[RP] "Grouville en jersey"

J’avais débarqué à Grouville depuis moins de deux heurs, et j’y attendais avec d’autant Plus de patience le moment de mon inspection avec l’intendant du domaine, j’avais le village à colombage sous mes yeux et Jenkins pour Cicéron, un natif du village et maitre d’hôtel au château de Grouville.

— "Sir, me dit-il, félicitez-nous,nous avons un parc à huitres dans la baie."

— Comment, vous Avez cela ici?

—"Guernesey a la verdure, des fleuves, des ports de mer, des chemins fréquenté Anciens et modernes, du jambon bleu et ST PIERRE PORT; mais que voulez-vous, elle n’a pas d’huitres : toutes viennent d’ici sur vos terres et Dieu a voulu que la baronnie fût complète, il lui a envoyé des huitres."

— "Et comment cela ?"

— "elle lui est apparue."

— "Y a-t-il longtemps ?"

— "Avec les dernières marées de l’année d’avant la guerre de l’indépendance."

— Mais, nouvelle officielle ?

— "A priori non, seul le service de bouche du prince est au courant."

— "Et où est-il, ce parc ?"

— "en contrebas du village, vous le verrez en allant au château; c’est sur votre Route."

— "Et les Grouvillois sont-ils contents ?"

— "Je crois bien qu’ils sont contents, pardieu ! Ils seraient Bien difficiles."

— "Alors Grouville désirait ses huitres ?"

— "votre peuple aurait fait des bassesses pour avoir un seul de ses crustacés ; Vous connaissez Grouville ?"

— "Non, ma foi !"

—"Ah ! Vous ne connaissez pas Grouville, Grouville, SIR, c’est un village qui, depuis la création, cherche sa fantaisie. À la grande marée, elle s’est sentie revivre; depuis ce jour-là. Jamais Grouville n’accepte un chef sans lui faire jurer qu’il en mangera une un jour. Je n’en ai jamais connu qui se sont résigné."

— "Mais pourquoi Grouville ne fait-il pas commerce ?"

—"votre peuple est trop fières de leur découverte qu’ils la gardent pour eux, en confidence que ce qui promettre de ne pas ébruiter la chose. Ah !Vous croyez que cela se fait ainsi. Je voudrais vous y voir, vous qui parlez. En 1632, oui, c’était en ce temps la, je n’étais qu’encore que tout gamin Grouville prit l’énergique résolution de se donner une statue au milieu du village représentant la mer. Un nouveau baron venait d’être nommé, son serment était tout frais, il voulait absolument le tenir. Il rassembla les notables, les notables firent venir un sculpteur:"

— Monsieur le sculpteur, dirent les notables, nous voulons Une statue de la mer.
— une statue, dit le sculpteur, rien de plus facile.
— Vraiment ? dit le baron.
— Vous allez avoir cela dans une semaine.

Les culpteur prit un compas, une règle, un crayon et du papier, Puis il s'appuya sur l'huitre comme model sur quoi il pourrait se
faire une idée de la représentation

— une huitres ? dit le baron, regardant le dessin.
— Eh bien ! Oui, model de crustacé, une huitre par exemple.
— Nous n’en avons pas, répondit le maire ; si nous Avions cela, nous ne vous demanderions pas une statue qui en
représente une.
— C’est juste, dit le sculpteur.

il cracha dans son godet et délaya l’encre de la Chine avec un peu de salive. Puis il se mit à tracer sur le papier une huitre géante superbe,surmontée d’une urne percée de quatre trous à mascarons, avec quatre gerbes d’une eau magnifique.

— Ah ! ah ! Dirent le maire et les notables en tirant la langue, ah ! voilà bien ce qu’il nous faudrait.
— Vous l’aurez, dit le sculpteur
— Combien cela nous coûtera-t-il ?

L’artste prit son crayon, mit une foule de chiffres les uns sous les autres, puis il additionna.

— Cela vous coûtera cinq cent louis.
— Et nous aurons une statue comme celle-là ?
— Plus belle.
— Avec quatre gerbes d’eau semblables ?
— Plus grosses.
— Eh bien ! dirent les notables, commencez la besogne.

En attendant, on afficha le plan du sculpteur à la mairie ; tout le village alla le voir, et n’en revint que plus altéré.On se mit à tailler les pierres,et deux mois après, ont eut la satisfaction de voir ce travail terminé : il avait coûté 350 louis.
On promit au sculpteur une gratification de mille louis s’il parvenait, le même mois, a trouver une perle blanche toute ronde dans les eaux environnantes. il commença à chercher et En attendant, pour faire prendre patience aux notables, l’artiste planta autour de
son œuvres une belle promenade de fleurs, les fleurs se laissèrent planter, mais ils promirent bien de ne pas pousser une feuille tant qu’on ne leur donnerait pas de perle ; le maire, sa femme et ses trois filles allèrent tous les soirs, pour les encourager, se promener à l’ombre de leurs jeunes pousse.
Pour avoir la perle Le sculpteur redemanda une avance de cinq autres bourses de louis identiques à la première, mais la bourse de la commune était à sec. La guerre arriva ; les habitants reprirent espoir un peut après les grandes marées car on apprit qu’un enfant avait trouvé entre les rochers des coquille d’huitres avec en leur milieux leur bijoux minéral, le baron en apprenant cela congédias l’artiste, fit démolir la sculpture et chargea la mairie d’aplanir la place du village.

— "Mais, interrompit Jenkins, cela nous éloigne beaucoup de vous SIRE."

— "Mon cher, lui répondis-je, je suis ici pour m’instruire, les excursions sont donc de mon domaine. Nous reviendrons à Grouville par le château. Qu’est-ce que le château ?"

—, "sir, c’est une forteresse mainte Fois rebâtie qui est fier de ses terres et de ses arbres. Au château, nous avons une vue sur les sources et les platanes. Sur la bai, la mer et des chênes blancs et verts, sur les champs et vallées entourant le domaine. Dieu a versé sa sympathie, en secouant la poussière sur Grouville. Vous comprenez, sire, qu’une pareille annonce attire des curieux. Il y eut d’énormes paris de faits : les uns parièrent que le village serait transformé par les innombrables visiteurs, les autres parièrent que l’huitre de reviendrait jamais"

l'intendant arriva après quelque minutes d'attentes

-"Sire, Bienvenue sur vos terre, je suis Gaspard deltown, votre intendant"
-"enchanté, Dr Delarosa"
-"j'ai beaucoup entendu parler de vous, sire, rassurer vous, grouville est très heureuse du souhait du prince a nous donné un tel chef, mais avant de vous faire une inspection sur l'etat des terres qui avec ma bienveillance sont saine, le maire et tout ses habitants vous on organsiné une fête en votre honneur"

On vint à la fête du village et des hameaux voisin des terres Grouvilloise , ou a mon arrivé se devait s’ouvrir le bal
Il y eut un moment de silence solennel lorsque Gaspard me présenta a la foule puis Le maire alla me saluer invitant a son bras sa femme

-"Sire, Bienvenue a Grouville, je suis Étienne filichdas et voici mon épouse, nous somme ravie de vous voire"
-"c'est réciproque, Mr le maire"
-" tout grouville est ravie, nous nous somme somme réunie aujourd'hui pour vous faire honneur, QUE LE BAL COMMENCE"

il alla au centre de la piste affrété a l'usage de la danse, des banderoles de drapeau a mes armes courait de partout, des tables de buffet avec une foule immense était présente et vint se mettre en place pour fêter mon arrivé. Les personnes indiquées pour compléter le quadrille suivirent son exemple. Aussitôt Les violons donnent le la. Les flageolets préludent en notes claires et sonores comme le chant de l’alouette. Le signal est donné, la ritournelle commence. Monsieur le maire est à la gauche de sa danseuse, le pied droit en avant ; tous les yeux sont fixés sur le respectable magistrat qui, comprenant l’importance de sa situation, redouble de dignité. le chef d'orchestre, la baguette à la main, se tient prêt, à frapper deux coup de bâton.

— "En avant deux ! crie t'il. En avant deux pour le baron, La bourré messieurs"

Le maire et sa danseuse s’élancent et virevolte ; toutes les bouches s’entrouvrent pour chanter et crier

— "Peste ! je crois bien qu'il mon adopté! Mais ou sont les huitres que vous m'avez tant parler, jenkins"
— "Parbleu ! elles sont au frais Sire, elles ne supporte pas les grande chaleurs"
— "et les perles, ou les mettez vous, les perles ?
— "au cous des dames et au doigts de ses messieurs ! une autres partie est conservée dans les caves du château, une grande réserve vous avez"
— "Mais comment cela s’est-il fait ?
— "Voilà. Grouville est situé a l'extrême sud de jersey. Il est tombé beaucoup de neige cet hiver, et beaucoup d’eau cet été. La neige et l’eau réunies ont donné a nos huitres toute les conditions adapté pour la fabrication des perles. Ce parc, à ce qu’il paraît, s’est mis en communication avec des sources qui l'alimente. Des canards sauvages qui passaient l’ont pris au sérieux, et
se sont abattus dessus. on a construit des radeaux et des epouvantail pour leur donner la chasse.

— "Vous entendez, dis-je à Gaspard qui revient vers nous, il nous faut un dessin de ce parc et de ses perle.
— "On vous le fera, répondit gaspard ; mais le déjeuner ?"
— "C’est vrai, dis-je à jenkins ; et le déjeuner ?"
— "C’est juste, reprit jenkins, ces maudit violons m’avait fait perdre la tête. Le déjeuner vous attend au château."
— "Et comment allons-nous au château ?"
— "Je ne vous l’ai pas dit ?"
— "Mais non."
— "Diable ses violons ! c’est encore leur faute : c’est qu'il est niché sur une colline, sir ; parole d’honneur, une vrai colline.
mais vous allez au château dans un charmant carosse que Mr le maire vous prête ;"
— "Et où est-il ce carrosse ?"
— "Il vous attend Au écurie de l'auberge municipale."
— "Eh bien ! allons."
— "Non pas ; allez y sire."
— "Comment, vous ne venez pas avec nous ?"
— "Moi, aller en carrosse, dit jenkins ; sa me donne le mal de terre."
— "Maitre d'hôtel, l’hospitalité exige que vous nous accompagniez répondit l"intendant."
— "Je sais bien que je suis dans mon tort ; mais que voulez vous, j'ai la nausée a chaque monté ?"
— "et comment aller vous monter au château, dit je. a cheval"
— "A pied sire, nous avons des jambes il me va de m'en servir"
— " 2 lieux a pieds pendant que nous irons au château en carrosse vous n'y penser pas."
— "je suis un adepte de la marche a pieds et je suis d'une forme olympienne"
— "comme vous voulez".
— "je le veux".

Cette convention conclue, nous nous rendîmes au écuries. À chaque personne que jenkins rencontrait :

— "Vous savez, disait-il, que grouville a un parc a huitre."
— "Pardieu ! répondaient les passants, un parc superbe ; on ne peut pas en trouver d'huitre des plus meilleur."
— "Voyez-vous ? répétait jenkins."

Le premier monument qu’on aperçoit à sa droite, quand on va du centre du bourg a l'intérieur des terres au château de Grouville, c’est la maison du gardien, une petite tour carré d'ancienne tournure, délimitant l'entrée de la propriété. deux fenêtres garnies de triples grilles, et vitraux couleur passée au dessus d'une porte cochère assez grande pour faire passer deux carrosse cotes a cotes. le gardien muet nous attendait la ouvrant les deux pans de la porte, le saluant d'une main souriant a sa vue Gaspard l'intendant me racontât l'histoire de ce garçon, On s'avait pas grand chose mais disait ton qu'ont l'avait retrouvé une corde au cous et une cuisse brisé sur la plage de galet un matin d'autonome; au point du jour, des pêcheurs le trouvèrent évanoui et le portèrent chez un barbier où il obtint de rester jusqu’à son entière guérison.
Le noble barbier avait une fille, une de ses créatures au visages fin tout droit sortie des paroles d'un poète transie.
Il y avait une jolie histoire à raconter sur cette jeune fille et le pauvre blessé.

Nous le laissâmes a son occupation et rentra dans la propriété par le chemin de terre central bordée de bois, des ruines d'ancien mur fortifier se mêlais au lierres florissant et au châtaignée et arbres de toute sorte.

nous aperçûmes Jenkins sur le chemin; il nous montra qu’il avait à la main un papier et un crayon nous fessant signe de nous arrêter. Je commençai à croire qu’il avait dit vrais sur sa condition physique, car aucune faiblesse ne le submergeais après tant d'effort. Seule qu’on demande à voir,c'était la demeure au bout de l'allée et la table du déjeuner , principal objet de convoitise.
Nous barrant la route, le maitre d'hôtel nous pria de descendre de voiture et de continuer a pied car selon lui, il fallait apprécier la satiété des lieux sans bruit.

-"j'ai ici les effectifs du château sire, ils vous attendent tous afin de se présenter a vous"
"comment avez vous fait pour arriver si vite jenkins?"
"je connais la région comme ma poche au moindre raccourcis, et mon endurance est légendaire"
"une forme olympienne oui, vous m'en avez parler"
-"nous vous suivons maitre d'hôtel, l'heure n'est pas a discutailler de vos performances physique devant le baron, allons "
dit un Gaspard non sans trop de patience. on aurai dit qu'il y avait un lien entre eux ou qu'il avait eu des histoire entre ses deux personnages dans anciennes époques.

on le suivit donc pendant un bon 100 mètres au pat tranquille sous les sous bois

le garde fut surpris par la beauté qu'il lui venait a sa rencontre avec entre ses bras, un couffin. lui qui fessait partie de la garde personnel du baron, il se surprenais tout les jours.

-"nous vous attendions Madame la barrone, le maitre est en visite a l'inspection de ses terres avec son intendant, il m'a chargé de vous tenir a votre disposition et vous montrer vos appartements, andrew leftergod pour vous servir."

il ouvrit la grande porte et se mis de coté, il pria la future baronne de rentrée.

30 janvier 1652: journal du baron

Levée a 6h30, la nuit m'a été reposante bien que le chant d'une chouette me réveilla plusieurs fois, je me promit de la débusquée et de la chassée a plusieurs lieu. Bénéficient de surcroit d'un sommeil réparateur je pris ma toilette puis me prépara, le froid risquais de durée et de s'installées malgré le climat indiens de l'ile placé sous de bonne auspice sur cette partie de la cote. j’enfila donc le costume traditionnel grouvillois adapté a ces températures ressemblant plus a un dérivé d'une tenue écossaise. chemise de lin et bas de laine, veste doublé de mouflon a gros carreaux, pantalon de cachemire agrémenté d'une jupe highlanders a carreau rouge et blanc arrivant jusqu'au genoux, longue chaussette a bande rouge et blanche sous des bottines de cuire couleur châtaigne, tous sa doublé d’une cape en fourrure de renard au pelage brun. une tenue traditionnelle qui reflétait le passé plus que certain de l’appartenance de iles avant la colonisation des français.
Pour avoir chaud j'avais chaud et bien plus car l'attirail que ma femme de chambre me ramena quand je fut présentable pesait, il comprenais un poignard au manche de coquillage, une rapière au pommeau d'argent rattaché a un ceinturon, le collier de baron le terminai.
barder de joyaux régionaux, je déjeunais en salle commune en compagnie d’Henri achbroy et de Gaspard deltown mon intendant m'informant de l’agenda prévue pour la journée.

il était décider comme convenue de visiter le parc a huitre, les casernements de la garde et de la trésorerie au château en mâtiné, un déjeuner prévue avec le maire de Gorey, puis une visite a st ouen voir son homologue, ami et beau frére le baron luc afin de discuter des affaires de jersey et lui confier pour un petit séjour Angelo son neveu de par lina. le lieutenant Robert, l’intendant Gaspard, deux gardes a cheval, lisa et moi même serai du voyage, ainsi que le maire de Gorey voulant signée des accord commerciaux avec st ouen.

Agendas signée, une tranche lard et quelque œuf sur le plats, typique déjeuner anglais tenant au corps,un bol de café calva engloutie nous nous mire en route pour le parc a huitre situé a quelque encablure du village, après avoir bien sur embrassée mon fis et saluer lisa.

18 février 1652: journal du baron

Enfin de retour après un voyage de 15 jours a tournée Dans les villages français a prôner l'esprit de pascal, couronnée d'une charge nouvel de cardinal nonce apostolique.

accueillie comme a l'habitude par l'intendant Gaspard au ponton de l'embarcadère de Gorey village, l'ont montât dans le tout nouveau fiacre fermée reçut la veille d'un artisan de la région.
je posait la question sur l'etat de l'avancement de restauration du château de mont orgueil et des affaires en relation a la baronnie, l'ont me repondit que le chateau etait dans sa face terminal, le chantier serait terminée dans les jours qui suit pour se qui etait des affaires de grouville tout allait bien, l'argent des impôts annuel était rentrée et les gens en etait satisfait.

Au château, je me mis un coup d'eau, rangea valise et papiers, me changea de l'habit rouge pour l'habit traditionnel des villageois moins cérémonieux que celui de baron puis déjeunas a la cuisine, Henriette la cuisinière m'avait preparée un encart de chevreau de lait rôti sauce dorée, reste de repas de la veille ou l'on fêtait le mariage de son fhis le représentant des commerçants de Grouville parish a une fille de bonne famille. Autant dire que se repas était Un vrais délice qui s'ensuivit en dessert d'une mousse de pomme au lait d'amende.

Après une petite promenade en ville ou je rencontrât la population, ravis de me revoir a mes salut chaleureux, je prit connaissance en mon bureau des bilans hebdomadaire, ouvrit le courriers auquel cas je répondit et rédigea annonce diverse.
je me rendit ensuite en salle commune pour répondre a l'audience journalière que Gaspard présidait lors de mes absences.

A l'ordre du jour s'était présenter:

- l'architecte en chef qui me présenta les plans finit du château promettant la fin des travaux dans les 2 jours qui suivait, je lui remit pour récompense une prime d'une centaine de louis en plus de son salaire.
- le maire de Grouville parish et son épouse me rendit visite pour me rendre allégeance.
- une querelle de voisinage opposant un paysan et un bottier qui se partageais un bois: l'un disait qu'il lui appartenait l'autre qu'il avait besoin de bois pour son activité. l'on décida que le bois serait coupé en deux, une moiter serait pour le paysan et l'autre pour le bottier.
- la visite d'un orphelinat, nous remerciant des dons versée, prenant au passage en apprentissage quelque jeune gamins au service des domestiques.

Spoiler:

5 juin 1652: journal du baron

Petit détour en allant vers Londres 1 jour ou deux.

A mon arrivé, toujours bien reçut, on m'invita a visiter une manufacture fermière agricole que javait mit en projet de construire et don l’intendant c’était chargé de suivre. cette ferme accueillait les orphelines majeurs et les femmes sans le soue. ils devenaient des ouvrières strictement pensionnaires de l'établissement.

la nourriture, et c'est justement ce point-là est, dans l'organisation économique de Grouville, le plus digne d'attention, Après la culture des huitres bien sur.
Toutes ces jeunes filles se nourrissent elles-mêmes à leur guise, ou pour mieux dire sont nourries, quoique séparées momentanément du foyer domestique, par les soins de la matrone. Chacune fait sa cuisine à son goût, et mange comme elle
l'entend. Voilà qui, au premier coup d'œil, semble assurément devoir entraîner beaucoup d'embarras et de désordre! Eh bien, le premier coup d'œil, comme il arrive si souvent, trompe complètement.

Ce régime, si différent de celui d'un pensionnat ou d'un couvent, n'a présenté jusqu'ici que des avantages : pas de
récriminations sur le chapitre de la nourriture, et, partant, pas de mécontentements et de murmures; exercice de la liberté individuelle; habitudes de propreté et d'épargne; enfin maintien des relations, centre naturel de toute moralité parce qu'elle est celui du respect et de l'affection.

Voici tout uniment comment est organisé ce service. Tout autour des réfectoires sont disposées de grandes armoires
grillées, dans l'intérieur desquelles chaque ouvrière possède en propre son rayon ; ce rayon est le magasin des vivres de la semaine.
la production est envoyé aux entrepôts du château de mont orgeuil et de la bas redistribué dans chaque hameaux, la manufacture agricole quand a elle n'est pas oublier et quand ce jour arrive , d'un commissionnaire avec sa carriole recouverte de toile blanche et son petit cheval enlevé pour ce jour-là aux travaux des champs; il faut voir comme toutes ces jeunes filles s'empressent autour du brave homme; quels jeux, quels rires, quelles conversations, en trouvant, chacune à son adresse, son gros pain de ménage et son panier rempli avec des œufs, du lard, des légumes, un peu de viande! Certes, ni la matrone, ni les filles qui ont pris soin de les produire ne sont oubliées.

les nouvelles viennent du commissionnaire qui en voie de tout et en a vues; il est la gazette vivante de la baronnie, et les commérages qu'il débite provoquent de toutes parts un interminable babil.

Enfin une bonne sœur arrive du couvent voisin et commence la surveillance du repas des employé. Chacune a préparé à sa manière et suivant ses ressources son plat ou son potage, et cet effroyable pêle-mêle de batteries de cuisine de toute espèce a été ensuite disposé sur le plateau d'un immense fourneau, chauffé à la nouille, placé à portée de chaque réfectoire, et dont la sœur a la surveillance.

On comprend qu'aucun mets n'est assez compliqué pour demander grand travail, et que l'entretien du feu suffit à peu près à tout le service.

Vienne l'heure du repas, au signal de la cloche, tout le monde accourt, chacune retrouve son lot, lui donne un dernier tour de main et l'enlève;la plupart du temps, il arrive même que l'opération se simplifie par l'association : « Donne-moi aujourd'hui de ce que tu as, je te donnerai demain de ce que j'aurai; » voilà tout le principe de ces camaraderies à deux, à trois, à quatre couverts. S'il pleut ou si le temps est froid, on s'attable dans le réfectoire; s'il fait beau, toutes ces jeunes filles s'envolent dans le parc, sous les grands arbres, sur le gazon, au bord du charmant ruisseau dont le courant met en branle, un peu plus
bas, tous leurs métiers, et, tout en folâtrant et devisant, elles dînent comme des reines. le jour suivant c'est un dimanche, et je me décide d'y preparer messe non loin du château dans un petit hameau dans une clairière, personne ne travaille; tout les métiers sont arrêtées; le silence règne ; le parc est désert ; on dirait une contré fantôme, et il l'est en effet complètement ce jour-là. Les anciens barons ont voulu que le dimanche fut non-seulement le jour du repos, mais le jour de la famille.

De grand matin, tout le monde prend son vol, et chaque bande, dans ses plus beaux costumes, regagne son village. Quel plaisir de revoir les siens et d'être choyé, ne fût-ce que pour quelques heures, par la tendresse et la familiarité des parents! Aucun lien n'est rompu ; on continue à faire corps autour du foyer domestique, et en sentant l'honneur de la famille, on sent plus vivement le sien propre. « Ce maintien des relations de famille, médisait le maire, est une des choses auxquelles nous tenons le plus et dont nous retirons les meilleurs effets pour la moralité des hommes et des femmes. » Aussi, dans la mauvaise saison, alors que les journées sont trop courtes pour ces expéditions matinales, n'hésite-t-on pas à faire dans ce but un sacrifice. On arrête le travail dès le samedi à deux heures, et l'on donne congé, de sorte que même les hommes qui demeurent le plus loin peuvent encore arriver chez eux avant la nuit.

Du reste, les liens de famille sont réciproques, car la plupart des jeunes filles orpheline par le biais de la manufacture et les autres, sur les économies de leur salaire, subviennent chaque semaine aux besoins des leurs; elles n'arrivent pas, le dimanche matin, les mains vides, et Dieu sait si le paysan aime le son de l'argent comptant! Pour beaucoup aussi, ce pécule, lentement grossi et administré par le père de famille, est destiné à la formation d'une dot qui, après un petit nombre d'années, par la simplicité des mœurs dans une heureuse contrée, devient une fortune. Quelques-unes, satisfaites de cette vie régulière et
paisible, s'attachent à l'établissement et affichent l'intention d'y demeurer toujours. En m'y promenant, je me croisai avec une
de ces filles, forte et de bonne mine, mais dont la figure accusait hardiment la trentaine bien sonnée.

"-Eh bien, Mademoiselle, est-ce que vous ne songez pas à dire bientôt adieu à votre tour à l'établissement? "

"-Oh, fit-elle en souriant doucement, je n'ai pas besoin de mari, monseigneur moi,je suis mariée avec l'établissement."

Bien qu'il y ait sur le chapitre de la religion une liberté absolue, et peut-être en raison même de cette sage discrétion, il règne dans l'établissement beaucoup de piété, et les filles qui se marient avec rétablissement, comme dirait la none au couvent, sont en général celles qui, durant les heures de recréation, tournent le plus volontiers leurs pas vers la chapelle: un caractère réservé et timide les rend heureuses de cette existence sans tourments et sans soucis, et l'on pourrait presque les comparer à des
religieuses si leur liaison avec leur famille ne demeurait complète, et si cette vie de labeur n'était souvent aussi une vie de dévouement pour les pauvres.

Quel contraste,entre les sentiments que me fit éprouver cette visite et les sentiments douloureux qui se passent dans mon souvenir à la pensée d'autres lieux! C'est, si je puis ainsi dire, l'effet d'une journée de printemps comparée à la plus sombre de nos journées d'hiver. Sauf peut-être dans nos forges, où l'on sent assez ordinairement que la rudesse du labeur ne repousse pas tout à fait la bonne humeur et le bien-être, et où les exigences de la vie de famille sont en général respectées d'une manière louable, il est bien rare que le spectacle des travaux ne soit pas pour l'observateur philanthrope un spectacle de tristesse: on peut y admirer la puissance des hommes, l'artifice des procédés, la magie des transformations; mais on sent que l'homme y est en souffrance, et, l'esprit a beau être entraîné, le cœur se resserre.

Infortunés séjours où le sourire est inconnu, où l'espérance manque, et dans lesquels le paysan, est comme enchaîné à la roue! Ici, comme j'ai essayé de vous l'indiquer, le principe économique est tout autre; la considération des personnes passe
avant tout, et, par une heureuse innovation, les technique, toutes perfectionnées qu'elles soient, ne sont qu'au second rang.

Aux détails que je vous ai déjà donnés à cet égard, permettez-moi d'en ajouter un dernier, et qui, ce me semble, résume tous les autres.

L'année dernière, la place de la matrone de cette importante ferme est devenue vacante: nul doute que l'on n'ait dù
s'adresser pour la remplir à quelque femme connu au caractères de la terre,Pas du tout: la règle commune a été mise hardiment de côté, et l'on s'est bien plus occupé de rencontrer un représentant du sens de la vie tel qu'un théologien qu'un représentant hiérarchique. Il se trouvait dans les environs un jeune moine en ermitage, estimé de tout le monde pour son esprit de conciliation et la probité de ses mœurs : c'est sur lui que l'on a jeté les yeux; on l'a décidé; on a mis sous ses ordres tous les agents nécessaires à la spécialité, et les ouvrières entourent avec respect et reconnaissance celui qui sait être leur tuteur en même temps que leur maître, il choisissa par la suite la future matrone parmi les filles.


ce régime n'offre pas seulement les avantages de la moralité, mais on ne peut refuser d'y applaudir même au point de vue purement financier. Créer un personnel attaché aux intérêts d'un établissement comme s'il en était solidaire, plein de soins pour le travaille bien fait qui lui sont confiés, ménager des substances qu'il consomme ou élabore, attentif à la qualité
des produits, vaillant,souple, actif et zélé à tous ses devoirs, n'est pas une moindre condition de succès pour le peuple grouvillois.

Puisse cette exemple se propager, et, sous l'influence des mêmes principes, des jours meilleurs s'ouvrir enfin pour la population si méritante et si digne de pitié de nos fermes! Aimer et relever les hommes, au lieu de les mépriser et de les exploiter, tel devrait être le programme dans toutes ses branches, et ce programme bien rempli suffirait pour écarter de l'avenir tous les dangers qui le menacent.

21 juin 1652: journal du baron

le retour du seigneur a fait grande joie, même au plus veille homme de la contrée.

la personnalité des grouvillois dans leur forme se trouve dans une soutenabilité des plus simple: la taille est moyenne et bien proportionnée, ou même un peu ramassée; son visage n'est pas trop haut en couleur, car, au moins dans la jeunesse, la coloration excessive de cette partie du corps promet rarement une longue vie; ses cheveux sont plus blonds que noirs; sa peau est ferme sans être rude; sa tête est de grosseur moyenne; il a des veines bien marquées sur les membres; ses épaules sont plutôt arrondies qu'aplaties; son cou n'est pas trop long ni son ventre saillant; ses mains sont grandes, mais non parsemées
de sillons profonds; son pied est plus large que long, et son mollet presque rond; il a une poitrine large et voûtée; sa voix est forte et sonore ; il peut retenir longtemps son haleine sans en être incommodé.

En général, une harmonie parfaite règne entre toutes ses parties; ses sens sont bons sans cependant être trop délicats; son pouls est lent et uniforme.
Son estomac est excellent, son appétit fort bon et sa digestion facile. Les plaisirs de la table ont de l'attrait pour lui et portent la gaieté dans son âme, qui partage les jouissances du corps. Il ne mange pas uniquement pour manger, mais l'heure des repas est tous les jours une heure agréable pour lui, et la table lui procure une sorte de volupté qui a sur les autres l'avantage de l'enrichir au lieu de l'appauvrir. Il mange lentement, et il n'éprouve pas souvent le besoin de boire : une grande
soif est toujours le signe d'une consommation rapide.

Il est, en général, ouvert, affable, communicatif, accessible à la joie, à l'amour et à l'espérance, mais inaccessible à la haine, à la colère et à l'envie. Ses passions n'ont jamais le caractère de l'impétuosité et de la violence.

Si quelquefois le grouvillois se fâche et se met en colère, c'est plutôt un échauffement utile, une fièvre artificielle et salutaire, qu'un épanchement débile. Il aime à s'occuper et se complaît surtout à méditer tranquillement sur des objets agréables. Il est optimiste, ami de la nature et du bonheur domestique. Il ne connaît ni l'ambition ni l'avarice, et ne s'occupe guère du lendemain.

17 septembre 1652

débarqué la veille au soir, voir en pleine nuit, Gaspard m’accueillis comme a son habitude et me conduisit au châteaux du mont orgueil, je dina avec appétit en bonne compagnie apprenant les affaires et actualité qui réglais le temps dans la baronnie et me couchât de bonne humeurs, Je dormais encore le lendemain matin lorsque mon intendant vint me réveiller.

"Monseigneur, nous avons rendez vous" s'écria-t-il amicalement; "le déjeuner vous attend et la division marine commandée par le capitaine somwais se tient a votre disposition au port, vous aurez l’occasion et le temps pour voir les infrastructure du port et une balade sur nos cote Monseigneur", me dit-il.

"une balade en bateau ?" dit je les yeux encore endormis.
"Oui un brick que nous avions construit en votre honneurs, nous l'avons appeler le "baron, il vient d’être mis a l'eau, il remplace la goélette qui était hors d'usage "
"ha il me plait se nom, et pourquoi en avoir construit un?"
"Pour inspecter nos cotes et les route maritimes entre spp et Rouen, nous somme au portes des iles, monseigneur et...."
"....garantir le moindre danger, un navire de garde cotes en quelque sorte et faire les patrouilles."
"oui monseigneur, nous avons été alerter que des trafiquants parcourait la zone ses dernier temps, des braconniers selon les pécheurs"
"parfait, il me tarde de le voir...."

une heure plus tard nous sortîmes de table et partie en direction du port a dos de cheval. bien du
plaisir m’était donné de revoir se paysage verdoyant et Gaspard fessait un travaille remarquable en temps qu’intendant.

"Je ne dois pas vous cacher que je vous suis bon gré des décisions et résolution que vous avez montrée en mon absence Gaspard, et que je peux compter sur vous toutes les fois que je m'absente"

"merci monseigneur, je serait moi aussi toujours la pour vous"

"S'il y a des choses a revoir, un danger quelconque à courir, je vous choisirai de préférence à tout homme de la contrée."

au fil de mon avancée, sur les chemins, a la rencontre de grouvillois et dans les hameaux et village, tout était paisible et sentais la joie de vivre, rien n’était figée et les gens avait de la sympathie, la baronnie de grouville respirait.

"par contre si vous commenter la moindre faute, la plus petite négligence dans votre service, je vous promets de vous punir avec deux fois plus de sévérité que je n'en déploierai, dans une occasion semblable, envers n'importe quel personne."

en vérité, j'estimais Gaspard car il me rendait un grand service et me comprenais.

Arrivé a l’embarcadère, un matelot se présenta devant devant nous et Gaspard prit la parole.

"Capitaine somwais, vous arrivez fort à propos; voici monseigneur notre baron d'on votre vue le ravira."
"mes respect monseigneur" dit le matelot au garde vous.
"Enchantée capitaine"
"Mon intendant, j'ai une lettre qu'un marchant m'a chargé de vous remettre..."
"Donnez."

nous descendirent de cheval et pendant que Gaspard lisait sa lettre, j'examinais le capitaine. C'était un solide gaillard, brun de peau, aux cheveux noirs, aux yeux brillants, à la physionomie franche, énergique et naïve tout à la fois. Il pouvait avoir près de quarante ans. Son costume n'en pas vraiment un. Fait de bout de tissu sombre bleu nuit, d'on la propreté était a revoir .

Un mendiant eût certes dédaigné de le ramasser au coin d'une borne. Les matelots, sur les iles, étaie ni loin, sous le rapport
de la tenue et de la mise, de ressembler a ceux de la grande ville de spp. Je rangea dans ma mémoire cette observation et décida d'en parler le soir venue a Gaspard afin de faire faire fabriquer des costumes sur mesure pour cette brigade maritime.

" capitaine", repris Gaspard après avoir terminé la lecture de sa lettre, "pouvons nous embarqué ?"

"Oui, nous vous attendions " répondit le matelot qui me regarda, ou, pour mieux dire, qui m'inspecta depuis les pieds jusqu'à la tête, avec autant de tranquillité que d'attention.

23 octobre 1652

Ce mardi en la baronnie était organisé une exposition de fleurs et de fruits, à laquelle tous y sont invité que se soit des locaux, régionaux ou étrangers. cette événement devait attiré pendant plusieurs jours un grand nombre de
visiteurs. je me rendis donc en catimini même si mon peuple me reconnaitrait surement et m'avait reconnut, j'y ait put voir et admiré au fil des étales et parterre présentée de beaux daubanintonia tripctiana de M. bec, charmants botanistes inventeurs d’espèces et d'arbustes aux fleurs d'un beau rouge, créent par la même occasion toute sorte de fleures au noms étrange comme des isioposécs en grappes élégantes; de pleine fleur du palauloivnia imperialis, un bel arbre au feuille jaune et bien fournit; bien d'autre merveilles avait été présenté comme une autre belle espèces chargée de huit ou dix grappes de fleurs blanche
qu'on aurait pu croire faites de sucre; ainsi que plusieurs beaux camélias et d'une grande quantité de dahlias, de roses et de fruits.
M. steven, auquel le jury a décerné le premier prix, s'est montré digne, par la perfection de ses dahlias d'on il était un fervent spécialiste, de cette honorable distinction.

Les roses ont dépassé de bien loin l'attente des amateurs que je suis.

Quant aux visiteurs, que nous pourrions nommer profanes, je pouvait remarqué de leur étonnement à l'aspect de cette variété infinie de rosiers de toutes les nuances, couverts de boutons et de fleurs comme au mois de mai bien que nous soyons en octobre. j'appris la perfection des procédés de culture a jersey dotant d'un climat propices a la plantation de plant de tout origine a toute époque de l'année enrichissant nos collections de roses. j'en commanda mon intendant d'en planté partout au château.

Aujourd'hui, ceux qui ont vu le plaisir de contempler les collections exposées par Mesdames delonnet, iniaçiu, et tafti, ont pu apprécier combien notre horticulture est devenue riche en rosiers aussi abondamment fleuris, je les récompensa de leur savoir. Les fruits, en raison de la saison, formaient la partie de l'exposition la plus riche et la plus variée. l'on percevait des gastronomes, gouteurs et amateurs de bonne nourritures le nez collés aux étales dévorant des yeux des potimarrons, des bananes, du citron, des fraises. je vit une tomate d'un volume peu ordinaire, d'un vert lustré, exposé par M. Gontrant ayant une odeur exquise donnant tous les signes d'une maturité parfaite.
les deux extrémités de la foire étaient. occupées par des centaines de plantes tropicales étalant le luxe de leur brillante végétation: elles appartenaient a la belle collection des frères Crames.

C'est au milieu de ces richesses que se sont réunis le cercle de joueurs de cornemuses, pour applaudir au triomphe de quelques-uns des jardinier présent, proclamés, par la décision du jury, vainqueurs dans les divers concours.

Après plusieurs discours écoutés avec le plus vif intérêt, les médailles ont été distribuées aux lauréats, aux applaudissements
unanimes de leurs confrères, marques d'estime d'autant plus honorables qu'elles émanaient de ceux-la mêmes sur lesquels ils venaient de l'emporter.

Dans l'allocution chaleureuse de Messir james, président du Cercle des jardiniers de Grouville, le public a remarqué les vues sages et patriotiques de cet homme éclairé sur l'horticulture. Au point de recourir a l’enseignement de cet art dans des écoles.

je reçut a ma plut grande surpris, par les mains de l'honorable président, une distinction honorifique qui récompensait mon émulation au savoir botanique, il est vrais que javait installée une roserais au château ainsi que des jardins et un potager invitant ses même spécialistes a s'y rendre et a y faire quelque recherche.

24 octobre 1652

Les regards du voyageur qui descend le baie de Grouville, découvre un des magnifiques promontoire de la Compagne de jersey. j'en fut très fière. le long de ses cotes, des embarcation flottes sur cette mère calme d'un bleu pale azurée. Sur les dunes des oiseaux s'y reproduise.

Regardant se spectacle, mes pieds sont plongez dans les eaux jaunâtres du ruisseau qui entours la forteresse de mont orgueil restant encore debout fièrement par de puissantes murailles, javait fait commandé a Gaspard mon intendant de faire quelques réparations pour faire de ce point une citadelle vraiment redoutable, les travaux sont terminée que depuis deux jours et j'en suis heureux, cette fortification fait d'elle le première rempart. Les pieds trempée, mon pantalons remontée jusqu'au genoux je'arpente a contre courant ses cordeaux d'eau, je suis accompagné d'un garde chasse nommée hortenze, il m’emmènent voire les sous bois vue de cette angle.

Quand on a passé la pleine et rentrée dans les bois par ce passage, le caractère du paysage devient de plus en plus pittoresque.
Les bois, les abord et les rochers qui bordent le ruisseau apparaissent tantôt nus, tantôt revêtus de quelques buissons clairsemés, tantôt couverts de bois sombres et épais; ça et la des barrières naturelles s’entretient pour laisser voir de petits hameaux, un moulin a Eaux, ou bien elles s'écartent tout a fait, et l'œil plonge dans de riantes vallées. Mais bientôt elles surgissent de nouveau du sein du ruisseau, et tellement rapprochées qu'elles enferment des deux côtés et lui donnent l'air d'un fleuve. Des torrents s'échappent des ouvertures, avec des flots d'écume.

Partout des gorges escarpées, partout des abîmes, des grottes profondes qui s'étendent a travers le roc, dans toutes les directions. La plus célèbre est celle de wixalli, nommée la caverne aux papillons. les eaux la remplissent presque entièrement, Hortanze me racontât qu'un jour un voyageur anglais tenta d'y pénétrer; mais, arrivé à cinquante pas de l'entrée, il
dut-rebrousser chemin, car il avait déjà de l'eau jusqu'au cou. C'est de cette noire caverne que sortent des papillons qui causent tant d'émerveillement dans les pâturages alentours.

Ces insectes paraissent ordinairement trois fois dans l'année, vers la fin d'avril, dans la seconde quinzaine de mai, et vers l'automne, en troupes nombreuses.

L'hospitalité est une des vertus distinctives des peuples caractère dans la rudesse de leur antique paganisme une vertu qui déjà leur donne un noble trait.
le doc en fut agréablement surpris, car il découvrit a l'aide de son intendant que les Grouvillois on cet qualité doublé d'un esprit propre a leur culture.
Étant férue d'histoire et de savoir, il voulut en savoir plus sur son peuple et ses qualités. Ainsi il en demanda même l’accès a la bibliothèque du prince a st pierre qui était restée sans réponse.
il ne se découragea pas et questionna les sages et les doyens de la baronnie.

il découvrit un veille adages: "Il a besoin de feu, celui qui entre les genoux gelés; il a besoin de nourriture et de vêtement, celui qui a traversé les montagnes."
un autre proverbe dit aussi: " Le besoin n'attend pas le beau temps."

le baron visita quelque maison, et on l'y invita avec plaisir. il fut encore une fois surprit de voir a l’intérieur et au explication apportée du propriétaire qu'il y a une chambre à part, une chambre réservée pour l'hôte inconnu, pour le pauvre voyageur qui vient au nom de Dieu demander l'hospitalité.

Pareil dans les fermes et moulin dispersées le long de la route principale, l'été, quand les travaux des champs appellent tous les habitants de la maison au dehors, la mère de famille pose du pain, du lait, sur la table, et laisse la porte de sa maison ouverte, afin que ceux qui passeront par là en son absence puissent s'asseoir à son foyer et y prendre ce dont ils ont besoin

la jeunesse n'oublie pas non plus ses coutumes, il n'émigrent point a la capital. Ils ne vont point au delà de l'Atlantique chercher une terre plus féconde et une température plus douce. Ils aiment cette terre qu'ils cultivent, et entretienne leur espoir. Ils aiment ces fleuves, ces lacs. ils reste prés de leur familles, ne veule pas de séductions d'un travail plus facile, ni des rêves de fortune, ils ne peuvent pas être déterminer à quitter ces contrées où ils sont nés, à se choisir une autre patrie.

il aperçue une femme arriver devant les grilles de la citadelle et elle se présentât

Citation :

"Bonjour messire... je suis l'epouse du cardinal Delarosa, serait il possible que je rentre dans ss demeure ? Je souhaiterai lui preparer une surprise pour notre premiere soirée ici."

un peu avant le baron était rentrée par ici et avait prévenue toute l'assemblé présente qu'il s’était mariée, il en fait une nette description de la nouvelle baronne et prévenue qu'elle viendrait surement ici par ces propre moyens.
il l'a reconnue.

"dame ma Baronne, bienvenue" il lui fit une révérence et lui proposa sa main pour qu'il l'invite a entrée.
"un plaisir de vous voir ici. Monsieur est au marais salant avec Monsieur L'intendant vérifier la récente récolte de sel, voudriez vous visiter la citadelle ?"

la jeune femme inclina la tete devant le garde vraiment pas habituer a ce genre de chose et accepta volontier de prendre la main que celui ci lui tendait pour la faire entrée

Je vous remercie, j'avoue etre un peu perdue n'ayant pas vraiment mis les pieds dans les environs et n'ayant jamais mis les pieds tout court dans un endroit aussi magnifique

Elle ecouta les paroles de celui ci lui expliquant que son epoux etait occuper, encore, pensa t'elle, ils etaient sencer etre en vacances et nous venu pour travailler, retenant un petit soupir, elle se concentra sur les paroles de l'homme qui lui tenait toujours la main, un peu gener de la situation, elle ne dit pourtant pas un mot ne voulant pas gener l'homme.

C'est avec plaisir que j'aimerai visiter, avez vous le droit de quitter votre poste pour me faire visiter ? Cela ne vous causera pas du tord aupres de mon epoux ?

La jeune femme le regarda et attendit patiemment sa reponse

dimanche 9 juin 1653:

heureux qu'est le retour dans un lieu ou l'on si sent chez soi. le doc avait laisser derrière lui ses péripéties mouvementé en Normandie, avait annulée son mariage bancale et s’était mis au vert a Londres afin de se débarrasser de ses pensée obsédante.
il revenais en ses terres pour quelque mois afin de profiter de la saison qui s'anoncais bonne et de passer un plus de temps a la gestion de son patrimoine, de ses gens et de la principauté.

lundi 10 juin 1653: Château de Montorgeuil;

En cet état, Il s’élève et il regarde autour de lui. il est sur la plus haute tour, celle ou l'on observe, celle ou l'on surveille la cote d'en face par une lunette.

en compagnie de son intendant, il vois ce qu'on appelle la Nation étrangère. il y trouve des préventions contre des hommes craintif ou violent, des craintes, de la haine, de l'ambition.
Or, il ne veut pas de toute ses choses pour son peuple, pour ses semblables, les Grouvillois.
il voudrait qu'ils ne peuvent que s'aider les uns que par les autres.
il a vue que L’homme pouvait être isolé et il en a même goutée certaine idées, il a comprit se que serait le plus malheureux, de rester seul et désunie.
le résultat des vrais passions qu'est la vie c'est l'entraide et l’humain. c'est donc en haut de ce promontoire rocheux qu'il dictat a son intendant ses grand projet pour sa baronnie.

Ses projets serait celles de chacun car la nature nous porte d'elle-même à la société ; cette même société nous inspire des craintes , des jalousies,
des précautions. Mais Qu'est ce que cette prudence? Est-ce perfection de la nature ? en est-ce la corruption.
Le problème est aisé à résoudre s'il tend à perfectionner la société , le principe est bon ; s'il vise au contraire à la corrompre & la dissoudre , il est mauvais.

le baron gouverne sa terre d'un seul coup d'œil , ses hommes en armes par un ordre absolu, ses sujets par un régime de lois: il y a donc plusieurs sortes de dominations , même dans le Royaume le plus soumis.
II est de même une façon de dominer ses voisins, sans envahir & dévaster leur territoire; c'est la technique et le savoir.
Pour parvenir à se procurer cet avantage, il suis précisément la même méthode qu'il a mise en œuvre pour la pérennité économique de ses terres.

"Mon chère Gaspard, Je n'ai rien négligé pour y établir la confiance et l'exacte police qui règne aujourd'hui a Grouville; l'agriculture a mis en jardin tout le territoire; l'industrie est inventive , économe et active.
il s'est établie par-tout des canaux & chemins de communications forment les rues de cette florissante terre que nous avons sous les yeux."

"Nos voisin pourrait nous jalouser monseigneur"

"Quininie, les terres voisine sont celle du prince, et je lui céderait volontiers nos connaissances que nous avons acquises. Il ne s'agit plus maintenant que de procurer les mêmes avantages à nos voisins, Même si maintenant Jersey ne compte plus beaucoup de vassaux, rendons relatifs nos avantages a d'autres."

"il nous faut s'armer d'autre technique et connaissance monseigneur, certaine partie et travaux n'a pas été entrepris"

"Oui, Gaspard, je le conçois, notre peuple est demandeurs de nouvelles choses, il s'enrichie de jours en jours et je m'en réjouie car le trésor se porte bien, nos investissements porte ses fruits"

22 juin 1653:


"Monseigneur, comme vous le voyer la citadelle est terminée..."

il regarda dans sa lunette astronomique et vit la forteresse. De la ou il était placée, l'on voyait tout l'ensemble.

"Admirable, Maitre architecte, admirable. Nous touchons au but, cette forteresse est le premier rempart des iles de ce coté ci, Grouville est fier de vous...."


"Merci Monseigneur."


l'architecte se courba en signe de respect au cardinal et sa maison, tenant entre les mains un compas et un mouchoir de cuir.
Gaspard, l'intendant des terre de grouville, n’était pas loin non plus et veillait a la bonne teneur de cette entretient.

"Nous avons deja doublé nos effectif dans les rangs de gens d'arme de Grouville, monseigneur. vos terres est maintenant a l’égal de Saint pierre port, nos champs son florissant, les commerces Prosper. nos villages et hameaux ont été rénovée ainsi que nos route et chemins, cette forteresse est la continuer de votre attachement pour Grouville et son peuple."

"Ne nous félicitons pas trop vite, il y a beaucoup d'autre petit détail a régler mon bon gaspard comme la justice pour tous et le niveaux social des grouvillois."

"Je l'entend bien monseigneur, un groupe d'homme sage savant des lois, originaire de Grouville sont en se moment même en train de se réunirent pour répondre sur la question."

"Excellent, "

les toix personnage prirent ensemble les chemins du villages. le baron salua de nombreuse tètes connue et l'on s’évertua a le complimenter sur la nouvelle construction et la nouvel prospérité de la baronnie. le baron observa que les vetements des uns et des autre avait changé. des textures plus délicat et plus chère, des tissues rare au couleurs chatoyante, des cuirs plus souples et des bijoux beaucoup mieux travaillée.