[RP] Accueil des nouveaux arrivants

grazie mille signore killyan

votre aide me touche

con tutta la mia amicizia (avec toute mon amitié)

j'espère vous revoir

-Mademoiselle au nom de la municipalité de Rouen je vous souhaite la bienvenue

Se lève et s'incline

-j'espère que vous y trouverez votre place , n'hésitez pas à demander avis et conseils aux habitants de notre fier ville , lieu chargé d'histoire, centre de vie de la Normandie. Le fleuron du Royaume de France , faisant de l'ombre même à la bonne ville de Paris. Arpentez les rues , visitez nos commerces et débits de boisson.

Retourne à son bureau

-Je vous souhaite une bonne journée

Shpongle01 arrivait au bureau de l'acceuil pour se présenter, il remarquait alors Kiria, avec qui il avait bu quelques verres a l'auberge, quitter la place.
Un peu déçu d'avoir raté de peu, la seule personne qu'il connaissait, il se reprit et énonça

[i]

Bonjour, je suis depuis très peu de temps habitant de votre belle ville, je me nomme Shpongle01 et je n'ai aucune attente particulière...Enonça t-il.

....Sauf peut etre pour être au calme chez moi quand je me repose....

Commençant à se retourner pour quitter la place, il se ravisa pour ajouter:[i]

...Et manger de bons champignons!!

Il leva la tête à l'arrivée de d'une personne

-Soyez le bienvenu dans la ville de Rouen , fort bien vu que vous ne souhaitez rien de particulier, je vous conseille l'auberge ou l'hostellerie pour vous restaurer et y manger des champignons

bonjour habitants de ROUEN,

je me présente alexandre, j'arrive tout droit de l'île de la tortue

je souhaite me faire un nom honorable dans cette région du monde.

cordialement

alexandre

bonjour à vous tous ; habitants de ROUEN

à mon tour de me présenter
Jexor né en l'an de grace 1649 le 21 novembre
je ne suis encore qu'un misérale mais j'espère bien grandir en votre compagnie dans cette ville belle de ROUEN ou j'ai élu domicile
A bientôt à la taverne ou sur le forum

Jexor[b]

Stellie est arrivée epuisée et poussièreuse de son voyage depuis Amiens. Après une rapide toilette et avoir remis sa coiffure en ordre, elle se dirige vers le bureau pour les nouveaux arrivants. Prenant une grande inspiration, elle frappe doucement a la porte entre ouverte et la pousse lentement.

Bonjour .... Petite revérence... Je me nomme Stellie et je viens d'arrivée... J'aimerais ... enfin je souhaite retrouver ma soeur qui vit ici... Elle s'appelle Kiria.. pourriez vous m'aider a la trouver ?

Stellie attend, un peu anxieuse de la réponse. Courageusement, elle a bravé les dangers de la route pour venir la rejoindre et elle espère que Kiria serait encore ici.. et en vie... et qu'elle ne l'avait pas oublié...

Aliziane venait tout juste d'arriver dans son bureau quand elle entendit un bruit de voix qui s'en échappait ! Vu le nombre de gens, elle se dit qu'il serait bon de les amadouer abreuver un tantinet !

Elle entra avec un joli plateau

- Bonjour à tous, je vous invite à prendre le verre de l'amitié, voilà quelques cocktaits à base de nos boissons régionales, calva ou cidre !



- Bon tout d'abord je vous souhaite la bienvenue à tous. Comme vous pourrez le constater notre ville fourmille d'endroits sympathiques à visiter. Vous avez une auberge "Le chien qui fume", un restaurant "La bonne flambée", une boutique de fanfreluches et jolis vêtements pour dames et messieurs "Au chat botté" ! Vous pourrez trouver facilement une maison en vous adressant au cadastre tenu par Nikita, si vous voulez vous recueillir notre évêque Acathla vous accueillera à la Chapelle Pascale et si vous vous sentez patraque, le docteur Delarosa a ouvert un cabinet médical !
Que vous dire d'autres ? Nous avons des jeux, des endroits charmants comme le "kiosque des amoureux", les "poésies et chansons" etc .... où nous vous invitons à laisser libre court à votre imagination, nous avons aussi des concours etc etc...
Bref, promenez-vous et prenez du plaisir ! C'est tout ce qu'on vous demande ....

Après avoir tant parlé Ali se sentait la gorge sèche, elle montra donc l'exemple et vida un verre cul-sec

- A la bonne vôtre !!

Lakik eu vent d'une distribution de collation généreusement distribuer par la ville à tout les nouveaux arrivants et même au membres de la ville. Il ne fallait pas lui dire deux fois, Lakik se mit en selle pour rejoindre le fameux accueil.


Bonjour mes gente dames, et gentils messires. Je suis plus ou moins nouveaux en la ville de Rouen. Cela fais 3 semaines que j'ai déposé bagage en cette belle ville. Je ne me suis point présenter en ces lieux alors je vais le faire promptement.


Lakik chercha des yeux le petit coin où se trouvais tout les rafraîchissements. Tout en continuant de se présenter il alla d'un pas lent mais déterminé sur l'objectif.


Je viens de la province d'Anjou dont je suis originaire. Suite à situation familiale difficile j'ai quitté mon foyer pour me retrouver sur des comptoirs Marchands des lointaines Indes tels que Chandernagor et Pondichéry en tant que qu'aide-marchand. Ayant une nostalgie et un amour de la France trop important, je me suis décidé à rentrer. Je pris donc le premier bateau de la compagnie des Indes qui baissa finalement l'ancre à Rouen. Me voici donc, prêt à recommencer une nouvelle vie dans l'armée du Roy si tout se passe bien comme le souhaitais mon défunt Père, le Comte du Plessis de la Trémoille. Je vous remercie.


S'ayez son bras étais à porté des breuvages tant convoités, il tendu la main et pris le premier verre lui venant. Il but d'une traite le délicieux nectars. Il eu grande joie de voir que Dame Alizianne était présente. Il lui fis un baise main règlementaire et se dis surpris mais non moins heureux de la voir en liberté et toujours aussi dynamique.

Lakik remercia Dame Aliziane pour ses gentilles paroles, il ajouta:

Vous savez, j'ai surtout peur d'endormir les personnes avec ces histoires mais au moins puissent-elles dormir en faisant des rêves de ces contrés lointaines.


J'ignore votre idée en tête mais vous m'intriguez. C'est une chose bien cruelle de dire ces choses là devant moi car je suis d'un naturel extrêmement curieux. Je vous prie de ne pas tenir votre idée en secret trop longtemps.

En tout cas, ce fut un plaisir délicieux de vous avoir vu Madame. Je vais prendre congés de votre adorable personne qu'il me tarde de revoir. J'ai tant à faire ces temps-ci entre mon emménagement, ma formation militaire...

Dans un geste des plus nobles Lakik ôta son tricorne et fit sa plus belle révérence.

Madame, considérer moi comme votre noble serviteur

Passant dans la rue, Fafounet vit qu'il y avait du monde dans le bureau de l'accueil. Aliziane étant toujours clouée au lit, il soupira, rouspéta mais changea de direction et poussa la porte.
Deux jolies jeunes femmes attendaient désespérément qu'on s'occupe d'elles.

Les yeux de notre Fafounet s'éclairèrent en papillonant d'allégresse ! Pascal dans sa bienveillance l'avait comblé aux anges ! Il aurait pu lui envoyer deux vieilles nauséabondes et acariatres.
Bonjour Mesdames ! claironna-t-il joyeusement.

Je suis Fafounet, Maire de Rouen ! Je suis obligé de cumuler plusieurs fonctions puisque mes conseillers sont malades ! Mais croyez bien que je suis ravi de cette aubaine qui me permet de saluer des Dames aussi charmantes que vous et de leur souhaiter la bienvenue dans la Capitale Normande !

Vous installer à Rouen, dites-vous bien Mesdames, qu'il ne pouvait rien vous arriver de mieux dans votre vie !
N'hésitez pas à vous promener sur le forum, vous trouvez " l'auberge du chien qui fume " où vous pourrez boire jusqu'à plus soif, le restaurant " la bonne flambée " où Nikita et Mercedes vous concocteront des plats qui vous laisseront un souvenir impérissable.
Visitez aussi les échoppes de nos commerçants qui se feront un plaisir de vous être agréable. N'oubliez pas non plus d'aller rendre visite à Monseigneur Acathla qui est, comme son nom et son titre ne l'indiquent pas, une jolie rousse pétillante. Faites-vous connaitre auprès d'elle, elle vous enseignera tout ce que vous désirez savoir sur le Religion Pascalienne.
Maintenant, buvons un verre pour fêter cette arrivée !

La demoiselle prénommez Oeilbrun s'était déjà approché d'une bouteille de cidre :
Mais bien sur que vous pouvez vous servir, Mademoiselle !Non seulement vous pouvez mais vous devez !
C'est à sa façon de lever le coude qu'on reconnait un bon Normand, quelque soit ce qu'il boit ! ... Nous comptons quelques buveurs de lait par ici mais j'avoue que la plupart adorent le calva et le cidre. ... D'ailleurs rien n'empêche de mélanger les trois !
Et sachez bien, chère Demoiselle que nous ne dérangez jamais. Le Maire et ses conseillers ont été élu pour être à votre service, alors n'hésitez pas à venir les voir.

Fafounet fit le service et tendi un verre à chacune des nouvelles arrivantes :
Buvons à votre avenir, Mesdames ! Sachez que la ville de Rouen espère vous garder en ses murs le plus longtemps possible !

Fafounet était occupé à classer quelques dossiers, dossiers qui d'ailleurs avaient un étrange bruit de verres, quand une petite fille haute comme trois pommes et gracieuse comme un ange entra, expliquant qu'elle cherchait un fusil.
Le brave homme faillit tomber dans les pommes, pommes qui lui servaient à fabriquer son calva clandestin :

Bardafouette ! s'exclama-t-il manquant d'un cheveu de lâcher un juron fort mal venu devant une enfant :
Un fusil ? ... Dans les mains d'une enfant de 11 ans ? ... Mais pourquoi faire Grands Dieux ? ... Une révolution ?
Chasser le lapin ? ... Estourbiller un coquin ? ...
Tu ne préférerais pas plutôt des bonbons, ma petite ? ... Cela me semble plus de ton âge ?

Il farfouilla dans quelques tiroirs à la recherche des dits-bonbons mais ne trouva que verres sales et bouteilles vides en attendant que la charmante fillette réponde à ses questions ?

L’attente ne fût longue, un homme qu’elle ne connaissait pas se retourna et lui posait des questions.

Mais … mais non, je ne veux pas faire la révolution ; bégaye la petiote ; ni estourbir personne onques. Je veux juste aller à la chasse. Pour les bonbons cela serait grand plaisir.

L’homme cherche dans les tiroirs, les ouvrant et les refermant comme avec énervement, des tintements de verres entrechoqués intriguent Arsouille.

Dis il y a quoi dans tes tiroirs ? Tu trouves des bonbons ?

Lugar entendit la voix animée de son collègue Fafounet, concernant un fusil et des bonbons ?!?! Curieuse elle alla voir de quoi il en retournait. Elle vit une jolie fillette et compris en gros le rapport entre ces deux objets.

Bonjour, je suis Lugar mairesse de cette ville. Je vous souhaite la bienvenue. Si j'ai bien compris, vous voulez un fusil ? Hum .... je suis du même avis que mon collègue monsieur Fafounet. C'est pas évident d'imaginer vos jolies menottes tenir une arme qui peut être redoutable ... je comprends très bien vos intentions. Vous pouvez vous en procurer habituellement sur la foire. Je vérifie s'il y en a de disponible et en ferai mettre si ce n'est pas le cas.

Elle lui souriait.

Pour les bonbons ... c'est le département de mon collègue. Néanmoins je vous souhaite une agréable journée.

Une femme arriva à son tour. Arsouille fût surprise que l’on la vouvoie ; les gens l’appelant petite ou parfois même la gueuse. Sa robe déchirée montrait clairement qu’elle n’était ni riche, ni de noble famille. Arsouille fit une révérence.

Bonjour Dame mairesse, je suis Arsouille. Je promets que si j’arrive à acheter un fusil, je serais très prudente. J’ai déjà une hache et je ne me suis jamais blessée avec.

La petite rendit un grand sourire.

Merci et bonne journée à vous.

Lugar l'avisa longuement. Elle voyait bien l'air étonnée de la jeune fille à ce qu'on la vouvoie. Pour Lugar c'était tout ce qu'il y avait de plus normal. Qu'on soit riche ou gueux, nous étions tous des gens de coeur, égaux en soi. Elle lui adressa un sourire amicale.

Au plaisir de vous revoir mademoiselle !

Un repos était de mise. Elle avait une douleur atroce au poignet et au bras droit d'avoir tant écrit. Et que dire du mal de tête qu'elle s'est concoté à analyser les statistiques de la mairie.

Préférant de loin le contact humain au contact des chiffres elle passa par la porte des arrivants et vit, à son ravissement, sa menuisière attitrée.

Bonjour demoiselle. Ravie que vous passiez dans le coin. Je vous souhaite la bienvenue et espère que vous trouverez la joie en Normandie.

Elle lui sourit.

Alors, les affaires vont bien pour vous ?