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Narcisse

Narcisse


Messages : 1145
Date d'inscription : 14/03/2011
Ville : Paris

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MessageSujet: Comment se taper l'affiche   Comment se taper l'affiche EmptyMar 28 Fév - 12:09

Dernière publication en date - 28 Février 1652
Citation :
Le roi publie, le roi écrit, enfin fait écrire des............sornettes et des bêtises .............un exemple et bien voyaez

de sa nouvelle ORDONNANCE DU 16 février 1652

Portant sur l’administration des Offices d’Armes et de Cire, servant règlement héraldique & sigillographique

en son :

Article VII. Parce que noblesse engage à la gentilhommerie, tout noble se doit d’avoir un comportement digne et tout mensonge, faux témoignage, adultère, sorcellerie, ivrognerie, couardise, duel avec un autre noble, meurtre ou escroquerie & tout acte jugé contraire à la noblesse par Sa Majesté le Roi de France, constaté sera sévèrement puni par la loi de Sa Majesté et punissable par l’emprisonnement à la Bastille ou aux Galères de Sa Majesté.


Le Roi qui a un maitresse vous savez celle dont je vous ai parlé.......il est donc adultère


Ah ah ah le jolie roi que voila En prison, aux galères choisissez majesté choisissez avant que l'on ne choisisse pour vous.

Seconde publication - 16 Février 1652
Citation :
Le roi, va de ci de la flâne sa maitresse au bras
il va, ils vont en l'auberge la plus fréquentée de Paris
elle s'épanche et dit à tous le monde qu'elle lui ouvre les bras
elle ne sait pas se taire et dit qu'elle lui ouvre les cuisses aussi

Quant un preux, sérieux, scandalisé dit à la légère
que son comportement est plus qu'outrageant
La belle cours en pleurant se plaindre au roi et a ses gens
alors le roi tance celui qui défends l'honneur bafoué par la légère

Ce roi qui se plaint d'avoir a gérer le pays s’arroge des titres
auquel Pascal ne lui a donné aucun droit
il se dit de Navarre puis part l'âme sereine avec sa maitresse faire le pitre
il va léger comme sa tête, inutile et sans fierté jamais il ne se tiens coi.

Pendant ce temps sa femme légitime règne se voulant aigle
elle mord, jalouse de tout et de tous elle n'est même pas faucon
forcément elle est frustré car personne ne s'occupe de son con
au bâton elle mène son monde, tous doit plier c'est la règle

et lui, le roi pendant ce temps ment au peuple
il instaure un impôt une taxe nouvelle
qui serre plus fort le ventre des pauvres, la taille qu'il l’appelle
en cachant le motif réel car il est en plus veule

Il ose dire que cela est pour payer ses soldats
alors que chacun sait qu'il n'en a presque pas
mais alors pourquoi payer cette taxe traitresse
si ce n'est pour entretenir sa légère maitresse

Peuple lève la tête au exigence du tyran ne te plie pas
comme nos voisins anglais refuse, imite les têtes rondes
bat toi et marche sur le chemin, fait tes propres pas
comme nos voisins anglais du roi fait que sa tête tombe

Première publication - 11 Février 1652
Citation :
À vrai dire, il est bien inutile de se demander si la liberté est naturelle, puisqu'on ne peut tenir aucun être en servitude sans lui faire tort : il n'y a rien au monde de plus contraire à la nature, toute raisonnable, que l'injustice. La liberté est donc naturelle ; c'est pourquoi, à mon avis, nous ne sommes pas seulement nés avec elle, mais aussi avec la passion de la défendre . Si par hasard il naissait aujourd'hui quelques gens tout neufs, ni accoutumés à la sujétion, ni affriandés à la liberté, ignorant jusqu'au nom de l'une et de l'autre, et qu'on leur proposât d'être sujets ou de vivre libres, quel serait leur choix ? Sans aucun doute, ils préféreraient de beaucoup obéir à la seule raison que de servir un homme. La liberté, les hommes la dédaignent uniquement, semble-t-il, parce que s'ils la désiraient, ils l'auraient ; comme s'ils refusaient de faire cette précieuse acquisition parce qu'elle est trop aisée.

Diviser pour "mieux" régner.

C'est ainsi que le tyran asservit les sujets les uns par les autres. Il est gardé par ceux dont il devrait se garder, s'ils valaient quelque chose. Mais on l'a fort bien dit : pour fendre le bois, on se fait des coins du bois même ; tels sont ses archers, ses gardes, ses hallebardiers. Non que ceux-ci n'en souffrent eux-mêmes ; mais ces misérables abandonnés de Dieu et des hommes se contentent d'endurer le mal et d'en faire, non à celui qui leur en fait, mais bien à ceux qui, comme eux, l'endurent et n'y peuvent rien.

Quelle peine, quel martyre, grand Dieu ! Être occupé nuit et jour à plaire à un homme, et se méfier de lui plus que de tout autre au monde. Avoir toujours l'œil aux aguets, l'oreille aux écoutes, pour épier d'où viendra le coup, pour découvrir les embûches, pour tâter la mine de ses concurrents, pour deviner le traître. Sourire à chacun et se méfier de tous, n'avoir ni ennemi ouvert ni ami assuré, montrer toujours un visage riant quand le cœur est transi ; ne pas pouvoir être joyeux, ni oser être triste !

Pourquoi accepte-t-on
de se soumettre ?

Ainsi, puisque tout être pourvu de sentiment sent le malheur de la sujétion et court après la liberté, puisque les bêtes, même faites au service de l'homme, ne peuvent s'y soumettre qu'après avoir protesté d'un désir contraire, quelle malchance a pu dénaturer l'homme seul vraiment né pour vivre libre au point de lui faire perdre la souvenance de son premier état et le désir de le reprendre ?

Les hommes nés sous le joug, puis nourris et élevés dans la servitude, sans regarder plus avant, se contentent de vivre comme ils sont nés et ne pensent avoir d'autres biens ni d'autres droits que ceux qu'ils ont trouvés ; ils prennent pour leur état de nature l'état de leur naissance. On ne regrette jamais que ce qu'on n'a jamais eu. Le chagrin ne vient qu'après le plaisir et toujours, à la connaissance du malheur, se joint le souvenir de quelque joie passée. La nature de l'homme est d'être libre et de vouloir l'être, mais il prend facilement un autre pli lorsque l'éducation le lui donne. Ainsi, la première raison de la servitude volontaire, c'est l'habitude. Ils disent qu'ils ont toujours été sujets, que leurs pères ont vécu ainsi. Ils pensent qu'ils sont tenus d'endurer le mal, s'en persuadent par des exemples et consolident eux-mêmes, par la durée, la possession de ceux qui les tyrannisent.

Heureusement, il y a aussi des révoltés. Mais en vérité les années ne donnent jamais le droit de mal faire. Elles accroissent l'injure. Il s'en trouve toujours certains, mieux nés que les autres, qui sentent le poids du joug et ne peuvent se retenir de le secouer, qui ne s'apprivoisent jamais à la sujétion et qui [...] n'ont garde d'oublier leurs droits naturels, leurs origines, leur état premier, et s'empressent de le revendiquer en toute occasion. Ils se remémorent les choses passées pour juger le présent et prévoir l'avenir [...]. Ceux-là, quand la liberté serait entièrement perdue et bannie de ce monde, l'imaginent et la sentent en leur esprit, et la savourent. Et la servitude les dégoûte, pour si bien qu'on l'accoutre.

Des solutions ?

Ce tyran seul, il n'est pas besoin de le combattre, ni de l'abattre. Il est défait de lui-même, pourvu que le pays ne consente point à sa servitude. Il ne s'agit pas de lui ôter quelque chose, mais de ne rien lui donner.

Lève la Tête peuple sans couronne, lève la tête, regarde non pas le ciel mais le trône qui t'appartient comme toutes choses en ce royaume, lève toi et prends ce qui te reviens

Voilà qui va occuper notre Oiseau. Tant de choses à lire, il va bien trouver qui se cache derrière ces lignes.
Premier texte, Narcisse lit. Il pense, n'est pas d'accord avec ce qui est écrit. Et puis, en fin de texte, un passage lui semble étrange. En fait, ce n'est pas ce qu'il y a dans le texte qui le choque, mais ce qui n'y est pas. Une intuition. Il pose le texte, et s'attaque au second.

Visiblement, ce n'est pas la même personne qui a écrit les deux. Quoi que... Narcisse lit, et déduit.
Apparement, il y a du vécu là-dedans. Si le Roi c'est fâché, nul doute qu'il faut s'interesser à qui, et savoir pourquoi.
Et cette histoire de Navarre, qui titille tant un si petit groupe de délirants partisans. Voilà qui est amusant.
Le cercle des poétes disparus se réduit d'un coup. Voilà un nouvel endroit où chercher.
La Reine. Pourquoi Narcisse pense à la Reine ? Parce qu'il y pense toujours voyons ! Il faudra qu'il aille la voir. En fait, il ferait bien d'y aller sur le champ.
Et n'oublis pas Narcisse, c'est professionnel, on met les sentiments de coté, et on fonce.

Quand à la dernière annonce, Narcisse approuve le comportement du Roi. Il est un peu dans le même genre ! Par contre, il réprouve la loi.
Les lois écrites sont inutiles pour lui. Le bon sens devrait régner. C'est ce qu'il faisait en tant que juge.
L'amour est la plus belle des choses. On peut aimer beaucoup de monde. Pourquoi ne pas laisser faire, hein ?
Un sourire, pas de doute que LP va être ravis de voir ce petit mot adressé à lui.

Au maille, galèrien. Pour commencer, direction le quartier littéraire. Nul doute que ce petit voyage sera intéressant.

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