[RP] L'hôtel particulier de Joanna Delarosa/ La Fayette.

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[RP] L'hôtel particulier de Joanna Delarosa/ La Fayette. 150330124700862449

Le bâtiment s'élève sur trois niveaux, plus un sous-sol avec cave. La cour intérieure, entourée d'un petit parc boisé, est fermée par un mur percé d'une grille. En poussant la grille, on traverse une allée avant d'ouvrir la porte qui permet l'accès au hall d'entrée dont le sol est constitué d’un dallage de pierre. Ensuite pour accéder au salon, on longe un petit couloir et on emprunte une porte très ouvragée. Le salon aux larges proportions est composé d’une banquette corbeille, d'une série de quatre fauteuils garnis d'une splendide tapisserie de beauvais, deux guéridons et une table basse, tous en placage d'acajou et bronze doré. Piétement à pattes griffées et ceinture à décor de frises de palmettes et rosaces. Les guéridons et la table basse de couleur vert de mer. Une table de lecture près de l’âtre d’une petite cheminée blanche décorée de brindilles de lierre. Quelques tableaux, vases, plantes constituent les éléments de décoration.

On emprunte ensuite une porte, puis on longe un autre couloir pour pénètrer dans la salle à manger. La pièce se compose d’un buffet pour le service de la vaisselle, une grande table ronde en acajou verni recouverte d’une nappe blanche, et huit chaises au dossier lyre en acajou. Une autre porte latérale ouvre sur un long couloir qui mène à la cuisine.

De retour dans le hall d'entrée, on peut accéder à la chambre d'amis en empruntant une petite porte latérale. De nouveau dans le hall, on monte l'escalier pour le premier étage. Le palier gauche conduit au grenier et à l'étage supérieur pour les chambres des domestiques. Le palier droit quant à lui, offre deux chambres dont celle de Joanna. Les chambres se composent d'un grand lit avec baldaquin, une cheminée, table de chevet, armoire, commode, et une table d'écriture.

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C'est une joanna assise sur une confortable banquette de velours cramoisi, qui est bercée par les claquements de sabots dans les rues parisiennes. Voilà un moment que ses nuits ne sont plus complètes. Il y'a toujours un rêve qui la tient éveillé, ou un épineux dilemme sur le choix de son identité. Avant son départ de la propriété familiale, elle était perdue. A force de vouloir plaire, de vouloir appartenir à une grande famille, elle en a oublié d'être simplement elle. Est-elle une delarosa? Ou plutôt une de la Fayette? Italienne? Ou Française? Un dilemme provenant d'un manque évident suite au décès de son père. Un autre parent absent.

Mais doit-elle pour autant voir cela comme une défaite? Lorsqu'un parent meurt, certains pensent que c'est la fin du voyage. Pourtant Joanna préfère croire à présent, que c'est un départ pour un nouveau voyage. D'autres pensent que la mort est semblable à un silence qui hurle. Aujourd'hui, Joanna est persuadée qu'elle permet d'entendre la fragile musique de la vie. Elle se veut pleine d'espoir, ou qu'ils soient, ils seront toujours dans ses pensées. Alors elle se doit de vivre avec, de se construire, et ne plus rien attendre des autres. Pour ce faire, elle a eu besoin de fermer la propriété de son père et de s'installer ailleurs, emprunter une nouvelle voie.

-Mademoiselle Delarosa, nous y sommes. Permettez que je vous aide mademoiselle.

Joanna se redresse pour glisser sa main gantée dans celle de son cocher. Ses souliers de satin touchent le sol, et elle laisse courir un regard admiratif sur la belle vue qui se dresse. Elle sait à présent être sur une nouvelle ligne de départ, la paix s'y glisse doucement. Elle avancera en croyant toujours à ses valeurs italiennes, tout comme celles acquises en terre française. Elle n'est plus seulement Italienne, ou Française. Non, elle est les deux. Une Franco-Italienne. Alors elle reprend son cocher.

C'est mademoiselle Delarosa de la Fayette à Présent je vous prie.

Elle restera authentique, sans peur, quitte à subir le rejet... Alors que son cocher et les domestiques s'activent pour décharger les malles et les caisses, le ruban soutenant ses cheveux se dérobe, libérant ainsi sa longue et soyeuse chevelure dorée. Autrefois elle aurait été horrifiée. A présent, elle sait apprécier cette légère brise qui fait naître un radieux sourire sur son doux minois.

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Installée depuis une semaine dans sa nouvelle propriété Parisienne, la blondinette a des envies d'évasion, de voyage. Pour ce faire, elle fait préparer quelques affaires et les malles sont habilement disposées sur la galerie du fiacre. Elle part pour un voyage d'un ou deux mois... Le temps pour elle d'explorer cette ville morte dont on lui a si souvent parlée. Elle sera bientôt de retour à paris, mais pour l'heure, quitter cette ville morte pour une autre qui l'est encore plus, ne pourra que lui faire un grand bien.

Âme discrète, jeune femme à l'esprit écorché, c'est pourtant avec un apaisement certain qu'elle monte dans le fiacre et s'installe dans l'habitacle. Les fenêtres sont voilées et elle ferme les yeux alors que le fiacre s'élance. A bientôt Paris, pense-t-elle en glissant dans un profond sommeil. Que lui réserve l'avenir?

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[15 mai 1655: Retour définitif à Paris]

Naïvement, la jeune femme avait cru ce voyage bénéfique, voire enrichissant. Mais rien de bien exaltant n'avait véritablement rythmé son séjour. Bien sûr, elle s'était découvert un autre membre de sa famille en la personne de la maire de Saint-Pierre-port. Mais cette dernière fort occupée, n'avait pu s'accorder un peu de temps pour la recevoir chez elle. Quel étrange pays que celui-ci. Les amitiés y sont rares, de même que le chaleureux contact des familles. Joanna est certainement encore plus lasse de la vie que le jour de son départ. Pour ne rien arranger, les cours ne sont pas prêts de reprendre. Comment pourra-t-elle occuper son temps libre? Visiter ses nouveaux amis les Lhavilland? Non, non, elle ne peut s'imposer de la sorte. Un soupir et la blondinette se laisse choir sur la banquette du fiacre, dépitée.

Le fiacre franchit la grille de son hôtel particulier et pénètre dans la cour intérieure où il s'arrête. La portière est prestement ouverte et la jeune femme descend pour rejoindre le hall. A peine a-t-elle foulé le sol du hall, qu'une domestique s'empresse de l'aviser de l'absence prolongée de Dujardin.

Allons allons, laissez-moi le temps de souffler. Il sera toujours temps de se préoccuper de cette irrégularité plus tard.

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Un messager apporta un pli à l'Hôtel Particulier de Mademoiselle Delarosa De La Fayette.

Citation :: A Mademoiselle Joanna Delarosa De La Fayette

De Monsieur et Madame de Lhavilland

Paris, le 18 mai de l’An de grâce 1655

Très chère amie,

Enfin de vos nouvelles, ma chère Joanna. Je ne vous parle point de la joie immense de notre petite princesse quand elle a su que vous étiez de retour en la Capitale.

Il nous tarde à nous aussi de vous revoir et si vous aviez invité notre fille Ambre pour la visite de votre Hôtel Particulier alors pourquoi ne point vous y rencontrer. Que penserez-vous de l’après-midi du mercredi de cette semaine ? Si cette date ne vous convient point, votre jour sera le nôtre.

Dans l’attente, veuillez recevoir, très chère amie, nos plus affectueuses et amicales pensées.

Wesley et Hélèna de Lhavilland

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20 mai de l'an de grâce 1655: visite des Lhavilland

Dès son réveil, la blondinette avait fait quérir par le biais du majordome, tous les domestiques pour donner ses instructions. Elle voulait sa propriété étincelante et les tenues immaculées pour recevoir ses amis qu'elle tient à haute estime. Elle avait exigé que le repas soit raffiné et copieux à la fois. Sait-on jamais si la famille Lhavilland compte parmi ses membres de bons coups de fourchettes. Ainsi son maître queux avait élaboré un menu qui ne saurait déplaire au plus fin gourmet.

Citation :

Citation :: Au Menu

Premier service

Entrée froide: Suprême de canard farci au foie gras présenté sur des feuilles de chicon parsemées de noisettes grillées.

second service

Entrée chaude: Terrine chaude de veau présentée sur un feuilleté de jambon

Troisième service

Le plat principal : Pintades braisées à l'estragon accompagnées de petits pois à la française.

Quatrième service

Dessert: Panna cotta au coulis de framboise

Après s'être assurée que tout était fin prêt, Joanna put enfin s'éclipser pour la prise d'un bain parfumé. Parée d'une robe d'intérieure en dentelle et soie pourpre, coiffée d'une longue tresse relevée en un chignon torsadé, la jeune femme s'impose une vérification de la table qu'elle trouve joliment dressée. Elle s'installe ensuite au salon devant l'âtre et se laisse aller à la lecture d'un manuel de droit.

[Mercredi 20 Mai a l'hotel la Fayette ]

Il fallait un bon moment pour que toute la petite famille se mettent sur son trente et un, se rendre à l’hôtel de La Fayette, chez Joanna, Ambre était rayonnante et surtout impatiente vêtue de sa robe bleu satin , une vrai petite princesses, ses cheveux bien coiffé grâce aux mains de Louise,

Apres mille recommandations de notre bonne Martha aux enfants, c'est vrai qu'ils ne sortent pas beaucoup , que le monde extérieure leur est presque inconnu , ils vivaient au manoir,certes ils aimaient rester entre eux, ils se sentaient protéger du monde parfois cruel, Richard a du faire un peu la moue , il aurait bien aimer rester au manoir pour le voir le poulain qui venait de naître. Aurore toujours aussi sage assise sur la banquette tenant dans ses petites mains un très joli bouquet de fleurs,Marine avait fait un beau dessein qu'elle a fait mettre en sous verre par Pierre, Marine de son coté a demander quelques biscuits à Martha , et Alexandra, aussi comme toutes les petites fille à fait un très joli dessein, heureusement que Louise et Sara nous accompagnaient pour notre visite en ce jour là bien particulier.

Lorsque le cocher arrêtât la calèche devant l'entré de l’hôtel, mon tendre époux descendit le premier, aidait son douce épouse a descendre, puis Louise et Sara portant les jumeaux Davis et Christian , en firent tous autant avec les enfants. et voila une famille heureuse et uni une très jolie famille respirant le bonheur.

C'est mon tendre époux qui allait sonner à la porte, regardant tous son petit monde.

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

Je n'étais point peu fier de ma grande famille. Je les regardais tous de ma hauteur passant en revue toutes ses belles et jolies frimousses et posais mes yeux sur notre petit bonhomme à bouclettes brunes, beau comme un cœur mais qui faisait une petite moue. Je fronçais les sourcils.

Pourquoi jeune homme fais tu la moue ? Pas content on dirait ! Et je crois bien savoir pourquoi !

Je m'accroupissais à sa hauteur pour lui dire.

- Mon ange ! Nous avons été invité à partager un repas chez une amie de ta sœur Ambre qui est aussi une amie de la famille alors par respect et par correction, tu vas vite faire disparaître ton mécontentement pour arborer un autre comportement plus digne des De Lhavilland et je ne te le répèterais point autrement tu seras dispensé des visites aux écuries pendant une semaine. Promet le à papa et à maman.

- Oui papa ! Oui maman !

- Fort bien, mon ange !

Je me redressais en lui souriant puis frappais quelques coups à la porte de l'Hôtel Particulier à l'aide du heurtoir.

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Un bruit sourd parvient aux oreilles du majordome qui attendait l'arrivée des De Lhavilland, il presse alors le pas pour ouvrir la porte. Que ne fut pas sa surprise de voir autant de monde. Heureusement pour lui, Mademoiselle avait mentionné une arrivée massive et avait fait dresser la table en conséquence. La surprise évaporée, le vieil homme se pare d'un sourire chaleureux.

-Bonjour messires, dames, demoiselles. Bienvenus à l'hôtel Delarosa. Donnez-vous la peine d'entrer je vous prie.

Le majordome s'écarte prestement pour céder le passage. Un aparté visuel avec deux domestiques, ceux-ci s'approchent et allègent les invités couverts. Le vieil homme arbore ensuite un large sourire et reprend.

Mademoiselle s'est installée au salon et va vous recevoir. Suivez-moi je vous prie.

Entre-temps, la présence des De Lhavilland a été annoncée à la blondinette. Cette dernière a refermé son manuel et s'est lancée à leur rencontre. Lorsque son regard croise la grande famille, c'est sans réserve et avec une certaine excitation, qu'elle unit ses mains aux douces mains d'hélèna.

Hélèna, Ambre, quelle joie de vous revoir.

Elle fait un pas en arrière pour un regard d'ensemble sur toute la famille. Elle fixe le professeur.

Professeur, c'est un honneur de vous recevoir chez moi, ainsi que toute votre famille. Bienvenue à tous.

Ses billes bleutées glissent et s'illuminent lorsqu'elle regarde les enfants, et encore plus Ambre. Elle se penche légèrement et caresse la joue d'Ambre.

J'ai quelque chose à vous montrer petite princesse. Vous souvenez vous de ceci? Dit-elle en pointant le pendentif autour de son cou qu'elle a fin.

Je n'ai pas oublié, tout comme je ne vous ai pas oublié. Vous me donnez la main? Nous allons nous installer au salon. Cela vaut aussi pour le reste de la famille. Oui oui, je ne vous oublie pas vous aussi. Lance-t-elle joyeusement en prenant la main d'Ambre.

Messages : 42 Date d'inscription : 13/03/2012

Ambre écoutait son papa, Richard aurai voulu rester au manoir, voir le poulain,aussi ils ont tous été invités chez son amie Joanna, tout en chuchotant à Richard ambre se penchait sur son petit frère.

Ecoute Richard , ce soir? si tu veux je viendrais avec toi voir le poulain,si tu ne lui à pas trouvé un nom, nous chercherons ensembles

Il lui fait un large sourire comme si c'était cela qu'il voulait partager avec sa sœur, sa joie d'avoir un poulain.tout en lui rendant son sourire elle lui aurait bien fait une bise sur la joie, souvent il lui disait , tu sais je suis grand maintenant, alors elle s'en abstient.

Lorsque la porte s'ouvrit, Ambre regardait le majordome lui fit signe de la tête par respect.

Tout le petit monde entrât dans la magnifique demeure de Joanna, que c'est joli tout en observant les magnifiques tableaux accrocher au mur . lorsque Ambre entendait la voix de son amie, elle fut rempli de joie.des retrouvailles qu'elle espérait tant .

ho oui Joanna je me souviens aussi, nous avons scellés par ce médaillon une grande amitié; le jour des festivité de notre roi.

Puis de son cou elle sortait aussi la moité de son médaillon avec on plus beau sourire.

il ne m'a jamais quitté, joanna, chaque soir je pensais de vous, chaque jour je priais votre retour, je suis si heureuse de vous voir

Que dans un élan d'amitié elle se jetât dans ses bras,

Héléna regardait sa petite princesse se jeter dans les bras de son amie Joanna, elle souriait de la voir enfin de nouveau rayonnante , quand une idée lui vient d'un coup elle en parlera à son tendre époux , oui peut être que de revoir sa marraine Marianne de bourbon lui ferait du bien aussi, mais pour cela il fallait qu'ils en discute et mettre cela en place surement faire le voyage jusqu’à Rouen.

Je suis ravei aussi de nous revoir Joanna, j'espère que votre séjour vous a apporté un peu de joie dans votre vie, nous sommes si heureux de vous revoir aussi surtout notre petite princesse Ambre.

Aurore et Alexandra ont aussi un petit présent , il est vrai que chez les de Lhavilland ils ont le sens du savoir faire, et du respect envers le monde qui les entour

voyant approcher doucement les deux petites princesses , un spectacle inoubliable,
Aurore et Alexandra en même temps.

Tenez madame se sont des fleurs de notre jardin, que j'ai cueilli pour vous, et moi dit Alexandra, c'est Vincent que a coupé les plus belle roses,

[RP] L'hôtel particulier de Joanna Delarosa/ La Fayette. Rose_p10

[RP] L'hôtel particulier de Joanna Delarosa/ La Fayette. Bouque10

tout en me tenant prés de mon tendre époux, une larme perlait le long de ma joue , une larme de joie..

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La jeune femme est touchée par les douces paroles de sa jeune amie. Comme il est salutaire de se sentir appréciée et encore plus lorsqu’il s’agit d’une âme si pure. Il va sans dire que la blondinette a une grande affection pour cette famille qu’elle prend en exemple pour sa vie future. Lorsqu’Ambre se jette dans ses bras, la jeune femme ne manque pas de la serrer tendrement avant de se baisser et de poser un doux baiser sur sa joue.

Vous m’avez également manqué petite princesse et je suis heureuse de revoir ce beau visage d’ange. La prochaine fois que je m’absente, je veillerai à vous faire parvenir un pli pour vous indiquer la date de mon retour. Je suis à présent Parisienne et je compte bien le rester pour avoir le bonheur que partagent vos parents, de vous voir grandir. Dit-elle affectueusement en caressant le bout de son petit nez. Ensuite, elle se redresse pour faire face à la famille.

Je suis heureuse d’être de retour à Paris. Concernant mon voyage, il ne fut point agréable malheureusement, mais j’ai découvert un autre membre de ma famille dont j’ignorais tout. Mais nous en parlerons plus tard.

Son regard azuré glisse et effleure les charmantes demoiselles munies respectivement d’un bouquet. Joanna doit se faire violence pour ne pas pleurer. Elle s’avance et de ses doigts fuselés aux ongles de nacre, elle prend les bouquets et offre un ravissant et chaleureux sourire aux jeunes filles.

Vous devez être Aurore et Alexandra ? Peut-être Marine ? Navrée, je n’ai pas eu l’honneur de deviser avec vous lors des festivités et je crains que ma mémoire flanche. Un sourire stylise ses lèvres et son doux regard détaille les autres filles avant de reprendre.

Nous aurons bien le temps de faire plus ample connaissance. Je vous remercie pour cette délicate attention. Cela me va droit au cœur. De plus, la rose est l’emblème de la famille Delarosa, alors ces présents me touchent réellement. Dit-elle attendrie avant de se pencher pour déposer deux tendres baisers sur les joues des jeunes filles.

Vous pouvez être fiers de vos enfants. Ils sont si adorables et tellement polis. Mais venez, je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps.

Joanna incite la famille à lui emboiter le pas, ils longent le couloir pour accéder au salon. Elle indique les fauteuils pour les adultes, la grande banquette et deux poufs pour les enfants. Ensuite, elle use d’une petite clochette reliée à une tige métallique ornée d’un fin tissu de soie pour aviser Henri (le majordome) qu’elle a besoin de l’assistance d’un domestique. C’est la jeune Lise, une des aides en cuisine qui se présente et se ploie en une révérence pour saluer la famille de Lhavilland avant de faire face à la maitresse des lieux.

Mademoiselle.

Ah Lise, approchez je vous prie. Je vous présente la famille de Lhavilland. Mes amis, je vous présente Lise, elle va se charger du service des amuse-bouches. Que désirez-vous boire ? Nous avons du cognac, du bourbon, du jus de fraises des bois et de la citronnade, du vin. Mais si vous désirez du thé ou du café. Lise se fera une joie de vous servir. N’est-ce pas ma chère Lise ?

La jeune fille sourit à Joanna et répond avec enthousiasme.

Bien sûr mademoiselle.

Vous voyez. Clôture-t-elle sur un affectueux sourire adressé à Lise.

Ah j'oubliais ma chère Lise, veuillez mettre ces bouquets dans les vases que j'ai pu ramener de mon voyage.

Bien mademoiselle.

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La porte s’ouvrit sur un vieil homme en livrée qui arborait un visage surpris à la vue de tout ce petit monde. Je pris donc la parole afin de nous présenter.

Bonjour, nous sommes Monsieur et Madame de Lhavilland et sommes attendus avec les enfants par Mademoiselle Delarosa De Lafayette.

Le vieux majordome très courtois et tout sourire s’effaça pour nous faire entrer et nous demanda de le suivre jusqu’au salon où Joanna les attendait. Un petit hochement de la tête pour le remercier avant de pénétrer plus avant. Ravissante dans sa robe pourpre, la jeune fille s’avança vers nous et nous accueillit avec chaleur. Je lui offris mon plus beau sourire en inclinant légèrement la tête pour la saluer.

Mes hommages, Mademoiselle Delarosa ! C’est un plaisir partagé et une joie de vous revoir, Mademoiselle !

Les retrouvailles étaient plus que chaleureuses, Ambre et Joanna se jetèrent littéralement dans les bras d’une de l’autre. Les filles offraient leurs présents et les garçons restaient discrets avec un petit « Bonjour, Madame ! » à peine audible et se tenaient sagement près de nous. Je regardais en souriant ma douce lorsque Joanna nous complimentait sur nos enfants et me taisais pour laisser la réponse à leur mère. Je me disais intérieurement que nous avions des enfants adorables dotés d’une bonne éducation et ils en étaient tous deux très fiers. Puis Joanna nous demanda de la suivre jusqu’au salon. Une fois tout ce petit monde installé, Joanna faisait venir une de ses servantes en tirant sur un genre de cordon de tissu relié sûrement à une clochette qui devait se trouver dans l’office et cela déclencha chez Richard une question qu’il me chuchota en mettant sa main devant la bouche. Je le regardais en mettant mon index sur la bouche en lui faisant comprendre que ce n’était point le moment des explications.

Plus tard, mon chéri, je t’expliquerais l’usage de ce cordon.

Une jeune personne du nom de Lise nous fit révérence pour nous saluer puis Joanna nous fit la présentation des boissons. Pour les enfants, je laissais ma douce Hélèna faire le choix des boissons.

Pour ma part, je prendrais bien un cognac !

Héléna les observait et sourit en voyant Ambre et Joanna si heureuse de se retrouver, quand les filles Aurore et Alexandra s'approchaient avec un petit présent.

toutes les deux se tenant par la main comme pour se rassurer, « Oui moi c'est Aurore, » et moi Alexandra,

Marine est toujours avec maman, elle est si timide nous somme honorées nous aussi madame de faire aussi votre connaissance,

Je suis ravie que vous ayez trouvé un membre de votre famille, quand à votre voyage , c'est bien dommage, je vous remercie, c'est vrai si les enfants sont bien élevés cela nous le devons en grande partie à leurs Nurses Louise et Sara.

Avec grâce et élégance nous accompagnons Joanna jusqu'au salon, « c'est magnifique aussi »puis Joanna annonçait la venue de Lise , une jeune demoiselle de quelques printemps, tout en regardant les enfants sagement assis, écoutaient , quand à Ambre on sentait qu'elle est heureuse,

Mademoiselle Lise, pour les enfants se sera un jus de fraise, ils adorent les jus de fraises,

On pouvait voir un large sourire sur leurs gentils petites frimousses,les yeux pétillants lorsque je parlais de jus de fraises,

quand à moi , ce sera un verre de vin, je ne doute pas que ce doux breuvage peut avoir un goût d'un bon cru,

Au bout d'un moment j'étais quand même soucieuse, un valet devait livrer sa commande étonnée qu'il ne le fasse pas je regardait mon tendre époux , et pourtant quelques minutes plus tard , on sonnait à la porte, le major-d’homme ouvrait la porte

Monsieur, j'ai un paquet pour mademoiselle Joanna Delarosa De La fayette, de la part de monsieur et Madame De Lavilland.

Spoiler:

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Les commandes sont prises en compte et la jeune Lise vient à peine de quitter le salon , qu'elle peut ouïr ce récurrent bruit sourd qui annonce l'arrivée d'un visiteur. Elle voit le majordome presser le pas pour ouvrir la porte à un inconnu. Un présent pour la jeune demoiselle? Son regard inquisiteur jauge subtilement son vis-à-vis, puis au loin il écarquille les yeux en voyant la belle bête hennir. Un fin sourire étire ses lèvres, sans nul doute cette famille maîtrise parfaitement la personnalité de l'italienne qui raffole des chevaux.

-Donnez-vous la peine d'entrer je vous prie. Je vais prévenir mademoiselle.

Henri se hâte pour longer le couloir et annoncer sa présence de trois coups sur la porte finement ouvragée. De l'autre côté, la douce voix de l'italienne résonne.

Lise? Entrez je... Interrompue par la déroutante entrée de son majordome, la jeune femme orne ses lèvres d'un sourire tout en spécifiant d'un vif regard interrogateur le motif de sa venue. Le vieil homme racle finement sa gorge et s'exprime avec déférence.

-Un visiteur s'est annoncé comme étant en charge d'un présent de la part de vos convives pour votre personne mademoiselle. Je me devais de porter ceci à votre attention.

Le regard pétillant de gaieté et d'excitation, la blondinette fixe ses amis.

Un autre présent pour moi? Si vous voulez bien me suivre mes amis, il me tarde d'en connaître la nature. Les enfants peuvent rester ici évidemment. Voulez-vous chers amis?

C'est le sourire aux lèvres, qu'elle écoute Joanna, que son tendre amour et elle même de l' accompagner, son présent? j'étais certaine que ça lui ferai plaisir, on pouvait écouter le bel étalon hennir dans la parc d l’hôtel, rien n'est trop cher pour ceux que l'on aime, et Joanna nous l'aimions beaucoup par sa gentillesse , son savoir vivre. elle est tout simplement elle même, ne cherche pas à se faire remarquer ou vouloir à tout prix se faire valoir, non c'est une jeune fille effacée , et courageuse de vivre dans ce monde parfois si cruel.

Il ne manque plus qu'à lui donner un nom et il est à vous, pourquoi me diriez un tel présent ? et je vous répondrais, l’amitié n'a pas de prix, et lors de vos déplacements vous irez plus vite.

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

J’avais recommandé à Julien de livrer l’étalon noir sans aucun retard et je souriais en regardant ma douce épouse à l’énoncé de l’arrivée du pur sang. Un cadeau qui aura fait plus d’un heureux aujourd’hui autant pour nous que pour cette adorable jeune fille qui s’était liée d’amitié avec notre petite princesse.

Joanna plus que surprise par le présent qui l’attendait à l’extérieur dans le parc, nous demanda de la suivre.

Mais bien évidemment, Mademoiselle Delarosa ! En espérant que notre choix vous ravisse et vous comble de joie.

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En proie à une vive exaltation, la jeune femme suit le couple de Lhavilland, le regard luisant d'excitation telle une enfant. La porte ouverte par le biais du majordome, Joanna ouvre de grands yeux et pousse un cri de joie en sautant au cou de la belle hélèna.

Oh merci hélèna, quelle joie vous me procurez par ce présent. S'extasie-t-elle bruyamment avant de baiser les joues de son amie, ainsi que celles du professeur.

Je ne sais comment vous remercier pour votre générosité, et je peine à accepter un tel présent tant il est inestimable pour ma personne. Grand Tout-Puissant! Il est magnifique!

Omettant totalement les responsabilités qui sont siennes et la tenue qu'elle doit adopter en présence des domestiques, telle une petite fille dont la candeur est presque palpable à cet instant, elle s'élance vers la monture pour prendre les rênes. Elle admire le poil soyeux et luisant de la bête. Des larmes perlent alors ses joues alors qu'elle regarde le mémorable et tant aimé duo.

Merci infiniment. Pas seulement pour ce présent, mais pour l'affection que vous me portez et qui me permet de tenir malgré cette vie jalonnée de solitude et de pertes. Votre présence et l'amitié que vous me portez, le très haut m'est témoin qu'elles sont certainement le plus grand réconfort d'une jeune femme en terre étrangère.

Elle caresse l'encolure de son cheval et son nom lui vient à cet instant précis.

Je crois avoir trouvé son nom. Amore. En l'honneur de l'amour que je porte à toute votre famille. Merci d'être ce que vous êtes, et surtout, je vous remercie de voir en moi une amie.

Tout en croisant les bras, nous savions que nous allions faire une heureuse , c'est vrai qu'elle est pétillante à la vie et ce cri nous réjouissait de joie avec mon tendre époux le regardant avec tant d'amour ,N'est ce pas mon amour, regarde comme elle semble heureuse.

Ce n'est rien, Joanna , cela nous fait tellement plaisir et vous voir si heureuse, c'est tout ce qui compte pour nous, lorsque Joanna me sautait au cou , on aurait une enfant heureuse de vivre .

Il y a pas à nous remercier Joanna, et puis vous nous avez tant porter par votre gentillesses et surtout pour Ambre, nous serons toujours là pour vous.

Vous savez ? Joanna les chevaux sont un peu mon domaine, je sais leur parler comment leur redonner confiance, un jour je vous expliquerais ce qui est arrivé à « Mistral » un magnifique camarguais blanc, comment par la patience , j'ai pu lui redonner goût de vivre ,plutôt de revivre.

Telle une petite fille , Joanna partie sur sa monture, que pensait- elle à ce moment, le contact de son équidé , une grande joie intérieur surement.
Tout en la regardant caresser son encolure , je savais à cet instant qu'une grande complicité venait de naître entre la belle Joanna et un équidé.

Amore ? Voilà un très joli nom qui lui va à merveille,vous êtes une amie, Joanna, je n'oublie pas votre venue au manoir lorsque j'étais souffrante, et vous savez peu de personne ont le privilège de franchise le seuil de notre demeure.

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Eh bien voilà que notre chez Black, élevé depuis sa naissance dans les écuries des De Lhavilland, allait vivre un tout autre destin auprès d’une gentille et douce jeune demoiselle. Quand Joanna s’élança vers l’équidé, je lui lançais.

Soyez prudente, Mademoiselle, au premier abord un cheval peut être parfois émotionnel et imprévisible.

C’était vraiment prenant et surprenant de voir ainsi Joanna s’y prendre avec ce bel équidé de trois ans à la robe noire. Je regardais « Black » qui avait changé en quelques secondes de nom. « Amore » le mot Amour lui allait comme un gant et concrétisait bien l’osmose qui se passait entre la jeune fille et le pur sang. Ils étaient tous deux simplement magnifiques. Pour les élans de cœur et les congratulations, je laissais la parole à ma douce épouse.

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Bien qu’impatiente de chevaucher Amore, la jeune femme doit revenir sur terre et prêter ouïe aux recommandations des Lhavilland. Un sourire ne tarde pas à éclore.

J’en prendrai grand soin et je ferai attention. N’ayez crainte, je suis bonne cavalière. Mère, paix à son âme, adorait les chevaux et je crois avoir hérité de la même affection pour eux.

Joanna caresse le cheval une dernière fois avant de se tourner vers Henri.

Voulez-vous bien signaler à Dominique que notre écurie vient de gagner un cheval et que nous avons besoin de son assistance pour son installation.

-Oui Mademoiselle. Répond-t-il en allégeant Joanna des rênes.

La jeune femme remercie son majordome d’un affectueux sourire avant de rejoindre ses invités et amis.

Je pense qu’il est temps de retourner au salon pour nous rafraîchir et déguster quelques amuse-bouches avant de passer à table. Après vous je vous prie.

D’un geste de la main, elle cède le passage à ses amis afin de retourner au salon. Entre-temps, Lise avait posé sur la desserte les amuse-bouches (quelques pâtisseries et biscuits secs), ainsi que les rafraîchissements selon le bon vouloir de chacun. La jeune femme invite Hélèna et Wesley à regagner leur fauteuil et se cale par la suite au sien, une coupe de vin ornant sa main.

Alors dites-moi maintenant. Comment allez-vous tous depuis mon départ ? Comment se porte Paris ? Des faits non négligeables auraient animé Paris en mon absence ? Je veux tout savoir. S’exclame-t-elle jovialement.

Joanna semblait très heureuse de son présent Amore son équidé pour sang, elle pourrait traverser tout le royaume sans crainte, et cela nous faisait plaisir.

Nous savons que vous êtes une bonne cavalière, sinon nous aurions fait le nécessaire pour vous apprendre à chevaucher, à travers les chemins, n'est ce pas mon cœur ? tout en faisant un petit clin d’œil à son tendre époux .

voila que notre hôte nous invitait pour prendre les repas, aussi nous la suivons prendre place, les enfants fort heureusement Louise a commencer à les faire manger avec l'aide de Lise,

Et bien depuis votre départ, notre petite princesse se faisait bien du soucis,
Paris ? paris ? que devenait Paris ? une ville morte, une ville fantôme dans un soupir, il faudrait un miracle de Pascal pour que renaisse la capitale, et ce n'est pas faute de vouloir faire le maximum

Paris ne change pas, il n'y a rien de nouveau , on dirait que notre ville se soit endormie sans que personne ne puisse la réveiller de son long sommeil , fort heureusement pour nous , nous avons notre manoir lui, bien vivant, l'autre jour avec Ambres, nous somme allées prés du lac ou les cygnes se sont réveiller, et nagent majestueusement.

lyse servait les petits gâteaux et les vins, tout en regardant mon tendre époux et les enfants tour à tour .

et vous donc ? vous étiez partie loin? vous n'avez pas eu satisfaction de votre voyage ?

Messages : 223 Date d'inscription : 06/11/2014 Ville : Bourges

Un chaleureux sourire se dessine sur les lèvres de la blondinette suite à l'observation de cette charmante famille. Mais voilà que son amie aborde avec amertume la navrante léthargie parisienne.

Il est vrai que Paris n'est pas une ville très animée. Peut-être que le manque de responsables actifs décourage les parisiens?
J'ai pu constater que dans certaines villes, il est aisé de ressentir la participation active des conseillers, du maire, qui œuvrent tous pour le dynamisme de leur ville. Leur présence, leur besoin évident d'orienter, de conseiller les nouveaux, attirent le plus de monde possible.
Même Saint-Pierre-Port qui est une ville pour ainsi dire morte, m'a charmée. Pourquoi? Parce qu'il y avait une certaine rigueur dans la législation, il y avait également la participation active des autorités en place et de madame le maire.

Je ne dis pas que c'est là une solution. Qui suis-je pour prétendre cela. Néanmoins nous avons la sensation que notre ville est laissée à l'abandon. D'annonces massives de recrutement dans différentes branches, nous n'en avons point. D'annonces du conseiller à l'animation, aucune trace. Peut-être faudrait-il commencer par cela? Des recrutements de personnes disposées à s'investir pleinement pour la ville, des rondes journalières des membres de la prévôté pour prouver à tous que Paris est sur bonne garde. Encourager les habitants à sortir un peu plus selon leur disponibilité.

Joanna marque une pause pour tremper ses lèvres dans le nectar avant de revenir sur Hélèna.

Enfin ce n'est que mon humble avis. Mais si nous passions plutôt à table. Suivez-moi je vous prie.

La jeune femme pose son verre et indique à Lise qu'elle peut débarrasser. Par la suite, le petit comité chemine jusqu'à la salle à manger où Joanna invite ses amis à gagner un siège. Sans attendre, le repas s'ouvre avec une entrée froide.

J'espère que mes choix vous charmeront. Bon appétit à tous.

La jeune femme fait glisser l'anneau de sa serviette de table qu'elle déroule pour couvrir ses cuisses.

Oh hélèna, concernant mon voyage, j'ai rencontré un membre de ma famille. Malheureusement et comme tous les membres de ma famille, elle n'avait pas de temps pour moi. Alors je suis restée quelques jours pour me refaire une santé avant de rentrer.

Écoutant attentivement Joanna un brin de nostalgie pouvait m'envahir, il est vrai autrefois Paris une grande ville, mais cela il y a bien longtemps.

Vous savez, Anne! notre mairesse fait un travail colossale pour que renaisse Paris, il est vrai que je l'aide un peu en m 'investissant, d'aller cueillir ou couper du bois pour que nos artisans puissent travailler, non , je pense que le mal est plus profond que cela, déjà la ville est presque vide d'habitants, pourquoi ? Me diriez-vous ? Peut être que si notre régent se trouver au Louvre ou une demeure à Paris, bien sûre surveiller par des gardes, si notre régent se montrait aux parisiens,
et en parlant de gardes ? Combien de gardes ou des troupes patrouillent dans paris ? Aucune joanna , les seuls militaires que nous avons et croyez-moi on peut les compter sur les doigts d'une main, quand à la prévôté ? Aucun commentaire.

La plupart des parisiens préfèrent rester chez les moines au couvent, ou ils ont gîtes et couverts gratuits, cela n'est que mon avis, mais si un jour par malheur des armées étrangères venaient piller le royaume , nous n'aurions aucune chance de défense, ils seraient les rois du pillage.

Les animations? je n'y crois pas trop, croyez- vous que les pauvres gens ont à la tête à festoyer alors que leurs familles meurent de faim, que les nouveaux nés meurent par faute de lait de leur mères , c'est pire que le fléau de Reims, si au moins nous avions l’hôpital « st louis »que les mères viennent chercher du lait du pain pour les enfants, non pensez-vous, l’hôpital est devenu un lieu pour les rats, peut être un abri pour les ivrognes et brigands.
il faudrait encourager les habitants déjà de sortir de chez les moines, quand aux nouveaux venus , les aider à venir, les aiguiller à travers la ville, les accueillir au bureau de la mairie.

Prenant mon verre but une petite gorger de vin, doucement, douce Héléna tu vas avoir un air pompette.

Mais votre avis est aussi important modeste soit il, c'est en faisant les petites rivières que feront les grands fleuves, nous vous suivons joanna.

Assise près de mon tendre époux, le regardant un instant, je savais qu'il pensait que j'avais raison.

Joanna, c'est un festin de roi que vous nous avez fait préparer, merci, Lise c'est très aimable à vous.

Ainsi donc notre propre famille n'a pas de temps pour vous ? Sachez ma douce amie, que nous seront là pour vous chaque fois que nous aurez besoin ; disons une seconde famille, vous refaire une santé ? Vous étiez donc souffrante ? Peut être ce mal qui vous ronge que l'on appelle « solitude »

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