[RP] Les quais

Messages : 611 Date d'inscription : 19/10/2009

Il avait raison sur un point elle lui poser beaucoup trop de questions et ça tête devait lui raisonnait comme une cavalerie en charge pour une grande bataille pauvre charment si il savait que c’était blanche neige qui lui avait fait ça . Elle l’écoutait attentivement sur le jeune roi et son gèrent quand a l'armé il n'avait aucune nouvelle c'est doute était faite ,elle serrai sûrement déclaré déserteur .elle se servis un grand verre de vin et le but cul sec et se mie a sourire au prénom qu'il lui dit

par Neptune que cette piquette et bonne

Elle observait charment qui zyeuté sa belle endormi depuis combien de temps un homme ne l'avait pas regardait comme ça elle chassa vite cette idée de sa mémoire car elle savait trop bien comment ils finissaient .Elle se resservit un verre de vin et le but a moitié

non mon prénom et Mai_lee

Elle se frotta le visage avec ses mains plus de marine elle qui c’était battue pendant des années ,elle qui l'avait monté avait fait du porte a porte pour trouvait des marins pour défendre sa ville et pourquoi pour qu'elle trouve elles portes closes .mais pourquoi cette homme n’était pas arrivé deux ans plutôt quelle équipe ils auraient fait encore un coup de ce satané destin

absente oui longtemps plus de deux ans et but l'autre moitié de son verre

elle manga un peux du repas ,et regarda la bouteille.depuis combien de temps elle buvait bien trop longtemps depuis la trahison de cet homme ,au début elle buvait pour oubliait son chagrin et au fur et a mesure la bouteille était plus forte voilà pourquoi elle voulait la bourse de cet homme pour faire comme tous le soir .Mai_lee secoua la tête pour ce remettre les idées en place .Il fallait qu'elle réfléchisse et vite Paris il fallait qu'elle monte a paris Héléna allait mieux répondre a ses questions du moins elle l’espéré si non elle ne donné pas cher de sa tête

Messire du chef de la sécurité j’aurai besoin d'un cheval et que vous me rendez mes armes je dois monté tous de suite a paris

elle enleva son médaillon de son coup et le regarda droit dans les yeux elle n'allait certainement pas se rabaissait a charment en fessait les yeux doux

je vous laisse se médaillon qui et très précieux a mes yeux et de que j'ai fini je vous rapporte votre bien

il ne manquerai plus que charment laisse sa blanche neige pour venir avec elle il serrai sûrement en danger comme une brebis le pauvre petit choux ,elle n'avait pas le temps de faire la nounou pour un coq de basse-cour

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Bigre de bougre, a me taper les joues comme cela, je ne vais pas tenir moi, j’ai juste envie de me relever et de crier « Mais arrête voyons ».
La belle Mai vient à mon secours et joli cœur me laisse enfin tranquille.

Jouer la comédie je sais faire et là je suis confortablement installée, les yeux clos à les écouter.
Le plus dur c’est quand la bonne odeur envahit la piece, c’est que je n’ai plus rien avaler depuis la veille moi, j’ai faimmmmmmmmmmmmm. Tien bon Rosy, tien bon.
En mode détective, j’écoute ce qui se dit dans la pièce. Seul moyen que j’ai trouvé pour pouvoir surveiller le comportement de mon prétendant vis-à-vis des autres femmes.
Ce n’est pas correcte, je sais, mais c’est comme çà, na !

Quand le beau conseillé clame qu’il est un homme public, je retiens de justesse une grimace, public dans quel sens ais je envie de demander, public pour toute les belles de la ville ?
Il enchaîne en disant qu’il n’a rien a caché, j’espère pour toi mon coco.
Germaine file, ca remue, ca bouge, j’ai envie d’ouvrir les yeux, de poser mes prunelles ambre vers le couple qui reste dans la pièce, mais je tien bon.

Bla bla et encore bla bla, rien de particulier.
Puis une demande, un cheval et des armes, mais pourquoi faire ?
Un cadeau, un médaillon précieux de la belle rousse au beau brun, mais allez y, ne vous gêner pas, ehhhh je suis la quand même, vous pourriez faire vos échanges de merveilles dans une autre pièce.
Ainsi donc la belle et joli cœur on bien une liaison, je retiens mon souffle quelques instant pour tenir bon.
Ca va saignée, moi je vous le dit !

Messages : 361 Date d'inscription : 20/03/2014

J'écoutais Mai-Lee, intrigué par sa vie mouvementé quand elle me parla de cheval.

Un cheval! Mais bien sur, il se trouve que nous venons de confisquer 6 chevaux à un voleur, de vrais pur sang arabe.

Citation :: je vous laisse se médaillon qui et très précieux a mes yeux et de que j'ai fini je vous rapporte votre bien

Je prenais le médaillon en lui souriant et le mettait dans ma poche.

Alors affaire conclue, je garde votre médaillon jusqu'à votre retour et le rendu du cheval.

Allons finissons de manger car je suppose que vous avez hâte de partir à Paris, moi de mon coté de m'occuper de ma belle colombe endormie et la soigner si besoin.

Messages : 611 Date d'inscription : 19/10/2009

Mai_lee arrivait a ses fin voilà que charment lui passé un cheval un pur sang en plus contre le prête de son médaillon .Elle lui fis les gros yeux quand il ne mis comme des vulgaire pièces dans sa poche pourvue qu'elles ne soient pas percé .Voila charment qui jouait au bon samaritain finir de managé il n’était ni son père son frère ou son amant bien que si il n'y avait pas sa blanche neige elle en aurai peux être fait son encart mais les trahisons fond trop de dégâts pauvre blanche quand même.
Elle but un autre verre de vin se leva et se pencha vers l'oreille charment

si vous perdez se médaillon je peux vous dire que vous passerai un très mauvais moment

elle regarda blanche neige

prenez bien soin d'elle elle paraît fragile et forte a la fois

Elle quitta la pice pour ce rendre a Paris au plus vite

Messages : 361 Date d'inscription : 20/03/2014

Je laissais partir celle que j'aurais du mettre en prison pour un bon moment sans regret aucun car elle était tout le contraire de ce gredin de Cylouan.

Une pensée vite effacée de ma tête la concernant et je m'en retournais vers la belle dormante. Je m'asseyais sur le bord du lit moelleux et prenant sa main chaude, je la caressais en douceur comme pour la sortir de sa torpeur.

Je ne pouvais m'empêcher de la regarder, si belle, si femme et si vulnérable. Comment lui dire tout l'amour que j'avais pour elle alors que tournait autour de moi tant de femmes qui ne pensaient pas toutes à être juste des relations envers moi.

Je souriais en pensant déjà à Germaine qui passait son temps quand j'étais là à me faire des yeux doux et être prévoyante envers moi. Mais même si je prenais plaisir à courtiser, être galant voir plus, je savais que mon coeur lui n'étais que pour une seule et unique et elle était là, endormie, pâle....Pâle, mais non que nenni, je remarquais une certaine rougeur sur ces joues...Mes caresses sur ses mains...Oups, je m'apercevais qu'elles avaient glisser sur son ventre tout pris dans mes pensées.

Avec attention j'observais plus attentivement sa respiration, son visage....Rho la coquine...je souriais et continuais mon massage de son ventre en remontant toujours un peu plus, attendant de voir sa réaction.

Messages : 128 Date d'inscription : 29/10/2009 Ville : Amiens

Dragan arriva devant l'auberge et poussa la porte. C'était un lieu simple dont l'entrée débouchait sur une salle de restaurant. Dragan après avoir réajuster sa capuche avança dans la salle déserte et fini par apercevoir la tenancière derrière son comptoir, probablement la fameuse Germaine d'après l’opulente poitrine qu'elle arborait fièrement. Il s'installa dans le coin de la pièce et fit signe à Germaine pour qu'elle se rapproche.

Qu'est ce que sera mon brave?

Lança la dame en s'approchant avec l'air peu rassurée, il est vrai que l'apparence austère et vagabonde de Dragan pourrait cacher bien des choses, il fit donc directement glisser sur la table quelques pièces.

A manger et à boire pour commencer madame. Puis une chambre pour la nuit s'il vous en reste...

Bien sur mon brave. lança la dame prenant l'argent d'une main leste, avant de retourner vers son comptoir.

Dragan commença alors a observer les lieux et put percevoir du bruit probablement des voix dans ce qui semblait être les chambre dans l'arrière boutique. Mais personne en salle et surtout pas l'ombre d'un capitaine de la marine. Le soldat qu'il avait croisé plus tôt lui avait probablement raconter des histoires pour le faire venir ici... mais qu'importe il avait maintenant un point de chute d’où il pourrait glaner bon nombres de renseignements et organiser ses recherches.

Messages : 361 Date d'inscription : 20/03/2014

Je n'en pouvais plus t'attendre comme ça. La voir inerte me rendait fou d'inquiétude, aussi je décidais de l'emmener chez moi.

Je prenais de quoi la couvrir pour la protéger du froid et de la pluie. Je la soulevais doucement pour lui enfiler un manteau large et chaud, puis la rapprochant du bord du lit, je la soulevais pour la prendre dans mes bras, la collant contre mon torse puis je me dirigeais vers la sortie en passant déjà par la salle de la taverne où une personne s'y trouvait ainsi que Germaine qui vint vers moi aussitôt pour prendre des nouvelles de Rosy et de moi.

Elle réajusta mon pansement sur la tête et alla m'ouvrir la porte de la taverne. Je saluais la personne de la tête.

La bonne journée à vous l'inconnu et désolé de partir si vite sans vous offrir à boire...Germaine ma belle tu offriras sur mon compte un repas et à boire à ce monsieur.

Puis sans attendre je sortais, prenant la direction de ma demeure.

Messages : 611 Date d'inscription : 19/10/2009

Un homme arriva a moitié gelé dans l'auberge ou une femme lui avait donnée de l'argent pour transmettre une lettre a l'auberge des quais ou un truc comme ça ,il ouvra la porte et vue germaine il souris car la femme en question lui avait dit tu reconnaîtra l'auberge grâce a la doudou au forme bien arrondi il ne vie pas l'homme et franchement c’était pas son gare lui il était plutôt femme a gros lolos

Et gentille demoiselle j'ai un message de la par d'une rouquine pour un monsieur deneville

il la regardait en espérant que les attentes de l'homme serrons entendu et que la rondelette allait le réchauffait , il était fascinait par ce qu'il voyait qu'il en laissa tombé la lettre par terre ouverte

Code:: Monsieur le chef de la sécurité D’Amiens

je vous remercie encore pour ce cheval je suis arrivée en un seul
morceau a Paris
j’espère que votre dulcinée va beaucoup mieux

Mai_lee
Mousquetaire du roi

Messages : 361 Date d'inscription : 20/03/2014

Au moment de partir, je failli être bousculé par un homme bourru qui s'excusa à peine. Je ne voulais pas polémiquer car j'avais plus urgent à faire.

La porte de l'auberge encore ouverte et étant à trois pas de là, j'entendis l'homme parler d'un deneville. Intrigué et malgré le petit poids sur les bras, je retournais en la taverne questionner l'homme.

Pardonnez monsieur, mais j'ai cru comprendre que vous recherchiez un monsieur deneville...Je suis Neuville, c'est surement moi que vous voulez trouver...Que me voulez vous, parlez vite car comme vous pouvez le voir j'ai les bras chargés et je me dois de retourner chez moi soigner cette femme.

Je remettais un peu mieux Rosy dans mes bras en attendant de recevoir le dit message.

Messages : 128 Date d'inscription : 29/10/2009 Ville : Amiens

Dragan était assis depuis quelques minutes quand un homme sortit de l'arrière boutique avec un bien charmant paquet en main. Germaine se précipita alors pour lui prêter main forte. Probablement une cliente ayant trop abusé. L'homme se tourna vers vit Dragan et lança.

La bonne journée à vous l'inconnu et désolé de partir si vite sans vous offrir à boire...Germaine ma belle tu offriras sur mon compte un repas et à boire à ce monsieur.

Apparemment l'accueil n'avait pas dépérit à Amiens, et avant que Dragan ne puisse lever sa chope pour le remercier, l'homme passa la porte avec son chargement. Probablement un notable de la ville. Dragan se leva difficilement et alla s'accouder au bar avec la ferme attention d'interroger Germaine sur cet individu qui venait de lui offrir son assiette, mais avant même de pouvoir parler un messager entra en trombe avec un message "d'une rouquine" pour un certain "deneville".

Voila qui attira l'attention de Dragan se message pourrait peut être élucider une bonne partie des questions qu'il se posait. Si seulement il pouvait s’emparer de cette lettre... et comme si Pascal lui même l'avait entendu la lettre tomba au sol et s'ouvrit dans sa chute. Dragan se pencha afin de la ramasser pour "la rendre" au messager poliment et posa les yeux sur la signature du plie.

Citation :: Mai_lee
Mousquetaire du roi

Le cœur de Dragan se serra de bonheur au moment de saisir le parchemin, s'était la première fois qu'il avait des nouvelles de ça belle Mai-Lee depuis maintenant plusieurs années.

L'homme portant la femme avait fait demi tour, et se présenta comme Neuville probablement le destinataire du plie de Mai-lee. Dragan regardait le messager qui avait l'air plus attirer par l’opulente poitrine de Germaine que par ça mission, il se dirigea donc vers l'homme et lui montra la lettre afin qu'il puisse la lire sans avoir à poser sa femme.

Code:: Monsieur le chef de la sécurité D’Amiens

je vous remercie encore pour ce cheval je suis arrivée en un seul
morceau a Paris
j’espère que votre dulcinée va beaucoup mieux

Mai_lee
Mousquetaire du roi

Une fois Neuville ayant pris connaissance du message Dragan ne put s’empêcher de lui demander des précisions violant donc l'aspect confidentiel du message.

Excusez moi monsieur... Neuville, mais je n'ai pu m’empêcher de poser les yeux sur votre message et j'y ai vu la signature de Mai-lee... est ce bien la signature de Lacytadelle Mai-lee? la connaissez vous? que devient elle? ou est elle? avez vous un moyen de la contacter? ou de la faire venir? ...

Les questions se bousculait dans son esprit alors qu'il regarda l'homme qui avait probablement toutes les réponses à ses questions avec une grande admiration mêlée à une attente quasi insoutenable.

Messages : 611 Date d'inscription : 19/10/2009

L'homme qui s’aperçut que son par chemin était tombé de sa poche a cause des rondeurs de la doudou ,et des multiples questions l'homme a la cape .Tout en lui répondant sen lâchait ses yeux de ces grosse miche de la germaine .

Ho la l'ami si tu veux la voir je sais ou elle se trouve,a Paris a l'auberge bon amis je crois mais elle n’était pas seul ,elle avait de la compagnie et dit avoie basse deux bouteilles de vin elle boit la mousquetaire

bon alors germaine ou on en était a boire et a magnais pour moi et avec un peux de change tu serra mon dessert

germaine le regardait et si elle le faisait boire suffisamment elle ne passerait pas a la casserole

Messages : 361 Date d'inscription : 20/03/2014

J'allais répondre au monsieur quand le messager quitta enfin les rondeurs de la Germaine des yeux pour répondre aux questions du voyageur.

Bien messieurs, je vais donc vous laisser parler de dame Mai-Lee et amener cette belle dame endormie chez moi pour la soigner. Passez une belle journée !

Je les saluais de la tête et sortais cette fois pour me rendre en ma modeste demeure.

Messages : 128 Date d'inscription : 29/10/2009 Ville : Amiens

Dragan avait enfin un cap à suivre: Paris
Il faudrait surement quelques jours pour y arriver mais peu importe.
Il pris tout de même le temps de remercier les 2 hommes qui avait tôt fait de retourner à leurs occupations.
Puis il passa la porte de l'auberge puis de la ville en marche pour Paris.

Messages : 9 Date d'inscription : 09/01/2015 Ville : Amiens - Picardie

And now...

M

Tavernière

C'est toi, la Germaine ? Dis voir, j'aurai besoin d'un toit pour la nuit et d'un repas pour la soirée.

L'ennui, c'est qu'j'sais pas si j'suis assez riche pour m'payer les deux.

Messages : 361 Date d'inscription : 20/03/2014

j'avais quitté la mairie, la tête à l'envers, bien décidé à en découdre avec le premier malfaisant qui ne me plairais point.

Tout le long du chemin, je ruminais la nouvelle annoncé par notre maire comme je pensais à ma chérie en léthargie et à cette corsaire qui avait le don de m'énerver mais qui en fait me ressemblait terriblement.

Les premiers bruits des quais arrivèrent à mes oreilles, mes sens aux aguets totalement. J'épiais le moindre recoin, dévisageais le moindre homme ou femme quand j’aperçus un groupe de trois hommes et une femme qui se disputaient bruyamment à mon gout.

Sans rien dire, je vins à eux avec l'attention d'en découdre.

HOLA VOUS AUTRES, c'est quoi ce raffut? Ça va petite dame? C'est malfaisants vous cherchent-ils des noises?

Comme par enchantement, la belle fila dans les ruelles sombres sans un mot me laissant avec les trois hommes qui déjà me faisaient faces, bâton en main et arborant un vilain sourire, dévoilant des dents en moins et noires.

Il veut quoi le petit homme! Allez pas d'histoire tu va nous refiler ton oseille et vite sinon on va te faire la peau, beau monsieur !

Mon argent! Viens le prendre gredin, tu vas voir comment se bat un homme en colère!

Les choses dégénérèrent rapidement. Le premier à ma gauche envoya son bâton vers ma tête et il ne rencontra que le vide mais par contre se plia en deux en recevant un direct au foie. En restait deux qui cette fois se jetèrent sur moi en même temps. On se retrouvait tous les trois au sol, les coups de poings pleuvaient de par et d'autres.

je crus à un moment que j'allais y passer quand je reçu un vilain coup en plein nez qui me fit voir mille étoiles mais l'instinct était le plus fort et à mon tour j'envoyais un coup si brutal que le malheureux ne se releva point, me laissant avec son collègue pour un face à face final.

Chacun s’épiait, un coup d’œil rapide pour estimer la situation. Un homme endormi, un autre toujours plié en deux à vomir sa bile et celui-là avec déjà un œil fermé et moi qui e voyait plus très clair non plus, sentant mon cœur cogner dans mon nez.

Viens donc te frotter à Neuville, gredin et je te jure que toi tu vas y passer.

Point d'arme entre nous, que nos poings et nos pieds, mais aller savoir pourquoi, je vis son regard, enfin ce qu'il en restait changer et sans demander son reste, il s'enfuit vers les ruelles sombres de la ville.

J'en restais les bras ballants, me demandant encore pourquoi il avait filer aussi vite, me laissant ses compagnons à ma merci. La chance fit qu'une de mes patrouilles passait par là. Je les hélais.

VENEZ PAR ICI!

Ils arrivèrent à grande course et leur chef fut effaré de me voir dans cet état. Il me proposa son aide pour me ramener chez moi ou ailleurs mais je déclinais son offre et lui ordonna de me mettre ses deux là aux galères et rapidement et surtout de ne point faire de quartier s'ils venaient à se rebeller.

Cette petite bagarre eu le mérite de me rendre mon esprit et de retourner d'un pas moins ferme, voir titubant fortement comme un homme ivre, vers la mairie pour donner ma réponse à monsieur Bertrand et à Milaidie.

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