[Rp Lieu] Les Portes d'accès au Louvre (passage obligatoire)

Eyquem restait calme..........

- Madame je vous remerrcie, je conçoit ce que ma démarrche puis avoirr d'inconvenant, je suis peu habitué aux manièrres de courrss, chez nous . chacun sait qui est ami et ennemi et va chez ceux de ses amis sans ambages. Je vais simplement rreculer pourr vous complairre.

- n'en voulait point à cet homme dit-il en désignant le soldat agressif .... il fait son devoirr avec comme il le dit avec zèle ..........

- Il ne tiendrrai qu'à moi je n'apprrocherrai point de carrrosses ou de voiturre à moins de trrente pas des grrilles ce qui vous mettrez à l'abrri d'un coup de pistolet........... carr je vois mal un homme se prrésenter sur la place avec un mousquet et une arrquebuse

Il écarte les bras, il n'avait rien sur lui que ce que tout gentilhomme est en droit de porter une bonne rapière et une dague assortie, puis lentement commence à reculer....... il ne voulait mécontenter personne ni le roi, ni la dame...... ni ce soldat dont il aurait, peut-être un jour, besoin.........

Il arrivait lentement aux grilles, il arborait un léger sourire et ne regardait pas le soldat............... Le Roi pris la parole et le sourire d'Eyquem se fit plus marqué........Il saluât le Roi.

- Votrre Majesté ne regrretterra pas ses parroles ni de me fairre confiance

Puis tandis que le Roi monte dans le carrosse......... d'un geste vif à l'aide de sa main gauche gantée de buffle prends la lame du soldat l'écarte et le regardant dans les yeux........... Vous faites bien votrre métier soldat Cyoulan..... pour cela je ne puis rrien vous dirre..... mais faites en sorrte à l'avenirr de ne point tirrer l'épée contrre moi, je vous salue et vous dit à bientôt En toute amitié

Eyquem s'en fut et retourne à son logement espérant recevoir bientôt sa convocation pour un entretien avec la Marquise de Brunoy

C'était fou toutes les informations que l'on pouvait avoir sans rien faire, ni payer. Depuis le sacre, Tarek avait écouté et avait surtout traîner vers les lieux les plus propices pour lui fournir les informations qui lui manquaient. Les tavernes, les auberges, le marché. Il n'était pas rare qu'ils suive une servante, ou un cavalier, ou n'importe qui. Tous étaient toujours bavards, trop bavards et racontaient tout ce qu'il ne fallait pas.

Ainsi, ses oreilles traînaient aux grilles du Louvre où des soldats préparaient quelque chose. De là où il était il pouvait voir qu'un cortège était sur le point de partir. Il ne pouvait distinguer si cela était un cortège royal ou pas jusqu'à ce qu'il entende le Roi et la Reine parler à un visiteur. Mais le clou de cette journée fut ce petit soldat bien nerveux. Voilà qu'il venait de dire la destination du cortège. Ils parlent toujours trop....c'était sa chance. Ainsi le Roi et la Reine partait pour Rouen. Qu'à cela ne tienne. Il était temps pour le groupe de Tarek de partir aussi en voyage.

Eyquem avait rendez vous au Louvre et y arrive un peu en avance.

comme à son habitude il observe, il fait le tour de la place observe............et arrive aux grilles......s'avance vers la garde.

-Soldats, la bonne jourrnée, je me nomme Eyquem de Neirrac et ai rrendez vous ici avec le Grrand Aumonier de Frrance.

Ouvrant son pourpoint il en tire la lettre qu'il avait reçu et la montre

Esmée a écrit:

Citation :

D'Esmée Leolan-Valrose,
Marquise de Brunoy,
Marquise de Montfaucon d'Argonne,
Baronne de Laigle,
Grand Aumônier de France.

A Eyquem de Neirac

Le Louvre,
Le 22 septembre 1651,

Monsieur,

Tout d'abords je vous pris de m'excuser pour le temps que j'ai mis à vous répondre.
Sa Majesté le Roi, m'a demandé de vous recevoir en entretien au sujet du poste de Grand Prévôt.
Ainsi, je vous demande de vous rendre au Louvre, ce samedi 24 septembre, en début d'après midi.
Il vous suffira de donner la présente lettre au garde pour que l'entrée vous soit accordée.
Je vous attendrais dans un bureau, un serviteur vous conduira à moi.

Je vous souhaite une agréable journée,

Esmée Leolan-Valrose.

Eyquem arrive au louvre et se présente au gardes......

Je suis envoyé parr Dame Arriane qui a été agrressée, dit-il mentant à moitié en espérant que ce nom est connu des gardes, Elle rréclame le médecin du Rroi, pouvez vous me conduirre à lui ?

[Dans le rôle de Germain, le garde]

Il fut réveillé en sursaut dans sa somnolence, faut dire que depuis que les trois-quart du conseil ont quitté Paris, il n'y a plus grand monde qui passe par là !

Monsieur...Je suis désolé mais le médecin du roi se trouve...avec le Roi...Qui est en ce moment même en déplacement si je ne me trompe pas en la ville d'Eu...Mais l'adjoint de monsieur de Lhavilland doit se trouver à l'hopital Saint Louis...

Il essaya de lui indiquer le plus clairement possible la direction à emprunter avant d'esquisser un sourire de lassitude, fallait dire que les agressions étaient des plus courantes et que c'en était usant.

J'espère que cette dame n'a rien de grave.

- Eyquem écoute l'homme plus dormeur que garde, brave homme, peu vigilant mais brave

- Merrci soldat c'est assez clairr je vais cherrche cet adjoint à Monsieur de Lhavilland

Sur ce il part dans à la recherche de l’hôpital et trouver l'adjoint........;

[9 novembre 1651 - Enfin le retour !]


Enfin de retour a paris au Louvre ,j'avais comme l'impression de l'avoir quitter des années , heureux et malheureux de revenir ici n'est ce point a cause de lui tout ce qui m'arrive,je soupira lorsque je mis pied a terre sur les pavés de la cour .
Mon moussaillon sur son cheval oublia de mettre pied a terre hypnotiser par tant de beauté qui l'entouré, je n'en fis point cas la regardant tendrement je lui souris avec amour ,oui car depuis amiens et la taverne j'ai retrouvé le gout de vivre ,le gout d'aimer .

m'approchant de ma sirene
Ma bien aimée nous sommes arrivés lui dis -je lui présenta ma main puissante .
Tandis que de l'autre coté valets et serviteurs se mirent en quatre pour le couple royale se jetèrent sur le carrosse ouvrant la portière .

Citation :

Nous voilà enfin de retour chez nous !

s'écria ma reine lorsqu'elle eut donnait le baiser au dauphin ,se retournant vers nous

Citation :

Bienvenue chez vous, bon retour au Louvre Alban. J’espère que cela vous fait plaisir depuis tout ce temps. Et vous Mai Lee j’espère vraiment que vous vous sentirez bien à nos côtés.

Demanda t'elle a ma sirene.
Rendant son fils à la nurse à qui elle demandait d’aller le mettre rapidement bien au chaud dans son lit, elle nous fixa et nous ordonna presque de faire de memes d'aller prendre du repos .

Bien sur votre majesté grand plaisir car c' est chez moi maintenant inclinant légèrement la tete nous irons prendre du repos humm le repos du guerrier pensais-je en regardant discrètement mon moussaillon lui souriant tendrement avec joie je lui ferais visiter notre demeure.

votre majesté vous souhaite un bon repos et n'oubliez point madame mon épée et ma vie et a votre service
au roy a la reine au dauphin et au royaume ! lui exclamais-je ah ! et plus jamais votre majesté en dehors du louvre ou que vous allez vous devrez sortir sans nous nous sommes vos ombres votre armures a vous majesté au roy et au dauphin lui faisant comprendre que dorènavant rien ne seras comme avant .

Majesté bon repos m'inclinant légèrement ,me retournant ver ma sirene lui fit signe de me suivre arrivant vers notre caserne .
Moussaillon voila ici c'est chez toi lui montrant le batiment a l'étage c'est mon bureau enfin ma chambre lui expliquant vaguement que lorsque ma tendre se trouvé a Rouen je vivais dans mon bureau.

Me tournant vers ma sirene ou désire tu dormir ? lui demandais-je une auberge a Paris ? ou chez ma sœur?

J'avais bien une idée mais il était trot tot ne point brusquer les choses pensais -je mon regard se noya dans le sien .
Je vous .. non je t'aime ma sirene ,mon moussaillon je revis avec toi oh je sais certes c'est trot rapide prends ton temps mais sache que ce cœur bat de nouveaux lui prenant sa main douce je la plaqua contre mon cœur, a partir de ce moment plus rien compter pour nous bruits, pas, hennissements des chevaux ,le raisonnement des sabots sur les pavés .
Mon visage s'approcha du sien ,mes levres se posèrent sur les siennes , au contacts de elles ci je reçut milles aiguilles dans mon corps , mes bras enlacèrent son corps gracieux et souples restant des secondes des minutes des heures que s' ais-je une éternité soudés au milieux de tumultes de bruits de cris rien nous séparas .

Je me sentis bien , renaitre tel le phœnix , je la serras dans mes bras tendrement et cria haut et fort

Je t'aimes Maiee ,ma sirene aux cheveux de feux je me mis a rire la prenant par la taille de mes deux mains puissantes qui devinrent douceurs et tendresses .

Bien venue chez toi ma bien aimée finis-je par lui dire naturellement .

[9 novembre 1651 - Enfin le retour !] 

Les sabots sur les pavés fessait ses petits claquement qui la fit sourire ,Paris grande et merveilleuse ville avec sa beauté mais aussi son histoire sombre ,le Louvre et toute sa splendeur qu'elle avait les yeux qui brillaient de mille feu d'un coup la voie de son tendre chevalier se fie entendre ,elle lui sourit
tous le monde était a terre et le couple royale étaient descendu du carrosse

oui mon tendre chevalier elle pris la mains qu'il lui tendait elle ne sentait plus ses jambes et avait une douleur au dos et elle le pensa pas a son postérieur qui lui avait du s'endormir au route .lâché la main de son protecteur de peur de tombé mais devant le couple royale elle pouvait bien récitait encore un peu ,ses yeux se posa sur sa reine qui avait le dauphin dans ses bras ,elle s'inclina

oui ma reine comment ne pas se sentir bien ici

sa reine fessait tous pour que tous ce passe bien elle était si vigilante envers les seins ,elle les écoutait un peux de repos oui c'était pas du lux tout dépendant ce qu'on appel du repos aussi .
Mai_lee se sentait légère elle n'avait qu'a suivre et restait discrète pour le moment et que c'était bon,
son cher alban souhaite un bon repos au couple puis il lui montra sa nouvelle caserne et son bureau ou sa chambre et se mit a sourire elle se souvenait quand son bureau était sa maison ,sa chambre salle de bain salle a manger et enfin bureau puis cette question ou voulait elle dormir ? Une vraie question dans la caserne ou dans un auberge voir chez sa sœur
elle aurai voulut passé du temps rien avec lui mais il n'avait pas vue sa fille depuis bien trop longtemps


comme tu veux mais je sais que tu n'a pas vue ta fille depuis bien longtemps heu je fais ce qui est mieux pour toi

il lui mis sa mains sur on torse elle pouvait sentir son cœur ,il l'attira doucement vers lui et leurs lèvres se touchait ,leur premier baisé aussi tendre et romantique qu'elle aurai pas imaginé aussi parfait ,elle se blottissait contre lui et se s'était revire ,il la souleva et se mie a criait

Je t'aimes Maiee ,ma sirene aux cheveux de feux

pas si fort les voisin vont criés elle n'avait pas eu le temps de finir sa phrase qu'on entendait qu'elle que mécontentement

c'est pas fini ce bordel il y a des gent qui dorme

mai_lee se mie a rit et répliqua

mais c'est quoi c'est gents paris est la ville de l'amour non

je t'aime alban toi le mousquetaire géant je ne veux me séparait de toi et chez moi serra la ou tu serra

elle se serra dans ses bras et l'embrassa de nouveau

[9 novembre 1651 - Enfin le retour !]

Une fois que nous nous assurames que leurs majestés ainsi que le prince furent en sécurité nous quittâmes les lieux

pour nous diriger vers la caserne .

Apres avoir avoué mon amour a ma bien aimée en hurlant elle me répondit

Citation :

Pas si fort les voisin vont criés

elle n'avait pas eu le temps de finir sa phrase qu'on entendait qu'elle que mécontentement

Citation :

c'est pas fini ce bordel il y a des gent qui dorme

hurlèrent ils

Mai_lee se mie a rit et répliqua je me mis a rire aussi

Citation :

mais c'est quoi c'est gents paris est la ville de l'amour non

Citation :

je t'aime alban toi le mousquetaire géant je ne veux me séparait de toi et chez moi serra la ou tu serra

me dit elle en se serrant contre moi posant de nouveau ses levres sur les miennes qui accueillirent se baiser comme un don ,mon cœur se mit a battre tel des chevaux aux galops, je la serra tres fort dans mes bras et lui murmura moi aussi moussaillon je veux te rendre heureuse t'aimée comme jamais tu as été aimer ,choisis ou tu souhaites te poser .Réfléchissant en meme temps je la regarda tendrement

C'est vrai ma sirene ! ma fille me manque cruellement si on allait la voir maintenant et demander l'hospitalité a ma sœur , elle nous refuseras point pour quelques jours le temps ou nous trouvions un toit ! noyant mes yeux verts dans les siens .

On y vas moussaillon? lui demandais-je tendrement commençant a se diriger vers Arkhan.

9 novembre 1651 - Enfin le retour !] en route pour la demeure de l'espérance

Citation :

bien je vous suis mon commandant un toit mais a paris on trouvera bien notre bonheur quand même
il faut remonté a cheval?

Elle se dirigea vers tempérance et me regarda

Citation :

on vas au pas elle est fatigué,elle en a pleins les bottes non les sabots

Bien sur ma sirene nous irons aux pas mon Arkhan aussi en a plein les sabots ,la regardant tendrement ma bien aimée point de mon commandant sortit du Louvre entre nous entendu mon lieuteeenant lui répondis-je en montant sur Arkhan

Pour un toit moussaillon ma sœur bien aimée nous accueillera sans probleme , par contre pour trouver un toit plus tard pour nous deux je lui sourit tendrement je te laisserais libre choix réfléchit prends ton temps
Mais pour le moment un bon bain un bon lit et du repos n'est ce pas moussaillon hummm le repos du guerrier lui faisant un clin d'œil m'approchant de ma sirene je lui posa mes levres sur les siennes l'embrassant fougueusement nous restames une éternité soudée par le bonheur .
Reprenant notre souffle

Je t'aimes ma sirene ma bien aimée ,mon amour hummm préfère ma sirene d'amour je t'aimes
bon allons y moussaillon en route pour le manoir ..cherchant le nom euhh! de l'espérance

Nous sortimes du Louvre aux pas cotes a cotes temps en temps je lui lança un regard amoureux et tendre,son visage rayonné enfin de bonheur de joie .


(la suite sur post la demeure de l'espérance)

Cara arriva devant les portes du Louvre, elle n'y avait jamais été et surtout pour aller voir Anne et de la réconciliée avec son frère. Elle ne savait pas qui demander et si on allait la laissée entrée. Enfin bon sinon elle aura essayer.

Elle regarda les gardes a l'entrée et se présenta

Bonjour, excusez moi je suis Cara de Léon, je voudrais voir Anne Romanov si c'est possible.

Elle attendit une réponse

Le bourreau ne pouvait en aucun se trouver là. Voir le Roi lui serrait refusé. Il fallait qu'il trouve une parade. Il avait préparé un petit mot qu'il glisserait à une personne de confiance. Le SEG ou alors son épouse. Il avait confiance et savait que son message serait transmis. Il attendit aux grilles jusqu'à voir l'un des deux arriver.

Non loin, il reconnut un soldat de Paris. Il ne connaissait pas son nom mais l'avait croisé à la prison. C'était elle qui avait amené Tarek.

- Mademoiselle, savez vous si le SEG ou son épouse sont déjà entrés ? demanda t'il. On dirait qu'il n'y a plus de garde ici depuis longtemps. C'est vous qui êtes en charge de protéger les grilles ?

Il avait naturellement pensé qu'un soldat ici devait être là pour protéger les grilles en l'absence des Gardes Françaises.

Tranquille dans mon petit cabanon bien au chaud, enfin façon de parler, disons surtout à l'abri du froid, je mettais du temps à réaliser qu'il y avait du monde.

Rapidement je réajustais mes vêtements et m'avançais.

Bonjour, c'est à quel sujet ? vous êtes attendus Madame et Monsieur ? Veuillez aussi décliner votre identité et le motif de votre venue.

Je restais le visage sans aucune émotion à attendre les réponses de l'un et l'autre.

Mince... voilà qu'un garde arrivait. Il n'avait pas prévu cela. Il se retourna et baissa la tête rapidement.

- Je ne suis pas avec cette demoiselle, fit il timidement. Je.... je reviendrais.

En quatrième vitesse, il traversa la rue et tourna au premier coin pour filer. Il se voyait mal annoncer qu'un bourreau voulait voir le Roi. Il allait devoir trouver une autre solution. Un message. Oui, ce serait plus simple. Un message écrit au SEG qui lui ferait passer.

Sans attendre il retourna à la caserne.

Elle en avait marre d'attendre et vit quelqu'un arriva, elle ne connaissait pas cet homme.

Non monsieur je ne sais pas s'ils sont rentrés et non je ne fait pas la garde ici.

Puis elle vit un garde arriver. Il avait pas l'air commode lui comme garde ou du moins, pas tres souriant. Elle voyait que le monsieur a coté ne se présenta pas et partit en courant sans rien demander. Pourquoi il était venu alors? pfff

Bonjour monsieur, je suis Cara de Leon, je voudrais voir Anne Romanov si cela est possible.

Elle regarda le garde et attendit une réponse.

Je levais un sourcil aux dires de l'homme. Bien pas avec la femme mais alors pourquoi partir ainsi ? il ne me semblait pas encore avoir mangé quelqu'un jusqu'à présent, même si je devais avouer que le ventre gargouillait. Mais là j'avais une belle femme devant moi alors après tout, pas plus mal que l'autre ait décidé de prendre la poudre d'escampette.

Hum. Cara de Leon, ça me dit quelque chose. Vous ne seriez pas à l'armée vous ?

Je la regardais de bas en haut et de haut en bas avant de me reprendre.

Anne Romanov ? hum ahhhhh oui la Surintendante ? hum je vais voir si elle est ici, ne bougez pas surtout, ne faites pas comme l'autre à qui j'ai apparemment du faire peur.

Sourire narquois avant de la laisser quelques minutes seule pour aller vérifier si la Surintendante était présente. Je consultais le registre puis revenais mais en ayant pris soin aussi de vérifier si cette personne était bien celle que je pensais.

Bien Soldat, la Surintendante est bien au Louvre. Allez-y et puis demandez au prochain garde à l'entrée du Château qu'on la prévienne de votre venue.

Un beau brin de femme quand même il n'y a pas à dire. Mais il me fallait garder mon sérieux, j'étais sur mon lieu de travail tout de même. En d'autres lieux, d'autres circonstances je lui aurai bien offert un verre dans une taverne.

Elle sourit a la question du garde.

C'est exact, je suis dans l'armée, plus précisément dans l'infanterie.

Cara voyait qu'il avait l'air de la regardée de la tête au pied, elle lui plaisait ou quoi? peu importe, elle n'était pas la pour ça, malgré que le garde sous son armure avait l'air bel homme.

Oui c'est la surintendante et non je ne bouge pas.

Elle attendit quelque instants puis il revint et lui dit qu'elle pouvait passer.

Je vous remercie monsieur. puis elle lui sourit

Puis elle rentra et alla jusqu'à l'entrée ou effectivement il y avait un garde devant l'entrée du chateau. Elle regarda derrière elle et vit le garde qui resta pres des grilles, qui la regardait aussi, elle en rougit mais bon...

Bonjour monsieur, pourriez vous prévenir Anne Romanov de ma venue s'il vous plait?

Puis elle attendit une réponse