Déclarations du Roy de France & de Navarre

Citation :

Nous, Louis-Édouard de Rohan-Valois, Roy de France & de Navarre par la volonté Divine ;

Salutations !



Déclarons solennellement ce jour, prendre pleinement les pouvoirs qui sont les nôtres, pour assurer la lourde tâche de guider et faire prospérer notre Royaume, trop longtemps abandonné à lui-même.

Qu'il soit su de tous que notre légitimité ne saurait être remise en cause, étant descendant de la lignée Royale, tenant elle-même son pouvoir de Droit Divin.

Qu'il soit entendu que pleinement conscient des devoirs qui sont les nôtres, nous nous engageons par cette missive, à servir le Royaume de France & de Navarre, nation rayonnante de par toutes les nations du monde.

Qu'il soit dit que nous sommes également conscient du fait exceptionnel que nous sommes Roy malgré que nous ne soyons point encore majeur. Aussi, nous avons décidé de donner un rôle majeur au Parlement Royal. En attendant que son rôle et que ses prérogatives soient redéfinies, dissolvons l'actuel Parlement de Paris.

Le Royaume de France & de Navarre entre dans une nouvelle ère, et à celle-ci, tout le Peuple du Royaume y participera.



Montjoye Saint-Denis !

Pour la Prospérité du Royaume, nous avons dit, en ce XXVIème jour de Novembre de l'An de Grasce MDCXLIX, en le Palais Royal du Louvre.

Louis-Édouard de Rohan-Valois,
Roy de France & de Navarre.

Citation :

Nous, Louis-Édouard de Rohan-Valois, Roy de France & de Navarre par la volonté Divine ;

Salutations !



Déclarons ce jour que les rumeurs qui parcourent actuellement le Royaume doivent cesser. Celles-ci n'ont que de trop fondements douteux, et nous ne tolérerons pas que des troubles naissent chez nos sujets, quels qu'ils soient, à cause de cela.

Nous affirmons également accorder toute notre confiance à notre armée Royale. Ainsi, les fidèles soldats qui la composent sont autorisés à pénétrer dans Paris, et ce, sans exception. Nous n'avons aucuns doutes qu'en à la fidélité de ceux-ci envers notre personne, nous qui incarnons le Royaume de France & de Navarre.
Nous n'avons jamais douté d'eux, et même si nous n'avons point encore eu le temps de nous occuper plus particulièrement de l'armée Royale ces trois premières semaines depuis lesquelles nous sommes montrer sur le trône, cela ne signifie nullement notre manque d'intérêt pour celle-ci et les loyaux sujets qui la composent.

Nous remercions également la maire de Paris, Pénélope d'Estrée, fidèle sujet de la Couronne, pour avoir pris les devants et en ces temps de doute, avoir tout fait pour défendre notre personne contre ces rumeurs de possible Fronde.

Nous exigeons, en ces temps malgré tout troublés, que la milice de Paris engagée et l'armée Royale patrouille de pair dans les rues de la Capitale, le temps que la situation se calme. Nous ne nous doutons ni de la capacité des uns ou des autres à travailler ensemble quand à la sécurité de Paris.

Nous indiquons aussi que la présence de la Garde Pontificale en le Royaume et plus particulièrement à Paris est normale et approuvée par notre personne, car dans le cadre de notre sacre qui se déroulera à Reims, celle-ci nous escortera avec le Régiment des Mousquetaires en la Capitale Pontificale.

Nous tenons également à rappeler qu'en l'absence de Secrétaire d'Etat à la Guerre, c'est le Baron de Beauvais, Maréchal de France et Colonel du Régiment du Roy, Charles de Savoie-Nemours, qui est le plus haut gradé de l'armée Royale. Les soldats de l'armée Royale n'ont donc d'ordres à recevoir que de ma personne ou du Maréchal de France, du moment qu'ils ne vont pas à notre encontre. L'armée Royale est avant tout fidèle Roy, qui incarne le Royaume.

Enfin, nous ordonnons au Marquis François de Savoie-Nemours à venir s'expliquer auprès de notre personne quand à ses agissements lors des jours prochains. Bien qu'ayant le respect et la sympathie de la part de bon nombre de membres de l'armée Royale qu'il a obtenu du temps où il en faisait parti, cela ne lui donne nul droit envers celle-ci maintenant qu'il n'est plus en fonction.
Aussi, nous tenons à posséder des explications claires et précises de sa part quand à ses agissements, qui n'ont eu de cesse de créer rumeurs et troubles au sein du Royaume de France & de Navarre. Or celui-ci se remettant à peine de la mort de son ancien Roy, n'avait nullement besoin de cela.
Aussi, nous sommes certain qu'il saura nous expliquer tout cela pour que clarté soit faite sur cette situation malheureuse.



Montjoye Saint-Denis !

Pour la Sûreté du Royaume, nous avons dit, en ce XIVème jour de Décembre de l'An de Grasce MDCXLIX, en le Palais Royal du Louvre.

Louis-Édouard de Rohan-Valois,
Roy de France & de Navarre.

Citation :

Nous, Louis-Édouard de Rohan-Valois, Roy de France & de Navarre par la volonté Divine ;

Salutations !



Ce jour, avons appris que l'ancien Régent de France & de Navarre, Louis-Philippe de Bourbon d'Angoulême, a réussi à faire publier une annonce la faisant passer pour Royale.
Or, l'ancien Régent de France & de Navarre avait, depuis notre prise de fonction, quitté l'Île de France pour prendre une retraite méritée en son Duché d'Alençon, abandonnant toutes ses charges, y comprit celle de Pair de France, qui est autant une charge qu'une noblesse, tout comme il abandonna sa charge de Régent.

De plus, nous rappelons qu'il n'est pas dans les prérogatives d'un Régent d'élever en pairie des fiefs de France. Seuls les Roys ont cet honneur, et nul Régent passé, Pair ou non, n'a jamais nommé de Pairs de France.

Outre le fait de nous prouver une incompétence dans le domaine judiciaire et héraldique, cet ancien Régent outrepasse les pouvoirs et l'autorité qu'il aurait pu avoir s'il avait encore été Régent.

De plus, nous rappelons que la coutume dans le Royaume pour les Roys de France, autorise la prise du trône par ceux-ci à 13 ans, et ceci fut le cas à plusieurs reprises dans l'histoire de Royaume, cédant ainsi par la Coutume, l'âge de la majorité à 13 ans aux héritiers du trône lorsque ceux-ci y accèdent à l'âge de 13 ans.
Pour rappel historique, Charles VI, né en 1368, prit le trône en 1380, le rendant ainsi majeur à l'âge de 12 ans, comme ce fut le cas également pour Louis XIII, né en 1601, et dont la Régence se termina en 1614 à l'âge de 13 ans pour lui. Ceci suffit à faire prévaloir la majorité des rois à 13 ans pour coutume régale. Et pour rappel, coutume prévaut sur le droit commun, ainsi qu'il a toujours été pratiqué par les principes généraux de droit de notre royaume.

De plus, nous rappelons que depuis le début de notre Règne, nous avons déjà pris des actes nobiliaires, et que le soit-disant Régent n'a jamais daigné les valider, et donc de manière tacite, suivant le droit coutumier, cela me déclare majeur, tout comme ce fut le cas pour les Roys Charles VI et Louis XIII.

Ainsi, nous destituons Louis-Philippe de Bourbon d'Angoulême de ses terres ducales d'Alençon pour crime de lèse-majesté.

Enfin, dans un soucis d'apaisement du Royaume, prenons la mesure de demander à notre parent le plus proche, la Pair de France & Duchesse de Rohan, Juge d'Armes du Royaume de France, Léonore de Rohan, d'être Régente à titre honorifique du Royaume de France & de Navarre jusqu'à notre Sacre.



Montjoye Saint-Denis !

Pour la Grandeur du Royaume, nous avons dit, en ce XXVIème jour de Février de l'An de Grasce MDCXLX, en le Palais Royal du Louvre.


Roy de France & de Navarre

Citation :

Nous, Louis-Édouard de Rohan-Valois, Roy de France & de Navarre par la Grasce Divine ;

À tous les Nobles du Royaume ;
À tous les Clercs de l'Eglise Pascale ;
À l'Eglise Pascale elle-même ;
À tous les sujets du Royaume de France & de Navarre ;
À tous les sujets des Etats Pontificaux ;



Ce jour, après les discussions organisées et qui ont eu lieu avec Son Eminence Matthieu d'Artois de Lancaster, Cardinal de la Sainte Eglise Pascale, nous constatons qu'enfin l'Eglise Pascale a publié le Mea Culpa que nous attendions et que les fidèles se devaient de connaître ;



• Ainsi, conformément aux discussions menées avec le Cardinal Matthieu d'Artois de Lancaster et du fait que la Sainte Eglise Pascale a déclaré et fait son Mea Culpa, déclarons solennellement :
  
  
  • Que le Royaume de France & de Navarre placée sous notre règne, revient sous la protection et la foy de la Sainte Eglise Pascale, rendant par là-même caduque le schisme d'avec l'Eglise Pascale.
    
    
  • Que le Pascalisme, sous le règne de la Sainte Eglise Pascale, et seule et unique religion d'Etat du Royaume de France & de Navarre.
    
    
  • Que les clercs ont à nouveau le droit d'exercer la religion Pascale en des cérémonies publiques.
    
    
  • Que notre Sacre aura lieu en France, en la Cathédrale Notre-Dame de Paris, et de ce fait, qu'il sera organisé par les autorités royales, bien qu'en coopération avec les autorités ecclésiastiques compétentes.
    
    
  • Que dès à présent, le Baron de Bouville, John Hasting de Malborough, n'occupe plus la fonction de Grand Aumônier de France.
    
    
  • Qu'une réunion entre le Conseil d'Etat du Royaume et la Curie Pascale aura lieu dans le but d'entamer des négociations concernant un concordat royal entre le Royaume de France & de Navarre, et l'Eglise Pascale.
    
    
  • Que cependant, aux vues de la signature d'un "Codex de la Principauté de Guernesey" par la Grande Ambassadrice des Etats Pontificaux, Elisabeth Mézière-Vergy, et par l'Evêque de Guernesey Dame Quasi, traité violant les Loys Royales qui stipulent que la seule diplomatie possible est Royale, traité qui aussi retire un territoire français, à savoir la principauté de Guernesey, à notre Royaume, nous ne pouvons rester sans réagir.
    Force est de constater qu'une représentante directe de l'Eglise Pascale et une représentante des Etats Pontificaux soutiennent la félonie d'un indépendantiste qui s'octroie une légitimité qui n'est pas la sienne, violant par là-même, la souveraineté de Droit Divin et Pascale du Royaume de France & de Navarre.
    Il est également important de rappeler que Monsieur Aimelin de Millelieues, Prince-Gouverneur de Guernesey, l'est non pas par la Grasce du Très-Haut, mais par la volonté du Roy de France & de Navarre, Notre Volonté, et par le fait qu'il est notre vassal et serviteur, vient de livrer à une déclaration de sédition.
    
    
  • Et puisque le Prince-Gouverneur de Guernesey Aimelin de Millelieues, la Grande Ambassadrice des Etats Pontificaux Elisabeth Mézière-Vergy, et l'Eveque de Guernesey Quasi violent la souveraineté d'essence divine de notre Royaume, se rendent par la même occasion hérétiques, car nul ne peut violer la souveraineté de Droit Divin d'un Royaume de la foy de la Sainte Eglise Pascale sans être hérétiques. Et puisque nous sommes convaincu que l'Eglise Pascale ne saurait reconnaître telle hérésie, alors-même que des discussions ont eu lieu au Louvre où il avait été consenti que la France mettrait fin au schisme après le Mea Culpa de l'Eglise Pascale, et que nous sommes également convaincu que l'Eglise ne saurait soutenir ces trois hérétiques, ce qui dans le cas contraire, signifierai que l'Eglise Pascale aurait une volonté expansionniste et violerai la Souveraineté d'un Royaume qui pourtant la reconnaît et se place sous sa foy et protection.
    Nous exigeons que ces trois personnes soient officiellement reconnues hérétiques, et que l'Eglise Pascale nous soutienne tout aussi officiellement, au nom de ses préceptes, de notre foy en elle, du Droit Divin Pascal duquel est issu notre Royaume et de notre amitié retrouvée.
    Sans quoi, cela détruirait toute la confiance que nous avons, nous, Louis-Édouard de Rohan-Valois, Roy de France & de Navarre, ainsi que celle que nos sujets vous accordent, et que cela aurait des conséquences désastreuses en tout point.
    
    
  • Que nous maintenons la rupture diplomatique et de la fermeture des frontières avec l'Etat du Remensis tant que preuve de la bonne foy de ce dernier et de l'Eglise Pascale ne nous aura pas été donné de voir par rapport à la situation précédemment citée.
    
    
  • Que nous maintenons "l'interdiction aux Provinces et villes du Royaume de France & de Navarre d'entretenir des accords ou relations, de quelque ordre que ce soit, avec le Remensis. Toute relation ou accord effectif ou en cours se devra d'être annulé dans les plus brefs délais. Toute personne qui ne respecterai pas ceci se verrait poursuivit par les autorités judiciaires du Royaume pour trahison, haute-trahison ou crime de lèse-majesté selon la gravité des faits reprochés" pour les mêmes raisons citées que précédemment.
    
    
  • Que nous maintenons la mise en place de troupes de l'armée royale en la ville de Paris. Ces troupes n'ont aucun but belliqueux, car nous tenons à l'intégrité des états pontificaux dont le Remensis fait parti, mais un but défensif, dans le cas où le Remensis ou l'Eglise s'en prendrait à notre Royaume en validant les agissements aliénant le territoire du Royaume de France & de Navarre par les hérétiques Aimelin de Millelieues, Elisabeth Mézière-Vergy et Monseigneur Quasi.





Montjoye Saint-Denis !

Pour la Voie du Salut & la Grandeur du Royaume, nous avons dit, en ce XXIVème jour de Mars de l'An de Grasce MDCXLX, en le Palais Royal du Louvre.

Louis -Édouard de Rohan -Valois
Roy de France & de Navarre



Régente du Royaume de France
Juge d'Armes du royaume de France
Pair de France
Duchesse de Rohan
Dame de La Queue en Brie

Citation :

Nous, Louis-Édouard de Rohan-Valois, Roy de France & de Navarre par la Grasce Divine ;

À tous les Nobles du Royaume ;
À tous les sujets du Royaume de France & de Navarre ;
À tous les Royaumes étrangers ;



Ce jour, déclarons à propos de Léonore de Rohan, Régente de France & de Navarre par Notre Volonté, Juge d'Armes de France, Pair de France de par sa fonction, Duchesse de Rohan, Dame de la Queue en Brie ;


• Que de par sa tentative de nous empêcher d'être sacrer par Sa Sainteté Matthieu Ier alors même que ce le sacre s'organise, elle a démontré ne pas vouloir mettre fin à la Régence lors du Sacre, voulant conserver un pouvoir qui n'est pas le sien.
  
  
• Que ses actes ont démontré qu'elle agissait à l'encontre des intérêts de la Couronne et ce malgré son dévouement passé et ses qualités personnelles de travail, et que nous ne pouvons tolérer une tentative de prise du pouvoir royal qui nous revient de droit.
  
  
• Qu'en conséquence, nous la destituons de sa charge de Juge d'Armes du Royaume de France, et lui retirons la dignité de Pair de France qui découlait de cette fonction.
  
  
• Qu'en conséquence, la destituons de ses titres de Duchesse de Rohan et de Dame de la Queue en Brie et de la gestion de ces terres.
  
  
• Qu'en conséquence, la destituons de sa fonction de Régente du Royaume de France & de Navarre, et ce de notre bon droit puisqu'elle était Régente non par nomination des Pairs de France, mais par notre seule Volonté, qui n'est plus la nôtre aujourd'hui.
  





Montjoye Saint-Denis !

Pour la Grandeur du Royaume, nous avons dit, en ce IVème jour de Mai de l'An de Grasce MDCXLX, en le Palais Royal du Louvre.

Louis -Édouard de Rohan -Valois
Roy de France & de Navarre

Citation :

Nous, Louis de Bourbon, dict Louis XIII, Roy de France et de Navarre de par la grâce divine,

A tous les nobles du Royaume de France,
Aux autorités provinciales,
Aux sujets du Royaume de France,

En ce treizième jour du mois de mai mil six cent cinquante, date à laquelle la divine providence nous a appelé à régner à nouveau sur le Royaume de France, nous décrétons ;

Que c'est sain de Nostre corps et de Nostre esprit que nous accédons à la fonction suprême de Roy de France et de Navarre,


Que Nostre confession nous ayant éloigné de la France, Nous revenons sur Nostre décision et nous nous revendiquons désormais de foy pascalienne,

Que Nostre règne, effectif dès lors que Sa Saintenté Matthieu Ier, quatrième Pape de la Sainte Eglise Pascalienne, Nous aura sacré en la cathédrale de Nostre-Dame de Paris, sera basé sur un retour au calme en France après la période dicte des "Roys douteux" et qu'il sera aussi basé sur la conciliation entre le peuple et la Maison de Bourbon dont Nous sommes issu,

Que les volontés de feu Guillaume Ier seront respectées et que, pour la bravoure et la compétence dont ils ont fait preuves, le Duc de Noaille et la Duchesse de Rohan seront respectivement élevés aux titres de Prince de Condé et de Princesse de Leon,

Que nous autorisons Madame Elisabeth de Vergy à traverser le territoire français pour regagner Reims, si toutefois ce voyage est entrepris dès aujourd'hui et qu'elle soit en Remensis d'ici à quatre jours, son retour étant demandé par le Saint-Siège depuis plus d'un mois,

Qu'une réorganisation aura lieu sur le plan politique par rapport à la Pairie et au Conseil d'État, réunissant ainsi les forces du Royaume,

Que les serments des dignitaires de Province et des nobles doivent nous parvenir à six jours à compter d'aujourd'hui,

Enfin, que Nous ouvrons les candidatures pour le poste d'architecte royal qui sera chargé de Nous proposer un projet concernant le marécage jouxtant le bois de Marly*

Sa Majesté a décrété et scellé, en le Palais du Louvre.

*Futur Versailles

Citation :

A tous les nobles du Royaume de France,
Aux autorités provinciales,
Aux sujets du Royaume de France,

En ce dix-septieme jour du mois de juin mil six cent cinquante,

Que c'est sain de Nostre corps et de Nostre esprit que nous accédons à la fonction suprême de Roy de France et de Navarre,

Décidons et proclamons afin qu'il soit su de tous que la dynastie des rois capetiens appartient desormais au passé. Aussi, afin de marquer le renouveau de la royauté de France, nous decidons que la devise que devra suivre tout sujet de notre royaume est desormais:

De Ripailles et Panturnes
D'estoc et de taille!

D'autre part, pour que nos sujets sachent bien que les egarements passés de la dynastie capetienne sont derriere nous, et que nos sujets sachent bien qui le Tout Puissant leur a choisi pour guide, de nouvelles armoiries representent maintenant la France et ses peuples à nouveaux unis. Ces armoiries sont les suivante:

D'argent semé de canettes de sable, à la vouivre de gueule armée et lampassée d'or.

Et se representent ainsi

Sa Majesté a décrété et scellé, en le Palais du Louvre.

Alexandre le Fier, roi de France et de Navarre




Léonore de Rohan,
Juge d'armes du royaume de France

Citation :

Nous, Alexandre Le Fier, Roy de France & de Navarre par la Grasce Divine ;



Ce jour, nous faisons savoir que certains des grands offices devoués à notre service sont vacants. Il nous siérait donc que nos fideles et loyaux sujets se portent candidat à ces si nobles charges, à savoir
- la charge de Grand Chambellan: qui aura en charge avec le Premier Gentilhomme d'organiser tout ce qui touche à la chambre royale, garde robe, audiences et table royale.
- la charge de Grand Ecuyer: qui aura la charge de prendre soin des ecuries royales.
- la charge de Grand Veneur: qui aura en charge de gerer les domaines de chasses dediés à nos plaisirs predateurs, et d'y organiser de belles courses au gibier de tout poils.

Madame la Princesse de Leon, Leonore de Rohan, en sa qualité de Grand Maitre de France, recevra les lettres de candidature (MP forum), et nous les fera connaitre apres en avoir selectionné les meilleures.




Fait le 29éme jour de Juin 1650,



Alexandre le Fier, roi de France et de Navarre



Léonore de Rohan
Grand Maitre de France
Juge d'Armes
Princesse de Leon

Citation :

Annonce royale

A tous les nobles du Royaume de France,
Aux Nobles de France
Aux autorités provinciales,
Aux sujets du Royaume de France,

En ce dix-neuvieme jour du mois de Septembre de l'an mil six cent cinquante,

Nous, Léonore de la Brie en Carly, Grand Maitre de France :

De par nos charges et qualité de héraut juge d'armes du royaume de France, faisons savoir au peuple de France que leur roi bien aimé, Sa Majesté Alexandre dict Le Fier sera couronné et sacré en la cathedrale Notre Dame de Paris au jour du 23 septembre 1650.
En ce jour qui marquera le regne de notre roi, nous invitons les peuples de France à s'unir dans la priere et la joie de voir son roi sacré, par l'organisation de moult rejouissances et festoies.

décrété et scellé, à Bizy.

Léonore de La Brie en Carly
Grand Maitre de France

Alexandre le-Fier a écrit:

Citation :

Nous, Alexandre-le-Fier , Roy de France & de Navarre par la volonté Divine

De par l'Autorité Divine qui Nous a été confiée par la grâce du Seigneur, et par les pouvoirs absolus qui Nous sont conférés, avec l'accord et le soutien du Conseil d'Etat, ordonnons la mort par pendaison en place de grève de Mademoiselle Maria di Murano.
Les raisons pour lesquelles Nous avons décidé de son exécution sont les suivantes :

-complot en vue d'assassiner le baron Firenze Falcone de Lillebonne.
-tentative d'assassinat sur la personne du baron Firenze Falcone de Lillebonne.

Son exécution aura lieu le jeudi 14 octobre 1650 en place de grève à 12h.

De Ripailles et Panturnes
D'estoc et de taille



Pour la Sûreté du Royaume, nous avons dit, en ce Xème jour d'octobre de l'an de grasce MDCXLX, en le Palais Royal du Louvre.

Alexandre le Fier, roi de France et de Navarre

[la date tiens compte des dates du Rp qui part du jour de l'évasion d'Antonio. L'éxécution ayant lieu mercredi HRP merci]

Citation :

Annonce royale

A tous les nobles du Royaume de France,
Aux autorités provinciales,
Aux sujets du Royaume de France,

En ce vingt-troisieme jour du mois d'octobre de l'an mil six cent cinquante,

Nous, Alexandre 1er, dict Le Fier, roi de France et de Navarre à tous présents et advenir :

Annonçons que nous octroyons le duché de Bretagne, apanage de la couronne de France, à notre épouse adorée, Sa Majesté la Reine Leonore.

Les armoiries du duché de Bretagne s'etablissent comme suit:




Qui se lisent: d'hermine, plain


Il nous apparait curieux que notre epouse ai gout de gouverner ces terres entourées de flots meurtriers, où ne poussent que des menhirs, où les habitants ont des us bien etranges comme aller et venir sans cesse emeché au chouchen, avec des chapeaux ronds ridicules ou des coiffes en dentelles toutes autant ridicules, en mangeant des galettes saucisses, en chantant C'est pas toi qui y est, c'est pas toi qui est beau dans l'bagad de Lan Bihoué. Mais nous considerons que pour comprendre ces moeurs etrange, seule une femme où coule dans les veine du caramel beurre salé et au crane plus solide qu'un bloc de granit rose, peut comprendre ces populations.

Comme on dit chez elle donc, Bevet Breizh, Bevet Rouanez.

décrété et scellé, à Bizy.

Alexandre le Fier, roi de France et de Navarre

Citation :

Annonce royale

A tous les nobles du Royaume de France,
Aux autorités provinciales,
Aux sujets du Royaume de France,


En ce jour du 10 novembre 1650, en notre qualité de juge d'armes du royaume de France, declarons ce qui suit:

Apres examen de la généalogie de Mademoiselle Anjhely Falcone, vicomtesse d'Olonne, et de celle de Monsieur Firenze Falcone, baron de Lillebonne, il nous apparait evident qu'ils ne peuvent etre consideré comme frere et soeur, etant issus tous les deux de deux lits differents. Ils ne sont pas non plus lié par un acte legal d'adoption. En consequence, contrairement aux allegation proferées par Sa Sainteté Matthieu, en aucun cas, l'enfant attendu par madame la vicomtesse d'Olonne ne peut etre consideré comme fruit d'une relation incestueuse.

Le fait que Madame Mercedes O'Neil de Cricqueboeuf soit de part et d'autre leur demi soeur ne fait pas de Madame Anjhely Falcone et de Monsieur Firenze Falcone un frere et une soeur.

Nous declarons donc mademoiselle la vicomtesse d'Olonne et monsieur le baron de Lillebonne comme libres de toute relation familiale à quelque degré de parenté que ce soit, puisque le pere et la mere de Madame d'Olonne ne sont ni le pere ni la mere de Monsieur de Lillebonne.

Alexandre le Fier, roi de France et de Navarre



Léonore de la Brie en Carly, Reine de France et de Navarre
Juge d'Armes du royaume de France

Citation :

Annonce royale

Aux nobles membres du conseil de la Pairie
aux membres du conseil d'Etat du royaume de France
à l'assemblée des nobles de France



En ce dix-neuvieme jour du mois de novembre de l'an mil six cent cinquante,

Nous, Alexandre 1er, dict Le Fier, roi de France et de Navarre,

décidons d'anoblir monsieur Fafounet seigneur de Conteville, en reconnaissance pour son implication au service de l'Etat, entant qu'Intendant Général de Normandie, ainsi que pour l'implication qu'il continue d'avoir au sein de la communauté Normande.

Il pourra desormais porter les armoiries de Conteville qui se definissent comme suit:




Et se lisent: d'argent à trois trefles d'azur.

décrété et scellé, à la résidence royale de Bizy.

Alexandre le Fier, roi de France et de Navarre



Léonore de la Brie en Carly
Reine de France
Juge d'Armes

Citation :

Annonce royale

A tous les nobles du Royaume de France,
Aux autorités provinciales,
Aux sujets du Royaume de France,

En ce vingt huitième jour du mois de Décembre mil six cent cinquante et un,

Nous, Alexandre Le Fier, Roi de France et de Navarre, à tous présents et advenir :

Ce jour, avons décidé de la nomination de l'actuel Madame la Vicomtesse Ariane du Faix Secrétaire d'Etat aux affaires étrangères ,au poste de Lieutenant Général de la Prévôté de France

De par sa nouvelle fonction, elle devra créer et diriger, une prévôté qui assurera la sécurité, et le respect des lois dans notre royaume.
Nous ordonnons à l’ensemble de nos Intendants généraux la création de poste de prévôté, dans chaque ville.
Nous demandons des volontaires, pour assurer la bonne marche de ces lieux

Nous lui accordons toute notre confiance pour cette charge, et gageons qu'elle sera considérée avec le respect et la dignité dû à sa charge.

Sa majesté le Roy
Alexandre le Fier, roi de France et de Navarre



Charles de Savoie-Nemours, premier ministre
Duc de Noailles

Citation :

Nous, Alexandre-le-Fier , Roy de France & de Navarre par la volonté Divine ;

De par l'Autorité Divine qui Nous a été confiée par la grâce du Seigneur, et par les pouvoirs absolus qui Nous sont conférés, avec l'accord et le soutien du Conseil d'Etat, ordonnons la déportation en Nouvelle France de Mademoiselle Maria di Murano.
Les raisons pour lesquelles Nous avons décidé de cet exil sont les suivantes :

-complot en vue d'assassiner le baron Firenze Falcone de Lillebonne.
-tentative d'assassinat sur la personne du baron Firenze Falcone de Lillebonne.

Nous avons pris cette décision pour la raison que la prisonnière c'est rendu d'elle-même à notre royale justice avertissant qui de droit du danger. Nous lui accordons de ce fait notre royale clémence en ne la condamnant pas à mort. Néanmoins, mademoiselle di Murano ne devra repparaître sur le sol de France sous peine d'être exécutée sans procès.

De Ripailles et Panturnes
D'estoc et de taille



Pour la Sûreté du Royaume, nous avons dit, en ce XXIX ème jour de janvier de l'an de grasce MDCLI, en le Palais Royal du Louvre.[/b]

Alexandre le Fier, roi de France et de Navarre

Anjhely Falcone
Vicomtesse d'Olonne
Chancelière de France