[RP]Geôle de Vincennes

Michel fraîchement rentré dans les rangs de l'Armée royale,venait de recevoir sa charge . Bien que nouveau au sein de cette grande institution, le jeune soldat comptait bien remplir ce qu'on lui avait ordonné.
Au petit matin , Michel après son brin de toilette habituel revêtit sa tenue de soldat et veillait à ce qu'elle soit impeccable et propre. Après avoir fait sa propre inspection il déroula le parchemin où était écrit l'ordre de sa toute première mission ...... veiller sur le déserteur, le Lieutenant Cylouan.

A ce nom, le jeune homme qu'il était se rappelait de ce que son père , jadis , lui avait narré. Mais Lieutenant ou pas , il était considéré comme tout prisonnier et il n'allait surement pas lui faire un traitement de faveur sous le seul motif d'avoir été , un jour, Lieutenant sous les bonnes grâce d'un roi désormais mort et bien mort , ennemi farouche de son Père feu le Pape Valentin.

Arrivant aux abords de la prison de Vincennes , il se présenta comme le soldat en charge du prisonnier, présentant la lettre signé et scellé du secrétaire d'état , les gardes le conduisit auprès du condamné qui visiblement  s'amusait bien à faire tourner en bourrique les gardes en faction autour de lui.

"Décidément ça commence bien" se disait-il intérieurement

Ne se laissant toutefois pas démonter par le caractère bien trempé de l'ancien Officier , il s'approcha de lui avec courtoisie et répondit

Bonjour Monsieur Cylouan,
Je me présente . Je suis le Soldat Michel d'Anjou et je serai celui qui tout au long de séjour ici veillera sur vous.

Je suppose que l'on vous a informé , que vous aurez la possibilité d'avoir de la visite , pour l'heure je vois que votre occupation fût celle de jouer avec les gardes.  Vous avez un humour qui ne fera surement rire que vous , mais je suis navré de jouer pour l'heure les rabat joies et je vous prie de ramasser ce boulet .

Evidemment ce que je vous demande avec la plus grande courtoisie , est un ordre . Je ne vous le répéterai pas deux fois à vous de choisir, soit vous vous y plier et votre séjour sera le moins pesant possible, soit vous jouez au plus malin ce qui m'obligerai à vous le faire comprendre d'une manière plus primaire.
La balle est dans votre camps ou devrais je dire le boulet.

Lui aussi pouvait avoir un humour subtil , au raz des pâquerettes.

Les gardes s'avançant , Michel d'un signe de la main les stoppa , préférant attendre la réponse de l'officier déchu

Michel s'attendait à cette réaction qui reflétait la personnalité du Prisonnier. Mais croire que le jeune soldat allait se laisser chier sur la tête sous prétexte qu'il était nouveau ce serait mal le connaître , il avait hérité du caractère fort de son père et même si celui ci avait été roi un jour, les menaces et la provocation qu'il proférât à son encontre ne l'atteignait nullement , il avait l'habitude de ce genre de personne qu'il fallait mâter dès le premier contact pour asseoir son autorité.

souriant au parole du prisonnier bien enchaîné,  il  répondit à la provocation par la même provocation

En effet c'est fort dommage , vous m'êtes sympathique sous votre caractère d'enfant gâté , capricieux et provocateur , vous êtes fort mignon, beau blond. J'aurai aimé que votre envie de me faire foutre se concrétise mais je pense que notre petite histoire d'amour va devoir attendre

Souriant toujours au jeu du chat et de la souris , Michel prit le boulet et le laissa tomber sur le pied du jeune condamné comme il avait aimé le faire sur un des gardes .  Le jeune soldat le connaissant s'attendait à une réaction tout aussi primaire et aurait pu encore plus l'entraver d'autant plus mais il était homme d'honneur, préférant le laisser agir , après tout dans la famille d'Anjou on sait affronter la douleur et les coups , nul ne se dérobe à l'obstacle. Lui répondant avec un peu moins de complaisance
il dit

Je vous ordonne Mon Bel Ami de reprendre ce boulet , si vous refusez , je serai contraint d'employer la force .

cylouan ne lâchais pas du regard le jeune soldat, pas question de se laisser démonter et de toute manière ca lui fessais un bien fous ...
ca lui permettait de se défouler un peu après ses semaines d enfermement.

Cyl écoutât et eu un doute sur le fait que l homme puisse avoir un jour des enfants avec une bonne femme...

essaie de me toucher et je peux te jurer que quand je serais libre tu le regrettera mon petit...
Il ne le quittait toujours pas des yeux sourit quand il attrapa le boulet ...

ah ben voila petit tu as tout....

wouaaaa ! la douleur fut instantanée et se répandit dans tout son pied... il se pencha pour ne pas crier plus fort et que le soldat ne puisse pas voir sa grimace... il dégagea son pied de sous le boulet...
Il sentait son cœur battre dans au moin deux orteils...

cyl mis ses main jointe...
et en se relevant pris son elant pour aller taper de toute ses forces avec ses deux mains jointes sous le menton du jeune soldat et lui cracha a la figure...

voila ce que je te répond ! pauvre type. tes ordres donne les a tes hommes et encore tu ne dois pas en avoir beaucoup !
mais moi je ne suis pas sous vos ordres !

Michel sourit au propos du prisonnier, qui avait du cran malgré la position inconfortable qu'il occupait . Les gardes toujours prêt à intervenir n'attendait qu'un seul ordre du soldat mandaté, dont celui ci avait essayé de laisser la chance à l'homme de collaborer. Puis dans un petit rire incontrôlé il répondit

Mais c'est qu'il mordrait le petit , t’inquiète pas tes menaces ne me font pas peur.

après avoir donné l'occasion à l'individu d’obtempérer , le jeune soldat avait prit le boulet et l'avait flanqué sur le pied de l'ancien Lieutenant pour lui faire goûter pleinement le fruit de sa farce , ce qui avait eu un effet immédiat .

Croyant que lui même allait porter le boulet , il ne lui laissa point le temps de s'exprimer

cylouan a écrit:

ah ben voila petit tu as tout....

un grand cri se fit retentir dans tout le lieu, sans doute était ce avec l'aide de la bonne résonance de la bâtisse . Le condamné se tordait de douleur à la suite de cette acte qu'il n'avait eu aucun regret à faire . lorsque celui ci se releva il accouru vers le jeune soldat qu'il était , et dans un excès décuplé par la colère lui donna un violant coup et lui cracha au visage , le faisant reculer de plusieurs pas avant de perdre pied et de choir.
Quelques peu sonné , lui qui pourtant, était d'une bon carrure, se releva, le visage , un peu ensanglanté dû au coup et aux entraves .
Les gardes voyant la scène vinrent retenir le prisonnier pendant que Michel s'essuyait le sang mêlé au cracha . Rien était cassé, mais la violence du choc lui procura une douleur vive qui se répandait sur toute la moitié du visage. Il se mordait les lèvres pour encaissé la douloureuse sensation  puis répondit sans tomber aussi bas que lui

Je suis désolé que vous ayez encore la prétention de commander quoique ce soit, vous n'êtes plus Lieutenant ici mais un prisonnier qui exécutera mes ordres de gré ou de force . Ne vous inquiétez pas j'ai assez d'homme pour vous mâter et si il y a peu d'effectif dans l'Armée cela vous n'avez qu'à vous en prendre qu'à vous même et votre recrutement minable. Je n'ai pas tout le temps pour assouvir vos moindre caprices , puisque vous ne voulez pas obeïr , eh bien soit je me passerai de votre liberté mal placé .
   
Se retournant vers les gardes il leur ordonna

Gardes enchaînez moi cet homme comme un saucisson sur tout son torse , qu'il ne puisse plus faire un mouvement de ses bras et attacher une autre chaîne pour le tirer, si Monsieur ne veut pas se donner la peine d'avancer nous allons le tirer et scellez la à mon cheval.  

puis retrouvant son cheval, il avança jusqu'à la cours du château

La douleur dans le pied continuais a battre la chamade ...

mais le coup porter au soldat lui avait fait un bien fous ... même si il savais qu il allais en payer les conséquence

il vit asser vite que son coup au visage du soldat avait eu son petit effet, et cyl en était asser content...
de suite il se prit deux garde qui le maitrisa asse rapidement ... les chaines l empêchais de se défendre comme il se devais ...

mais pas question de baisser la tête , le soldat en sang ...

son sang ne fit qu un tour quand il lui aurait bien mis un deuxième coup ...
ca na rien avoir ! ca fait longtemps que l armée n est plus ce qu elle était !
le jeune soldat ne perdait pas son sang froid chose que cylouan aurait du acquérir depuis un moment ...

aussitôt l ordre donner que les garde l exécutaient ... plus moyen de bouger le haut du corps...

saleter ! ...
cyl essayait de suivre le rythme , mais le boulet et son pied qui lui fessait mal le fit asser vite trébucher ...
il se retrouva au sol tirer... il tenta de se remettre debout plusieurs fois mais chuta a chaque tentative...
le groupe venais d arriver dans la fameuse cours du château...

cyl du prendre quelques minutes pour reprendre ses esprit...
puis se releva difficilement ... et lança au soldat ...

Oh ca ca montre que vous êtes un formidable soldat ! ...

Michel posa pied à terre arrivant au nouveau logis du prisonnier. Se retournant il fit signe aux gardes de l'aider vu que l'ancien Lieutenant avait du mal à se relever .

Dans la famille d'Anjou on possédait une force de caractère , une détermination sans faille , ne fuyant jamais devant l'obstacle , ni la douleur comme la mort, malgré la douceur et la compassion dont ils pouvaient faire preuve,  chose qu'il avait hérité de son Père.

Le blondinet , captif, toujours en colère et puis épuisé entre ses semaines de captivité et les présents événements qui n'avaient rien arrangé à l'affaire lui fit lancer ces quelques mots dont le soldat qu'il était, ne pouvait laisser passer.

Cylouan a écrit:

Oh ca ca montre que vous êtes un formidable soldat ! ...

Le jeune homme dont l'honneur était un de ces soucis premier lui répondit calmement, mais sans détour

Monsieur Cylouan,

Croyez bien que cela me peine à vous infliger tel traitement. Lorsque je me suis présenté à vous je vous ai émis mon désir que votre séjour ici soit le moins pesant possible, que vous auriez l'occasion de voir les personnes que vous appréciez , mais qu'il me fallait un minimum de votre part.
Vous avez voulu me provoquer et m'insulté , alors que j'ai été le plus courtois possible ? j'ai même eu à votre égard de la compassion.

Vous refusez en me chiant sur la tête ?
c'est votre droit, mais je ne suis pas homme à traiter comme un prince capricieux un prisonnier qui me manque autant de respect . Je vous avais prévenu qu'il vous fallait obéir sans quoi vous auriez droit , de ma part à une réaction primaire.

Je pense que vous êtes homme à comprendre les choses , vous saurez que j'applique toujours les menaces que je profère . Je vous réitère donc ce que je vous ai dit.

Je souhaite que votre séjour ici soit le moins pesant possible, mais je vous demande de m'obéir . Je me fous ce que vous avez pu être avant , aujourd'hui vous êtes mon prisonnier , et vous n'avez aucun ordre à me donner, vos souhaits c'est moi qui les accepte ou pas. Lorsque je vous dit le moins pesant possible , je n'entends pas vous traiter comme un roi en parade , nul tapis rouge , nul prérogative , vous êtes ici au même niveau que tout condamné.

Je n'aimerai pas encore à vous traîner jusqu'à votre geôle , et vous brutaliser mais si je n'arrive pas à tirer de vous la moindre compréhension et éxécution de ce que je vous dit , je m'en passerai. Je ne suis pas là pour vous faire des ronds de jambes jusqu'à ce que vous daignez entendre et accepter parce que cela vous plait  de le faire .
Si vous avez une requête valable à me demander , polie et respectueuse , je serai ouvert à l'étudiez et l'accepter; Je ne suis ni sans coeur , ni un bleu qui dit merci quand on le prends de haut ou un enfant à qui on lui dicterai les choses.

Me suis je bien fait comprendre ?

donc je vous repose la question

êtes vous disposé à faire ce que je vous demande ? ou souhaitez vous m'insulter encore, et faire vos caprices ?

Le Jeune homme le regardait droit dans les yeux , sans peur , espérant pouvoir tirer du prisonnier une once de coopération , sans toutefois faiblir dans sa détermination .

cyl profitait de l air frais d un certain cotes ... il en avais manquer depuis des semaines ....
mais ce n était pas spécialement confortable...

deux garde l'aide a se relever...

le regard de cyl restait noir... la colère n était pas prêtes de partir ... un homme enfermer ne pouvais avoir que de la colere en lui ...

cyl soupira au parole du soldat ...

moi aussi je me fous de vous ! je m en fous de ce que vous êtes et de vos valeurs !

cylouan n avais plus vraiment d action envisageable pour le moment ... il savait qu il allais retourner dans une cellule ... et ca l enrageais ... il savais aussi que l autre guignol de soldat avais raison et que c était lui qui allais décider ...
Il pensa a fanfan et il faillais qu il la vois pour être sur qu elle se porte bien ....

ouai ca va arrêter votre baratin et fouter moi la paix ! j'vous suis ...

et se serais plus facile si vous me faite enlever ces stupide chaines !

Michel ne relevait pas l'excès de colère de l'Ancien Lieutenant , car il l'as comprenait un peu mais en tant que soldat il avait une mission à remplir à laquelle il ne devait déroger sans tenir compte de ses états d'âme.

Il est vrai qu'il ne connaissait l'affaire que trop mal, et ne savait pas la raison de sa désertion, mais tenir si longtemps un homme en prison pour quelques miches de pains était pour quelques peu abusif, il y avait d'autre moyen de régler l'affaire mais sans doute avait-elle déjà été tenté.

l'écoutant il lui répondit avec le même flegme qu'au début.

Monsieur Cylouan, vous avez tord de me traiter en ennemi , car je pense qu'ici et au sein des institutions royales je suis l'une des rares personnes qui souhaitent que cette affaire se termine et que vous regagnez votre liberté.

Pour l'heure je me dois d'exécuté un ordre et je l'exécuterai .

J'en suis fort aise de vous savoir enfin disposé à faire ce que je vous dirai, je vais donc vous libérer du surplus de vos chaînes mais attention si vous tentez quoique ce soit je peux vous promettre que les chaînes qui vous ont traîné jusqu'ici seront de douces caresses .

ordonnant au soldat d'enlever les chaines du prisonnier , ils leur demanda de le garder de très près afin que si celui ci tente une action déplacé comme ce fût le cas à son encontre il soit immédiatement immobilisé .

cylouan se calmais petit a petit il avais su se defouller un minimum ... ca pouvais paraitre fous mais c etait comme ça...

oui et bien vous pouvez souhaiter mais vous êtes juste soldat et vu votre minot ... vous ne devez pas etre la depuis des mois ! alors ca m etonnerais que ce soit vous qui decidier de ma liberation...
et si c est l autre cruche d amelia nivelle je suis sur qu elle prend un malin plaisir a observer cette scene de quelques parts...

un des gardes detacha la chaine qui saucisonais le haut de son corps... bien que les poignets encore attacher il retrouva plus de mouvement...

cylouan toujours avec son regard noir atrapa le boulet ... voila !
et ce truc je veux que l on me l enleve ! je suis pas une bête de foire ! j ai tuer personne !

Michel écoutait l'homme qui se calmait peu à peu faisant redescendre d'un ton, le timbre de sa voix, chose qui mettait en meilleur disposition le jeune soldat. Gardant toujours son calme , preuve qu'il gardait toujours la maîtrise de li même, il répondit

Monsieur Cylouan,

Vous dites vrai , cela ne fais point longtemps que je suis dans l'Armée et si je ne décide pas de votre libération je peux toujours émettre mon avis. L'obéissance n'est pas une question de soumission, mais de savoir garder sa place tout en sachant le moment opportun d'émettre un avis . Si je vous parle de liberté , c'est parce que j'ai reçu dans mon ordre de mission toute les directives de votre séjour ici et je peux vous garantir que si vous rester sage votre séjour ne durera que quelques jours, plus exactement trois .
Si je vous le dis ce n'est , nullement pour vous mettre dans la confidence , mais je pense qu'en sachant votre libération proche vous saurez être compréhensif.

Dans ces lieux , il n'y a que moi , ces gardes , le caporal qui nous attends d'ailleurs et vous même, nul secrétaire d'état tout du moins si tout se passe comme je l'aurais décidé.

A vous de voir

quand au Boulet , vous allez bientôt en être libérer dans quelques minutes, soyez patient , mais pour l'heure nous avons assez traîné .

Michel ordonna d'avancer , les gardes escortait le nouvel occupant de la nouvelle "suite", non seulement pour le surveiller de près mais aussi pour le soutenir en cas d'une nouvelle faiblesse . quelques minutes après ils rejoignit le caporal qui avait préparer la cellule.

Faisant entrer le prisonnier dans la nouvelle habitation , il ordonna à un garde de lui détacher le boulet et les menotes sous bonne garde évidement.

"Manquerez pas qu'il tente de s'évader le bougre" se disait t'il intérieurement.

Le jeune soldat qui avait appris à manier l'épée lors de son périple la dégaina par mesure de sécurité , et se positionnant devant la sortit . L'ancien Lieutenant était entouré de gardes lourdement armée mais deux précautions valaient mieux qu'une.
Faisant sortir les gardes , il referma la porte de la cellule à double tour , laissant en faction deux de ses gardes pour surveiller les gestes de ce qui fût un officier .

S'Approchant à bonne distance , mais pas de trop Michel répondit

Monsieur Cylouan, j'espère que je n'aurai point à revenir près de vous. Vous aurez la nourriture nécessaire et votre traitement ici ne dépends que de vous et vous seul .
Je vais donner au garde de laisser passer les personnes qui vous rendrons visite et dans trois jours si tout se passe bien vous serez libéré .

Pour une fois que c'est vous qui allez choisir de la qualité de votre séjour ici, sachez choisir la bonne attitude

Mercedes avait eu l 'autorisation ainsi que Fanfan pour se rendre auprès de Cylouan ,c 'est donc en fin de matinée qu 'elles arrivèrent à

Vincennes .

Le temps de trouver le bâtiment et surtout le gardien pour s 'annoncer Fanfan a côté d 'elle était un peu palote étais ce la peur de voir comment son cher ami était traité ?

Elle trouva l 'entrée et montra au garde présent et après avoir vérifié ,il laissa passer Mercedes et Fanfan

Enfin arrivées dans les geôles de Vincennes elles attendirent pas un endroit ou passer des vacances ^^



Ben oui Mercedes n 'avait pas envie qu 'on la prenne pour une prisonnière quand -même heu! non ils oseront pas allez savoir ^^

Michel qui était encore face au prisonnier fut avertit par un des gardes en factions à l'entrée de l'Arrivée des personnes qui voulait rendre visite au prisonnier suivant le garde il vit Mercedes et fanfan devant l'entrée et s'approchant d'elles il répondit,

Bien le Bonsoir Mercedes, Fanfan, et mes respects

J'espère que vous allez bien ?

J'ai été prévenue que vous vouliez rendre visite à Monsieur cylouan ?
Eh bien cela et désormais possible , cela à prit plus de temps que prévu ..j'en suis navré . Mais c'est au dépends de ma volonté

Le jeune soldat qu'il était ne pouvait cacher les récentes blessures aux visages causé par le prévenue, ce n'était rien de grave puis il savait encaisser les coups ..... il tenait cela de son père , enfermé et torturé dans un temps jadis.

puis reprenant avant de les y conduire

Je me vois navré de vous demander si vous avez des victuailles à déclarer car je me dois de les contrôler . J'espère que vous n'avez pas apporté de nourritures trop riche car pour lui , j'ai ordre de le mettre en carême . Rassurez vous ce n'est point le priver de nourriture , mais c'est manière de dire que son repas doit être quelques peu plus pauvre , n'espérez donc pas lui faire passer un faisan à la normande .

Essayant de sourire d'une manière désolé , car il appréciait les deux femmes et ne voudrait pas passer pour un tortionnaire sans coeur , mais ayant pour ordre de surveiller le détenu et de veiller à ce que son repas soit sobre , il avait pris ces mesures .
Cette histoire prenait des proportions énorme, et espérait que l'acte de Monsieur Cylouan venait plus de sa désertion que son pauvre écart de nourriture, malgré son mal être qu'il cachait d'être fasse à des êtres qu'il estimait , il devait d'accomplir la mission pour laquelle on l'avait assigné

Michel (michou pour Mercé ) nous salua gentiment et voulait savoir si nous avions des victuailles Mercé aurait bien répondu oui ""des crêpes avec une scie dedans ''.
Bonjour Michel ,des victuailles oui du pain ,du cidre et une petite myrtille toute fraîche c 'est tout voici le panier et je

comprends très bien que vous devez regarder ce qui est normal aussi .

Fanfan est si ravie de revoir Cylouan qu 'elle si elle avait pu traverser les murs elle l 'aurait fait .

Les filles attendirent que le soldat ai vérifié les victuailles pour voir le prisonnier tssssss ce mot ;

Michel appréciait grandement Mercedes et fanfan qu'il venait a peine de rencontrer , mais son devoir il devait l'accomplir et vérifia en détail. Après que tout avait été vérifié scrupuleusement et que rien était à signaler il répondit


Mesdames veillez me suivre vers la chambre du pri....de Monsieur Cylouan

après quelque instant il arriva près de la cellule et se mis en retrait les laissant discuté avec l'occupant

Fanfan ne disait rien mais n’en pensait pas moins. Elle regardait Michel    non pas avec du mépris, mais avec une colère qui se lisait sur son visage quand il annonçait qu’il lui fallait vérifier le panier. Elle haussa simplement les épaules, sans jamais le lâcher des yeux.  Pour une miche de pain, il était mis en situation de carême.  Fanfan tourna sa langue 7 sept fois dans sa bouche, ses paroles pourraient  dépassés  ses pensées qui se voulaient noire envers ceux qui se permettait d’affliger la famine à des classes sociales qui ne demandaient que du pain. Mais elle laissa Mercédès  gardait le contrôle sur la visite. Son impulsion à répondre à Michel  lui aurait valu la visite, et depuis le temps qu’elle attendait ce moment Fanfan ne dis pas un mot.

La vérification du panier donnait raison à Mercédès, comme si elles auraient failli à la visite du prisonnier.

La jeune fille resta derrière sa protectrice. Les gêoles sentaient mauvais, l’état , bien que l’entretien devait être fait, il était néanmoins à l’image de l’armée de actuelle :  Froide,  aigreur, animosité, amertume et surtout  ..

ej comprin meux fit-elle soudain à voix haute  en avançant dans le couloir  semblant à l’image qu’elle s’en faisait,  un frisson glissa sur l’ échine, lui donnant un froid dans le dos. Elle n’osait imaginer  quel était  l’état physique de Cylouan. Le reconnaîtrait-elle ?  quand elles arrivèrent au devant de la cellule du prisonnier ..

Ché t’pièche ??  fit elle en se précipitant vers la porte. Elle s’accrocha sur les barreaux de la minuscule lucarne de la porte, mais elle était trop petite pour entre-percevoir si Cylouan se trouvait emprisonné dans cette pièce

Chylouan ? Chylouan ? fit elle en laissant passer un sanglot dans ses mots.

cyl s etait calme enfin pour le moment ...
des pas se font entendre ... sa s'approche ...

il tendis l oreille...

chylouan son cœur bondis ... il se dépêcha de se mettre debout et de s approcher de la porte ne sentant plus la douleur au pied

Fanfan !
oh
Fanfan ! qu est ce que ca me fait plaisir d entendre ta voix ... il fit passer ses doit a travers des petits bareau !

comment tu vas ! il t on pas ennuyer !
je vais bientôt être libre ! tu vas voir ! je vais me tenir tranquille...
ca c était plus facile a dire que a faire !

comment tu as pu venir ici !

ché m'dame Merchédes qui m'a mené ichi.. fit elle en posa ses mains sur les doigts de cylouan.

Elle est  aveuc mi,

Fanfan essaya d'apercevoir Cylouan, mais la noirceur de la cellule ne lui permettait pas de voir comment lui était traité. Seule une mince lueur  pénétrait dans la pièce, laissant simplement la froideur de l'enfermement. Fanfan était sur la pointe des pieds, crispée sur les doigts de Cylouan, elle tentait d'obtenir la moindre information sur sa détention

é ti?  commin té ?

Mais elle ne lui  laissa pas le temps de répondre et se retourna vers Michel, soldat de l'armée française

On peut nin s'voir autremin qu'à travers des barreaux ?  

Mercedes arriva près de l 'endroit ou était détenu Cylouan ,elle regarda les cellules et pensa que pour du pain Cyl était ici et bien !

Fanfan trouva ou logeait "" Cyl et l 'appela Mercedes les laissa un peu seuls elle resta en retrait et eu de la peine de voir son garnement de Cyl le visage maigri mais souriant quand il aperçu sa jolie rousse .

Leurs mains se serrant et leurs yeux se rencontrèrent quel moment merveilleux Mercedes aurait aimé pouvoir ouvrir cette grille pour qu 'ils les voir s 'enlacer ,elle devait absolument parler à Cylouan et essayer surtout qu 'il reste tranquille pas une mince affaire ça ^^