[RP] Le petit nid de Rosy sur la plage.

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Installée par cette belle après midi devant sa cabane, un ouvrage de couture sur les genoux, le regard river sur les vagues qui viennent échouées sur la plage.
Rosy revit son arrivée dans la charmante ville d’Eu.

(Eglise de la Fraternité Pascale St Lambert, page 18)

Clap, clap, clap, fond ses talons sur le pavé. Elle y était arrivée, elle avait osée.

Qu’avait elle donc fait vous demandez vous.
Elle avait osée et ses pas raisonnent sur le pavé. Que voyez-vous ?
Une longue silhouette cachée sous une longue cape, ben oui faut se faire a l’idée, il fait froid, c’est l’hiver, elle n’allait pas arrivée en ville en petite robe quand même !
La capuche lui recouvre le visage, la cape ondule en même temps que ses pas qui font clap, clap, clap sur le pavé.
Oui je sais je me répète, soit passons.
Qui se cache sous le vêtement chaud ?
Une jeunette, une brunette, aux yeux brun, pas trop mal, un joli visage certain diront, une jolie silhouette certain rajouteront, bref une fille quoi, comme il y en a plein dans le patelin qui se promène. Quoi qu’en hiver les balades…

La brunette est arrivée en ville ce matin, elle a fuit sa famille, les rustres comme elle aime les appeler. Petite dernière d’une famille nombreuse, uniquement représenté par la gente masculine depuis que mère est passé dans l’autre monde.
Imaginer vous, un père, cinq frères et les heures passées à s’occuper de ce petit monde.
Frotte Marie, frotte. Cuisine Marie, cuisine. Lessive Marie, lessive.
Marie ou es-tu ? J’ai faimmmmmmmmm. Tu n’as rien fait, tu n’es qu’une fainéante Marie.
Marie avait les mains gercée d’avoir lessivé et frotter le sol à la brosse, alors que la bonne odeur de pin envahissait la demeure, elle jura a saint Marc que ce serait la dernière fois, plus jamais elle ne récurerait pour eux !
Parce qu’elle était le souffre douleur de ses frères, et cela depuis des années.
Ben Marie elle en a eu marre, elle a tout cassé la belle vaisselle, elle a décousu tout les beaux habits et mit le feu au tapis. Puis elle est partie, sans un regard en arrière.

Cela c’était il y a des semaines. Depuis elle a marché, marché et encore marché la Marie. Sans vraiment savoir ou elle était. Normal me direz vous, les femmes n’ont pas le sens de l’orientation, n’est ce pas.
Juste l’espoir la maintenait debout pendant ses longues journées de marche, elle voulait voir Paris. Paris ville ou tout peu arriver, ou une femme peu avoir la chance de devenir quelqu’un.
C’était sans compter que Paris c’est loin et que la fatigue, la faim et le froid hivernal ralentissaient ses pas.

Alors qu’elle entre en ville, elle laisse échapper un soupir, les bâtisses la protège un peu du vent glacial qui perse sa cape. Avançant doucement elle observe les maisonnettes en se frottant les mains l’une contre l’autre pour les réchauffées.

Elle rencontre une vieille dame vêtue de noire tenant un panier contre sa poitrine. Un panier rempli, au milieu des miches de pain trône un faisan. Son estomac se mit à chanter, gronder, réclamer. La bestiole se transforme en viande rôtie alléchante, fichtre qu’est ce qu’elle a faim. Sa main se pose sur la cuisse, ses doigts effleure le manche de sa dague qui ne la quitte plus et qui lui a permit déjà de se sortir d’ennui. Doucement sa langue passe sur ses lèvres gercées et elle s’approche de la proie portant son futur repas. La femme d’un âge certain la voyant resserre son panier contre son cœur, la peur, la vieillesse ou que s’ais je d’autre l’empêche de bouger. Puis les yeux se croisent. Marie rencontre le regard ridé de la vieille, un regard doux, le regard des grandes mères. Les doigts crispés de la jeunette lâche le manche. Elle tente un sourire, la vieille se détend.

Comme s’appelle c’te ville ?

La vieille de lui répondre

Eu.

Je viens de loin ou se trouve l’église ?

Mode gps du XVII siècle qui s’enclenche.

Vous n’êtes plus très loin, votre parcourt sera de huit cent mètres. Vous allez tout droit dans trois cent mètres vous prendrez à gauche, puis cinq cent mètres plus loin vous tomberez sur une place. Vous serez arrivé à destination.

Merci m’dame.

De rien ma petite, comment t’appelles tu ?

Rosy, je m’appelle Rosy.

Le nom a franchi ses lèvres, elle a donné le nom de sa mère, pour elle Marie est une autre, Marie n’existe plus.
Tout en parlant elle regarde le panier, la faim la tenaille, récupérant quelques pièces dans son corsage elle ose demander en tendant la monnaie.

Une miche contre ses pièces.

La vieille de sourire et lui tendre le pain.

Merci m’dame, bonne journée.

Au revoir Rosy.

Une rencontre dans une ruelle qui se termine bien, la miche tiède réchauffe ses mains alors qu’elle prend la direction de l’église.
Que veut elle aller faire dans une église me demanderez vous.
C’est simple, se réchauffer et dormir un peu.
Le grand bâtiment est devant elle, les marches sont empruntées et la lourde porte poussée. Le bruit caractéristique des vieilles portes d’église émet le son strident, une fois pour ouvrir, une fois pour refermer. Rosy lâche un juron.

Mince y a du monde.

Se faire plus petite, se faufiler sans bruit. Fini le clap, clap des talons. Elle s’installe près des bougies, appréciant la chaleur des flammes. Doucement elle entame la miche de pain en regardant la cérémonie.

Cela c’était il y a maintenant quelques semaines, dans l’église elle a rencontré le Cardinal Luc qui lui a donné quelques louis et demoiselle Oksanna qui lui a remit un paquet de victuaille. Elle n’a plus eu la chance de revoir la demoiselle rousse, mais ce promit a cet instant qu’elle essaierait de la revoir.
Bien rassasiée et les louis en poche. Rosy avait décidé de rester en ville, c’est en se promenant le soir qu’elle a trouvée cette cabane abandonnée sur un bout de plage.
Le destin sans doute…

La bicoque en bois ne payait pas de mine, personne n’était venu la délogée, elle avait entreprit de la retaper et de s’y installée.
Ohhh ce n’est pas grand luxe, mais elle avait son chez elle, la brunette n’a pas besoin de plus pour être heureuse.

Peu après son arrivée, la ville a été attaquée par des pirates. Elle avait pensé fuir la donzelle, elle n’était pas téméraire pour un sou.
Pourtant ses pas l’ont menée au dispensaire. On venait d’y amener des blessés et s’en réfléchir, enfin si un peu quand même, elle avait franchit les marches et était entrée.
Et je vous le dit moi, elle a bien fait la brunette.
Rosy y a rencontré une femme formidable et sa fille. Marie et Cara.
Cote à cote, elles ont soignés, réconfortés. Elles ont rit, elles ont criés leur peine.
Un lien les a soudés, un lien tellement fort que Marie est devenu la marraine de baptême de la brunette.

Un soupir d’aise franchit les lèvres roses. Un sourire nait aux commissures des lèvres en posant son regard sur son ouvrage.

Un petit bon en arrière encore. Ses escapades à l’auberge, ne penser pas que la donzelle est une ivrogne, enfin quoi que depuis sa pastorale avec le Cardinal, la brunette apprécie maintenant le calva.
La Rosy aime bien aller à l’auberge, elle y a rencontré des personnes très gentilles et elle a sympathisée avec quelques habitants qui l’ont accueillie chaleureusement.
Caressant le tissus fin, elle se promit de terminé la robe a temps, elle veut que celle qui l’a portera soit la plus belle.

Les heures ont passées s’en qu’elle ne s’en rende compte la jolie, il est temps de rentrer.
Elle se lève, pousse la porte et entre chez elle, sa cabane sur la plage d’Eu.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Cela faisait maintenant une semaine que la jeune femme etait sur un petit nuage, il l'avait demander en mariage, un soir en taverne, d'une facon maladroite certe mais qui l'avait charmée et qui lui avait plu. Elle etait aux anges, certain aller jaser sur la raison de ce mariage, ils penseront elle l'epouse pour son titre, il est noble, mais elle savait pourquoi elle l'epousait et c'etais la seule chose qui comptais pour elle, sa noblesse ne venait pas de ses titres mais de son coeur, de ses actes envers les autres et de ses paroles. Il l'avait conquise, seduite par ses mots, par ses paroles rassurantes et douces, il avait su toucher son ame au plus profond, mais aussi son coeur, il avait reussi a dompter son caractere fougueux et impetueux, enfin une partie seulement, car elle ne comptais pas changer, il etait au courant de ce trait de caractere, il l'avait meme surnomée "sa peste hysterique" et il l'avait accepter tel qu'elle etait, il etait sur de lui comme elle etait sur de vouloir unir sa vie a la sienne.

Elle prit Fougueuse par les renes et monta sur son dos avec douceur, elle devait trouver la maison de Rosy, en effet Coco et elle avait sympathisé et quand rosy apprit la bonne nouvelle elle proposa de lui faire une robe pour son mariage, chose qu'elle accepta avec plaisir. Rosy lui avait montrer quelques esquisse qu'elle avait elle meme dessiner et qui etait magnifique, puis avait demander a la jeune femme de venir chez elle pour des essayage pour voir si il y aurait des retouches a faire.

Elle savait que la demoiselle vivait dans une cabane sur la plage, elle connaissait bien la plage pour y passer la plupart de ses nuits, et oui c'est dernier temps Coco avait besoin de marcher et de reflechir a beaucoup de chose, et les ballades noctures sur la plage lui faisait grand bien. Mais elle n'avait pas non plus fait attention a une cabane qui aurait pu se trouver sur la plage. Dirigeant la jument vers le lieu, elle chercha du regard, essayant de repérer la cabane, arriver sur la plage la jeune femme descendit de sa monture et continua la recherche a pied, laissant la bride sur le cou de la jument qui marchait a ses coter bien docile.

Au bout de quelques instant elle aperçût une charmante cabane en bois, ca doit etre la. Accelerant ses pas, elle se retrouva en moins de deux devant la porte, et toqua. Attendant patiemment que l'hote ouvre la porte esperant qu'elle ne se soit pas tromper d'endroit et qu'elle ne se retrouve pas nez a nez avec un gros balaise en colere et surtout mal luner

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Bien concentrée la Rosy, le regard river sur l’ouvrage étalé sur la table, elle vérifie toutes les coutures, coupe les derniers fils qui dépassent.

Ah ben oui je vous ne l’avais pas encore dit. Je vais donc vous mettre dans la confidence.
Rosy sait coudre et elle aime cela la brunette, ca la détend. Vous allez me dire, oui mais elle n’aime pas les robes Rosy. Je suis d’accord avec vous, mais elle aime les tissus et en faire de jolie chose.

Donc Rosy est concentrée sur son ouvrage quand on frappe à la porte.
Surprise la jolie, personne n’est encore venue depuis qu’elle est installée.
Pressée elle emporte la robe qu’elle pose sur son lit, avant de tirer la tenture qui cache sa couche.

Puis trottinant vers la porte elle pose sa main sur la dague qu’elle porte a sa taille et qui ne la quitte jamais.
Méfiante la donzelle, imaginer qu’on vienne pour la volé, oui bon il n’y a rien a volé ici.
Imaginé alors qu’on veuille attenter à sa pudeur, il n’est pas encore né celui qui osera la toucher, elle se défendra jusqu’au dernier souffle la jolie.

La main sur la poignée, elle crie.

C’est qui ?

Elle n’est pas prête a ouvrir a n’importe qui…

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Coco qui attendait devait la porte reconnu la voix de la jeune femme, un peu etouffer par la porte mais c'etais bien elle, poussant un soupir de soulagement elle se racla un peu la gorge et repondit, d'une voix amusée

La future mariée Rosy, qui veut tu que ca soit ? Le pape ?

Elle ne put s’empêcher d'eclater de rire en disant c'est parole quand on savait qu'elle allait epouser un cardinal, qui l'aurait cru un jour, certainement pas elle.

Je suis passée comme tu ma demandé pour l'essayage de ma futur nouvelle tenue. Mais si tu ouvrais la porte ca permettrai peut etre de parler sans avoir a crier de chaque coté tu pense pas ?

Elle attendit donc que sa nouvelle amie veuille bien lui ouvrir la porte

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Héhé, voila la futur mariée qui arrive, point de vilain brigand, n’y de pape.
Rosy tourne la poignée pour laisser passer la roussette dans son petit chez elle.

Entre, ne reste pas dehors voyons.

La laissant passer, elle regarde à l’extérieur.

Personne ne t’a suivit ? Il ne faudrait pas qu’on voit ta tenue avant le grand jour.

Personne en vue, elle ferme la porte et se tourne vers Coco, la scrutant de la tète aux pieds pour vérifié si elle n'avait pas prit un gramme, avant de lui faire une bise bien sonore.

La base de la robe est terminée, avant de faire les finitions il vaut mieux l’essayer.

Dit-elle en se dirigeant vers la tenture et là tirant, dévoilant son ouvrage allongé sur le lit. Elle regarde son amie en souriant lui faisant signe d’approcher.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

La jeune femme vit son amie ouvrir la porte et se mit a sourire

Je rentre, je rentre je n'allais tout de meme pas defoncer la porte ca aurait fait mauvais genre

Elle rentra dans la cabane de Rosy, malgres la petite taille de la maison, elle etait douillette et coquette, elle avait drolement bien arranger cette cabane la demoiselle. Elle se retourna et la vit regarder dehors comme si elle avait peur que quelqu'un ne l'ai suivit, elle ne put s'empecher de rire

Non personne ne ma suivit je te rassure, personne ne savait que je venais te voir j'ai su rester discrete non mais pour qui me prend tu ? Je sais je suis pipelette mais la quand meme j'ai su tenir ma langue.

Rosy la detaillait que craignait elle ? Que la jeune femme soit enceinte ? Non Cela n'etait pas le cas pour cela il aurait deja fallu avoir des rapports rapprocher et ils n'en etaient pas la avec son futur epoux, ils venaient a peine de partager le lit pour une premiere nuit et ils l'avaient passer a parler, a se caliner, et a dormir, meme tres peu. Ou alors elle craignait qu'Elferie ne lui ai trop donner de patisserie, elle qui etait gourmande avait du freiner un peu sur la consommation de douceur pour ne pas prendre du poids, et pouvoir garder sa taille de guêpe pour entrer dans sa robe.

Elle repondit a sa bise le sourire aux levres

Ca va l'inspection te convient ? Je crois meme avoir perdue un gramme j'espere que ca va pas te deranger *pouffe de rire taquine* je te fais confiance pour la robe donc on va faire comme tu me conseille, moi la couture j'y connait rien mais alors rien du tout.

Elle s'approcha a la demande de son amie et un sourire s'afficha sur ses levres, Ce qu'elle avait deja fait etait magnifique. Elle en resta sans voix, puis sachant que Rosy attendait elle lui repondit

C'est magnifique Rosy, j'adore tu es vraiment douer, va vraiment falloir que je t'embauche, tu viendra vivre au mont on te trouvera une maison pres de la notre et tu sera libre de tes mouvements bien entendu, je vais faire des jalouses je crois... enfin j'en suis meme sur, c'est vraiment trop beau pour moi ...

Ses yeux brillaient, certes la robe etait pas fini mais deja rien que ca promettait une robe sublime digne d'une reine

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Rosy rit avec Coco puis se concentre sur le visage de la roussette, cherchant dans son regard l’étincelle qui confirmerait qu’elle aime ce qui est étalé sur le lit.

C’est magnifique qu’elle dit Coco, au tour de Rosy de sourire et d’être soulagée, elle ne s’est pas trompée, elle aimeeeeeeeeeeeee sa future robe son amie.

La brunette écoute, rosit un peu quand on lui dit qu’elle est douée, est ravie quand on veut l’embauchée, pour finir par blêmir quand on lui parle de déménager.
Allez au Mont, aller vivre chez les hommes en robe ? euhhhhhh, pffffffffff, la franchement elle n’est pas très chaude la nénette, elle est même franchement refroidie.
Une des voix se marre dans sa tête.
« Ben voila Rosy, tu vas être enfermée sur une ile entouré de jupons »
L’autre de répondre
« L’endroit est certainement charmant, puis qui sait ce qu’ils portent sous leurs robes »

Merci

Lâche-t-elle.

Car le plus important pour le moment c’est de se concentré sur la robe.

Tu vas être magnifique, j’en suis certaine, cette couleur va particulièrement a ton teint.

Passant son doigt sur la dentelle fraichement cousue, elle enchaine.

Ici j’imagine déjà quelques, enfin tu verras
Il faut l’essayer maintenant, je t’aiderai à l’enfiler, faut que tu enlèves tout ça.

Elle montre les vêtements que Coco porte avant de se diriger vers l’armoire, laissant la demoiselle se dévêtir a l’aise.
Comme ca trottine dans sa tête, elle demande.

Tu vas vraiment aller habiter là bas, au Mont ?

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Coco ecouta la jeune femme en souriant, puis elle commenca a se devetir sur les conseils de le demoiselle lui faisant confiance quand elle lui posa la question d'habiter au mont. Elle s'arreta net dans son effeuillage et lui parla sans meme chercher ses mots, elle avait deja beaucoup reflechit et etait sur de son choix, les mots venaient tout seul

Franchement j'ai envie de vivre avec lui et meme si j'ai une maison ici je suis prete a le suivre au bout du monde, et puis je garderai ma maison elle nous servira de pied a terre a eu et puis je travaillerai toujours ici donc je ferais les voyages. Mais le mont et un endroit magnifique, avec de beaux jardins et puis on peut se deplacer a sa guise, il y a un marché sublime, et puis on est pas loin de Eu en bateau on peut faire le voyage facilement. Et puis y'a pas que des hommes en robes, il y en a certe mais il y a des femmes et des enfants aussi. Il y a la garde pontificale qui ne porte pas de robe et qui protege la ville.

Tout en parlant elle avait fini de se devetir, il lui restait son corset et son jupon.

Voila ca te convient comme ca ?

La jeune femme la regarda en souriant

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Admirative la Rosy, euhh, pas de voir les formes de son amie, n’allez pas imaginer n’importe quoi. Tsssssss. Quoi que Coco est bien foutue…
Elle admire la façon dont parle Coco de sa vie futur. La jolie imagine la future maison qui abritera les amoureux. Les jardins, le marché, les ruelles vivante aux grés des saisons.
Des saisons, tien il doit faire plus froid sur une ile, non ? se demande-t-elle.
Bon il est vrai que d’après la description, l’ile semble être un paradis sur terre.
Et il n’y a pas que des hommes en robes semble t’il. Elle allait devoir réfléchir à tout cela.
La roussette est maintenant debout en corset et jupon, le reste de ses frustres à ses pieds.

Scrutant Coco de la tête aux pieds, en penchant sa tête sur le coté, elle tique en faisant une mimique.

Non ça ne va pas.

Petit moment de réflexion.

Non pas du tout.
Ton jupon n’est pas adapter à la robe.

Elle empoigne dans l’armoire un autre jupon qu’elle vient placer au dessus de l’autre, ce qui devrait donner plus d’ampleur et un meilleur tomber du tissu soyeux de la robe. L’attachant à l’arrière elle remarque que le corset n’est pas assez serré.
Sans demander l’autorisation, la donzelle le délasse et le ressert bien fort en tirant de toutes ses forces.

Retient ta respiration et rentre le ventre.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

La jeune femme tira la tete, que ce qui allait pas ? Avait elle grossit ? Pourtant elle avait bien fait attention, elle avait meme manger beaucoup moins voir pas du tout pour certain jour, mais ca elle le dirait pas, personne ne devait s'inquieter.

Puis elle poussa un soupir de soulagement, c'etait juste le jupon, oufffff ..... c'etait rien de bien grave un jupon ca se change, elle n'eut pas le temps de dire quoique ce soit qu'elle se retrouva avec un autre jupon sortit de l'armoire a Rosy.

Euh ... oui si tu veux resserer mais va pas non plus m'empecher de respirer sinon va falloir me faire du bouche a bouche pour me reanimer

Retenant sa respiration, elle sentit la demoiselle resserer, bougre c'est qu'elle avait de la force la bourrique, elle avait bien faillit tomber a la renverse tellement elle se retrouver serrer

Tu ... es .... obliger .... de ....serrer .... autant

Elle parlait un peu haletante le souffle un poil couper

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Elle rit aux éclats la donzelle en tirant du mieux qu’elle peut, puis finit par nouer le lacet.
Revenant devant Coco un grand sourire s’affiche sur son visage ovale en l’admirant.

[RP] Le petit nid de Rosy sur la plage. Dessou10

[RP] Le petit nid de Rosy sur la plage. Dessou10

Ben oui faut serrer, regarde la différence, tu as une taille de guêpe maintenant et ta poitrine est bien mise en valeur.
Faut souffrir ma jolie pour être la plus belle.

Ah pour sur, la Rosy ne voudrait pas être à la place de la future mariée, coincée dans ce genre de corset, ce n'est pas pour elle. Pour l’encouragée elle rajoute

Tu verras, tu vas t’y faire, puis tu as encore quelques jours pour t’habituée, serre le bien tout les matins et le grand jour tu ne t’apercevras même pas qu’il existe.

Pas certaine de ce qu’elle raconte la donzelle, mais bon, quand faut encourager, elle encourage.

Essaye un peu de t’abaisser pour voir.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Ba oui faut serrer, ba pas envie de mourrir etouffer par un corset en meme temps, meme si j'ai envie de plaire, et puis vas y dit que je suis grosse, elle a deja la taille de guepe, elle ressemble pas a un gros bourdon, beurk en plus c'est moche, ca a plein de poil. Elle regarda Rosy essayant de sourire, mais elle avait du mal, deja pour respirer c'etait evident et elle avait peur de tout craquer si elle relachait tout. Pourquoi en tant normal on la voyait pas ? Roooo Rosy si elle continue elle va finir par la faire rire et faire craquer toutes les coutures.

Ba dit Rosy que je suis grosse non mais oh, je me retient de manger plein de bonne chose, et pour ce qui est de m'y faire j'en porte deja mais pas serrer autant, tu a deja essayer de serrer les ficelles toutes seule ? Parce que c'est franchement pas evident.

Pas sur qu'elle l'oublie ce fichu truc qui l'empechait de bouger a sa guise, monter a cheval avec ca pas sur qu'elle y arrive, c'etait vraiment trop serrer, elle aimait etre libre de ses mouvements et elle avait l'impression d'etre enfermer dans son propre corps. Regardant Rosy desesperement elle essaya de se baisser manquant de basculer vers l'avant.

Grand Dieu Rosy libere moi ou je vais finir par piquer un somme dans ton lit

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Elle l’écoute attentivement.

Ben non tu n’es pas grosse.

Dit-elle en haussant les épaules.

Très juste en effet, Rosy n’a jamais essayé de serrer elle-même un corset, puisqu’elle n’en porte pas

Non, j’ai jamais essayé, je n’en ai d’ailleurs jamais porté, enfin si une fois, mais je n’aimais pas ça, ce n’est franchement pas agréable.

Regardant Coco en fronçant les sourcils, elle se dit qu’elle a peut être trop serré le corset qui l’emprisonne.
Voyant son amie essayer de se baisser et devenir pale, elle en a la confirmation, c’est bien trop serré.
Sans plus attendre elle dénoue le beau nœud et relâche l’étau l’empêchant de reprendre une respiration normale.

Voila, tien le et respire.

Trottinant jusqu’au buffet, elle sort une bouteille de calva et sert deux verres.
Un est tendu vers Coco.

Boit un coup tu es toute pale, ca va te redonner des couleurs.

La laissant reprendre son souffle, Rosy boit une bonne gorgée, la laissant récupérer.

Ca va mieux ?

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Coco avait du mal quand d'un coup la jeune femme defit le corset ce qui permit a Coco de rerendre sa respiration qui etait haletante au depart, puis petit a petit elle redevenait normal, elle se demandait si son amie l'avait fait expres ou si elle avait voulu la tuer ^^. Elle tint ce que Rosy lui demandait sans trop savoir ce que c'etait mais elle lui faisait confiance ... enfin la pour le coup elle etait plus sur.

Essayant de sourire elle attrappa le verre de calva tendu et le bu d'une traite, puis regarde Rosy

Et be dit moi ca va bien hein ^^ oui que je suis pale je respirais plus tu a fait de l'exercise que tu a une poigne de fer, faut pas t'embeter toi hein ,je voudrais pas me prendre un coup de poing de ta part tu me ferai un trou dans la tete.

Pouffant quelque peu de rire, se posa cinq minute sur lit

Tu m'excuse mais j'ai besoin de m'assoir la, et oui ca commence a aller mieux merci a toi de m'avoir liberer

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Rosy stupéfaite regarde le verre vide, sans attendre elle va rechercher la bouteille et le rempli.

Je suis vraiment si forte que ca ? Tu sais je suis la seule fille de la famille, la petite dernière, j’ai cinq frères, donc j’ai du apprendre à me défendre, sans doute ma force vient elle de là.

La donzelle s’installe a coté de son amie sur le lit et sourit plongée dans ses souvenirs.
Avant de vider son verre.

Excuse moi, je n’ai pas trop l’habitude avec les corsets, je ne me suis pas rendue compte que je serrais trop fort, vaux mieux que tu l’attache toi-même.
Je n’ai pas envie d’aller trouver ton futur mari pour lui annoncer que ta couturière a trop de poigne et a laisser sa chèrie s’étouffer.

Elle rit, puis se rend compte qu’elle a dit ta couturière.
Elle vient de prendre sa décision, elle accepte de travailler pour Coco, faudra juste qu’elle voit plus tard pour le reste, ce n’est vraiment pas pressé.

Dès que tu auras lacé ce stupide corset, on passera à la robe, j’ai vraiment hâte de voir se qu’elle va donner sur toi.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Coco voit la jeune femme revenir avec la bouteille, il est vrai que Rosy ne l'avait jamais vu boire, le soir en taverne elle avait une sacrée descente.

Oh oui tu es fichtrement forte, j'ai vu plein d'etoile. Ah ba oui tu m'etonne elevée qu'avec des mecs je comprend mieux vallais mieux avoir de la force pour leur mettre des baffes si ils t'embetaient, mais moi je suis pas tes freres hein, j'y suis pour rien.

Pouffant de rire, elle regarda Rosy prendre place a ses cotées

Oui oui je vais l'attacher moi meme, ne t'en fais pas.

Elle se leva et serra son corset assez serrer mais juste ce qu'il fallait pour pouvoir respirer quand meme, elle la regarda avec un sourire.

Ca te va comme ca ? Parce que je ne pourrai pas plus a moins d'etre capable de passer mes bras dans le dos. Et je suis pas sur que si tu annonce a mon futur epoux que tu ma etouffer il en soit ravi.

Coco leva un sourcil en entendant le mot "Ta couturiere", la regardant en souriant, avait elle pris sa decision ? Si c'etait le cas elle etait ravie d'avoir son amie a ses coté elle se sentirai moins seule au mont quand Doc ne serait pas la, car elle savait pertinemment qu'il aurait toujours beaucoup de travail. Elle la laissera lui dire quand elle se sentirai prete a le faire

tout en papotant le lacet avait ete serrer, elle la regarda et attendit

Bon on attend quoi pour la suite ? Le degel ?

Elle eclata de rire et attendit

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Le dégel, pourquoi pas tien, et si on attendait le dégel…

Ben je pense que tu es pressée de te mariée, donc il vaut mieux continuer parce que si on attend le dégel, ben ma pauvre, ce n’est pas demain la veille de tes noces.

Elle termine son verre et rit de bon cœur en se levant.
Empoignant délicatement la robe, elle la soulève et la fait passer par-dessus la tête de Coco.
Lâchant le tissu celui-ci tombe, jusqu’au jupon qui le retient.

Passe tes bras dans les manches que je puisse l’attacher à l’arrière.
Et ne t’inquiète pas ce n’est pas un lacet, c’est juste des boutons.

Eclat de rire cristallin qui s’échappe des lèvres roses entrouvertes.
Laissant faire son amie elle lisse le bas de la robe et regarde comment tombe le tissus sur les jupons.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Coco lui fit un magnifique sourire

Oh que oui ma Rosy je suis pressée de me mariée, il est merveillleux, et c'est un homme qui est bon avec tout le monde, et si je ne l'epouse pas vite j'ai peur qu'une autre essaye de le me voler *pouffe de rire* Enfin celle qui essayera de me le voler, vaut mieux qu'elle parte vite parce que si je l'apprend ca risque de chauffer pour elle.

La jeune femme attendit patiemment que son amie ai fini de boire son verre pour pouvoir continuer les essayages, ca ne serai pas le moment de reverser quelconque breuvage dessus avant meme de s'etre marier dedans.

Puis la Rosy lui fit passer la robe, la laissant glisser jusqu'a ce que celle ci retombe jusqu'en bas, puis elle suivit les conseils de son amie, elle passa les bras doucement afin de ne rien faire craquer, des boutons ? Quel bonne idee c'est sur que ca serait mieux que des lacets, et surtout que ca serait plus facile a mettre mais aussi a enlever. Elle ne put s'empecher de rougir quand elle pensa a enlever, Doc serait certainement ravi, de ce petit insidspensable.

Des boutons ? J'en connais un a qui ca va plaire ca tiens

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Rosy n’avait pas encore eut le plaisir de croiser le futur époux, mais a entre parler son amie, celle-ci devait sans doute avoir trouvé la perle rare.
La brunette n’avait pas beaucoup de référence en la matière, tout ce quel sait c’est que ses frères et son père sont plutôt du style a être imbu de leur petite personne, qu’ils l’a prenaientt pour la servante de la maison, ne faisant que râler, rouspéter et l’embêter.
Elle ne cherchait pas à se mettre en couple, ne voulant plus être l’esclave de quiconque.
Pourtant les dire de Coco à cet instant la laisse interrogative sur le sujet.
Peut-il exister des hommes charmant, ne prenant pas leur femme pour leur bonne ?
Soit cela est exacte, soit son amie se fait avoir et déchantera plus tard.
Néanmoins elle garde le sourire, elle commençait a bien connaitre Coco et surtout son tempérament, la roussette ne se laissera pas faire, cela elle en est certaine, elle y parirerait tout ce qu’elle possède.
Vous aller me dire, ben elle a rien la Rosy, vous avez entièrement raison, mais le peu qu’elle a, elle y tien !

Coco glisse ses bras dans les manches et elle, elle passe derrière pour attacher les petits boutons fraichement cousu, un a un et cela dure, dure, dure encore.

Oui des boutons, plein de petits boutons.

Elle sourit.

Le soir du mariage, il va prendre un temps fou a déboutonner tout ca, j’espère pour toi qu’a chaque bouton qu’il défera, tu auras droit a un tendre baiser.
A moins qu’il ne soit pressé et qu’il les arrache.

Rosy rit aux éclats, imaginant la scène.

Le dernier est attacher, du bout des doigts elle ajuste l’arrière de la robe, puis passe devant.
La donzelle vérifie l’encolure, le tomber de la soie. Puis s’éloigne de quelques pas pour regarder l’ensemble en penchant la tête sur le coté.

Tu sais quoi ma jolie ?

Tu es magnifique.

D’un coin de la pièce, elle tire une psyché.

Vient voir.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Coco laissa son amie lui mettre les boutons et sourit en entendant ses paroles

Oh ba tu sais a mon avis il arrachera tout, il n'aura pas la patience d'attendre. Et puis il sait que tu sera la pour reparer ses betises, mais c'est vrai que ca serai agreable qu'a chaque bouton enlever un petit baiser dans le cou me plairait assez.

Et puis tu sais Rosy j'ai hate de te le presente, c'est quelqu'un de formidable il a beaucoup souffert de la perte de sa femme, et il es trester deux ans avant de se remettre en couple, j'ai beaucoup parler avec Luc et Maria qui sont de sa belle famille, et ils m'ont dit beaucoup de bien de lui. Certain pourrait croire que j'ai pris la decision de l'epouser a la legere mais c'est pas le cas, a travers ses proches et en le cotoyant j'ai appris a le connaitre, et malgres ce que l'on peut croire de lui, c'est une personne adorable et merveilleuse. Et je suis fiere de devenir sa femme

Coco sourit a ses paroles elle s'etait un peu laissée emporter mais elle etait comme ca, elle disait ce qu'elle pensait et ce qu'elle ressentait. Regardant Rosy qui riait au eclat de ses paroles, elle realisa que celle ci etait rester sur l'arrachage de bouton et eclata de rire elle aussi, puis elle la vie s'eloigner pour regarder ce que cela donnait

Elle se mit a rougir en entendant les paroles de son amie

Ca suffit Rosy on va se demander qui m'epouse a force

Pouffant de rire elle se regarda devant le miroir, et en resta bouche bée un seul mot sorti de sa bouche

Sublime...

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Sublime, c’est clair y a pas de doute, la robe va à merveille…
Elle s’approche, fait le tour de Coco en épiant la moindre couture, le moindre bouton, il n’y aura aucune retouche à faire.

Elle te va parfaitement et je suis contente qu’elle te plaise.
Il ne me reste plus qu’a fignoler les broderies.
Quand tu l’auras retirée bien sur, je vais te libérer, faudrait pas que je la couse sur toi.

Petit regard espiègle en pouffant de rire.
Elle lui laisse le temps de se mirer encore un peu avant de défaire les boutons.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

Coco regarda son amie lui tourner autour et se mit a rire.

Oui ne va pas me coudre a la robe sinon j'en connais un qui va raler et qui va devoir tout arracher et je ne voudrais pas qu'il abime une robe aussi sublime, ca serai dommage tout de meme.

Elle se regarda encore quelques instant puis regarda Rosy

Pourrais tu avoir l'obligeance de m'enlever les boutons s'il te plait que je puisse te rendre la robe afin que tu puisse continuer ton magnifique travail et que tout soit pret pour le jour du mariage.

Une fois que Rosy lui eu enlever les boutons, elle laissa glisser la robe doucement essayant de ne pas la froisser et remit ses vetements a elle en oubliant pas de rendre le jupon que la jeune femme lui avait preter pour l'essayage

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

S’attaquer aux boutons, elle commence par placer la longue chevelure de son amie sur son épaule dévoilant la jolie nuque.
Ses doigts fins tremblent alors qu’elle déboutonne le premier, puis le deuxième, dévoilant le haut du dos, la peau fine et délicate est tentante.
Le parfum de la belle lui chatouille les narines éveillant en elle une envie difficilement contrôlable, toucher, oui elle a envie de toucher, de caresser du bout des doigts la peau qui ressemble a du velours.
Il faut qu’elle se concentre sur les boutons, le troisième, puis le quatrième, elle s’est rapprochée sans même sans rendre compte, il ne reste que quelques centimètre entre elles.
L’envie est trop forte, ses lèvres se déposent délicatement sur la nuque de la belle, ses doigts fébrile écarte le tissus alors que ses lèvres gonflées de désirs suivent le tissus dévoilant les épaules.

N’importe quoi! si vous croyez cela, je vous en raconte d’autre.

La robe est déboutonnée, elle a glissée, puis emportée et placer sur le mannequin qu’elle avait commandé a un menuisier pendant que Coco remet ses vêtements.
Quand celle-ci veut lui rendre le jupon elle fait non de la tête.

Emporte le, il convient très bien, de toute façon moi je n’en porte jamais.

Se tournant vers la robe, elle réfléchit un instant avant d’annoncer.

Je pense pouvoir la terminer dans une semaine tout au plus, je te la ferai livrée si ca te convient.

Messages : 2461 Date d'inscription : 20/01/2010 Ville : Eu

la jeune femme une fois rhabiller, regarda Rosy etonnée.

Tu pourrais en avoir besoin, je vais pas te vider ta garde robe en plus. Et puis des jupons je peux toujours aller dans la boutique a Angelique, il parait qu'elle a de super beau vetement . Ca me fera une occasion de depenser un peu des sous, dans la boutique et qui sais vais peut etre trouver des petites choses affriolante.

Puis Rosy continua

Oui prend ton temps ... enfin pas trop quand meme, je me marie que le 20 avril donc tu a un peu de temps

Messages : 1037 Date d'inscription : 30/01/2013 Ville : Au bord du précipice.

Chez Angelique, voila qui est une bonne idée, elle remet pendouiller le jupon dans l’armoire ou il restera sans doute pour encore un bon moment.

Tu as raison, sa boutique doit regorger de jolie chose affriolante, tu commandes un beau jupon et de jolis dessous pour le grand jour.
Je ne sais pas si elle fait ce genre de vêtement en couleur, mais si c’est le cas opte pour du bleu ou du vert, c’est deux couleurs iront très bien a ton teint et s’accorderont avec la chevelure flamboyante.

Le vingt dis tu, ca ira, elle sera terminée, emballée et pesée.

Ainsi que le reste pense-t-elle. Avant de lui sourire.

Un dernier verre ?

N’attendant pas la réponse, elle ressert deux verres de calva et s’installe sur un des tabourets.

Vous avez décidé ou vous ferez la fête ?

» [RP]Au bord de la plage, c'est chez Cara
» [RP] Sur la plage d'Eu
» [RP]Petit weekend en amoureux
» [rp] Petit détour par les boutiques
» [RP] Une maison près de la plage