[RP-Lieu] Cabinet de travail du Roy

Un gamin de corpulence chétive, mal fagoté, le visage creusé et un peu crasseux se présenta au louvre, quelques mousquetaires en poste de garde le toisérent et rirent du gamin l'invitant à rebrousser chemin si il ne voulait pas se faire tirer les oreilles.le gamin peu impréssionné rétorqua d'une voix clair qu'il tenait un pli pour la Roi et qu'il etait urgent de le lui remettre.Un des mousquetaires qui avait l'air apathique de prime abord se posta devant le gamin et lui prit le pli sans une seule parole.Le gamin course faite repartit vers la demeure de sa maîtresse.

Citation :

A sa Majesté le Roi de France...

Par cette présente, je vouloir faire savoir à vous que esquisse finie, moi donner à vous quand vous vouloir.

Bon Roi moi penser vous toutes les longues jours.Vos yeux qui penser moi froid sont flammes et vous avoir coeur très beau.J'ai lu aussi tristesse dedans, moi comprendre cette tristesse qui pése à vous.Si vous vouloir épaules et oreilles écouter vous moi là.. Moi savoir réchauffer coeur si vous vouloir.

Excuser moi pour français pas bon mais coeur à moi aimer vous.

Je biser vos joues toutes belles kalinka.

Elena pénétrait dans la cour du Louvre en compagnie d'une dame qui devait avoir audience avec sa majesté le roi

s'adressant au garde devant la porte .

- Soldat, cette dame a audience avec sa majesté, faites savoir à sa majesté que dame heu ... Kalinka Wiazemsky est ici qu'elle demande à être reçut..

Citation :

Mademoiselle, venez donc.
Je suis navré de cette attente, mais que voulez vous.
Diriger un royaume est une chose prenante.
Mais il me plait de vous laisser pénétrer ces lieux, pour voir si vous m’avez bien croqué.

Longeant le couloir froid, un regard se perdant par delà les fenêtres sur un ciel grisâtre.Elle patientait sereinement.Elle s'immobilisa au son de ce timbre de voix qu'elle reconnaîtait n'importe où.Elle se retourne, fait grâcieuse révérence avec un sourire charmeur.

Ne le soyez pas mon bon Roi, au moins j'ai le privilége de vous attendre, certaines personnes n'ayant pas ce droit.


Elle se redresse et passe devant la porte du cabinet se retrouvant dans une pièce spacieuse.

Je vous en remercie, je sais que vous êtes fort pris par dirons nous le travail.Et si je vous ai mal croqué?

Elle se mit à rire, amusée.

Citation :

Vous feriez donc des choses mal ?

Majesté, je fais en sorte que toute chose que je commence soit bien faite.

Citation :

J’en doute, et même si cela était, vous serez certainement vous faire pardonner cette maladresse

Certes, je m'y emploierai.Je ne voudrais pas être fachée avec vous Majesté.Là n'est pas mon but tout du contraire.

Elle sent le regard du Roi glisser sur elle, ce qui la fait sourire.Le Roi reste un homme n'est il pas! Elle attend qu'il l'invite à pousser plus avant l'entrevue

On venait d'avertir Anjhely que le Baron Hastings venait d'être mis aux arrêts à la Bastille. Le Roy désirant lui parler, elle se rendit à son bureau afin de l'en avertir.
La marquise Anne attendait.

Bonjour Marquise!
Comment allez vous?
Vous attendez d'être reçue?

Elle se demandait depuis quand elle attendait.
Elle se présenta devant le garde.

Bonjour Garde!
Pourriez- vous avertir que la surintendante aux finances ainsi que la chancelière souhaiterait le voir.

Citation :

Bonjour Marquise!
Comment allez vous?
Vous attendez d'être reçue?

Bonjour Anj...Je vais bien,j'espère que pour vous cela est pareil...
Oui,j'attend de voir le Roy...La dernière fois c'est Charles qui était venue...je me suis dit , que je pouvait moi même le faire...Le Roy ne va pas me manger...mais je perd mes moyen devant lui..
Mais ,je prend mon courage a deux main...

Mais si vous le souhaitez, vous pouvez passé avant moi, cela ne me dérange point...

Anne sourit à Anj...

Anjhely sourit à Anne.

Ne vous inquiétez pas Marquise! Je ne crois pas qu'il ait déjà mangé quelqu'un. Mais si cela peut vous rassurer je suis toujours aussi impressionner chaque fois que je dois le voir. J'en bafouille et en oublie toutes les convenances. Alors vous voyez nous en sommes au même point toutes les deux.
Pour ce que j'ai a dire au Roy je peux attendre ne vous inquiétez pas ce n'est pas de la plus haute importance.
Et puis je pourrais toujours repasser.

Lauranna prit donc le siège que le Roi lui offrait et commença.

--Votre majesté, il s'agit de deux de mes mousquetaires; Gian et Lionnix, ils perturbent le bon fonctionnement de notre compagnie par leur négligence à vous protéger, ainsi que la famille royale.

La colonel fixa Alexandre et continua tranquillement.

--Je ne sais plus quoi faire sire, j'ai tout tenté pour les motiver, mais rien n'y fait. Je me suis trompée dans mon jugement et pourtant votre épouse m'avait prévenu.

Entêté je n'ai rien voulu savoir mais j'espérai en les menant à la taverne que je pourrai leurs faire comprendre comment il est important de montrer ce qu'est un mousquetaire et ce que représente l'uniforme que l'on porte....J'ai échoué à cette tâche.

Se mordillant la lèvre un peu nerveusement et le fixai toujours les yeux dans les yeux.


--Après bien avoir réfléchi sur cette question sire, je ne vois pas d'issue, en auriez-vous une vous? A part les renvois des ces deux personnes, ce qui me déchirent le cœur croyez moi, j'aime mes hommes et j'aurai donné ma vie pour eux.

Elle soupira profondément et attendit comme un miracle la solution de la part d'Alexandre.

ce fut en tant qu'officier Militaire qu'elle arriva dans les couloirs qui menait à la porte du cabinet du Roy. Keridwenn, s'approcha et vit qu'il y avait bien du monde en attente. Elle s'arrêta un instant , et finalement resserra les 3 dossiers qu'elle avait sous les bras et s'approcha d' Anjhely et d'Anne

Mesdames, fit-elle d'un geste de la tête en guise de salutation .. bien le bonjour.

sans en dire plus, elle s'adossa sur le mur et soupira en affichant un sourire vis à vis des 2 dames qui prenait leur mal en patience

Anjhely attendait avec Anne tout en discutant quand elle vit arriver Kéridwenn qui les salua.

Bonjour Maréchale!
Comment allez-vous?

ma foi .. je dirais bien .; avec une nouvelle année qui commence sur les chapeaux de roue.. grimaçant en regardant Anjhely en commençant de la sorte, je n'ose pas imaginer comment seront les 364 autres jours qui feront cette année 1651.

Anjhely écoutait Kéridwenn. Elle savait que beaucoup de chose c'était passé et qu'en ce moment il y avait beaucoup de tension mais elle espérait que les choses s'arrangeraient.

Auriez-vous encore des soucis Maréchale?
Si je peux vous aider n'hésitez pas?