[RP] Demeure Belly Du Beau Regard, 3 rue de Beauvais

(hrp : sera édité)


Il rentra dans sa demeure elle était magnifique !
Splendide, plus que tout ce qu'il aurais pu demandé, ce n'était pas non plus un château mais sa y ressemblé. En tout cas la demeure était très belle et c'était plus grand que ces espérances. Et avec les quelques rénovations qu'il comptait apporté. La demeure sera d'abord très grande, mais sera richement décoré avec une maison de gardien à l'entrée qui ressemblera plutôt à une maison normale dans ce vaste endroit concernant le gardien.
Il commença à s'installé, mettant des meubles neufs, il prépara son bureau, sa chambre...
Puis cela finit, et s'assit confortablement sur son fauteuil de cuir, c'est bien le seul objet d'une valeur assez élevé qu'il avait en sa possession avec la demeure (pour l'instant) et commença à travaillé, il n'était qu'un simple conseiller à l'animation... mais il comptait bien monté les échelons.

Me voici chez Maxime , je viens lui rappeler que c'est dimanche que je me marie et qu'il est mon témoin .
C'est vraiment trés bien cette demeure , j'espère qu'il va trouver quelqu'un pour vivre avec lui.
Quoi de mieux que la vie à deux , je le réalise tous les jours

Comment va mon collègue et ami ? Je passais pour te rappeler que dimanche tu est mon témoin de mariage.

Tu es trés bien ici , c'est trés agréable , il te faut une petite femme .

C'est meublé avec gout et trés bien décoré.

J'accepte avec plaisir de boire un verre avec toi

Je m'assieds comme si j'étais à ma maison

Maxime ne changeait pas .

Essaie vraiment de faire un effort , viens signer à l'église , je ne marie pas tous les jours !


Fori et moi allons trés bien , d'ailleurs nous n'avons pas le choix avec tout ce qui y il a à faire pour ce carnaval , puis le travail habituel et voir avec John pour l'auberge.

L'Amour est imprévisible ; j'étais à l'accueil la première fois que j'ai vu Fori, je me suis débrouillé pour qu'elle ne soit jamais lon de moi et voila le résultat.

Je parlais à Maxime avec la même tranquillité et honnéteté que je l'aurais fait à un proche parent qui serait à sa place.

(désolé pas le temps d'écrire)

Comme toujours Maxime l'écouta et lui répondit :


Ce n'est pas moi qui décide Joa, mais je ferais de mon mieux.

Puis réfléchit essayant de trouvée un thème de conversation

Depuis plusieurs heures, Maxime et Joa discute de tout et de rien. Parle de politique, de finance et bien d'autres sujet, mais l'heure passe si vite. Que voici déjà le soir qui arrive. Le temps passe si vite, Joachim doit rentré retrouvé sa famille, il raccompagne son ami et le salut disant ses mots :

Bonsoir Joa, passe une excellente soirée et à demain au conseille.

Après avoir écouté sa réponse, il le regarde allez au loin, il à passé un très bon moment aujourd'hui. Le voila déjà loin, et il s'habille se préparant à allez en taverne, ou il rencontre une personne très agréable, une couturière et sachant qu'il n'aura pas obligatoirement la chance de la rencontré à nouveau, il lui écrit une missive voulant la revoir mais écrit aussi que c'est en toute amitié, il ne voulait pas lui faire peur. Les dames pensent tant de choses parfois, qu'on ne sait plus quoi pensé. Le lendemain, le voila levée après avoir pris son repas, il entend toqué. Il file à tout vitesse vers sa chambre et s'habille d'une façon plus convenable, puis après avoir redescendu les marches de l’escalier il ouvre la porte à son hôte.

Bonjour mademoiselle, comme vous pouvez le constatez je suis bien présent. Excusez mon retard à vous ouvrir j'était... dans le jardin.

Maxime trouve son excuse bien bette mais c'est mieux que rien.

Je vous en prise rentré, il fait un bien beau soleil aujourd'hui. Je vous sert quelque chose ?

Il attendit la réponse de son interlocutrice

Il l'écouta heureux qu'elle soit ici puis écoute son histoire bien triste. Même si on fond de lui il était assez content, que cette homme l'ai quitté. Sinon lui aussi aurais du faire une allusion à l'amour qu'il portée en sa personne.

- Johanne, ce que vous me racontez la est bien dommage... Toutes mes condoléances pour votre père, je sais que ses assez lointain dans le passé. Mais je vous le dit comme-même. Concernant cette homme, je suis certain qu'il ne vous le méritez pas. Vous étiez trop bien pour lui, juste vous entendre dire ce qu'il à fait, me fait déjà pensé à une certain idée de son comportement. Pour ma part, je n'ai jamais aimé personne dans le passé. Même si parfois j'esperait trouvé une âme dans cette planète si vaste, une personne qui mériterais mon amour. Mais j'était trop préoccupé à essayé de sortir de chez moi, je suppliait mes parents, ma famille toute entière que de me laissez partir mais il ne voulais pas disant que je trouverais rien, mais à force il m'ont trouvé que j'était un bon à rien. Qui ne fesez rien dans les fermes, en réalité j'était en train de m'instruire auprès du prêtre du village. Je n'avais pas le temps de faire les champs et me cultivé, drôle de vie que j'ai eu. Et il m'on demandé de partir, disant que j'allais regretté de ne pas travaillé et je suis allez par hasard sur un chemin, j'ai travaillais à Paris, j'était dans la cavalerie.. Puis j'ai arrêté de travaillais dans la cavalerie, je me disait que se serait dommage de mourir sans connaitre le monde ou on habite réellement, le monde devait bien être bien quelque part et puis un beau jour je me suis rendu compte voyagé n'était plus à mon gout, je m'en lassé et j'ai fait mon tout dernier voyage et je suis arrivé ici à Amiens. Par rapport à beaucoup de monde, je n'ai jamais eu beaucoup d'affection dans mon enfance. Ma famille s'en fichait pas mal de qui j'était, il se disait juste que j'était une main de plus dans leurs champs. Enfin.. j'ai rencontré Joachim à Paris et m'a convaincu dans ses propos qu'Amiens était bien, s'était le seul ami que j'avais avant d'arrivé ici et disant que je pourrais m'y installé tellement cette ville était bien et qu'il était certains qu'elle me plairait. Il avait raison, cette ville est superbe et pleins de personnes agréables y vivent, il y à même des gents travailleurs et sympathique je n'avais jamais rien vu de telle, comme Fleur. C'est incroyable ce qu'on peux trouvé à Amiens, si je n'était pas venu ici je m'aurais fait l'idée que le monde était peuplé d'être diabolique. Mais je trouve que je suis le mieux s'est d'être avec vous. Votre présence me fait du bien, je ne sait pour quelle raison.

Il mentait il s'avait très bien, qu'il l'aimait, tellement son coeur battait et l’impression qu'il avait d'être avec elle mais bon autant faire semblant.

- Je suis ravis que vous vous sentez bien, j'aurez trouvez dommage que cette endroit ne te plaise pas.

Enfin Maxime l'a tutoyé, il espérait que cela ne dérangera pas Jehanne puis son regard se posa sur l'horloge.


- Déjà le soir, comme le temps passe vite, si tu veux je peux te préparé à mangez. Nous pourrions ainsi continué à bavardé, tout en remplissant notre estomac. Et si tu à peur de rentré nuit noir, ne t'inquiette pas je t'accompagnerais.

Il lui sourit à nouveau attendant sa réflexion ou sa réponse.

Ayant l'entendu son coeur batta tout d'un coup beaucoup plus fort qu'avant et de plus en plus rapidement. Joué t'elle la comédie ? Ou bien Maxime avait t'il une chance exceptionnelle que Jehanne éprouve les mêmes sentiment que lui ? Plusieurs questions arrivèrent dans sa tête, et Maxime n'en avait guère les réponses, même pas une seul. Maxime trouve Jehanne si belle et ses paroles.. l'on amené dans les nuages, qu'il ne sait plus quoi répondre. Il hésite à prend la parole, ne voulant pas dire de bêtises. Maxime est convaincu qu'il va tout gâché, il ne sait pas quoi faire et sans le vouloir il dit, lui rendant son sourire, Maxime n'est pas près de sitôt à réussir à caché ses pensés ou ses sentiments :

- Jehanne, je je je

Voila il avait dit quelque mots, et il ne s'avais déjà plus quoi dire. Il avait si peur, il voulait tant que ce moment arrive et à présent il ne sais plus quoi faire.

- Je doit t'avoué que je je je..

Il n'arrivait pas à lui, une chose si simple. Une chose si humaine..

- Jehanne je t'aime au plus profond de mon âme, depuis que je je t'ai vu, j'ai, j'ai eu un coup de foudre certain.

Voila il s'était lancé plus question d'allez en arrière. A la la pourquoi Maxime était si timide dans ses situations