[RP] Hôpital - "L'Hôtel-Dieu de la Madeleine du Lieu-de-Santé"

En tant que Chef de Corps du RRN, le prestigieux Régiment Royal Normand, Chriskhan de Huy vint voir le Médecin en Chef des Armées afin de le féliciter de cette excellente initiative.
Après avoir parcouru les lieux avec attention.

Se présentant alors au bureau d'accueil, il se fit connaître.

[07 février - A l'accueil]

Mon bonjour, Chriskhan de Huy pour le Docteur Wesley, je vous prie !

Au matin d’un dimanche doux et agréable ou pétillait, au vent taciturne, des mélodies d’oiseau, le Dr Delarosa sortie de son foyer encore endormie. N’oubliant pas toute sa vigueur et sa mallette de cuire vieillie par le temps, qui de services tant donné, de la quittait jamais. Il se devait de se rendre au nouvel établissement de « l’hôtel-Dieu de la madeleine pour prendre ses nouvelle fonctions.

Sur les routes pavées de Rouen, mythique cité des Véliocasses, il passa par le vieux marché, dont senteur et milles couleur s’étendaient sur les étales des marchands. De la pomme de Normandie au linge du logis, passant par les épices des nouveaux mondes a la pèche du jour, dont la truite a 5 louis fessais concurrence au saumons du nord a 15 louis qui lui, maquillé d’une moue d’exagération jalousait sa dernière. La foule normande était au rendez vous et le crieur public non sans mal pour se faire entendre dans cette marré humaine ou transaction et discussion journalière y était propice, annonçais justement l’ouverture prochaine d’un établissement de grande ampleur qui des militaire et petite gans pouvais se faire soigné pour pas un rond. Décidément les nouvelles arrivaient vite, le marché était réputé pour cela, commérage et ragots y prenais vie, c’était a nous de savoir si il fallait y croire ou pas.

Il s’arrêta à son marchand de fruits et légumes habituelle, Gaspard, un rouannais d’adoption réputé comme étant un commerçant honnête et sans jugement. Devenue un habitué du dimanche matin, il passait le voir pour acheter deux trois fruits ou friandise, mais ce matin, l’heur n’était pas la rigolade mais a une nouvelles qui courait en villes et qui jouissait les plut mélomane d’entre eux, le Roy pourrait passez ses jour ci. Il lui prit deux clémentines qu’il mangeât sur le chemin, en regardant le monde alentour, bien que c’était dimanche et le jour du seigneur, les rues fourmillait d’activité : le bottier recevais sa livraison de bois, les bouchers lavaient leur étales se servant de l’eau stagnantes brunâtres aux travées des flaques du pavée crasseux, les vignerons vendaient leur vin colportant des vertus bénéfique au breuvage esquifs, argument de ventes qui bien souvent faisait ses preuves, les boulangé mettaient leur dernière fournée en arrangeant leur étales des pâtisseries fraiches et savoureuse.

Il prit son temps, il aimait prendre son temps de contemplé les belles demoiselles, conversé avec ces Messieurs bien distingué, de cueillir une fleur ou deux dans un jardinières public en les offrant a qui lui décrocherait un regard de courtoisie.

Quand il atteignit la grille de l’hôtel-Dieu, un bâtiment imposant, il ne comprit pas tout de suite pourquoi il ne l’avait pas vue avant. Ne passent pas inaperçus, son fronton égalais les monuments religieux. Il passa les grilles et marcha, au milieu de l’allé border d’une pelouse verte et bien nourrie.
Quelques commis jardinier plantaient des graines, de ci de la portant a bout de bras des pots de terres les plaçant a des endroits non loin de la portes d’entrée.

Il rentra et vue que le halle était vide, a l’exception d’un homme, le préposé a l’accueille surement, qui assis sur une chaise mangeait un bout de pains, drôle d’endroit pour se rassasier et deux personne: se chère ami, le colonel, et une demoiselles bien distingué et fort jolie!!!

Capitaine, mon Bonjour !
Une visite guidée ? Pourquoi pas mais sachez que ce que j'ai pu apercevoir est, à mon sens, tout simplement parfait ! Je ne peux que vous féliciter.

A cet effet, je me demande si une fois tous les six mois, je ne vais pas vous envoyer mes soldats pour un check-up (Excusez, mauvaise toux...) une visite médicale approfondie...

J'ai une autre question, si vous me le permettez... Notre infirmière, Fée-Mercédès a-t-elle reçu votre agrégation ? Je voudrais aussi, en sus, demander au docteur Delarosa si il ne voudrait pas suivre le même cursus... Qu'en pensez-vous ?
Auriez-vous à coeur de faire sa formation ?

Citation :

Nous avons élaborés, le Capitaine Keridwenn et moi, en plus de la première visite médicale d'aptitude à l'incorporation, une visite médicale obligatoire annuelle pour tous les soldats du RDR et je pense qu'une extension de ces visites médicales annuelles dans toutes les garnisons serait souhaitable.

Capitaine, je suppose que vous avez réfléchi à tout cela bien avant que je vous pose la question ; aussi, serais-je bien sot de ne pas m'en remettre entièrement à votre jugement.
Faites-moi parvenir une note à mon bureau et je ferai en sorte de le transmettre de suite aux soldats.
Un an me semble long... Bien des soldats meurent hélas bien jeunes à notre époque mais je vous laisse en décider ! Bien évidemment.

Un coursier s'en vint interrompre la conversation...

Colonel Chriskhan de Huy ? Un message urgent...

Merci Gendarme... Permettez Capitaine...

Cap... Capitaine... Mon infirmière m'envoie sa démission en plein dans le nez... Sans préavis ! Gonflée, ne trouvez-vous pas ?

Ben oui fort gonflée en fait, c'est peut-être cela.... Se dit Chriskhan

Je me renseigne et vous tiens au courant. Nous restons en contact Capitaine bien entendu ! Et encore toutes mes félicitations pour cette heureuse initiative. Remettons à plus tard la visite guidée, nous avons mieux à faire que du "tourisme" et je ne voudrais pas vous retarder dans vos travaux...

Capitaine, bonne fin de journée !

"mais faite, faite chére ami, je ne suis pas pressé, vous savez nous somme dimanche et j'ai le temps. Les oiseaux chantent et les gens me semble sympathique aujourd'hui, bonne journée pour visité notre nouvelle institution en votre bonne compagnie"

il le saluât et vit le colonel approché

"mes respect mon colonel, heureux de vous voir en ses lieux"

[la veille ]

Sortant de la taverne, observait la rue, les gens rentraient chez eux, c’est l’âme en peine qu’Elena errait encore un peu se dirigeant vers le port, il faisait froid, un petit vent soufflait, l’air du large, fermait un instants les yeux.

Elle n’oubliera pas cette soirée, restant gravé peut être comme un souvenir, Elena se retirait vers sa cabane de fortune, demain sera un nouveau jour, cette nuit là, elle dormait bercée de souvenirs lointains, la plage, les fleurs les oiseaux de son ile, ses amies. Tout cela lui semble bien loin, endormie elle sentait une présence, la même que celle au fond de la cale du bateau comme une protection divine.

[Le lendemain à l’inauguration de l’hôpital]

Ce matin Elena se rendit à la mairie pour chercher du travail, comme chaque jour, au bureau des emplois, trouvait une besogne , cultiver les champs ce qui lui rapportait de quoi se nourrir pendant un laps de temps.

A midi, l’heure de pause, un petit rayon de soleil bien pâle se pointait entre les nuages.

Assise sur une souche, sortait de son sac son maigre repas, « tant pis ce dit elle, hier grâce a Nanouche , j’ai passée une bonne soirée , merci Nanouche »

Elena regardait son œuvre, son travail, quand soudain, un chant d’oiseau , une douce mélodie venant de nulle part , restant attentive , sans faire de bruit , pas un seul geste , écoutait cette mélodie comme si ce chant lui est destiné.

Le temps s’écoule, le chant s’éloigne peu à peu se gravait dans l’esprit d’Elena comme l’oiseau des iles « Esperance, chant d’amour et d’espoir » il doit bien avoir une signification? tout est mystère, féerique, divin.


Rentrant chez elle, sa pauvre cabane, mais c’est la sienne, faisant un brin de toilette, sort sa robe bleu turquoise , son foulard de soie assorti au parfum des fleurs des iles un oiseau brodé d’argent agrémentait celui-ci .


Comme elle l’avait promis, se rendait à 14 heure à l’hôpital pour l’inauguration, un grand bâtiment, déjà beaucoup de monde présent. Ne connaissant que peu de monde ,fait simplement un signe de la tête aux personnes qu’elle croise.

Un garde devant l’entrée, lui barre le passage. « demoiselle on ne rentre pas comme ça , avez-vous une invitation ? Montrez-moi ? »

Hélas ...non ! Monsieur, je n’ai pas d’invitation, mais hier j’ai diné à la taverne des militaires tenu par dame Nanouche , le médecin Wesley m’a gentiment invité , vous pouvez aller lui demander .

Bon attendez ... je vais voir avec mon collègue ... veuillez patienter ici .

Oui monsieur , j’attends, mais je vous assure de croire à ma bonne foi.

Le garde s’éloignait dans le couloir , Elena en profitait pour regarder et admirer l’œuvre de la construction de l’hôpital.

"- mais faite, faite chére ami, je ne suis pas pressé, vous savez nous somme dimanche et j'ai le temps. Les oiseaux chantent et les gens me semble sympathique aujourd'hui, bonne journée pour visité notre nouvelle institution en votre bonne compagnie"

- Suivez-moi mon ami, vous savez cette structure n'a pas la même contexture et agencement que l'imposant Hôpital Saint-Louis de Paris, mais je suis assez fier de sa composition et de son organisation. J'ai fait ajouter quatre vingt lits de plus dans les autres salles pour les malades qui ont été construites au-delà des rues des Pannetiers et de la Madeleine et on y accède par trois ponts établis au-dessus de la chaussée. Nos deux bureaux se situent au rez-de chaussée et... Arrêtés dans notre élan au niveau du couloir par l'appel de mon nom, le gardien du bureau d'accueil s'avançait en grandes enjambées vers nous.

"- Docteur Wesley ! S'il-vous-plait ! Une jeune fille vous demande à l'entrée et dit que vous l'avez invité à l'inauguration."

- Oui, c'est exact, faites-la entrée, j'arrive de ce pas l'accueillir, merci mon brave ! Me retournant vers Delarosa. Mon ami, je vous laisse un instant, votre bureau se trouve au fond du couloir à gauche, deuxième porte à gauche, allez-y, nous vous rejoignons.

Je longeais le couloir en direction de l'accueil et croisa un groupe de personnes qui, précédé du gardien, partait pour la visite d'inauguration de l'institut. Je vis Elena vêtue d'une robe de couleur bleu turquoise agrémentée d'un foulard de soie assorti et sentis son doux parfum quand j'arrivais à sa hauteur.

- Bonjour Elena, je suis ravi de vous revoir et vous êtes ponctuelle au rendez-vous ! Venez Elena, nous allons rejoindre mon confrère et ami, le Docteur Delarosa qui va assurer la bonne marche de cet Hôpital en tant que Médecin-Chef. Voilà nous y sommes.

Je la fis entrer dans mon bureau qui se situait à côté de celui de mon mon confrère. Vous voyez, c'est un bureau assez spacieux avec de grandes et hautes fenêtres et le mobilier est assez simple car je n'y serais pas souvent. Oh ! excusez-moi, je ne vous ai pas fait mal, en vous bousculant, au moins. Ces coins de table sont toujours dangereux. Je vais vous présenter le Docteur Delarosa.

La porte de son bureau était entrouverte, je tapais un petit coup et passa ma tête dans l'encadrement de la porte, personne dans la pièce. "Où était-il passé ?" pensais-je ? Surement qu'il devait visiter le reste du bâtiment.

- Bien, nous allons continuer tous les deux la visite. Je lui faisais l'historique de "l'Hôtel-Dieu" et nous parcourions les dortoirs, les salles de soins, les chambres puis une petite visite dans les services accessoires de l'hôpital : cuisine, buanderie, literie, magasins... Tout cela nous avait pris pas mal de temps et je finis par l'office où je lui proposa de nous servir un café, le temps de nous reposer un peu.

- Vous savez, j'ai repensé à votre question d'hier au soir à la taverne de nanouche et j'ai trouvé assez rustre de ma part de n'avoir pas répondu à votre question. A propos de mon épouse. Voilà ! Je viens de perdre mon épouse, il y a trois semaines. Comme elle était Capitaine dans le même régiment que moi, elle a perdue la vie au cours d'une mission. Vous n'ignorez pas qu'actuellement je passe une période très dure et je cherche l'oubli dans le travail. Enfin, je ne cesse de me dire que la vie continue et que demain sera un autre jour.

"au fond du couloir à gauche, deuxième porte à gauche" se répéta le Dr delarosa, décidément le couloir était assez longs, il remarquât plusieurs porte puis arrivât a son bureau, simple, modeste auant tout le confort nessesaire.

le Dr wesley y avait mis du cœur dans l'installation de cet établissement, il vue en regardant sa montre gousset que cela fesait présque 15 minute qu'il attendait et en ressortant il vue le Dr wesley en train de converser avec une jolie demoiselle, il se dit qu'il valait mieux lui laissez l'opportunité de finir son allocution que de le dérangez.

il se mit donc en quête de visitez les lieu, il se prit d'affection pour une infirmières qui se tenait tout prés en la questionnant sur divers sujets en rapport avec la Madeleine, rencontra le personnelle hospitalier, se familiarisa au locaux.

Quelques instants passèrent, Elena toujours devant l’entrée de l’hôpital, certaines personnes avec une invitation à la main pénétraient dans les lieux hospitaliers, les saluèrent en inclinant légèrement la tête d’un simple bonjour.

En compagnie d’un garde, le médecin chef Wesley arrivait à sa hauteur, d’un geste amical lui sourit.

Je vous avez fait une promesse de venir à l’inauguration, je tiens toujours mes promesses docteur.

Dans les longs couloirs au bout, des salles de soins, des bureaux, des tableaux ornaient les lieux.

Ainsi donc ? C’est votre confère qui sera responsable de cet établissement ?

Les deux bureaux des médecins cote à cote, des grandes baies vitrées où la lumière filtrait, reflétait sur le mobiliers, pas un brin de poussière, pas un papier, tout est neuf et luisant.

Le médecin heurtait le coin de la table, Elena se sentait bousculée, laissant tomber son foulard, sans y prendre garde.

Je vous en prie docteur il y a pas de mal,.. sourit légèrement ….oui continuons , c'est une très bonne initiative de vouloir apporter un peu de soins aux plus nécessiteux .

Ainsi donc ici se sont les dortoirs, les salles de soins, les chambres , les services du personnel de l'hôpital : cuisine, buanderie, literie, magasins...

Lorsque la visite fut terminée, le médecin invitait Elena à prendre un café à l’office.

Bonne idée docteur ce n’est pas de refus, je vous remercie de votre amabilité.

Assis face au médecin, Elena tournait son café machinalement tout en écoutant ce qu’il disait.

Ne vous fêtes pas docteur j’ai passée une agréable soirée…. Elena toujours polie et attentive. quelle fût sa suprise en l'entendant de lui parler de son épouse disparue pendant ses fonctions .

Ho ! mon Dieu que me dites-vous ? Votre épouse, quelle grand malheur pour vous, en plus soldat du même régiment que vous, que c’est injuste, mais comment s’appelait votre épouse ?

Dans sa voix, une grande tristesse, un léger tremblement comme si il voulait pleurer, un instant de désespoir, le trouvant très pâle, osait lui prendre les mains, elle restait ébahie de ce qu'elle venait entendre , une certaine morosité envahie soudain la jeune fille , lui rapelant combien dans ce bas monde , nous sommes les intruments , parfois d'un destin cruel.

Docteur Wesley, je ne sais quoi vous dire devant un tel chagrin, mais pensez à vous je vois dans votre regard tant de tristesse, je comprends que vous vous donniez corps et âme dans votre travail, mais sachez une chose, aujourd’hui votre chagrin est immense, votre épouse vous manque ... elle sera toujours dans votre cœur à jamais, elle est gravé comme une "espérance d’espoir", vous ne l’oublierez jamais.

Elena avait connu un grand malheur dans sa vie, la perte cruel de son frère mort aux combats, aussi sur son lit de mort dans un dernier soupir , il lui avait fait promettre de ne jamais s’engager à l’armée, elle jura, quand il s’éteignait dans ses bras, à ce moment Elena entendait un chant d’oiseau « espérance de l’espoir ».

Le temps passait si vite que déjà Elena devait partir.

Docteur, je vous remercie de votre accueil, vous êtes bon, et généreux , votre épouse..... d’où elle se trouve, veille sur vous, comme une toison d’or commence à tisser d'un lien et le lance si loin qu'il en touche le cœur d’un être terrestre.
De La pluie où du soleil, de la brise où de la tempête, chantera toujours les louanges, elle est parmi les anges
Car cet oiseau béni se nomme l'Espérance….

Se tût un moment car devant la peine , la tristesse , le chagrin , il fallait savoir se taire, essayer de réconforter .

Je dois... hélas.... vous laisser, je pars en voyage dès ce soir .... peut être qu’un jour nos chemins se recroiseront, il y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas.

Elena posait sa main sur son épaule , lui portant quelques mots de réconforts, espérait que le médecin Wesley l’accompagne jusqu’à l’entrée.

"- Ho ! mon Dieu que me dites-vous ? Votre épouse, quelle grand malheur pour vous, en plus soldat du même régiment que vous, que c’est injuste, mais comment s’appelait votre épouse ?"

- Mon épouse répondait au joli prénom d'Oriane et nous nous sommes aimés d'un amour passionné.

Soudain, je ressentis un certain froid dans moi et un léger tremblement dans les jambes et dans la voix, je baissais mon regard afin qu'elle ne se doute un instant de mon désarroi puis je sentis ses mains prendre les miennes comme le faisait si souvent ma douce et tendre Oriane. Je percevais sa douce chaleur au contact de ses mains et ne les retirais pas.

"- Docteur Wesley, je ne sais quoi vous dire devant un tel chagrin, mais pensez à vous je vois dans votre regard tant de tristesse, je comprends que vous vous donniez corps et âme dans votre travail, mais sachez une chose, aujourd’hui votre chagrin est immense, votre épouse vous manque ... elle sera toujours dans votre cœur à jamais, elle est gravé comme une "espérance d’espoir", vous ne l’oublierez jamais."

Ses paroles m'allaient droit au coeur et me resaisis aussitôt. Elle retira délicatement ses mains des miennes, se leva de sa chaise.

"- Docteur, je vous remercie de votre accueil, vous êtes bon, et généreux , votre épouse..... d’où elle se trouve, veille sur vous, comme une toison d’or commence à tisser d'un lien et le lance si loin qu'il en touche le cœur d’un être terrestre.
De La pluie où du soleil, de la brise où de la tempête, chantera toujours les louanges, elle est parmi les anges
Car cet oiseau béni se nomme l'Espérance…."

Plus je l'écoutais, plus elle me faisait penser à Oriane, poète dans l'âme comme elle. Quelle étrange coïncidence ! Elle s'arrêta de parler puis repris.

"- Je dois... hélas.... vous laisser, je pars en voyage dès ce soir .... peut être qu’un jour nos chemins se recroiseront, il y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas." Elle posa sa main sur mon épaule et j'appréciais son signe de réconfort. Malheureusement, elle devait partir ce soir en voyage.

- Oui, je sais que vous aimez la liberté, le grand large, les voyages et bien, si vous le permettez, je vous raccompagne jusqu'à la sortie, au risque de vous perdre parmi les couloirs et les dordoirs. Arrivés dans le cour intérieure du bâtiment qui menait à la sortie principale de "l'Hôtel-Dieu".

- Voilà, nos chemins s'arrêtent là. Vous, vous partez dans une direction inconnue et moi dans une autre. Je vous souhaite un très bon voyage, Elena et soyez prudente dans vos déplacements. Au revoir !

Je la regardais s'éloigner et je repris le couloir pour aller rejoindre mon ami Delarosa. Arrivé devant mon bureau, la porte était resté entrebâiller, l'ouvris en grand et donna un regard circulaire dans la pièce quand je vis un objet au pied de la grande table qui me servait de bureau, à l'endroit même où j'avais heurter Elena. je le ramassa et me rappela que c'était le foulard que portait Elena. Je le mis dans le poche de ma redingote et referma à clé la porte derrière moi. J'entendis du bruit dans le bureau de mon ami Delarosa, frappa et entra chez celui-ci. Il était assis derrière son bureau.

- Mon cher ami, je crois que ma tâche ici est terminé et je dois rejoindre rapidement Paris. Je vous souhaite bonne chance, mon cher confrère. Au revoir et à bientôt !

PTT n'avait pas perdu son temps , la route entre Rouen et eu ne fut pas si longue que cela , il arriva en fin d'après midi à l'hôpital de Rouen comme le lui avait indiqué le Colonel Keridwenn.

Il chevaucha les rues de la ville et se pointa directement devant les grandes portes du bâtiment.

et voilà nous sommes arrivés "Turbo" .. il aurait pu le nommer recommandé ou accusé mais cela faisait trop penser au tribunal .. bah quoi son baudet était loin d'être un cheval du bagne et tenait une cadence défiant toute concurrence de n'importe quelle écurie.

Il descendit de sa monture et noua les rennes sur l'anneau prévu au mur ..

bon j'en ai pas pour longtemps après je te promets que je te laisse un peu de répit à moins que le Docteur veuille que j'apporte un pli .. mais là le prochain ne l'aura que demain matin .. nous ne sommes pas fait de 4 chevaux 4 cv.. fiscaux ?? hum non pas encore ^^ ne mettons pas la puce à l'oreille de la trésorerie Royale.

et tout en accélèrent le pas, le jeune coursier arriva devant l'accueil de l'hôpital

bonjour un pli pour le docteur Wesley c'est écrit confidentiel dessus, je me doit de lui remettre en main propre

Spoiler:

Le docteur Rentré de ces visites habituelle, aperçue en parcourant le hall principale un bien étrange cheval jaune .

Avait t'il abusez de calva avant de venir, il ne se souvenait pas. il laissa cette animal la ou il était, il se pourrait qu'il aie la jaunisse, mais il n'en avait décelée aucun sur un animal, étrange.

il le contournât et alla dans son bureau afin de déposée sa mallette de cuire ainsi que tout son attirail de voyage. mis sa blouse et entrepris d'aller faire la ronde des patients d'aujourd'hui dossier en mains .

ANJHELY ne se sentait pas très bien depuis quelques jours, elle souffrait et était inquiète. Dans son état elle ne voulait pas prendre de risque mais elle avait reculer le moment de voir un médecin jusqu'au dernier moment. Après tout que pouvait savoir un homme sur la grossesse. Elle en était encore au début mais cest douleurs n'était pas normal, elle le savait. Bien sûr, elle avait subie tant de tension ces derniers jours, que le bébé devait en souffrir. Alors elle se décida, elle se rendit à l'hôpital afin d'être examiner.

Elle arriva à l'accueil et vit une infirmière.

Bonjour madame! Je suis Anjhely Falcone, vicomtesse d'Olonne et chancelière de France. j'aimerais si cela était possible voir un médecin.

[samedi 18 septembre à l'accueil]

Etant donné que l'annonce sur l'imminente propagation d'épidémie de peste bubonique venant de la Principauté du Remensis et de la ville de Reims, m'avait précédé depuis plus d'une dizaine de jours, je n'avais jamais reçu par retour de courrier une confirmation, à savoir si les dispositions avaient été prises pour recevoir les régugiés rémois. Je pris la décision de venir à l'Hôtel-Dieu afin de m'assurer sur ce qui avait été mis en place...

Arrivé à l'hôpital, je demandais à voir la Mère Supérieure qui m'accueilla dans son bureau. Elle avait mis tous les dispositifs en place afin d'assurer la venue des réfugiés rémois puis elle m'apprit que le Capitaine Casanova du Régiment Royal de Normandie avait fait installé un campement provisoire à proximité du champ de foire pour les premiers convois de réfugiés. Je la remerciais en lui disant que j'irai voir le Capitaine Casanova avant de repartir sur Paris...

Je quittais son bureau, sans plus attendre tout en prenant la direction de la sortie et arrivé à l'accueil, je reconnus Anjhely Falcone qui s'adressait à une infirmière...

- Bien le bonjour Mesdames ! Excusez-moi de vous interrompre ! Je suis le Docteur Wesley, ne seriez-vous pas Mademoiselle Anjhely Falcone ? Me courbant légèrement pour la saluer. Que puis-je faire pour votre service ? Vicomtesse !

Anjhely sourit en voyant arriver le docteur Wesley.

Bonjour docteur! Ecxusez moi de vous déranger je sais que vous êtes fort occupé.
Mais depuis quelques jours je ne me sens pas très bien et je me demandais si vous pourriez m'examiner. Je ne voudrait prendre aucun risque. Je ne puis vous dire les raisons ici, je pense que vous pouvez comprendre que ce que je vais vous dire doit rester entre nous.

Elle lui sourit car elle savait que les médecins étaient tenus au secret médical et savait qu'elle pouvait avoir confiance.

Anjhely suivit le docteur Wesley jusqu'a l'infirmerie et s'assit sur la table d'auscultation un peu mal à l'aise à l'idée de parler de cela à un homme.

Citation :

- Je vous écoute, Madame, n'ayez crainte, je vous promets que tout ce qui sera dit entre nous, ne sortira pas d'ici.

Elle se tordit les mains.

Et bien je sais que je peux vous faire confiance car cela ne doit pas s'ébruiter. **prends une profonde inspiration** Et bien voyez vous, il se trouve que je suis enceinte, enfin je n'en suis qu'au début c'est pour cela que ce ne se voit pas encore. N'étant pas mariée, vous comprenez que cela ne doit se savoir.
Pour en venir à la raison de ma visite...c'est que depuis quelques jours j'épouve des douleurs au niveau du ventre. Cela c'est déjà produit mais cela avait disparu... j'ai dû subir beaucoup de tensions ces derniers temps et c'est certainements les raisons de cela mais j'ai également eut un peu de saignements, légers mais je dois avouer que cela m'a inquiétez mais ils se sont arrêter. mais je voudrais être sur que mon bébé se porte bien.
Elle le regarda avec toute la force de son désespoir.