Post-it [RP] - La Foire de Rouen.

A la veille du scrutin des élections, Perceval se rendit sur la foire pour étudier l'emplacement.
A l'occasion du solstice d'été la ville de Rouen organisait de nombreuses activités. Comprenant que les bals n'étaient point populaires au yeux des habitants de la ville de Rouen, le jeune maire décida de tester d'autres activités qui, il l'espérait, comblerait le cœur des Rouennais.
Une de ces activités allez avoir lieu ici-même sur la foire de Rouen.
Les règles des ces activités serez publié au lendemain de la ré-investiture du jeune homme.

Mercedes revenue sur Rouen vit une annonce qui lui redonna de la joie et de suite elle s 'y inscrit espérons que d 'autres suivront

Bonjour

Je viens m 'inscrire pour tout ^^

Mercedes Falcone de Villefort

Alazaïs se rendit sur la foire là ou se tiendrait finalement le concours de tir à l'arc.
Les pas de tirs avaient été installé durant la nuit et la jeune fille déposa sur le stand les flèches et arcs qu'elle avait apporté.
Elle colla également l'affiche détaillant le déroulement de l'activité qu'elle expliciterai au besoin, en espérant toutefois qu'un heureux participant se manifeste.

Citation :

Voici le site pour pouvoir jouer :
http://ntco.free.fr/tirarc2.php


Veuillez ne pas poster votre score mais me l'envoyer par mp. Nous vous prions cependant de bien vouloir faire du rp, même seulement quelques lignes, afin de raconter le déroulement de cette activité pour votre personnage.
Pour une bonne équité tous les scores seront dévoilés en même temps vendredi jour de la remise des prix. Vous serez gagnant dans tous les cas, la dernière personne gagnera un point, l'avant-dernière 2 points et ainsi de suite jusqu'au premier. Ces points seront additionnés aux points gagnés grâce aux autres activités de ses festivités.
Bon jeu !

Ce matin là, la jeune fille s'était rendue comme chaque jour de la semaine sur la grand place pour tenir le stand de tir à l'arc. Ce rôle lui convenait parfaitement car qu'il y ai ou non des participants ne l’empêchait pas de s'amuser elle-même à tirer des flèches, un de ses passes-temps favoris.

Cependant ce matin quelque chose clochait, mais Alazaïs ne parvenait pas à mettre en lumière ce qu'il se passait. Les villageois semblaient étranges, la foire anormalement éteinte. Fronçant les sourcils la demoiselle parcouru la place des yeux. Seuls quelques individus éparses erraient ici ou là. Puis la jeune fille se dit que peut-être plusieurs habitués avaient un peu trop festoyé et n'étaient pas encore debout.
Elle reporta donc son esprit sur les cibles et recommença à tirer.

Ce sont de grand cris qui la firent à nouveau sortir de ses pensées. D'effroi, elle fit partir sa flèche bien loin après sa cible, sans danger car le périmètre était bien sur sécurisé. Elle se retourna vivement et constata que la grand place s'était certes remplies de villageois mais que ceux-ci s'agitait en tout sens ! L'un d'eux passa près d'elle en proie à une terrifiante quinte de toux. La jeune fille fit un bond d'un mètre en arrière les yeux écarquillés.  
"Cet homme est fort mal en point "se dit-elle, mais lorsqu'elle promena ses yeux sur la place elle constata qu'il n'était pas le seul dans cet état. Il y avait des malades partout !

La panique commençait a envahir la place du village et Alazaïs elle-même, qui restait plantée de stupeur devant pareil spectacle...

Jeudi 18 juin 1655 fin d'après-midi (suite)


Soudain Alazaïs fut tirée de sa stupéfaction lorsqu'un habitant aux yeux rouges exorbités et trempé de sueur, l'attrapa par la manche. Horrifiée elle tira de toute ses forces pour retirer son bras de l'emprise du pestiféré. Elle y laissa sa manche au passage ce qui était pour l'heure le cadet de ses soucis. Egalement gagnée par une panique toujours grandissante elle se mit à courir à une vitesse qu'elle n'avait jamais atteinte de sa vie.  

Au début de sa fuite elle n'avait pas de destination précise en tête, tout ce qui lui importait été de mettre le plus de distance possible entre elle et ce lieu de désolation. Sauf que la désolation n'était pas contenue à la grand place, elle régnait partout, dans chaque rue. Alors malgré la peur elle se mit à réfléchir à toute vitesse et une image s'imposa dans son esprit. Celle de Perceval. Elle devait le voir et de suite, d'abord parce qu'il était le maire et saurait quoi faire et surtout parce qu'il était un grand ami, et même plus que cela au fond de son coeur.
Etait-il lui même au courant de ce qu'il se passait ? A cette heure-ci il devait avoir rejoint son bureau à la mairie, aussi se dirigea-t-elle vers celui-ci à toute allure.  

(suite dans le rp "Bureau du Maire de Rouen et du conseiller aux finances")