[RP] L'Amiénoise Taverne-Hébergerie d'Amiens

Kane esquissa un sourire lorsqu'il la vit rougir, même s'il n'avait pas cherché à la faire rougir.

Merci....oui un calva sera parfait, je vous remercie mademoiselle.

[]Le jeune homme trinqua avec Maureen, lorsqu'elle leva son verre. La jeune femme avait raison, cette ville était très agréable jusqu'à présent, tout comme certains de ses habitants. Lui qui cherchait un endroit où vivre, il allait rester quelques jours ici. Et si ça ne lui convenait pas, il continuerait sa route, espérant s'être fait des amis de certaines des personnes qu'il avait rencontré.[/I]

Je vous remercie de votre accueil ! Oui vous avez raison, il y a des gens biens ici !

Kane s'installa et but tranquillement son verre, détaillant l'auberge du regard et Maureen, s'occupant de l'autre client, puis il la regarda s'affairer, rêvassant à moitié.

Prenant une gorgée de calva en compagnie de Kane lui souhaitant la bienvenue, son regard croisa celui de l’homme à la table, déposa son verre s’excusant auprès de Kane. Elle versa un verre de calva qu’elle déposa sur un plateau se dirigea vers lui, afin d’aller servir ce jeune homme, passant entre les tables lui présenta le verre qu’elle déposa sourire aux lèvres

Monsieur, je me suis permise de vous apporter ce délicieux calva qui fait la renommé. Je ne suis pas inquiète pour le paiement, rassurez vous.
Je vous suggère comme plat, un faisan à la normande, un plat vraiment exquis, délicieux qui fond dans la bouche, vous désirez un bon vin d’accompagnement ?

Le regardant avec un sourire, pour ce qui est de dormir, au premier étage à votre gauche la première porte, cette chambre est magnifique , vous aurez une belle vue des jardins, tout en se disant que finalement toutes les chambres étaient impeccables , bien rangées , d’une propreté , elle y veillait fortement

Je vous donnerez la clé , en fait je vous guiderez après votre repas .Alors ce choix vous convient Monsieur Palfy ?

Elle revient derrière le comptoir, Kane semblait pensif, inquiet peut être, ou la fatigue du voyage, allez savoir .Ne voulant pas le déranger, prit la direction de la cuisine afin de vérifier les cuisiniers, Tout était impeccable, ils s’activaient à la préparation des desserts. Quelqu’un à la mise en place du lendemain,
N’oubliez pas de me donner l’inventaire dit t elle gentiment, je dois faire les achats…

De retour au comptoir Vous en désirez un autre verre Kane ? Préférez vous que je vous montre votre chambre ?

Maureen revenait au comptoir afin de prendre une bouteille de vin pour agrémenter le repas de Monsieur Palfy, prit un bouteille, …. . Non cela ne convient pas la déposa en reprit une autre, voila ce que je cherchait en fait, un vin corsé mais délicieux avec ce mets.

Kane accepta un autre verre de calva qu’elle lui servit avec gentillesse.

Il est vrai que ce petit goût est délicieux et de plus, c’est un bon moyen pour se détendre.

Citation :

Permettez moi de vous en offrir un s'il vous plait !

Oh que c’est gentil à vous, oui je crois que je vais accepte je vous remercie, la journée tirait à sa fin , elle se versa un verre , trinqua et prit une gorgée .


Dites moi Kane, vous avez sûrement rencontré des personnes sympathiques, car en réalité, les gens ici sont forts gentils. Elle prit le temps de s’installer sur un banc, sortie un parchemin, sa plume et nota ce qui lui manquait dans son inventaire. Elle jeta un regard vers la fenêtre comme si…..

Maureen retourna s'occuper de l'autre client pendant que Kane essayait de ne pas se perdre à nouveau dans ses pensées, ou ce n'est pas un verre de plus dont il aurait eut besoin. Il attendit qu'elle revienne, pour prendre un nouveau verre de calva et sourire lorsqu'elle accepta d'en boire un avec lui.

Citation :

Oh que c’est gentil à vous, oui je crois que je vais accepte je vous remercie

Pas de quoi, ça me fait plaisir.

Il trinqua avec Maureen et but quelques gorgées de calva.

Citation :

Dites moi Kane, vous avez sûrement rencontré des personnes sympathiques, car en réalité, les gens ici sont forts gentils.

Il sourit puis lui répondit.

Oui c'est vrai que j'ai rencontré quelques personnes des plus sympathiques ici, raison pour laquelle je suis encore dans cette ville ! Comme Dame Athénaïs, la première personne que j'ai rencontré en arrivant ! Ou vous, qui m'avez si bien accueillit et qui êtes d'une grande gentillesse ! Je suis heureux de vous avoir rencontré toutes les deux...et...

Il s'arrêta, but encore un peu de calva, regardant Maureen prendre place sur un banc, sortir plume et parchemin pour commencer à écrire.

Maureen se baladait entre les tables, une assiette fumante et quelle odeur, s’approcha, la déposa délicatement devant Monsieur Palfy


Voila, goûtez moi ce mets Monsieur, il est accompagné d’une riche sauce à la crème, la vrai, celle des cultivateurs, ainsi que les légumes frais du jour.

Elle ouvrit la bouteille de vin, en versa dans sa coupe

Je vous souhaite un bon appétit, lui souriant, vous m’en donnerez des nouvelles, si vous avez besoin de moi fairtes moi signe retourna vers le comptoir,

La soirée avançait doucement , elle étouffa un bâillement, alluma quelques chandelles , laissant la salle dans une bonne ambiance.

Elle revenait à la table, jeta un œil sur son assiette, la prise écouta attentivement ses paroles

Citation :

Félicitations Mademoiselle, je n'ai jamais rien mangé d'aussi fameux. Et ce ne sont pas des paroles en l'air. Que me proposez vous ensuite ? ... Ah oui, j'ai encore faim ! Je suis désolé ! ... Vous n'aurez qu'à me compter deux repas. Et puis si vous pouviez m'apporter une autre bouteille de vin. Celle-ci a filé à une vitesse, c'est pas croyable.

Je vous remercie Monsieur Palfy, je suis contente que ce met vous ai plut, vous savez, j’ai de bons cuisiniers, et le vin est de première qualité lui souriant se disant qu’elle apprenait d’eux par le fait en souriant.

Désirez vous un peu de fromage ou une autre assiette, à moins que je vous offre un magnifique dessert ? Nous avons un gâteau mais tellement délicieux qui fond dans la bouche, le regardant attendant sa réponse après avoir retire l’assiette vide… Comme elle était contente de savoir que cette auberge allait faire la renommée de la ville, ne vous inquiétez pas pour l’addition,

Maurren le regardait comme il était gentil, à ses dires au sujet de l’addition, elle éclata de rire, répliquant

euh….. Vous dites bien la plonge !!


Ah mais, si tel est votre désir. il y a de quoi faire, lui souriant, appréciant sa franchise et sa simplicité.
Il semblait avoir un bon appétit, normal se dit elle. Il avait sûrement fait un long trajet, et quoi de plus agréable de réaliser que son auberge lui plaisait, tout comme l’autre homme assit au comptoir, elle se tourna la tête légèrement vers Kane qui semblait perdu dans ses pensées.

Citation :

Maureen, , si cela ne vous contrarie pas, je prendrai volontiers fromage ... ET dessert ! ... Plus un peu de vin, s'il vous plait, chère Demoiselle !

Elle lui sourit, mais bien sur avec plaisir , je vous apporte ça immédiatement,rapporta la bouteille vide ainsi que son assiette vous désirez le même vin n’est ce pas ?

Elle se dirigea vers la cuisine, prépara un plateau de fromages de différence sorte, elle prit le vin qu’elle déposa sur un plateau, de retour à sa table, lui présenta le plateau de fromage,le délicieux gâteau caramélisé aux fruits , tout en versant le vin dans sa coupe remit la bouteille sur la table


Voila Monsieur Palfy, je vous laisse déguster cette merveille qui fond dans la bouche lui sourit et retourna vers le comptoir en se faufilant entre les tables.

Maureen vaguait à ses occupations, nettoyant le comptoir, elle remplissait sa commande sur le coin de son tabouret. Les gens aimaient l’ambiance et de plus les repas et les chambres étaient impeccables
Au bruit de la porte, elle tourna la tête légèrement, un homme entra, un visiteur sûrement, elle replaca une mèche de cheveux qui descendait le long de sa joue, se dirigea vers lui, avec finesse , il était important de bien recevoir chaque visiteur, c'était la réputation qu'elle s'était acquise au fil des jours.

Bonjour Monsieur lui souriant je me présente Maureen, je vous souhaite la bienvenue dans cette auberge, vous désirez manger ? Dormir?
Le regardant avec un léger sourire attendit sa réponse…

Au crépuscule de ma vie si l'on me demande '' Avez vous vu un ange ? '' je répondrais que oui .
Il avance cet ange au regard féminin ,chaloupant entre les tables ,évitant l'écueil d'un banc , il tourne et file vers lui .
Il contourne avec grâce le récif d'un pied de tabouret et le voila ,volant plus que marchant arrivé à bon port .

Ses fesses se décollèrent et sa tête s'inclina légèrement .
En voila une nouvelle !
Les anges parlent .

Je vous remercie de votre accueil ... demoiselle Maureen ... dame Maureen ... gentes dame Maureen ...

Il gratta son menton et sourit .

Et bien pour vous répondre je dirais oui et oui .
Manger en premier et prendre après une chambre ,..t'en que ma bourse le permettra .

Il hocha les épaules

Voyez vous les temps sont rude et les routes peut sur ,alors voyager avec une fortune cela n'est pas conseillé ...fortune que je ne possède de toute façon pas .
Ho mais soyez rassuré je peux quant vous payer ...

Il finissait à peine de parler que sa main avait déjà déposé trois belles pièces sur la table .

Aise que cela suffira ?

C'est un large sourire qui barrait maintenant son visage ,ce soir il n'aura pas à courir le gibier et à dormir dans un fossé .

Maureen lui sourit gentiment, je vous en prie Monsieur


Vous etes au bon endroit, il y a des chambres fort confortables, propres avec une belle vue de la ville. Pour les repas, les cuisiniers sont des spécialistes, vous n’aurez que l’embarras du choix.

Elle surveillait toujours à la qualité des produits, de leur fraîcheur s’assurant que rien ne manquait, c’était pour elle ce qui était le plus important. Savoir que les visiteurs, les passants manquaient de rien
Elle l’écoutait parler, vous venez de quel endroit si je peux me permettre ?.

Je ne suis pas inquiète, rassurez vous, voyant les pièces sur la table, ne parlons pas de prix pour le moment et c’est amplement suffisant, puisse je vous suggérez comme mets un cerf braisé au vin rouge, accompagné d’un bourgogne ?


Permettez moi de vous offrir un apéritif avant tout, cela vous convient Monsieur ?

Il allait ,il devait lui répondre, quant la porte s'ouvrit avec un certain fracas ,coupant d'un coup l’élan de ses mots.
Il décolla son fessier et inclina la tête .

Gentes dame

...'' Je suis Ariane ...''
foutre de dieu aise la façon ...non la coutume de ne donner aucun titre dans cette ville ?

Soit puisque cela est locale et qu'il n'avait pas eu de réponse à la façon qu'il devait nommer la maîtresse des lieux ,il en ferait donc de même .

Aristide ,pour vous servir .

Maintenant que les convenances étaient respectées ,il pouvait revenir aux préoccupations du jour .

Je ne suis pas pressé ,il serait peut être préférable que vous vous occupiez de cette charmante personne et après si vous le désiré ,vous reviendrais vers moi pour que nous finissions de savoir ce que je prendrais pour mon dîner .

Son sourire était toujours aussi éclatant ,sa main moins crispée et son fessier avait retrouvé la place qui lui convenait le mieux .

Monsieur Aristide n’avait pas eu le temps de répondre voila que la porte s’ouvrit, un vent pénétra sans la salle et qui… entra …Ariane, s’excusant auprès du Monsieur, se dirigea vers son amie, mais tu es tout trempée , rapidement elle monta à l’étage , dans une grande armoire , prit une couverture bien chaude et redescendit en vitesse , elle lui déposa sur les épaules , l’invita à s’approche de la cheminée, tu vas prendre froid Ariane, et voila qu’elle éternue

Attends je te prépare un breuvage très chaud, repartie vers la cuisine , lui versa une tisane à la menthe poivrée et bouillante, et un verre de calva revient vers elle lui tends la tasse Ariane , tiens c,est très chaud je te préviens. Tu restes là un moment , je vais terminer de servir ses Monsieurs et je reviens près de toi , mais quelle idée tu as eue de sortir par un temps pareil dis moi, mais je suis contente de te voir. Elle se leva retournant vers la table de Monsieur Aristide pardonnez moi Monsieur , nous disons donc ?

Quand elle entendit Monsieur Palfy, réclamer la bouteille de vin, arrive arrive…. S’excusant auprès de Aristide, lui souffla, je reviens

Se faufilant entre les tables , prit une bouteille de vin derrière le comptoir,deux coupes supplémentaire , revient vers Monsieur Palfy

Maureen sourit à Palfy, était t il raisonnable s’accepter le verre que lui offrait si gentiment Monsieur Palfy, après tout ne dit t on pas que qu’un verre ne peut nuire , de plus il invita Kane , alors pourquoi à de nouvelles amitiés.


Volontiers Monsieur Palfy, mais avant tout laissez moi terminer avec l'autre Monsieur , qui désire manger et mon amie toute tremblante de froid, ensuite je prendrai ce verre avec vous avec plaisir qu'elle lui souffla doucement près de son oreille , s'assurant qu'il avait tout

La salle si paisible prit tout à coup l'apparence d'un salon de danse .
Ce n'est pas par la foule présente, ni par le nombre de couples dansants .
Non rien de tout cela ; la métamorphose avait été opéré par le simple fait d'un enchaînement d’événements aussi soudain d'imprévisible, comme un coup de vent dans l’immobilité d'une chaude journée d'été ou que l'apparition d'un éclair dans un ciel aux couleurs gris de l’hiver mais n'ayant qu'un seul nuage .
Toute et tout réclamait leur dû et à heure fixe .
Soit !
Il y avait des circonstances atténuantes, on ne laisse pas une femme mourir de froid; faut-il encore avoir avec soi de quoi la couvrir .
On ne laisse pas non plus mourir de soif un gentilhomme; faut-il encore avoir de quoi le sustenter .
Puisqu'il n'avait ni de quoi réchauffer, ni de quoi épancher, il ne pouvait qu'attendre .
La maîtresse de maison s’acquitta donc de redonner des couleurs la jeune demoiselle et apporter de quoi boucher le trou de la soif du gentilhomme .

Citation :

je reviens

À ses mots il releva la tête , sourire toujours pointé haut et répondit

J'ai tout mon temps

Il attendit donc qu'elle revienne vers lui pour qu'ils pussent finir de combler la conversation qu'ils avaient du fait de la "' danse '" s'interrompre .

Citation :

Pardonnez-moi Monsieur, nous disons donc .

Douce voix à mes esgourdes .

Mais Vous êtes toute pardonner et nous disions donc … que votre proposition de cerf braisé au vin rouge , sera un plaisir pour mon estomac …
Par contre et n'y voyez ici aucun manque de respect ... je décline l'invitation de l'accompagner avec un Bourgogne en échange par contre un pichet d'eau ne serait pas de refus et je ne prendrais pas apéritif non plus... n'y voyez encore une fois aucune marque de mépris envers vous …
Je ne consomme aucun alcool .

Il ne buvait jamais , cela embrumait l'esprit et ramollissait la main et Il y en avait bien assez avec la viande que l'on allait lui servir .

Et je prendrais si cela est possible, pension en ces lieux .
Je crois aussi que c'est amplement suffisant pour une première demande et vous avez sûrement autre chose à faire que converser avec un parfait inconnu ...

Il retira son gant et poussa devant elle les trois pièces qui étaient restées en évidence sur la table .

Prenez, ceci est un acompte, vous me feriez savoir quand ce crédit sera arrivé à épuisement .
Je vous remercie aussi de votre accueil et j'espère que nous pourrons cohabiter en toute amitié le temps de ma présence ici .

Maureen la charitable, la gentille Maureen, me sauvait la vie avec sa couverture. Du moins en étais je persuadée. Et quand elle revint avec une tisane brûlante, rien qu’en respirant son fumet, je reprenais vie.

Merci Maureen, vous me sauvez… Il me fallait bien sortir pour aller acheter du raisin, je n’en avais plus pour faire du vin, et ..et…et….ATCHOUUUUUUUUUUM! Pardonnez moi…Et je n'ai pas vu que l'orage menaçait. J'ai parcouru une lieue dans ma charrette non couverte sous cette pluie glacée et dans le vent. Mais allez vous occuper de vos clients, je ne bouge pas d‘ici.

Je la regardais aller de table en table, souriante comme toujours et je me collais contre la cheminée. Si j’avais pu m’y incruster je l’aurais fait. Je rêvais d'être une de ces pierres chaudes. Je bus ma tisane, et la chaleur sucrée qui se déversait dans ma gorge me fit le plus grand bien. Je but ensuite le verre de calvados qui me fouetta le sang, et je le sentis affluer vers mes joues. Si ce n’était pas le paradis, mais cela s’en rapprochait du moins.

Palfy me salua, et je lui renvoyais un pauvre sourire. Je lui montrais mon verre de calva et et fit une dénégation de la tête avant de le remercier.

Serrant sur moi la précieuse couverture, je fermais les yeux en reniflant. Personne n'aurait pu me la prendre. Il me fallait pourtant me changer et pour cela rentrer chez moi. A moins que...