[RP] Hôpital de SPP

Invité

MH entra dans l’hôpital. Il était en très mauvais état. Tout y était sale, les lits à moitié détruits… Elle avait du pain sur la planche. Heureusement Ophélie devait arriver d’ici deux semaines tout au plus. En attendant, il fallait remettre tout en ordre. Elle prit alors une vieille table et prit note de tout ce qu’elle devait faire.
Elle appela sa voiture et s’en alla.

***le lendemain***

MH revint à l’hôpital avec de nombreuses personnes, des ouvriers et ouvrières de quelques jours. Elle avait reçu de l’argent de la part de Sra. Cruz. “Ses” ouvriers se mirent au travail sous ses ordres. Elle les aidait à tout vider. Puis, elle envoya les femmes lavaient tout et les hommes réparaient ce qui était réparable. Elle courait d’un groupe à l’autre pour donner des ordres et les aider.

Midi sonna, tout le monde mangea. Ils étaient gais et rigolaient beaucoup. Ils aimaient bien cette femme qui ne prenait pas de grand airs avec eux.

Après le repas, on s’y remit de plus belle. MH était morte de fatigue. Elle n’en pouvait plus.

A la fin de la journée, elle tira son bilan : tout était propre mais on manquait de lit et de médicaments. Elle renvoya les ouvriers chez eux. La journée avait été longue et tant qu’elle ne recevait pas de matériel, elle ne pourrait rien faire. Un des ouvriers s’approcha d’elle et lui dit :

Citation :: On s’doute bien que c’est pas finit. C’est pour ça que les gars et les femmes qu’on a décidé que lorsque vous aurez besoins de nous on ser’là et vous n’aurez pas un sou à sortir.

Il partit. Elle sourit et rentra chez elle en espérant la venue prochaine d’Ophélie.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Je descendis de la voiture. Marie-Hortense me présenta aux ouvriers puis me demanda de l'excuser. Elle devait partir faire sa pastorale. Je fis alors le tour des locaux. Tout était propre pour y vivre sainement mais pas pour un malade. C'est alors que je dressais un plan de tout ce qui m'étais nécessaire. Il fallait plus de semaine que prévue. Je réunis alors les ouvriers et leur expliqua le programme des jours à venir.

Le travail fut long et ma belle me rejoint dans l'après-dînée. Elle était sereine. A deux nous nous mîmes à l'ouvrage.

Le soir venue, je compris que le nombre d'ouvrier était tel que le temps avait été divisé par deux voir plus. Mon hortensia avait tout prévu en fait d'avance. Elle voulait me faire une immense surprise en prévoyant (en attendant mon arrivée) tout ce qu'elle pouvait. Il ne fallait plus que poser. Les portes et les fenêtres avaient été commandées. Le bâtiment était enfin à peu près correcte. Hortense partit et me laissa au commande. Je réunis les ouvriers pour leur définir le programme à venir:

Réparé les failles dans les murs terminer les travaux

[list=2]
Peindre tout en blanc

[list=3]
Installer les meubles

Ils approuvèrent et me dirent qu'en trois jours, tout serait finit. Je les remerciais et leur donnèrent rendez-vous le lendemain à la même heure.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Le jour suivant, j'allais au chantier. Une trentaine d'ouvrier étaient déjà là. Le temps était avec nous. Nous nous mîmes au travail. Peu à peu d'autres ouvriers arrivèrent. Je m'étais arrangé avec Hortense pour savoir quoi faire. Elle était à la maison en train de former certaines jeunes filles pour m'aider. Pendant ce temps, je veillais au grain.
Midi sonnait. Nous nous arrêtâmes le temps de manger et de reposer nos membres. Puis à deux heures nous reprîmes le travail.
A ce moment là, un homme tomba d'un des échafaudage. Je criai un garçon:

- Va chez Marie-Hortense! Dis-lui qu'un homme est blessée.

Je me précipitais sur lui et le palpai. Une côte cassé plus des égratignure. Je pansais au plus vite certaine plaie. Et j 'attendis avec anxiété la venue de ma belle.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Une voiture arriva. Une des jeunes filles sortit et suivit mes consignes. Je fis montais l'ouvrier. Sa femme arriva en pleurs, je lui dis de ne pas s'inquiéter qu'il se rétablirait vite. Elle partit avec la voiture en direction de la maison de Hortense.

- Allez, tout le monde au boulot!

Nous nous y remirent. Le soir je réunis de nouveau les ouvriers pour faire un bilan. Les travaux avaient très bien avancé, les murs avaient été réparés et repeins. Il ne manquait plus qu'un plus qu'une seule journée pour tout installer.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

***Le lendemain***

Les ouvriers arrivèrent de bonne heure. Nous installâmes les lits, les armoires, les bureaux, les matériels médicaux, etc. Tout fut fini avant midi. Je renvoyais les ouvriers en leur donnant leur paye et leur donnait un papier qui leur garantissait les soins gratuits en raison de leur participation.

J'observais alors l'hôpital et fut fière de moi et des ouvriers.

En arrivant de la rue on avait l'impression de voir une immense bâtisse blanche de trois étages. On entrait par une large porte couleur chêne. La pièce d'attente était spacieuse et bien aérée. Il y avait de nombreuses chaises et deux bureaux sur lesquels étaient écrits: "Inscriptions à l'hôpital"
Puis derrière une porte venait les salles d'opérations et les bureaux des professeurs. Il fallait pousser une porte pour trouver les chambres.
A l'étage il y avait les chambres pour les accouchées et leur enfants.
Le troisième étage était celui de la chambre de tous les aides soignants et médecins.
Il y avait une salle de jeux derrière les chambres et à l'arrières des bâtiments un jardin, coupé en deux par des haies. L'une d'entre elles servait de jardin d'agrément, la seconde de potager.
C'était un bel hôpital.

Dans l'après-dînée, les infirmières formées par Marie-Hortense arrivèrent avec les médecins. Il vint aussi l'ouvrier. C'était notre premier patient. D'autre allaient surement arriver.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

J'étais dans mon bureau en train de terminer les commandes quand un petit garçon vint me dire que mon hortensia avait besoins de me voir. Je terminai alors la commande et alla me changer. Je me coiffais et m'habillais avec cet art que MH aime tant. Puis je pris une ombrelle et demanda un voiture.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

J'étais de retour après avoir passé la journée chez mon hortensia. Elle avait voulu que je sois là pour les plans et pour me présenter à la duchesse. A présent j'étais de retour à l'hôpital. J'y vis de l'animation. Je rentrais et je vis un garçon s'agitait dans tout les sens.

Calme-toi, lui dis-je. Que t'arrive-t-il?
Maman m'a dit qu'elle allait avoir mon p'tit f'ère.

Mon sang ne fis ni une ni deux. Je sonnais et evoyais un accoucheur et une jeune infermière chez la femme avec une voiture. Si la femme pouvait accoucher ici tout serait pour le mieux. Ils partirent.

Pendant ce temps, je préparais une des chambre pour la futur maman. Je me préparais enfin à intervenir, je me changeais pour une robe de bure à manche courte. J'attachais mes cheveux sans la moindre coquetterie. J'entendis la voiture arriver avec la femme qui hurlait. Je me lavai les mains précipitamment.

La femme arriva dans une litière. Deux porteurs arrivèrent précitimment et la mirent dans la chambre préparée.
Il était huit heures quand elle arriva. Elle perdait beaucoup de sang et je craignais pour sa vie. L'accoucheur n'en pouvait plus et commençait à fatiguer, il était trois heures du matin.

Je pris le relais. Lorsque je tâtai, je sentis le siège de l'enfant. Il fallait le retourner. je donnais mes consigne à la femme. Elle hurla jusqu'à la mort lorsque je retournais l'enfant. Puis il fallut enfin la faire accoucher. Exténuée, je cédai ma place à un deuxième accoucheur.

Il était cinq heures. Enfin, la tête apparaissait. Encore quelques minutes, finalement plus.
A six heures trente cinq, elle accoucha heureusement d'un garçon.

Je la félécitais. Elle était un peu faible mais s'en remettrait. On nettoya l'enfant et l'envoya dans la nurserie. La mère s'endormit et j'en profitais pour me reposer. Nous la déplaçames à neuf heures dans l'étage qui lui était consacré. Elle était heureuse mais quelque peu faiblit.

Je lui ammenai son petit garçon dans la matinée qui suivit. Elle en fut heureuse et elle me damanda quand est-ce qu'elle pouvait sortir. Je lui dis qu'elle ne le pourrait que lorsqu'elle aurait des forces. Elle me sourit faiblement et me rendit son fils que je déposais à la nursery. Je retournais dans mon appartement laissant les autres s'occupaient du fonctionnament de l'hôpital le temps que je récupère de la nuit blanche.

Ainsi donc serait mon travail, je pouvais très bien ne pas dormir de la nuit et de la journée pour le plus grand bien de tous.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Je m'éveillais à sept heures. Je m'habillais et aller voir notre accouchée ainsi que l'ouvrier. Ce dernier sortait et je lui donnai ses dernières recommandations:

Je vous conseille de ne pas trop bouger et d'éviter les chantiers pendant deux semaines encore.

Il grogna quelque chose et je répliquai:

Monsieur, si vous ne suivez pas mes conseils vous passerez votre vie ici.

Alors il s'inclina et sortit. Puis j'allais voir le nouveau-né. On lui avait donné une bonne nourrice, sa mère ne pouvant le nourrir. C'était un beau garçon. J'allais voir notre jeune mère:

Comment vous portez-vous?
Mieux.

Je l'auscultais et trouvais un léger mieux. Je lui souris et lui recommandai de ne pas s'épuiser. Sitôt fini, je vis débouler deux garçons, l'un deux étant Jeannot le fils de ma patiente.

Jeannot tu peux aller voir ta mère mais ne l'épuise pas, je me tournai vers l'autre, que veux-tu?
Dame Marie-Hortense veut des médecins pour le spectacle.

Je le remerciai et alla dans une salle de réunion où je trouvais ceux que je voulais voir. Je les envoyai sur le chantier accompagné du petit. Je préparai l'hôpital à une nouvelle nuit d'agitation.

Messages : 1860 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Guernesey la Belle

Le jeune Prince avait lâché plumes et parchemins après avoir discuté longuement avec ses conseillères et puis Lena à propos de cet hôpital qui semblait revivre. Une jeune femme lui avait écrit, lui disant son travail à la bâtisse et son désir de pouvoir s'y investir pour soigner qui en aurait besoin.

L'idée avait bien évidemment séduit Aimelin qui souhaitait que les iliens aient ce qu'il y a de meilleurs sur leurs iles. Il avait commencé à rédiger une réponse et songeait à une annonce lorsque voyant son amie et filleule préoccupée, il lui proposa de venir avec lui à l'Hôpital, rendre visite à Ophélie de La Rosa, comme elle le lui avait suggéré. Et sans attendre de réponse, il avait donné ordres pour qu'on sorte la calèche aux armes de Guernesey, et il avait enlevé la jeune Duchesse, qui ombrelle à la main avait pris place à ses côtés.

Discussions et complicité furent stoppées lorsque la calèche s'arrêta devant le grand bâtiment que l'on apercevait. Un sourire et un regard vers Lena.

hé bien cette bâtisse est toujours aussi impressionnante.

Il aida la jeune femme à descendre la marche de la voiture et fit signe aux deux gardes qui l'avaient accompagné de rester pres des chevaux. Et d'un pas tranquille, ils se dirigèrent vers la grande porte qui permettait d'entrer.

Messages : 3838 Date d'inscription : 14/07/2010

Poussinou tout pas en forme d'avoir fait une bêtise, et qui espérait qu'elle aurait l'occasion de réparer. Mais il avait fait de son mieux pour la rassurer et lui changer les idées, du coup ça allait un petit peu mieux.

Lena avait suivi son parrain en visite à l'hôpital sans en rater une miette : c'est pas tous les jours qu'on prend la calèche du Prince ! Même lui il la prend pas normalement alors hein ! Elle se dit que le cocher il devait être content de servir pour le coup en fait.

Elle avait dit à la dame qu'il était pas méchant le Prince, il suffisait de lui écrire. Il aimait les gens qui voulait s'investir pour les Iles, elle en savait quelque chose. Pour elle aussi, c'était avec une lettre que l'aventure avait commencé, pour se poursuivre encore aujourd'hui avec dix mille choses à faire.

Quand ils arrivèrent devant l'Hôpital, il l'aida à descendre pour pas qu'elle se casse la figure.

Merci !

Elle ouvrit la fameuse ombrelle, en passe de devenir légendaire à force qu'elle la trimbale, à moins qu'on ne finisse par créer un modèle jaune qu'on appellerait la Lena ? Puis elle regarda le bâtiment, et réalisa d'un coup qu'en fait elle y était jamais allée. Elle suivit le Prince jusqu'aux portes, un brin nerveuse d'un coup. Heureusement, elle est jamais malade !

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Le matin je me levais. Vers dix heures, j'appris que des blessés venaient du chantier de mon hortensia. Alors j'ouvris grandes les portes pour les accueillir. Dix hommes avec des blessures en tout genre arrivèrent à l'hôpital. Je donnais mes ordres et j'allais dans la salle d'opération. C'était le cas le plus grave. Il était tombé du deuxième étage et avait fait une belle chute. Il fallait lui ouvrir la poitrine pour retirer et après recoudre. Il était une heure de l'après-midi quand on m'annonça la visite de SAS. Alors je sortis pour me laver. Je me changeais et mis une robe couleur prune. Je descendis voir les divers patients que nous avions, puis alla demander des nouvelles de notre Grand cas. Puis j'allai accueillir un sourire au lèvre mes invités. Je les saluai d'une simple courbette et les fis entrer dans la salle d'entrer.

Bien le bonjour à SA, madame la duchesse. J'imagine que vous venez pour la visite de l'hôpital. Celle-ci sera un peu perturbé puisque nous avons les ouvriers du chantier de la salle de spectacle qui ont eu un petit soucis. Mais ne vous inquiétez pas, tout ira bien.

Je leur souris puis une infirmière vint à moi. Je lui donnai des ordres.

Si vous voulez bien me suivre.

Je les emmenai vers le potager puis leur fis visiter de façon rapide le premier étage puis alla au second où je les fis entrer dans la chambre de ma nouvelle accouchée. Là, une autre infirmière cria depuis le premier:

Dame Ophélie, la salle d'opération vous réclame.

Je descendis alors précipitamment laissant là mes invités puis rentra dans la salle d'opération. Il convulsait et avait besoins des soins les plus attentifs. J'envoyai une infirmière faire la visite pendant que je me battais avec la mort. Puis au bout d'une demi-heure je dus me rendre à l'évidence. Je déclarais sa mort. Je sortis en courant de la salle en pleurs et en proie à la peur. Je m'assis dans le couloir les larmes débordant de mes yeux.

Messages : 1860 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Guernesey la Belle

Une jeune femme vint les accueillir alors que les deux jeunes gens regardaient le personnel s'affairaient autour d'eux.

Une inclinaison de la tête et un sourire.

Bonjour Dame Ophélie. Nous venons surtout vous remercier d'avoir redonner vie à cet Hopital et puis vous dire que vous êtes dorénavant la directrice et gérante de la bâtisse.
J'officialiserai cela par une annonce bien entendu mais je voulais vous répondre le plus rapidement possible.

Un regard vers Lena avant de regarder à nouveau la jeune femme.

Il y a le docteur Delarosa qui lorsqu'il est sur nos iles pourra vous seconder si c'était nécessaire. Je lui avais donné autorisation de pratiquer en cet hopital mais il occupe des charges auprès de l'église et n'a donc point trop de temps sans doute. Mais il pourra néanmoins vous seconder en cas de besoin.
Et puis s'il vous faut quoi que ce soit, que ce soit en louis ou matériaux ou gens, n'hésitez pas à m'écrire ou venir me voir, ou Dame Yolane notre maire où l'une de mes conseillères, afin que nous vous aidions.

Ils firent le tour de l'extérieur puis de la bâtisse avant que le médecin ne soit appelée en urgence. Le Prince en profita pour prendre nouvelle d'une jeune maman, pensant à sa douce qui se reposait avec leurs enfants, puis se tourna vers Lena pendant qu'ils redescendaient vers le hall d'entrée.

Je suis admiratif du travail qui a été fait, il faudra veiller à ce que cet hopital ne manque de rien.
Nous pourrions faire appel à un intendant qui seconderait cette jeune femme et s'occuperait de la décharger de tout ce côté pratique.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Je demandais à ce que l'on avançai la voiture princière alors que je retournais au travail.J'allai en salle de chirurgie m'occuper d'autre patient

[le lendemain]

J'avais dormis quatre petites heures. Je retournais en salle d'opération où se succéder les cas. La sueur au front j'opérais...

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy qui approchait de l'Hopital attendit que la voiture princière démarre,
elle avait entendu parler d'un important accident de chantier,
et trouvant quelques peu les journées longues
elle avait pensé venir proposer son aide pour apporter son soutient
à ces gens blessés et sans doute démoralisés...

Daisy avanca dans l'Hopital, la dame qui était venue accompagner le prince
avait déjà disparut...elle attendit donc patiemment pour ne point déranger

Entendant un gémissement de douleur elle s'approcha du lit non loin d'elle
le bandage taché sur sa tête n'annoncait rien de bon aussi prit elle
un ton rassurant pour lui donner le bonjour ....
Voyant un sourire se dessiner sur ce visage marqué par la souffrance,
elle continua à lui parler doucement et se rendit vite compte
que le malade avait de nouveau une respiration régulière
et qu'il semblait s'être endormi malgré la douleur....

Messages : 3838 Date d'inscription : 14/07/2010

[Pendant la visite princière]

Elle salua Madame Ophélie d'un geste de sa mimine, puis laissa parler le Prince en regardant à droite à gauche, l'air pas du tout rassuré. Il y avait du monde qui courrait partout, ça la rendait nerveuse.

Ils firent le tour de l'hôpital, et Lena s'arrangea pour pas s'éloigner de son parrain. Puis quand ils eurent fini la visite, il lui expliqua comme il était impressionné par tout ce travail.

Oui, je lui avais demandé si elle avait besoin de choses l'autre jour, pour lui fournir. Mais oui un intendant ça serait bien, comme ça elle pourrait se concentrer sur les patients.

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Une opération de terminée. Je laissais le relais à un chirurgien et j'allai voir les autres patients. J'entrais dans une chambre où une dame l'observait. Je contrôlais sa respiration et regardais sa blessure. Tout allait pour le mieux. Je me tournais vers la dame et lui demandai

Si vous voulez entrer vous pouvez? Vous êtes de sa famille? Vous êtes venue pour aider,

Je lui souris pour la rassurer. Je continuais pendant ce temps mon examen et changeais les pansements avec l'aide d'une infirmière.

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy sourit à la Dame tout en admirant sa dextérité et son savoir faire...

Non je ne suis pas de sa famille,j'avoue même ne pas le connaitre du tout

Daisy rougit légèrement puis continua

J'ai entendu parler d'un grave accident sur le chantier,
et ayant du temps de libre, je suis venue pour vous proposer
humblement mon aide si vous en avez besoin...
Comme en attendant j'ai entendu se Monsieur gémir de douleur,
je me suis approchée de lui pour voire si je pouvais l'aider,
en lui parlant gentiement et il s'est endormi semblant rassuré
de ne point être tout seul.....

Daisy assista au changement de pansements et vit la blessure
somme toute très importante sans ciller elle attendit

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Je terminais enfin. Je lançais un rapide coup d'oeil à la femme qui n'avait pas bougé ni pâlit. C'était le plus important. J'avais écouté sa réponse très correcte. Et puis, nous avions un peu de mal avec les opérations qui prenait du monde. Je donnais mes consignes à l'infirmière:

Donnes-lui une once de morphine et vérifier toutes les demi-heures sa blessure. Changes les pansements toutes les heures et laves-le ce soir avant la fin de ton service.
Je repasserais te voir Colombin.

Je me tournais vers la femme. D'un geste de la main je lui fis comprendre qu'elle devais me suivre. Je l’entraînais dans les couloirs. Je la montais dans la salle de maternité, je devais aller voir notre accouchée et son nourrisson pour une dernière visite avant leur sortie. Je parlais pendant ce temps à la dame:

Ainsi vous désirez nous aider. Fort bien, j'accepte. Mais vous serez sous mes ordres et ferais ce que je vous dirais, cela va de soit. Je ne peux vous laissez vous promenez dans l'hôpital et faire n'importe quoi. Je me présente, Ophélie de la Rosa et vous?, j'écoutais sa réponse et reprit: Mais appelez-moi Ophélie et tutoyez-moi. Ici pas de distinction d'ordre ou de rang ou de je ne sais quelle chimère: nous sommes tous égaux de Sa Volonté. Un patient reste un patient. Je tutoie tout le monde sauf les visiteurs qui vienne d'arriver. Et bien entendu SAS lorsqu'elle est venu visitée l'hôpital. C'est une règle assez récente ici mais somme tout bien apprécier.

Nous arrivions devant la nursery. Et j'appliquais immédiatement le ton que je prenais devant tout le personnel et tous les patients:

Nous allons entrer dans la nursery, je vais faire une petite visite au premier nouveau-né de cet hôpital. Je n'aurais pas trop besoins de toi. Mais restes pour observer cela te sera toujours utile.

Nous entrâmes. Le nourrisson était beau et sans défaut. Puis nous allâmes dans la chambre de la mère. Je la fis respirer et lui posais des questions:

Comment te sens-tu?
Bien mieux, mais il m'arrive d'avoir la tête qui tourne.
Très bien, alors je vais te prescrire cette poudre qui soignera tes maux. Tu iras les chercher à la pharmacie.

Nous sortîmes. Je l'entraînais dans les couloirs et lui montra vite fait l'hôpital. Puis, je l'emmenais dans la salle de repos du personnel médicale. Je pris une chope de bière et là bus tranquillement puis je pris quelques gâteau et en proposa avec de l'eau ou une chope:

Je viens de faire une opération de quatre heures et je suis un peu fatiguée. Je te conseille de manger car je devrais sûrement aller en salle d'opération reprendre du service et là tu ne pourras compter que sur ton estomac. Si tu as des questions c'est le moment

Je lui souris et me restaurais avant de repartir. Je m'assis et attendis patiemment qu'elle me posa ou non des questions ou que l'on vienne nous chercher.

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy suivit la Dame , elle marchait vite mais sans courir,
une démarche souple et rapide que Daisy s'efforca de suivre.
Des le second couloir elle avait réussi a régler son pas sur celui
de la Dame et la suivait sans difficulté tout en lui répondant

Je me nomme Daisy, et respecterais vos ordres car je ne veux en rien vous
retarder

Daisy s'arrêta et reprit en se corrigeant

...Je ne veux pas te retarder dans tes taches, et je n'ai pas suivis
de formation d'infirmière, mais le sang ne me fait pas peur....aussi
je ferais tout ce que tu me diras de faire

Elles étaient arrivées devant la porte de la nursery et Daisy se tut
suivant Ophélie en silence.
Daisy ne put s'empecher d'esquisser un sourire devant la beauté du bébé,
et déjà Ophélie s'avancait vers la chambre de la maman Daisy la suivait
écoutant son professionnalisme....Puis la marche rapide reprit à travers les couloirs
jusqu'a une salle ou elles purent s'assoir un instant

J'accepte volontier de l'eau et un gateau alors...

Daisy mangea doucement son gateau sans trop trainé car elle
n'aurait peut etre pas le temps de le finir tout en posant des questions

Qu'elles taches comptez vous me donner?
et faut il avoir une tenue spéciale comme une blouse,
afin que les malades lors des visites ne voient pas de sang
ou autre sur nos vetements?

Elle mangea un nouveau morceau de gateau laissant le temps à Ophélie de lui répondre

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

J'écoutais les questions de Daisy. Je faillis la reprendre quand elle me dit vous. Mais bon il lui fallait juste du temps pour accepter cette règle. Ces questions étaient sensées et montraient une volonté ferme. Elle ferait une bonne infirmière. Je lui répondis alors:

Quant à la tenue, c'est juste pour éviter de tâcher des habits et tu pourras changer régulièrement de tablier. Mais ne t'inquiète pas.Je t'en prêterais une.Si tu comptes venir nous aider souvent, alors il t'en faudra une attitré ainsi que suivre une courte formation. Quant au travail que tu feras, je pense te montrer comment changer les pansements et assister uin chirurgien.

Je terminais alors ma chope et mon gâteau. Je la laissais terminer tranquillement et continuai de lui parler.

Pour la formation dont je t'ai parlé, c'est habituellement Marie-Hortense Cruz qui s'en occupe. Elle réside au 7 quartier de la Foy. Je t'avouerais qu'il serait soulageant de savoir que tu aies déjà reçu cette formation qui m'éviterais de devoir surveiller tes moindres faits et gestes. Et pour toi aussi, car ainsi tu pourrais venir et je ne ferais que te confier des cas.

Dès qu'elle eut finis,je l'emmenais au troisième étage.Nous entrâmes dans les vestiaire. Je sortis d'un placard une robe blanche avec un tablier. Je lui indiquais un paravent.Elle alla se changer. Je la fis s'assoir et lui attachai les cheveux. Pendant ce temps,je continuais de parler de l'hôpital.

Ici, tout le personnel vit dans l'hôpital. Comme ça, il y a toujours quelqu'un prêt à intervenir. Et puis, cela permet de renforcer nos liens. En général,je ne dors pas beaucoup car je dois m'occuper aussi du côté administratif et des commandes qui sont assez barbante. Mais bon, une infirmière m'a dit que SAS avait dit qu'elle me fournirai quelqu'un ce serait vraiment bien.

Elle était prête, je redescendis avec elle. Je ne ralentissais pas mon allure caril me fallaittoujours me tenir prête à traverser l'hôpital pourun patient. Nous allâmes dans la chambre d'un des ouvriers. Je me retournervers Daisy:

Daisy, nous allons entrer dans la chambre de Joseph. Il vient de se faire opérer des côtes et de la jambe droite.

Nous entrâmes. Je parlais d'une voix douce et lente pour ne pas pertuber le patient.

Bonjour Joseph. Comment te sens-tu ?
J'ai la tête qui tourne.
C'est parce que tu viens de te faire opérer. Laisse-moi te présenter une amie qui va m'aider à te soigner. Joseph voici Daisy. Elle va apprendre à changer tes pansements.

Il lui sourit pauvrement. Daisy vint. Je lui montrais à geste lent comment ôter un pansement du torse sans faire souffrir. Puis,nous vîmes une plaie suintante. J'en profitais pourdonner une leçon à Daisy tout en gardant un ton doux et lent pour le patient encore dans les vappes:

Vois-tu ce liquide blanc-jaune. C'est du pus. Il nous faut l'ôter pour empêcher l'infection. Derrière-toi se trouve une bassine avec de l'eau et un linge, c'est sur la table. Prends le linge et mouille-le, je lui laissais le temps de faire les mouvement pendant que lui donnais des ordres, voilà.Presse le linge,il y a un peu trop d'au,il doit être humide. Ainsi, c'est cela. Maintenant tu vas ôter le pus. Pour cela, il va te falloir du doigté car il faut appuyer pour l'ôter mais pas de trop.

Elle eut quelques difficultés. J'allais derrière elle et lui prit la main pour lui indiquer le geste. Puis je retournais de l'autre côté du lit. Elle termina.

Remets le linge dans la bassine. Maintenant, il y a une armoire derrière toi. Ouvre-là. Il ya des pansements sur la deuxième étagère. Voilà c'est cela,prends-les. Voilà! Parfait. Maintenant je vais te montrer comment les mettre.

Je me mis à faire les gestes connus par coeur lentement et sans m'agiter.

C'est ainsi, tu as compris.Maintenant, fais celui de la jambe.

Je la laissais agir sans un mot. Elle avait de la chance que cette plaie ne suinte pas. Elle n'avait qu'à changer. J'attendais la fin de ces gestes pour lui apprendre encore autre chose.

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy termina son gâteau et son verre tout en répondant

Marie Hortense au 7 quartier de la Foy, c'est retenu
j'irai la voire pour recevoir la formation

Daisy suivit Ophélie au troisième étage réglant maintenant
son pas sur le sien sans aucun soucis et après s'étre glissée derrière le paravent
se changea en un temps record, elle ne voulait pas la retarder.

Les cheveux attachés elle tout en souriant à Joseph, elle s'efforca
de bien suivre les consignes, elle essaya de ne point trop appuyer sur la plaie
mais un peu tout de même pour arriver à détacher le pus qui s'accrochait à la plaie.
Daisy fut soulagée d'être aidée car elle avait peur de mal nettoyer la plaie,
elle regarda Ophélie faire le pansement.

Daisy un peu impressionnée mais en même temps très rassurée de la présence
d'Ophélie commenca à défaire doucement le pansement

La plaie est propre, et ne suinte pas

Daisy prit un nouveau linge qu'elle trempa dans la seconde bassine d'eau
et après l'avoir fortement essoré le montra à Ophélie

Il ne faut pas trop mouiller la plaie, l'ai je assez essoré?

Elle nettoya doucement la plaie en faisant attention de ne pas faire mal à Joseph,
puis prit un pansement, qu'elle posa sur la plaie san strop appuyer,
elle regarda Ophélie cherchant une approbation dans son regard,
puis entreprit de positionner le bandage qui retiendrait le pansement sur la plaie

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Je restais le plus neutre possible portant une attention infinie aux gestes de Daisy. La pauvre cherchait mon approbation. Je la laissais terminer sans un mot.

Joseph, Daisy a-t-elle bien fait ton pansements?
Oui, c'est une bonne petite.

Je souris alors à Daisy. Je lui indiquais alors dans l'armoire, la quatrième étagère.

Passes moi la fiole verte.

Je pris alors le verre sur la table de chevet, j'en versa une petite quantité et le donnai au patient. Puis, je rendis la fiole à Daisy qui referma l'armoire. Puis je l’entraînais dans les couloirs:

Tu as réussi, je te félicite. Ces types de plaie sont dites plaie moyenne car elles ne nécessitent pas une longue intervention chirurgical. Donc si je te dis que nous allons soigner quelqu'un à la plaie moyenne, il te faudra suivre un protocole.

Je dus m'interrompre car une infirmière vint me dire que nous avions besoins de moi dans une chambre à plaie grave. J'accélérais mon pas et entrais calmement. Le patient paniquait car sa plaie s'était réouverte au niveau du bras. Alors, je donnais mes ordres:

Daisy, dans l'armoire il y a une fiole violette. Passe-la moi.

Je pris alors un verre d'eau et injectai quelques gouttes du produit. Puis je le donnai à boire au patient. Celui-ci s'endormit aussitôt.

Daisy, le linge vite. Serre le bras plus haut. Madeleine, le bistouri long, j'ouvris la plaie nettement, voilà merci. Aiguille et fil...Parfait! Daisy la fiole blanche. Merci...Et bien voilà.
Daisy nettoie et remet un pansement.

Je me retournais vers Madeleine et lui secouai les puces tout en surveillant discrètement Daisy:

Combien de fois devrais-je répéter les consignes? Et les protocoles! Un patient panique cela veut dire qu'il faut donner 3 gouttes de fiole violette! Non de non! Je croyais que tu savais compter et réagir mais même un idiot de village à plus de réflexion que toi! Ne pleure pas! A quoi cela sert. Et si j'avais été en salle d'opération! Tu aurais fait quoi! Ophélié, elle est où? Je ne peux rien faire sans elle! Va au jardin occupes-toi des plantes et du potage. Tu es suspendues pendant une semaine. C'est clair! Une semaine!

Je la laissais partir en pleurant. Je me calmais instantanément et me retournais vers Daisy:

C'est bien. Viens nous allons en salle d'opération n°2.

Nous y allâmes. Je m'expliquais alors sur mon comportement qui pouvais paraître excessif:

Je me dois d'être sévère. Certes, la familiarité à ses avantages autant elle a ses inconvénients. Elle m'oblige à me montrer strict et difficile sur certains points de la réglementation. Tu apprendras avec Marie-Hortense des protocoles a appliqué. Ceux-ci sont créés pour éviter que l'on me dérange ou que l'on dérange un médecin. Mais tu verras tout cela avec Marie-Hortense. Nous voilà dans la deuxième salle d'opération. Nous avons un quart d'heure avant la prochaine opération. Ah merci Juliette, elle était rentrée avec deux bouts de pain et deux verres d'eau, j'en pris un et laissais Daisy se servir, ainsi nous aurons le ventre plein. Voilà, je vais te montrer les appareils que l'on peut de demander de passer:
Tout d'abord les bistouris. Voici le bistouri long, le faucille nommé facette, voici le petit, le droit et le courbe.
Ici nous avons les trois types de lancettes que l'on nomme ici courte, moyenne, longue.
Ici les fils en cuivre, en fer, en laine et en soie.
Et enfin ce petit tube en intestin de porc ainsi que les ciseaux et la scie.
Voilà, je crois que c'est tout. On va faire un test très simple. Tu vas te mettre à ma place et tu vas me dire qu'elles sont tous ces outils. Je t'écoute ensuite je t'expliquerais le cas et nous nous habillerons dans la salle à coté avant de nous mettre à l'opération.

Je lui souris en signe d'encouragement et je me mis à l'écouter sans ciller.

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy sourit à Joseph et à Ophélie, puis alla chercher la fiole verte sur l'étagère...

A peine arrivée dans le couloir Ophélie la félicita, ce qui la rassura un peu,
elle le suivait maintenant facilement s'étant habituée à la rapidité du pas...

Merci j'ai essayé de reproduire tes mouvements au plus juste

Daisy s'interrompit pour laisser parler l'infirmière, et les suivit dans la chambre
Elle ouvrit rapidement la porte de l'armoire pour attrapper la fiole violette,
qu'elle apporta a Ophélie.

Daisy tendit aussi le linge et était impressionnée par le calme et la rapidité
des mouvements précis du bistouri, mais à peine finit Ophélie montra sa colère
envers l'infirmière, et Daisy sans mot dire alla chercher une bassine d'eau et un linge,
trempa le linge et l'essora fortement...

Daisy commenca pas nettoyer le pourtour de la plaie pour enlever toute
trace de sang de la peau du malade, puis tamponna doucement la plaie
en faisant bien attention a ne pas se prendre dans les fils...

Elle mit ensuite un pansement sur la plaie puis souleva très légèrement
le bras pour passer la bande qui allait fixer le pansement.
Ophélie ayant validé son pansement, elle la suivit vers la salle d'opération

Je comprends fort bien que les protocoles doivent être respéctés,
et que tu ne peux être partout

Daisy termina le petit pain qu'elle avait accepté avec joie en écoutant
très attentives la présentation du matériel

Alors....

Daisy hésita une fraction de seconde et se lanca en s'approchant
et montrant de la main les bistouris

Voici le bistouri long, le faucette

Daisy trouva que le nom sonnait mal mais continua après avoir froncé légèrement les sourcils

ici le petit, le droit et le courbe
Puis il y a les trois types de lancettes la courte, la moyenne et la longue
Ici les fils ... cuivre.... fer....laine et soie

Daisy montra alors un tube

ici un tube en peau de porc euh non...intestin de porc
et ici les ciseaux et la scie

Daisy releva les yeux vers Ophélie attendant sa réaction

Messages : 56 Date d'inscription : 09/05/2012

Je l'écoutais et lui souriais.

Oui c'est bon. Tu as tout juste.

Je l'emmenais dans la salle attenante et je lui tendis une blouse propre, des gants, des pinces pours les cheveux pourqu'elle s'habilla. J'allais chercher ma tenue dans un autre placard puis je m'habillais en même temps qu'elle. Pendant ce temps je lui parlais de notre cas:

Cette opération n'était pas prévue.C'est un jeune homme d'une vingtaine d'années prénomé Pierrot. Il avait une blessure au niveau de la jambe que nous avions traité. Mais suite à certains mauvais soins, nous allons devoir l'opérer pour enlever le pus et une partie de l'os rongé. Cette opération n'a rien, en théorie, de risquer mais il y a un risque de convulsions. Hélàs à ce moment là, tu n'as pas le choix. Tu suivras la consigne qui est de s'éloigner du patient. Je ne peux rien faire et seul le Tout-Puissant peut venir en son aide. J'espère néanmois que cela n'arrivera pas.
Un autre point,l'opération peut prendre aussi bien une heure que notre soirée. J'espère alors que tu ne souffriras pas trop d'une nuit blanche. J'avoue ne plus trop les compter à présent.
Dans la salle d'opération il n'y aura pas grand monde car les autres sont pris soit en SO1- Salle d'opération n°1- soit avec les autres patients. Donc, outre nous deux, il y aura le docteur Jérôme et l'infirmière Claude. Ils te parlerons comme je te parle.
Ah oui! J'allais oublier si tu sens une odeur c'est dû à une boisson forte que l'on fait prendre au patient avent opération. C'est une sorte de mélange de vin et de morphine plus quelques autres ingrédients. Ce qui donne cette odeur de vinaigre très fort.

Nous retournâmes en SO2. Jérôme et Claude arrivèrent avec le patient conscient. Nous l'allongeâmes et Claude lui donna la boisson. Nous attendîmes qu'il s'endorme et j'en profitai pourprésenter Daisy.Enfin l'opération débuta. Je donnais mes ordres sans nommer les personnes mais je savais que Daisy et Claude se relayer. A un moment j'eu bsoins deplus de lumière et on m'apporta une bougie. En voyant la plaie sur une lueur nouvelle, je regardais Jérôme qui acquiéça.

Daisy, scie.

Je tendais la jambe pendant que Jérôme la découpé au niveau du genou. Puis nous nettoyâmes la plaie mais nous dûmes nous éloigner: le patient convulsé. Tiraillé entre ela mort et la vie, je n'aime guèerece moment où nous ne pouvons rien faire. Puis le patient cessa ses convulsions. J'allais prendreson pouls.

Il vit.

Alors nous terminâmes l'opération. Jérôme emmena alors le patient dans un brancart asssisté d'autre personne et Claude alla vaqué à ses occupations. J'emmenais Daisy remmettre nos tenues d'aides soignantes. Je l'emmenais dans les couloirs mais j'entendis alors l'église sonnait les dix heures du soir. L'opération avait duré quatre heures d'affilés dont trois heures de convulsions. Sans m'en rendre compte, j'avais traîné de salle en salle et enseigner depuis midi. Cela faisait 10 heures! Que le temps passaitvite! Je me tournais vers elle:

Tu dois avoir une famille qui t'attend, n'est-ce pas? Si tel est le cas, je ne te retiendrais pas et même je te conseille de partirsi tu sens la fatigue te gagner. Ce soir à part les rondes de nuit que je ne fais pas et un dernier contrôle chez les patients, nous ne faisons rien. Alors fait comme bon te plaît

Je lui souris et attendis sa réponse.

Messages : 1112 Date d'inscription : 30/09/2011

Daisy sourit heureuse d'avoir bien mémorisé, et suivit Ophélie
dans la pièce voisine, tout en l'écoutant lui exposer le cas du patient,
elle se dévétit de sa blouse pour se revêtir aussitôt,
tout en écoutant les conseils à suivre...

Dès qu'ils entrèrent avec le patient Jérôme et Claude lui
adressèrent un sourire ce qui la rassura un peu....
Le patient s'endormit très vite et Daisy relayait Claude
au fur et à mesure qu'Ophélie demandais un instrument ou des tissus.

En voyant le regard échangé entre les deux medecins,
Daisy compris vite qu'ils allaient emputer, elle espérait
qu'elle allait pouvoir supporter cela tout en tendant
à Ophélie la scie qu'elle venait de réclamer

Le malade Pierrot se mit à avoir le corps qui se tordait
en tous sens, Daisy hésita puis pensa que c'était cela les convulsions,
aussi se recula t elle de suite...
Voyant les autres en faire de même elle comprit que c'était bien cela...

Un sourire et des soupirs de soulagements quand Ophélie
annonca qu'il vivait et chacun reparti vers ses taches
dès le pansement en place....

Après avoir enlevé les blouses Daisy sentit
des fourmillements dans le haut de son dos la fatigue la gagnait
aussi répondit elle à Ophélie

Je vais effectivement rentrer car j'ai un époux
qui m'attends peut être... son métier de vigneron le retient
souvent tard le soir et de plus en plus en cette saison,
mais je me sens gagnée par la fatigue

Daisy sourit à Ophélie

Mais je reviendrais demain si tu le souhaite,
et il me faut aussi passer voire Dame Marie Hortense Cruz
pour cette formation dont tu m'as parlé...

» [RP lieu] Hôpital Public Guernessiais
» [RP] Hôpital - "L'Hôtel-Dieu de la Madeleine du Lieu-de-Santé"