussi avec ses rats d'égouts.

Je te jure sur pascal, Anne! que ces sales rats, ses chiens galeux,le payeront de leurs vies.

De nouveau le silence lourd, personne ne pourrait les retrouver dans ce coin, , il faudrait toute une armée  pour ratisser les lieux, pas âme qui vit, aucun bruit, tendant l’oreille, essaye de percevoir le moindre bruit, ou de pas . Peut être un plancher grinçant cela voudrait dire qu'elles sont dans une cabane, seul le bruit du vent se faisait entendre.Tout en sachant que devant la porte se trouve un puits.

Charles s'était à nouveau retrouvé seul et même s'il était à l'étage il pouvait entendre les cris de ses autres co-détenus ainsi que de leur geôlier ce qui ne le rassurait pas. Que pouvait-il se passer en bas? Les maltraitont-on? Il fallait sortit coûte que coûte de cette maison mais comment faire avec les mains liées? Ce n'était pas qu'ils tenaient particulièrement aux autres sans parler qu'il ne connaissait qu'Anne vraiment. Il tentait de se défaire de ses liens quand d'autres pas se firent entendre dans l'escalier. Il allait enfin savoir ce que voulait ces hommes et la réponse ne se fit pas attendre et c'est bien ce qui inquiétait notre Charles.

Et vous croyez quoi que je me promène avec les caisses royales dans les poches?
Si vous croyez que vous allez me faire flancher vous rêver!
Et puis qu'est ce que vous faites aux autres?
Si vous croyez que notre disparition va passer inaperçue vous vous mettez le doigt dans l'oeil!

Voilà les raisons de cet enlèvement était posé!

Parce que vous croyez qu'on vole comme ça les caisses royales sans que personne ne s'en rende compte? Il y a des gardes qui le surveille jour et nuit. Si c'était aussi facile qu'est ce qui vous dit que je n'y ait pas pensé avant vous?
Quand aux autres qu'est-ce qui vous dit que je me préoccupe de leur sort? Vous ne me connaissez pas!