[RP] Les Prisons Royales de la Ville d'Eu

Le sel n'avait pas eu l'air de lui avoir fait beaucoup d'effet. Il lui en remit une bonne dose, appuyant sur les plaies pour bien le faire pénétrer. Il voyant la peau sursauter. Il avait beau ne pas réagir, il finirait par craquer. Et voilà qu'il se mit à prier et à raconter il ne savait quoi. Maddox n'entrait pas dans les subtilité d'état. Il n'y comprenait rien de toute façon. Un Roi, des Rois, des guerres, des conflits...bof bof bof...tout ça, il s'en fichait.

- Mauvaise réponse, fit il en l'entendant refuser de répondre.

Il s'essuya les mains avec le même torchon que le Roi avait utilisé en y laissant cette fois du sang d'homme et non de cheval. Il prit une lame taillée dans du roseau entre les doigts et le regarda un instant.

- Tu vois, à chaque réponse qui ne me conviendra pas, je te glisserais l'une de ces pointes sous un de tes ongles. La douleur que cela procure est extrême.

Il passa derrière lui et lui versa du vinaigre sur les plaies à vif, puis se baissa et fixa ses chevilles au sol avant de tirer un peu plus sur la corde pour le tendre au maximum, tirant sur ses bras. Il se baissa et plaça la pointe sous l'ongle de son pouce de pied et d'un coup sec le fit pénétrer comme dans du beurre.

Maddox mit du gros sel qu'il appuya sur les plaie du pape , Valentin laissa émettre un grand bruissement et continua ses prières à Saint Pascal

Très Saint Pascal donne moi la force de souffrir en ton nom, que cet épreuve me développe de ma foi en toi et au tout puissant. Pardonne à mes bourreau qui sont dans l'erreur

Puis le vinaigre le fit faire des bonds c'était un véritable suplice mais il fallait tenir

alors il se prépara au pire suplice et répondit

je vous pardonne Maddox de ce que vous faites et de ce que vous ferez. Je vais souffrir sous vos mains implacable mais cela sera en vain je ne dirai rien


et le pape reposa sa voix qui était légèrement essouflé

[Jour et nuit du 29 au 30 mai]

Maddox riait intérieurement de le voir résister pour ne pas crier ou même gémir. Ce n'était que le début. La plupart des prisonniers tentaient de tenir à tout prix, de ne pas craquer au supplice et de faire comme s'ils ne sentaient pas le douleur. Au début oui, c'était normal. Mais dans quelques heures, quelques jours, les choses seraient très différentes. La prolongation d'une même douleur effritait les résistance les plus dures. Le manque de sommeil épuisait le supplicié et lui retirer toute énergie ne faisait qu'amplifier la douleur, pouvant moins y résister.

Il se leva et lui donna une gifle à lui tourner la tête.

- LA FERME ! Pas besoin de ton pardon.

Il lui asséna une seconde gifle tout aussi violente et prit un seau d'eau glacée qu'il lui jeta dessus le trouvant un peu ramolli. Le froid allait l'affaiblir de plus en plus et l'empêcher de somnoler. Il le trempa et trempa encore jusqu'à ce que sa peau devienne glacée. Pour le faire taire parce qu'il ne supportait plus ses prières idiotes, il lui enfourna un chiffon trempé dans la bouche et le fit tenir avec un mord qu'il serra à lui faire mal aux commissures des lèvres. Il se saisit alors d'un cordage tressé et lui frappa sur le ventre, le dos, les jambes. Avec l'eau cela faisait cingler la corde et amplifiait la douleur. Il crut entendre des gémissements sous son bâillon et continua jusqu'à ce que le corps semble perdre en énergie. "Excellent" pensa t'il. "Il sera bientôt épuisé". Il lui versa encore quelques seaux d'eau toujours aussi froide et lui remua le visage.

- Si tu veux parler, desserre ton poing.

Maddox marqua une pause pendant laquelle il alla ordonner à un garde de venir déposer des seaux d'eau devant la porte, puis revint, s'installant sur sa chaise. Il le laissa se reposer un petit quart d'heure, jouant à aiguiser les pointes de fer qui viendraient bientôt se loger entre ses orteils. Il se leva enfin, et lui détacha un bras pour le laisser pendre par son bras droit seulement. Il avait reçu l'ordre de ne pas abîmer la main qui signe les papiers. Il lui tordit le bras dans le dos et fixa une cordelette autour de son poignet avant d'enrouler l'autre extrémité autour de sa gorge. Juste assez serrée pour lui donner la sensation d'étouffer.

Puis il reprit le même traitement, seaux d'eau et coups de cordage pendant plus de six heures, marquant quelques pauses de temps en temps, remarquant les fers qui commençaient à lui entailler les chairs. Il le laissa alors pendre pas un bras, pendant qu'il s'octroyait un moment pour prendre un léger repas.

Il était déjà tard, presque minuit. La nuit allait être longue et bientôt il perdrait même la notion du temps. Surtout que Maddox avait décidé de ne pas le laisser dormir de la nuit.

le traitement qu'on lui infligé était intense , on voulait le voir craché ce qu'il savait , mentir pour sortir leur vérité qui n'était pas du tout La vérité et pour finir on voulait le voir souffrir ramper contraire à toute principe primaire du Pascalisme.


Quand Maddox prit le gros cordage et qu'il frappa ses plaies déjà mise à rude épreuve , Valentin se mit à crier , suppliant Pascal dans son infinie sagesse de l'aider.

Que de souffrance que de douleur mais si tel cela devait être écrit il le ferait jusqu'au bout, le sel , le vinaigre , la fatigue et les plaies plus les coups de cordes donnait à son corps de terrible épreuve mais la foi qu'il avait pouvait déplacer les montagnes.


Chaque coup lui infligeait de terrible souffrance mais pour puiser sa force il continua ses prières entre les crie , le sang , la sueur et parfois les larmes de souffrance il récitait

Père Tout Puissant bienfaiteur et créateur de l'univers,
toi qui nous a envoyé Pascal prophète et pape
écoute les soupirs de ma voix, moi qui suis en péril
et delivrez moi de la crainte des suplices .

Affranchi moi Père céleste et infiniment bon de mes dettes.
Tu es peux tout faire grâce à ta grandeur infinie et ta sagesse incommensurable

C'est ma foi

[Le 30 mai]

Il était temps de le détacher. Il le laissa tomber au sol et le tira jusqu'à un coin de la cellule où il l'enchaîna comme un animal. Il lui jeta un seau d'eau. Pas question de le laisser sécher. Et il attendit avec patience qu'il commence à s'endormir. Alors il lui fondait dessus et le frappait avec le poing ou lui donnait un coup de pied. Il le faisait sursauter à chaque fois. Il ferma de nouveau les yeux et il le réveilla encore et encore jusqu'au petit matin où ses yeux se fermèrent de nouveau. Il le laissa sombrer profondément et attrapa les chaînes et le tira sans ménagement pour le pendre de nouveau par un bras.

- On va reprendre depuis le début. Parait que ta caché un beau pactole qui est pas à toi. Si tu es tenté de dire où il est, cela d'évitera de passer une nouvelle journée pire que celle d'hier. Pas changer d'avis le bougre, fit Maddox devant son éternel silence. Tout n'est qu'une question de temps. Si personne ne vient m'interrompre je peux te faire souffrir pendant près d'un mois, en te soignant de temps en temps pour mieux recommencer.

Pendant qu'il lui parlait, il passa derrière lui et toucha son dos, le sentant frémir sous ses doigts. On va commencer par quelque de facile. A part les personnes qui ont déjà été arrêtées, est ce que tu avais un autre complice de ton méfait ?

Il prit une pointe et la lui montra :

- Tu vois je n'ai pas confiance en toi. Je pense que tu vas me mentir. En me disant non par exemple ou ce que je veux entendre. Alors je vais te donner un avant gout de ce qui t'attends si tu me fais tourner en rond.

Il plaça la pointe sous l'ongle du deuxième pouce et avec une masse tapa de toutes ses forces pour la faire entrer dessous.

[Le 30 Mai , au petit matin]

La nuit fût rude pour le pape un nuit où son suplicier lui avait infligé de rude coup , le fouet , le sel , le vinaigre et la corde plus les coups de poing , et de pied. De temps à autre le pape fermé les yeux non pour dormir mais pour rentrer dans une phase de prière intense et interieur .
Entre ses prières il ne pouvait ignorer la souffrance que cela procurait et criait tellement que la douleur était intense en rajoutant en plus la fatigue qui soulignait la douleur .

Maddox le Libera et le Saint Père tomba à terre , la soutanne immaculé avait laissé place à une soutanne quasi pourpre à la couleur du sang de valentin.

son suplicier dit

Citation :

On va reprendre depuis le début. Parait que ta caché un beau pactole qui est pas à toi. Si tu es tenté de dire où il est, cela d'évitera de passer une nouvelle journée pire que celle d'hier. Pas changer d'avis le bougre, fit Maddox devant son éternel silence. Tout n'est qu'une question de temps. Si personne ne vient m'interrompre je peux te faire souffrir pendant près d'un mois, en te soignant de temps en temps pour mieux recommencer.

Valentin ne répondit pas car il n'avait rien à dire à un homme qui le maltraité et à un pays de fraude , corruption en tout genre. C'est à lors que valentin au lieu
de désserer son poing il le serra par petit pour montrer qu'il ne collaborerai pas avec un état qui renie la justice, condamne des innocents et annoblissent des voleurs
puis il lui montra un pointe et repliqua

- Tu vois je n'ai pas confiance en toi. Je pense que tu vas me mentir. En me disant non par exemple ou ce que je veux entendre. Alors je vais te donner un avant gout de ce qui t'attends si tu me fais tourner en rond.

Maddox lui enfonça la pointede toute ses forces ses ongles et cria hurlaaaaaaaaaaa sous son baillon . Outre le corps en sang son doigt l'était aussi , sous la violence du choc l'ongle se brisa ce qui fit , par la douleur pleurer Valentin .

[Journée du 30 mai]

Le hurlement se fit briser par l'épaisseur de son bâillon. Personne ne pouvait l'entendre, sauf Maddox qui le sentait faiblir d'heure en heure. Il lui souleva le visage en sueur, s'inondant de larmes de douleur. Il allait devoir arrêter un peu pour ne pas le perdre. Il remonta son deuxième bras et l'attacha en l'air avec le premier. Un bon seau d'eau versé sur la tête pour le rafraîchir et il était temps de passer à l'étape suivante.

Il laissa sa tête retomber entre ses bras et prépara la cheminée pour surchauffer la pièce. Il rapprocha le poêlon et l'alluma aussi. La cellule confinée allait vite devenir une fournaise. Le bourreau plaça un chaudron d'eau au dessus du feu et revint vers son prisonnier. Il lui souleva le pied dont l'ongle était éclaté et en retira la pointe avec une pince. Il l'entendit gémir. Avec une cordelette très fine, il entoura son orteil en serrant provoquant une douleur qui devait lui monter jusqu'au coeur.

- Ca fait mal, n'est ce pas ? Mais ce n'est rien à comparer de ce qui va suivre le petit papounet. C'est que j'ai à faire à un petit roitelet, souverain d'un royaume minuscule et qui se prend pour le plus grand des hommes. Voyons si tu es si différent des autres, le papounet.

Il lui donna quelques gifles pour qu'il ouvre les yeux.

- Faut pas dormir....fit il en prenant son couteau. On va retirer cette vilaine soutane crasseuse qui put en plus. Tu as dû faire dedans tellement elle put.

Après la torture, un moment d'humiliation ne pouvait pas lui faire de mal. Il le déshabilla entièrement, découpant la soutane avant de retirer les chaînes autour de ses chevilles. Il lui baissa le pantalon le mettant aussi nu qu'un ver.

- Ben t'es pas si différent. Rougi pas le saint père, ta peur que je vois tes attributs, lança le bourreau en lui donnant un bon coup de fouet sur les fesses, rien que pour rire.

Ce qu'il fit sans vergogne avant de lui enfiler un pantalon sec de toile épaisse et probablement peu agréable à porter. Il le fixa à la taille avec une corde qu'il serra bien et recula pour voir le travail.

- Ben voilà, t'es bien plus beau comme ça le roitelet. Oh mais,....le petit roi n'a pas sa couronne. Attends je vais pouvoir arranger ça.

Maddox prenant son temps pour qu'il reprenne son souffle et supporte la suite de ce qui était prévu. Il fouilla dans sa sacoche et sortie plusieurs lanières de cuir plantées de pic qu'il tressa grossièrement en une couronne. Il monta sur une petite marche de bois et la lui enfonça sur le crâne, lui raclant la peau à faire apparaître le sang. Il plaça le fer du Roi dans le feu et patienta en le regardant résister. Il ne se souvenait plus combien de temps avait mis le dernier à craquer. Peu lui importait...

- Regarde, le fer est à point, fit il en crachant dessus.

Il passa derrière son dos et lui retira le bâillon pour qu'il entende ses propre cris, et d'un geste précis lui appliqua la marque royale, laissant le fer suffisamment longtemps pour que la marque ne puisse jamais disparaître.

- Après ça je te passe sur la table. Et tu vas regretter d'être né. Tu vas même m'avouer que ta garce de mère a elle même volé ces louis, lui chuchota t'il avait de lui claquer les deux mains contre les oreilles.

Sarah avait ouie dire que son ami Ottokar officiait a la prison, aussi c'est a cet endroit peu recommandable qu'elle se rendit.
Approchant de la prison, son coeur se mit a battre dans sa poitrine.
Des cris de douleurs de firent entendre alors qu'elle se trouvait face a la grande et lourde porte.
Hésitante, elle frappa et attendit qu'on vienne lui ouvrir.

[le 31 Mai]

Valentin Souffrai , on l'humilié maintenant on le mettait à nu , mais le pape priait et passait outre toute ce qu'on pouvait lui faire.

IL ne s'était pas fait dessus mais il était vrai qu'a force de marcher de l'emprisonner et de le torturer la soutane blanche était complètement taché.
un repos ? non
Maddox avait decidait de l'humilié encore plus , on lui revetit un pantalon en toile de jute , se recula , rigolait puis s'avança apportant la couronne d'épine un parodie de sa tiare et joignit les mains en prière acceptant sans haine tout ce qu'on lui faisait.
La courrone d'épine procura à valentin quelques douleur et sentit des gouttes de sang coulaient le long de son visage .

maintenant arrivait le fer , la chaleur infernal et lui appliqua la marque Royal. La douleur était intence il criait de terrible souffrance que ça lui procurait .
Voilà il était marqué du sceau par l'humiliation ultime

restant silencieux il priait pour les erreurs qu'ils commettaient

[Du 31 mai au 4 juin]

Maddox avait commencé doucement. Il avait ainsi pu sous peser la résistance de son supplicié. Et le faire parler n’allait pas être chose facile. Il lui faisait penser à ces religieux d’en temps qui malgré les pire sévices refusaient de renier leur foi. Il avait hurlé sous le fer brûlant et le gardien se gorgeait de ses cris qui lui promettaient une belle suite. Ce Pape allait lui permettre d’essayer sa nouvelle invention et vu sa résistance cela allait être très instructif. Il fit un sourire tout en tirant prêt de la cheminée ardente ce qu’il appelait « Le tabouret ».

D’un coup sec il détacha la corde qui maintenait son prisonnier pendu au plafond et le laissa tomber de tout son poids.

- Allé, espèce de grosse larve, avance !

Il le tira et le poussa à grands coups de pieds et de bâton, le regardant se tordre en grognant à chaque coup donné. Il était plutôt grand, étriqué et musclé. Pas du tout le pape bedonnant qu’il s’était imaginé.

« Le Tabouret » n’était autre que trois planches de bois formant un triangle isocèle dont la partie la plus longue posait à plat sur le sol.

- A genou ! lança t’il sèchement.

Il le tira par les cheveux pour le faire obéir plus vite et lui plaça une jambe de chaque côté de son engin qu’il fixa avec des chaînes, puis appuya sur son torse pour le faire se pencher en arrière, son dos venant appuyer sur le deuxième côté. Le troisième accueillait les bras qui étaient attachées aux poignets par une barre rigide. La tête n’était pas soutenue derrière. Avec la fatigue, un effort permanent serait fait pour la maintenir droite.

Il plaça une bûche dans la cheminée et y jeta la soutane. La chaleur devenait insoutenable et le prisonnier n’avait rien bu depuis la veille déjà. Maddox pouvait sentir les flammes lui cuire la peau. Le petit Roi allait bientôt devenir rouge comme une écrevisse et se dessécher comme un poisson échoué sur la plage. Il ne l’avait pas mis de face pour pas que lui doivent tourner le dos au feu.

- Ecoute bien le Pape, fit il en lui attrapant le visage d’une main et en lui secouant la tête. Tu n’a vécu jusque là qu’une infime partie de ce que je peux te faire. Tu vas me dire où tu as caché les Louis parce que je ne m’arrêterais que lorsque tu auras parlé.

Il joignit le geste à la parole et plaçant une corde à la barre rigide il tira sur ses bras jusqu’à l’élever d’un bon mètre. Là, il le laissa suspendue pendant trois heures, le temps de prendre un bon petit déjeuner et de rester un instant au frais dans la cour. A son retour, il prit de lourds sacs de sable qu’il pendit autour de ses jambes repliées pour exercer une tension insupportable dans les épaules du supplicié. Il attendit encore une heure, le voyant souffrir l’enfer.

- Avance un peu, fit il en le tirant par le cou et lui glissa une fine planche hérissée de pointes acérées dans le dos.

Sa souffrance se voyait sur son visage mais Maddox n’avait aucun état d’âme et continuait en ne prenant que de rares pauses. Il passa une lanière de cuir autour de son thorax et le plaqua à la planche. Le pape transpirait par cette chaleur . Le bourreau le força à ouvrir la bouche et lui étala une bonne couche de sel gros, lui refermant la mâchoire le temps qu’il fonde. Il avait beau gémir et pousser de petites plaintes, rien ne faisait arrêter le gardien. Il irait jusqu’au bout et ensuite le laisserait à son sort jusqu’à ce qu’il avoue en augmentant la douleur à un rythme régulier. Il tourna autour de lui et lui comprima fortement le pouce de la main droite sans le lui casser et les gros orteils dans des poucettes l’écoutant crier de douleur. Il lui enserra ensuite sur le plat des pieds, deux planches à pointe et tourna les vis pour les comprimer avec force.

- Tu peux gueuler autant que tu veux. Je vais te laisser pourrir comme ça pendant des heures. Mais avant je t’ai amené mon jouet préféré. Regarde.

Il lui montra son fouet à pointes et lui en donnant un violent coup sur le ventre. Les pointes s’accrochèrent à la peau et emportèrent avec elles des lambeaux, faisant saigner le supplicié. Les coups de fouet s’abattirent avec une telle violence que cela faisait se balancer le prisonnier devant lui infliger d’horribles douleurs dans les bras pendus en arrière. Question de bien le faire souffrir il plaça un deuxième sac de sable sur la planche maintenant ses jambes.

Il s’installa en face de lui et but une grande rasade d’eau se vidant même cette eau fraîche sur la tête.

- Ca fait du bien. Il fait tellement chaud ici, dit il en ricanant.

Il le laissa six heures pendu ainsi alimentant le feu, mangeant et buvant sous son nez. Pendant ces six heures, il était revenu à la charge, serrant les vis autour de ses pieds et de la main, lui frappant les bras avec un cordage et tirant et abaissant la planche pointées derrière son dos. Une bonne poignée de sel dans la bouche le faisant baver et ses lèvres commençaient à se craqueler par la soif.

Maddox le laissa se reposer sans le détacher. Simplement en le faisant descendre, lui attachant les bras à la planche, lui retirant la plaque cloutée et lui mettant une plaque pour qu’il puisse reposer sa tête en arrière. Et après quelques heures il recommençait.

Pendant trois jours il ne lui laissa aucun répit ou presque. Puis, par la force des choses dût le laisser dormir une nuit complète. Si on pouvait appeler cela dormir vu les douleurs qu’il devait avoir dans tout le corps.

[SAMEDI 4 JUIN 1651]

Un coursier arriva en début de matinée à la prison d'Eu avec une missive de la chancelière pour le gardien Maddox.

Citation :

Au gardien Maddox

de

Anjhely Falcone,
Duchesse de Gisors,
Chancelière de France.

Nous, Anjhely Falcone,

En ce jour du 3ème jour de juin de l'an de grâce 1651, nous venons d'apprendre la disparition de sa Majesté Alexandre-le-Fier ainsi que de sa famille. En tant que Pair de France, nous avons décidé de reconnaître le duc d'Orléans, Louis-Philippe de la Brie-en-Carly comme étant son digne successeur.

Dans le cas présent et jusqu'à ce qu'une décision soit prise, nous vous demandons de cesser tout interrogatoire de Sa Sainteté le Pape Valentin 1er jusqu'à ce qu'une décision soit prise.

Nous avons dit, en ce III ème jour de juin de l'An de Grasce MDCLI, en le Palais Royal du Louvre.

Anjhely Falcone
Chancelière de France
Duchesse de Gisors

Marcel prit la missive. Il prit les escaliers et grimpa à la tour ...

Monsieur, Monsieur .... une missive pour vous ....

Il frappait à la porte pour être sûr que les hommes entendent qu'il était derrière la porte.

les jours passait et chaque heures étaient un torture sans nom , un douleur impossible à définir , chaque partie de son corps était mis à rude épreuve.
Après les nombreux supplices qu'il enduré on le suspendit comme un saucisson on l'attacha et on le laissa là des moments interminable sans boire ni manger , la chaleur le déshydratait.
la fatigue et la sueur ne l'aidait certainement pas , puis il le fit tomber à terre , la hauteur n'était pas grande mais tout ce qu'il avait subit faisait que lorsqu'il le fit tomber il tomba de tout son poid.

Maddox le tira et le fit mettre a genoux juste au dessus d'une nouvelle torture , il lui attacha les mains et laissa la tête livre pour que valentin fasse encore plus d'effort .Tout cela se rajoutait à la chaleur infernal qu'il fait dans cette pièce , la salive avait quasi disparu de sa bouche , ses lèvres gerçaient par le manque d'eau et sa gorge devenait rapeuse si cela continuait il serait vite à bout de force.

les mots sortaient difficilement par la fatigue et la douleur était quasi insoutenable mais son esprit le guidait vers la foi il le re hissa à environ 1 mètre. Son bourreau lui ceintura des griffe dans le dos et du sel dans sa bouche , les tortures étaient terrible , le pape criait autant qu'il pouvait face aux terribles douleur que ça lui procuraient.

Son bourreau lui montra l'ultime torture celle du fouet à pointe puis il le frappa sur des zones où il savait qu'il ne le ferait pas mourrir. Les lambeaux de chair revenait avec le fouet puis le voyant mal en point Maddox le laissa une nuit entière tranquille .

Tout son corps lui piquait de terrible douleur le lançait faisant qu'il lui était impossible de dormir

le lendemain Maddox arriva souriant , il allait commencer mais un garde vint à lui frappa et quand le bourreau ouvrit la porte il lui apporta une lettre qui a la forme du cachet devait être un pli royal.

Valentin avait tenu mais à quel prix?

Le saint siège avait était envahi et désormais sous occupation française,

le pape emprisoné et torturé sa peau était couverte de sang de marque qu'il garderai à vie
il n'avait pu protégé les personnes qu'il croit innocentes

qu'allait t'il devenir ? encore des supplices ou la prison ou encore une libération . Bien que cette dernière , il le savait était impossible jamais il n'aurait de nouveau sa liberté avec Alexandre il ne lui resta qu'à prier ............

Maddox avait passé une nuit douce et au frais dans une cellule inoccupée du bas fond. Il revint voir son supplicié avec une forme olympique. Un tour de clef et il se trouva devant un tas tout replié, gémissant et en sang. Le Pape entre ouvrit les yeux avec des paupières lourdes et rougis par la fatigue. Il n'avait toujours pas parler mais cette journée serait décisive.

Un coup à la porte le stoppa net au moment où il allait jeter un seau d'eau glacée sur sa victime. Le bourreau venait de recevoir une missive.

- Merci mon brave, fit il au porteur.

Il décacheta, referma la porte à clef et vint s'asseoir à la petite table. Le pape le regardait. Il lui tourna le dos et commença à lire avec lenteur. Il se leva d'un seul coup et se mit à rire sadiquement, comme un diable dans cette fournaise qu'était devenue la salle de torture.

- Ecoute Valentin, fit il en utilisant son prénom pour le rabaisser à son niveau. Voilà que la Chancelière me demande d'arrêter de te torturer. C'est une bonne nouvelle pour toi ça. Va bientôt me demander de te soigner si ça continue. Tu m'écoutes, fit il en attrapant le seau et en le lui versant sur les jambes avec force. Tu dois te sentir soulager non.

Il le tira par un bras jusqu'au bord de la cheminée. Il remplit un verre d'eau et le lui fit boire. Ses lèvres tremblaient et son visage était trempée de sueur comme le reste de son corps. Une sueur qui se mélangeait à de la crasse lui dessinant de drôles de bandes plus ou moins claires. Il lui tenait la timbale au bord des lèvres le regardant boire avidement.

- Voilà. Ca va aller mieux. Debout, le leurrait il en le levant sur ses pieds qui étaient toujours enserrés dans les étaux cloutés et l'obligea à marcher jusqu'à la table, en le relevant de force quand il tombait n'hésitant pas à lui donner quelques coups de bâton.

Il le souleva facilement. Maddox avait toujours eu une force considérable et le poids du Pape ne l'effrayait pas. Il gémissait à chaque pas, tenant à peine sur ses jambes. Il l'allongea sur le dos et s'approcha tout près de son visage.

- Regarde ce que j'en fais de la missive de la Chancelière, fit il en colère. Le Roi Alexandre m'a dit de te torturer jusqu'à son retour. Et j'ai une excellente nouvelle pour toi. Il ne reviendra jamais.

Il froissa la missive nerveusement et la jeta au feu. Il houspillait et grognait, prétextant que personne ne le laissait faire son travail convenablement. Il jeta un regard noir sur le prisonnier et son plan diabolique le submergea lui donnant un regard et un rictus affreux.

- Je vais te torturer tout doucement et je n'ai même plus besoin de savoir où tu as caché les Louis. Je vais le faire par simple plaisir, termina t'il en riant grassement tout en lui attachant les pieds avec des cordes reliées à un rouleau, puis les poignets.

Il tira sur les cordes à l'aide de poulies jusqu'à ce que son corps soit soulevé de la table. Les cris qu'il poussait étaient inhumains. Il se calma lorsque la tension fut à son maximum et que Maddox ne touchait plus les cordes. Il voyait son ventre creusé, lacéré des coups de fouet clouté. Sa tête était à la renverse et touchait à peine le bois de la table qu'il tira pour qu'elle soit entièrement dans le vide. Il lui redonna un verre d'eau en l'aidant à boire puis la séance de torture recommença. Les étapes devaient être respectées pour infliger une douleur grandissante au fil des heures.

Il lui entoura tout d'abord la gorge avec une fine cordelette qu'il tourna presque dix fois en serrant juste ce qu'il fallait pour lui donner la sensation d'étouffer. Il prit une baguette plate et lui frappa les oreilles jusqu'à les mettre en sang puis la gorge. Cette dernière se mit à gonfler et il le voyait chercher son air. Avec une poire d'angoisse, il l'obligea à garder la bouche ouverte et lui enfonça une bouteille sans fond dans la gorge l'obligeant à boire un litre d'eau. Il se débattait et serrait les poings sans pouvoir rien empêcher. Maddox aimait sentir ses victimes soumises et impuissantes. Une deuxième litre vint rejoindre le premier dans son estomac, puis un troisième. Il tournait la tête dans tous les sens et le bourreau le força à boire un quatrième litre avant de lui retirer la poire d'angoisse. Il lui jeta alors jusqu'à six seaux d'eau du puits, jusqu'à ce qu'il devienne si glacé qu'il en tremble. Et là le vrai supplice débuta. Il prit une louche d'eau qui bouillait dans le chaudron sur le feu et la lui versa lentement sur son ventre meurtri. Ensuite sur les pieds qui étaient dans le même état. Les chairs mises à vif amplifiaient la douleur à ses limites. Il l'entendait hurler et grincer des dents le laissant reprendre sa respiration avant chaque versement. Son ventre se creusait encore plus dès que l'eau touchait son corps, tirant de ce fait sur les liens qui le maintenait au dessus de la table. Une demi heure de ce traitement et il perdit connaissance. Il le réveilla avec des sels et lui arrosa la figure.

- Tu vois, avec cette invention, je peux te retourner sur le ventre à présent, sans avoir à te détacher.

Il le tourna brutalement, le soulevant pour que les épaules passent et retendit simplement les cordes qui déjà entaillaient les chevilles et les poignets. Cette fois-ci, il lui frappa la nuque avec la baguette plate jusqu'à ce qu'elle devienne rouge vive et lui glissa un demi billot de bois sous le ventre gonflé par l'eau qui appuya sur son estomac mal mené. C'est alors qu'il appuya sur son dos de tout son poids l'obligeant à régurgiter l'eau par sa gorge serrée et irritée par les coups. Il vomissait et grognait sous la douleur que provoquait le billot sur son ventre tendu.

Il le laissa ainsi quelques heures, le ventre écrasé, les membres tendus, la tête pendante dans le vide. Quand il revint, il le frappa avec une tablette. Un bon coup sur les fesses pour l'humilier et ensuite sur le dos, l'obligeant à forcé sur ses abdominaux qui s'écrasaient sur le billot. Il le frappait bien à plat sur les plaies déjà à vif. Les cris étaient de moins en moins contrôlés et il s'arrêtait toujours avant la perte de connaissance. Il le laissa toute l'après-midi dans cette position avant d'enfin lui retirer le billot de bois dont des escarcelles étaient entrées dans la peau.

Le soir, il lui redonna à boire un verre d'eau. Il souleva une paupière et considéra qu'il pouvait continuer. Il reprit son fouet à clou et lui frappa les reins d'un premier coup. Le prisonnier se tendit comme une planche. Maddox avait laissé le fouet tomber sans le relever. Il le fit doucement tirant bien sur chaque petit bout de peau et le frappa de nouveau. Une dizaine de coups lui déchirèrent les chairs. Il lui versa de nouveau quelques louches d'eau bouillante sur les plaies.

La nuit était là. Il détendit les cordes, retourna le supplicié, repoussa la table pour qu'il puisse reposer la tête et détendit les cordes juste assez pour que son dos touche la table. Il lui sangla le bassin et la poitrine pour que le contact avec le bois soit permanent. Puis lui lia les chevilles et les poignets aux pieds de la table.

- Je vais te retirer la cordelette pour que tu puisses mieux respirer, fit il comme s'il lui faisait une faveur tout en déroulant la corde. Il lui fit boire un verre d'eau pour soulager sa gorge irritée par les coups. C'est l'heure de dormir, lui dit il en lui enfilant une cagoule sur la tête.

Il resserra encore un peu les étaux sur ses pieds qui se transperçaient de plus en plus. Il lui rinça le corps de tout le sang et l'essuya en frottant fort. Les gémissements sous la cagoule étaient horribles. Il n'aimait pas cela mais il était obligé de le faire. Il le voyait cambrer un peu le dos pour éviter de toucher la table avec les reins.

- Pose ton dos, où je serais forcé de te lever les jambes. Et toute la nuit, tu ne le supporteras pas. Ou alors je te glisse des plaques aux pointes acérées et quand tu t'endormiras, tes reins viendront se poser dessus forcément.

Il n'attendit pas de réponse de son prisonnier et il glissa une plaque sous ses reins et lui mit trois sacs de sable sur le bas ventre.

- Passe une bonne nuit. A demain.

Le 5 juin, Maddox n'eut pas besoin de reprendre les tortures de la veille. Il le souleva de la table en tendant les cordes mais pas autant que la première fois. Par contre il glissa des plaques cloutées sous son dos et le chargea de sacs de sables, l'obligeant à tirer lui-même sur les cordes s'il ne voulait pas échouer sur les clous. Il adorait le voir tout tenter en vain et les planches s'enfonçaient dans son dos et restaient même accrochées parfois. Il joua toute la journée à cela, jusqu'à ce que son prisonnier n'ait plus la force de se soulever. Alors le Maddox lui frappa le ventre avec le plat d'une planche. Ni trop fort, ni pas assez. Il s'amusa ensuite à lui mouiller la cagoule à outrance pour lui donner l'impression d'étouffer. Il ne le torturait plus. Tout ceci était devenu un jeu sadique pendant lequel la victime était la seule perdante.

Il fut de nouveau forcé de le laisser dormir toute une nuit. Il le soigna même un peu pour être certain qu'il allait dormir. Il lui donna de la mie de pain et à boire. Et dut le laisser se reposer encore toute la matinée du 6. Il avait éteint la cheminée et la pièce retrouvait lentement une température normale. Vint alors un des moments qu'il préférait dans son art. Il l'allongea sur la table, en l'attachant jambes et bras en croix et inspecta son corps pour en repérer les blessures les plus graves. Il lui libéra les pieds transpercés de toutes parts et fit jouer ses doigts sur ses plaies. Le prisonnier sursautait à chaque passage. Maddox se saisit alors d'une aiguille et d'un fil et recousu les plaies les plus profondes. Il pinçait la peau du ventre et piquait à vif. Il passa des heures à le recoudre soigneusement. Passant du ventre au dos. Certaines blessures s'étaient infectées.

- Je vais devoir te faire quelques petites brûlures, lui dit il en lui remuant le visage.

Ses cris devenaient déchirants et Maddox se dit que s'il avait encore quelque chose à lui demander, il l'aurait avoué. Mais cette chancelière lui avait enlevé tout espoir. La journée passa vite pour le gardien, mais avait du être bien plus lente pour le Pape. Le bourreau était fatigué et il préféra se coucher plus tôt.

- Tu vas rester allongé sur cette table cette nuit encore. Il faut que tu te reposes parce que demain, nous allons tout reprendre du début, lui lança t'il en lui soulevant la tête pour lui donner à boire. Il lui mit aussi de la mie de pain qu'il le regarda avaler avant de le laisser cette nuit.

L'aube du 7 juin, fut l'heure à laquelle Maddox se leva et se lava en entier dans la cour.

Sarah, toujours devant la porte, entendait horrifiée, les cris et les plaintes de ce pauvre ère que l'on torturait.

Qu'avait il bien pu faire de si terrible pour qu'on lui inflige un tel traitement ?, pensa t'elle.

N'y pouvant plus, elle décida d'ecrire un mot a l'intention du maitre des lieux et de le fixer sur la porte, se disant que peut etre il serait remarqué et remit a qui de droit.
Elle prit donc un parchemin, une plume et ecrivit ses quelques mots.

Mon cher ami Ottokar,

Je suis venue ce jour a votre rencontre mais personne n'a daigné m'ouvrir la porte.
C'est le sang glacé par les cris et les plaintes que je vous ecrit cette missive en esperant que celle ci vous sera remise en mains propres.
J'attends de vos nouvelles avec empressement.

Amicalement

Sarah

Elle accrocha le parchemin sur la porte en bonne place et s'en alla en priant pour le malheureux dont les cris de souffrance lui dechirait le coeur

On voulait faire vivre l'enfer à valentin le faire souffrir que ce soit pour les sous ou pour le plaisir, ce qui était certain c'est que le pape sentait d’atroce souffrance qui lui parcourait le corps. Maddox son bourreau avait reçu la lettre qui lui disait clairement de stopper les torture mais hélas il n'en fit rien et brula la lettre comme pour effacer les preuves d'actes terrible qu'il allait commettre juste par un plaisir jubilatoire .


Maddox le leva et l'obligea avec les planche cloutées, mais Valentin devenait de plus en plus faible , la violence des coups qu'on lui portait en était la cause majeur cependant le pape entre ses cris de douleur implorait le Père céleste . son bourreau n'en avait que faire et continuait à le tabasser par des coups rudes de bâton. Chacun de ces coups était comme un coup de poignard douleux , vif mais il tenait bon en pleurant . Bien qu'il n'était pas blessé mortelement et ça Maddox savait le faire à merveille pour qu'il puisse mieux encore jouer avec lui assez longtemps , le souverain Pontife avait toutefois le corps en sang les marques profondes , stigmate qu'il garderait ad vitam eternam.

on lui passa une corde autour du cou qui lui comprimait la respiration ce qui lui donnait un sentiment trèès detestable celui de s'étouffer.Puis il le serra ses oreille et frappa sa gorge , son visage sanguinolant serrait et son corps mutilé allait surement choqué voir marquer à vie cette vision d'horreur d'un Pape persécuté.

les tortures s'enchainaient et chacune d'elles apportaient une douleur encore bien plus intense donnant l'impression à valentin d'éclater en mille morceaux.Une planche clouté fut apposer sur le dos de valentin et fut laissé toute une nuit dans cette position. Les douleur était intense lorsque par faiblesse il posait son dos dessus ce qui lui ôta encore bien plus de force , son corps était à bout mais la foi qu'il avait en lui, lui permettait de tenir , il surpasser l'épuisement grandissante ainsi que les douleurs par de très nombreuse prière litanie et autre oraison .

Son bourreau prit soin à recoudre avec une éguille chaude pour éviter une sur infection et de toute évidence en ayant desinfecter un peu les plaies préalablement.
valentin hurla autant qu'il le pouvait tellement la douleur était violente.


Maddox posa le tout , le regarda en souriant puis il s'en alla le laissant dans des douleurs atroces sans nom jusqu'au 7 au matin


Valentin se rappela d'un chant venant du fond des âges qui n'était point d'origine Pascalienne mais qui s'adaptait merveilleusement à ce moment très sombre pour le pape

La Ténèbre n'est pas ténèbre

A peine avait-il été reconnu officiellement, que Louis-Philippe, nouveau roi de France, avait-il envoyé son messager Robert a Eu. En effet, il se passait là-bas quelque chose qui pour lui, était inacceptable et c’était à Robert de faire transmettre les tous premiers ordres de Sa Majesté. Aussi le 6 juin, en début d’après-midi, Robert, accompagné du jeune soldat Cylouan, prit-il un cheval et galopa-t-il jusqu’aux prisons royales de la ville d’Eu après avoir crié et placardé partout l’annonce du roi.
Arrivé sur place, il demanda à ce qu’on l’amène au pape. Il avait là un pli qui ne plairait guère au bourreau, et l’on ne savait que fort bien que lorsqu’un message déplaisait, c’était le messager qui prenait ! Aussi pénétra-t-il en ce lieu fort peu rassuré.
Lorsqu’il arriva face à lui, il ne put que bredouiller quelques mots, tout en tendant la lettre :

Une missive de Sa Majesté…

Sur celle-ci l’on pouvait lire :

Citation :

A Maddox, bourreau de feu notre frère Alexandre le fol
De Sa Majesté Louis-Philippe de la Brie en Carly

Vous ordonnons de cesser immédiatement vos activités à l’encontre de Sa Sainteté le pape Valentin 1er. Qu’il soit conduit et escorté auprès de nous dès que vous recevrez cette missive.
Nous tenons à ce que Sa Sainteté soit considérée non pas comme un prisonnier mais comme notre invité. Aussi vous demanderais-je de le traiter avec les égards dûs à son rang.

Fait le VIème jour du mois de juin de l’an de grâce 1651

Robert regardait le bourreau lire le courrier, il semblait court, sans doute trop court pour que Sa Majesté y ai mis les formes. Il se faufila derrière Cylouan, loin d’être rassuré…

Maddox se trouvait aux portes de la prison lorsqu'un inconnu l'interpella comme s'il le connaissait. Mais la présence du p'tit soldat devait en être la cause. Le gardien prit la missive et fut impressionné de voir qu'elle venait du Roi. Il accusa le coup sans le montrer et la décacheta. Son niveau de lecture étant très bas, il mit du temps à lire ces quatre lignes et à la fin ses dents étaient tellement serrées qu'elles allaient se briser.

- Bien...puisqu'il en ai ainsi, je vais préparer le pri....pardon....l'invité....fit il avec dégoût.

Il se tourna vers son ami et le salua :

- Bonjour Cylouan. On dirait qu'on va faire un bout de chemin ensemble encore. Il serait bien de préparer le chariot prison. Faudrait pas qu'un malin cherche à le faire évader avant que le Roi ne voit. Tu ne crois pas ?

Il le laissa et se dirigea dans la tour centrale où il s'enferma et laissa aller sa colère en jetant rouleaux de corde et basculant la chaise en arrière. Sa victime était toujours sur la table souffrant l'enfer certainement depuis qu'il était réveillé. Fou de colère, Maddox lui détacha les pieds et le tourna pour enlever les planches cloutées enfoncées légèrement dans son dos. Les points de croix qu'il avait fait avaient bien tenus et même s'il garderait des cicatrices, certaines finiraient par disparaître. Il avait l'air un peu plus reposer que les autres jours, mais ce n'était tout de même pas la grande forme.

Il allait devoir lui redonner forme humaine avant le départ. Il lui retira son pantalon taché et puant d'urine de l'avoir laisser sur cette planche trois jours de suite et lui versa de l'eau tiède sur le corps. Il le lava et le frotta avec un torchon l'entendant gémir sous ses mains. Puis fouilla dans son sac pour trouver les bandages. Il lui entoura les pieds et la main puis lui posa un tissus sur le ventre et le dos avant de bander le tout. Il lui détacha enfin les mains et lui mit un bandage autour des poignets et des chevilles.

- Tiens, fit il en lui soulevant la tête, bois ça et avale ce pain.

Il termina de le sécher sur toutes les parties de son corps, même les plus intimes. L'humidité était la pire des choses pour les infections. Il fallait donc qu'il soit bien sec. Un nouveau pantalon de toile vint remplacer l'ancien et l le fit asseoir sur la table pour l'aider à passer une chemise de même texture. Elle se tacherait de sang par ci par là le temps que ce dernier devienne croûte.

Pendant toute l'opération, il ne le regarda pas et l'écouta gémir et grincer des dents.

- C'est terminé Valentin. Le Roi a demandé à te voir et a exigé la fin des tortures.

Maddox qui avait toujours eu un grand respect pour ceux qu'il torturait, malgré les apparences qu'il pouvait donner, lui leva le visage et le fixa dans les yeux :

- Tu es l'un des meilleurs qu'il m'ait été donné de torturer.

Il lui attacha les mains et plaça des chaines à ses pieds avant de lui enfiler une cagoule sur la tête et l'aida à se lever pour aller jusqu'au chariot prison.

- J'ai pas envie qu'il se sauve et encore moins que quelqu'un le reconnaisse. Sauf si vous voulez une émeute dans le pays, fit il au soldat et au messager en voyant leur tête. Ouvre donc la porte au lieu de dormir toi.

Il entra avec lui, l'allongea sur le plancher et fixa la chaîne au sol avant de poser une couverture sur lui. Il lui mit le pain dans les mains pour qu'il puisse manger en route avant de retourner remettre de l'ordre dans la cellule qu'il nettoya de fond en comble comme s'il n'était jamais passé là. Il ne laissa sur place que ce que Ottokar lui avait mis à disposition et revint vers Cylouan.

- Il faut que je passe prendre ma femme avant de partir. Elle est à l'auberge du port. Et j'espère que vous avez assez de provisions pour nous tous.

Ottokar voyait beaucoup de mouvements dans cette prison qui avait été si calme depuis sa réhabilitation. IL vit Maddox entrer et sortir ... il comprit que son travail devait être terminer. Il monta jusqu'à la pièce au sommet de la tour et vit Maddox ranger la pièce ...

Laissez, je ferai ranger ... elle ne servait à rien avant votre arrivée, elle ne servira pas à grand chose après votre départ.

Il descendit jusqu'au chariot qui emmenait le prisonnier vers une nouvelle destination.

Citation :

- Il faut que je passe prendre ma femme avant de partir. Elle est à l'auberge du port. Et j'espère que vous avez assez de provisions pour nous tous.

Si vous voulez, j'ai quelques miches de pains ... du bons pains... je suis boulanger de métier ... alors ... il courut jusqu'à son bureau et ouvrit un coffre ... il prit un panier et déposa quelques miches de pains frais. Il revint en courant et les tendit à Maddox.

Tenez, Maddox, acceptez ceci... nous n'avons pas eu beaucoup l'occasion de nous connaître mais ce n'est pas grave, j'ai été enchanté de vous rencontrer... le seul souhait que je pourrai faire, c'est de vous revoir libre et pas comme lui ... il fit un geste vers le prisonnier qu'il devait emmener.

Marcel qui était dans la cour pour tenir son tour de garde voyait tout le monde s'agiter. Il vit son chef, Ottokar, aller et revenir et offrir des miches de pains comme jamais il n'avait vu. C'était loin de sa ration quotidienne de pain noir. Il se jura qu'il en parlerait aux copains et qu'ils iraient voir Ottokar.

cyl était arriver a eu ... la route lui avait sembler longue mais il ne c était pas arrêter ... il fallait rejoindre madox au plus vite ... le transfert du pape ... cyl soupira il ne savait pas quoi penser de toute cette histoire ...

il était arriver d a peine quelques minutes qu un garde le fit conduire jusqu'a la cellule du pape ou se trouvait madox ...
c était une scène d horreur ... affreux ....

cyl regarda madox d un drôle d œil ...

MADOX !

il le regardait droit dans les yeux ... ça ne servait a rien de dire quoi que ce soit la et c était pas le moment de remettre en cause quelconque autorité qu il soit ...

je vais préparer le chariot ! toi tu le remet en état et tu ne lui fait plus aucun mal ! même une petite tape !

cyl sortit ... il fit amener un chariot dans la cours de la prison et fit refermer les portes ... madox avait au moins raison la déçus pas question d attirer le monde ...

madox arriva avec le pape ... enchainée ... cyl vérifia que les plaie était pensée ... il faudra qu il voit le docteur wesley a notre arrivée quand même ...

il laissa madox le faire monter et l attacher dans le chariot ...

ta femme encore ! nan mais oh ! c est pas un bagage ta femme ! tu te dépêche d aller la chercher et c est comme le pape elle sera notre invitée durant le trajet et les invitée on les respecte ! ... allée file !

cyl avait bien vu lors de leur premier voyage comment il s occupait de sa femme et ça avait le don d agacer cyl ...

madox partit cherche sa ... femme ... cyl alla vérifier dans le chariot que tout était correcte ... il s adressa au pape ... il savait même pas comment on appelais un pape ... sa mère avait surement du lui dire mais la il savait plus ...

monsieur ... je ne peux vous dire ce qui va vous arriver dans les prochains jours ... mais je peux vous assurer que durant ce voyage le gardien madox ne vous ferra plus aucun mal ... mais vous devez comprendre que l on doit aussi prendre certaine mesure de sécurité .

... cyl n attendais pas spécialement de réponse du pape il sortit et referma la porte. Il demanda a deux garde de rester pres du chariot avec lui le temps que madox revienne...

Il avait fait ranger leurs affaires au plus vite et déjà Maddox se retrouva à la prison avec Lulu. Ils avaient chacun un cheval mais le gardien préféra prendre les rennes du chariot et attacher sa monture derrière.

- Je vous remercie Ottokar pour votre accueil et pour ces vivres.

Il était temps de partir. Il voulait quitter la ville pendant qu'il faisait encore frais. Le mois de juin était chaud et laisser son prisonnier avec une cagoule sur la tête dans l'état où il était n'était pas conseillé.

- Cylouan, il faudra faire une pause à la sortie de la ville. Je te dirais pourquoi plus tard.

Il donna un petit coup de rennes aux chevaux qui ébranlèrent le chariot. Les pavés, les trous, les bosses n'allaient pas être une partie de plaisir pour le Pape qui allait les ressentir deux fois plus fortes.

Le pape avait subit les pires suplices , son corps était mutilé , des stigmates qu'il garderai à vie .Le garde avait portait la lettre ........c'était fini , il avait survécu à la torture dans la foi , son corps tremblai de faiblesse.

Maddox après l'avoir torturé le soigna le nettoya et lui donna de quoi manger et de quoi boire , Valentin bu quelques gorgé puis dégusta quelques morceaux de pain.La porte grinçante et terrifiante de cette prison allait le marquer à vie,puis , tel une éblouissante apparition le soleil du matin fit son apparition. Le Saint Père sourit comme si dans ces signes anodin le Tout Puissant montrait à Valentin qu'après les jours sombres qu'il avait pu vivre la lumière était là toujours là près de lui prêt à l'accueillir .

On le plaça dans le chariot de la prison afin de le conduire vers Paris ....... vers le Louvre, là où on l'attendait , cylouan s'approcha de lui en lui disant

Citation :

monsieur ... je ne peux vous dire ce qui va vous arriver dans les prochains jours ... mais je peux vous assurer que durant ce voyage le gardien madox ne vous ferra plus aucun mal ... mais vous devez comprendre que l on doit aussi prendre certaine mesure de sécurité .

Valentin n'était au courant de ce qu'il se passait c'est qu'un nouveau roi avait prit la place d'alexandre . Il n'attendait plus rien et mais méditait puis il répondit d'une voix très faible juste avant qu'il ne referme les grilles

Mon enfant , je vis dans la foi pour Pascal et le tout Puissant c'est elle qui m'as guidé dans ces jours terrible, je comprends et je ne vous veux pas

on mit sur la tête du pape un cagoule puis les porte furent fermé.