(rp)crêperie , salon de thé et papotages ^^

Ouf un peu de répit Angy regardait les deux se courir après allez savoir qui voulait l 'autre ,ben si on le devine ,notre Augustine voulait des bisous et plus encore déjà il faut qu 'elle l 'attrape le bel italien quelle honte il appelle sa mamma !

Mercedes regardait en douce son amie et sourit une idée en tête ,elle se leva ,remit ses mèches collantes en place ,tellement collantes qu 'elles tenaient seules pffffff .

Tu veux savoir ma douce si c 'était bon attends je vais te montrer tiens

Et elle attrapa Angy la renversa un peu et lui donna le baiser du siècle et hop a force de vouloir la tenir penchée (bon imaginez la scène aussi hein !) elles se retrouvèrent à terre juste aux pieds des deux zigotos qui firent stop net en les regardant

et Augustine ''

Dis mon tout beau ça te dirait de faire pareil ?ça me donne des idées allez dans mes bras

La blonde et la rousse se regardaient en pouffant de rire ,quoi que la rousse tombait amoureuse c 'était sûr ,à vouloir jouer

Non mais vous l’entendez ce pauvre bougre crier en appelant sa mère ? Même pas foutu de l’dire en français, qu’il gueule comme une poule qui sait qu’on va lui tordre le cou !

J’vais pas t’tuer, tu peux m’accorder un baiser ! .

J’dis tell’ment d’bêtises que j’sais plus trop quand que j’les dis, si ça s’remarque !  

Dis mon tout beau ça te dirait de faire pareil ?ça me donne des idées allez dans mes bras

Heuuu en y réfléchissant bien… La blonde à embrassé la rousse ? Par les saints couillons roses du pape ! Mais c’est pas normal tout ça !

Heyyyy toi la rousse ! Si Pascal te voit, c’est plus là haut qu’t’auras ta place, mais au bordel d’en bas, à cuire dans les chaudrons d’l’enfer ! Allez allez, j’m’en vais écrire à ta sœur moi, on va t’renfermer au couvent pour quelques temps, t’auras pas fini d’goûter la bouffe de la curaille ! Non MAIS OHHH Z’AVEZ PAS HONTE !!!

Et tout de go, me v’là qui chope Angelynn, comme quand elle était môme, par le col de son dos d’robe, et que j’la tire jusqu’en haut en lui faisant monter les escaliers sur son auguste fessier contrarier, tout en lui récitant des prières pour lui faire sortir le malin du corps !

C’est sûr t’es possédée, j'espère que t'y as pas mit la langue, et pis va falloir qu’on cause avec l’intendante, son mari va pas êt’content d’savoir qu’elle aussi, elle a viré d’la caf’tière ! ALLEZ DONC PRIER A L’EGLISE, ET UN SEAU D’EAU FROIDE POUR TOUTES LES DEUX ! QUANT A AUGUSTO, T’INQUIETE PAS, JE REVIENDRAIS !

Lui j’vais l’choper dans sa chambre, quand il est en caleçon ! héhéhé Et pour Angie, j’sens que j’vais écrire à sa tante, est va rappliquer, ça va vite lui mett’ les idées en place ! Pfffff cochonnes va !

Oula dur réveil Mercedes se retrouva dans son lit débarbouillée dévêtue ,enfin le peu qu 'il lui restait ,elle avait la bouche pâteuse mais le pourquoi là c 'était vague et qui l 'a mise au lit AUGUSTOOOOOOO si c 'est lui il va m 'entendre le gredin .

Elle se leva avec un mal aux cheveux le regard pas très clair mais aucun souvenir peut -être après une bonne dose de café

Vite habillée ,elle voulut descendre mais entendit du bruit à côté ,y a une personne dans l 'autre chambre ? Elle ouvrit doucement et vit Angelynn ,des brides de leur bagarre lui revinrent et ohhhhhhhh Mercé t 'as pas osé pourvu que personne n 'est vu ça y est je me rappelle Augustine qui criait comme un putois après elles et Augusto essayant de lui échapper OLALALAAAAAAAAAAA

Elle alla s 'asseoir sur le lit de la rousse et la secoua 'un peu ' Angy réveille toi si mon frangin arrive ,il va piquer un piquer un fou rire et on va en entendre parler encore des années car il va questionner nos deux ''amoureux '' en bas    

Tu crois qu 'on va les marier ses deux là et il faut dire a Augustine que j 'ai rompu mon mariage le reste je t 'expliquerais devant un café

Les donzelles parties faire un tour Augusto en profita pour tout nettoyer avec Augustine après tout elle était pas si vilaine quand elle arrêtait de balader ses mains sur lui .

Une fois le nettoyage fini ,il la remercia en lui offrant un verre bien mérité et sur le compte de la patronne ,il savait qu 'il devait ensuite renouveler un peu la cave et des denrées pour la cuisine en prévision d 'une fête que la comtesse voulait donner ben oui c 'est pas elle qui faisait la vaisselle hein !!

Mandrin se promenait très régulièrement dans la ville de Rouen. Ces échoppes, ces odeurs, sa foire sur les hauteurs près du Robec, une petite rivière qui descend lentement se jeter dans la Seine.
Il se sentait seul et déambulait comme il faisait à chaque fois qu'il venait vendre son vin, son vinaigre et ses plats sur la foire. Une affaire qui fonctionnait bien d'ailleurs !
Il passait devant une échoppe dont les effluves ne pouvaient qu'exciter l'odorat.
Il entra ... s'installa à une table qui donnait sur la rue ...

S'il vous plait ... il y a quelqu'un ?

Revenue voir si Augusto avait bien tout rangé Mercedes était passé par la cuisine et contente car tout était propre ,elle fit de la pâte à crêpe une petite faim quand elle entendit une voix demandant s 'il y avait quelqu 'un

Oui j 'arrive ,bonjour Monsieur et bienvenue ,je vous en prie asseyez vous j 'allais manger une crêpe et boire un cidre si vous voulez je veux bien partagé avec plaisir .

Elle lui indiqua une table près de la fenêtre et lui sourit

Partager une crêpe et une bolée de cidre ... voilà une belle idée... et avec vous ...

Je me présente, je suis Mandrin, vigneron de métier. Je viens régulièrement sur Rouen vendre mes plats et bouteilles sur la Foire. Je suis passé devant votre crêperie et je n'ai pas pu résister à l'odeur.

Il regardait Mercedes avec un sourire. L'odeur, forte agréable, ajoutée à la vision de cette femme  ... il est certain qu'il reviendra plus souvent manger des crêpes à Rouen !

Bien il aimait les crêpes ,alors elle en apporta une bonne assiette ,de la confiture ,sucre et des pommes un peu mijotées dans le calva pour les flambées ensuite , un pichet de cidre qu 'elle posa sur la table et prit place avec Monsieur Mandrin

Enchantée ,je suis Mercedes Falconne ,bienvenue a Rouen et merci d 'aider la ville c est fort gentil à vous je saurais me souvenir des bons habitants aidants qui de plus ,alors buvons et mangeons cette crêpe et ensuite ce sera une flambée j espère que vous allez aimé car ce sera à vous de la faire sauter ,c est ma manière de dire bienvenue .

Elle le regarda en évitant de rire ,puis croqua dans sa crêpe

A l'invitation de Mercedes, Mandrin leva son verre. Il regardait la table pleine de choses meilleures les unes, les autres.

Je ne pensais pas être accueilli ainsi en entrant dans votre crêperie. Pour ce qui est du flambage, j'ai peur d'être un piètre cuisinier. c'est ma pauvre mère qui fait le plus souvent à manger à la maison. A la mort de mon père, c'est moi qui a repris les vignes de la maison. Alors je travaille la terre et elle tient la maison.

Tout en expliquant sa vie en quelques phrases, il se servait de la confiture. Il  n'en avait jamais manger de si bonne ! Il regardait Mercedes avec attention. Son visage ne lui semblait pas inconnu, son nom de même mais comment pouvait-il la connaître ?

Excusez-moi mais il me semble vous connaître mais je ne sais pas comment nous nous serions connu ! et même votre nom ! Mercedes Falconne ! Vous n'auriez pas vendu des choux sur la foire de Rouen par hasard ?

Mandrin la regardait tout en dégustant la confiture maison ,il racontait un peu sa vie et il parla de choux ,elle faillit avaler de travers
oui elle aimait les choux mais avec de la crème dedans ,en riant elle lui répondit

Non je n 'ai jamais vendu de choux sur la place de Rouen j 'ai fait bien des choses mais celle ci non ,devrais je y penser ? Ce serait amusant ,mon nom est connu je fus maire longtemps de cette ville ,ensuite gouverneur de la région on a faillit me pendre à cause de médisances vous voyez comme je suis connue ,et depuis peu j 'ai la chance de travailler auprès de notre régent vous même ressembler à une personne parti sans rien dire mais on a tous un double qui sait ^^

Mercedes lui redonna un verre et se retint de rire en pensant à la vente de choux

Dîtes moi ,avez vous une demeure ? Sinon je loue des chambres en attendant ,elles sont agréables tout est compris même le petit dejeuner .

Les crêpes à la confiture faisaient fondre Mandrin autant que la beauté de la tenancière. Comment une femme qui a autant de responsabilité peut trouver le temps de faire des crêpes ?
Il n'avait pas pensé rester si tard sur la ville... Bardouville avait bon être en aval de Rouen dans un lacet de la Seine, il devait effectuer facilement 2h de marche. En acceptant le verre proposé, il comprit qu'en effet pendre logis pour ce soir dans cette auberge serait une bonne idée.

Votre offre de me louer une chambre pour cette nuit me convient. Combien les louez-vous ? Elle avait beau être charmante, il ne devait pas non plus débourser plus que la vente du jour. Il prit son verre et espérait bien avoir un bon prix pour cette nuit.

Il mangeait avec appétit ce qui était plaisant à voir et quand il parla il avait encore de la confiture sur les lèvres elle sourit .

Oui j 'ai une chambre avec salle d 'eau au premier étage numéro 11 je vais vous donner la clé ,les draps sont propres il y a du linge de toilettes et un grand sceau d 'eau ,et aussi quelques fruits secs et tout ce qu 'il faut pour écrire .

Désirez vous une infusion ou un café ? et pour la chambre ne vous en faîtes pas je vous l 'offre ,je le sais aux gens en attendant qu 'ils puissent avoir une demeure .

Mercedes avait quelques bûches à rentrer en échange mais ne voulait pas faire fuir ses clients ^^

Humm ... une chambre gratuite ? qu'est-ce que cela pouvait bien cacher ? Bref, Mandrin, trop fatigué pour réjoindre son Hôtel particulier à Bardouville décida d'accepter l'offre ...

Parfait ... j'acgepte l'offrrree ... un morceau de crêpe dans la bouche lui avait fait déraper la langue. Il avala ... oui, oui, parfait ... et un café ? ... pourquoi pas ?

J'envisageais de mettre ma diligence au service des villes de Normandie en transportant des denrées qu'elles pourraient avoir besoin. Croyez-vous que cela pourrait les intéresser ? J'ai une diligence qui ne me sert pas ... alors ... je me disais ...

Mandrin continuait à manger sa crêpes tout en dévorant des yeux la conseillère du régent. il sourit. Sa petite voix intérieure lui disait ... Calme toi ... ce n'est pas pour toi ... tu es célibataire et tu y resteras longtemps ...

Ne sachant plus à quels pots Mandrin devaient goûter, il avait pris le parti de faire honneur à chacun d'eux. L'atmosphère de cette auberge était forte agréable. Un homme entra dans l'auberge, il lui adressa un "bonjour Monsieur" Mandrin lui rendit sa politesse Bonjour M'sieur ... Arff, ces sacrées crêpes, elles lui avaient encore joué un tour.
L'homme s'empressa de retrouver la maîtresse des lieux. Le bougre, en voilà un qui à de la chance !

Il avait faim et soif et c 'est avec joie qu 'elle le regardait manger ,elle fit deux cafés et apporta un calva pour lui quand la porte

s 'ouvrit de nouveau un large sourire aux lèvres en apercevant Jérémy et elle répondit à son baiser .

Bonjour mon coeur tu as bien étudié dis moi ? et je présente Monsieur Mandrin qui va loger quelques temps ici il habite trop loin et il se fait tard .Puis s 'adressant à lui C'est gentil à vous de vouloir aider la ville je vais en parler au maire si des fois il avait besoin et je vous paierais moi même pour tout service ,tu vois mon coeur il y a des gens qui aiment notre Normandie .

Mercé prit une autre tasse et servit du café Tu en veux mon coeur je sais que tu aimes ?

Elle le regardait avec amour

Mercédes sourit à son entrée puis répondit à son baiser, baiser qu'il prolongea.

Citation :

Bonjour mon coeur tu as bien étudié dis moi ? et je présente Monsieur Mandrin qui va loger quelques temps ici il habite trop loin et il se fait tard .Puis s 'adressant à lui C'est gentil à vous de vouloir aider la ville je vais en parler au maire si des fois il avait besoin et je vous paierais moi même pour tout service ,tu vois mon coeur il y a des gens qui aiment notre Normandie .

Oui et j'en viens doucement à bout, je t'avoue que ça me semble bien long, j'ai hâte de terminer !

Il se tourna vers l'homme que Mercédes venait de présenter.

Jérémy de Villefort, enchanté Monsieur ! Vous avez raison, les chambres sont confortables et accueillantes !

Puis il se tourna de nouveau vers sa douce compagne.

Je vois ça mon ange, c'est toujours agréable à voir !

Puis il lui sourit lorsqu'elle lui proposa du café, posant sur lui son regard si doux.

Avec plaisir mon ange

Enchanté Monsieur ... Comme vous l'a dit votre Dame, je suis Mandrin, vigneron à Bardouville, une bourgade pas très loin de l'Abbaye de Jumiège en aval de Rouen. Après avoir dégusté les crêpes ... J'ai hâte de goûter au calva j'ai pensé qu'à une heure si tardive, je reviendrai trop tard à mon hôtel particulier ...

IL prit une gorgée de café et continua à manger ses crêpes ... il semblait se régaler...

Les présentations faites ,le café chaud servi et le calva aussi ,notre invité adorait les crêpes cela lui faisait plaisir

Vous verrez c 'est calme ici vous allez dormir comme un bébé ,quoi que demain matin votre réveil se fera sûrement par le chant du coq de la maison voisine ou alors je peux lui donner un calva ,il dormira plus longtemps ,on peut essayer ?

Mercedes souriait en voyant les visages des deux hommes ,et semblant de rien tenant la main de son amour en lui faisant un clin
d 'oeil .

Enchanté Monsieur ... Comme vous l'a dit votre Dame, je suis Mandrin, vigneron à Bardouville, une bourgade pas très loin de l'Abbaye de Jumiège en aval de Rouen. Après avoir dégusté les crêpes ... j'ai pensé qu'à une heure si tardive, je reviendrai trop tard à mon hôtel particulier ...

Vous avez raison, cela peut attendre......en plus les crêpes ici sont bien meilleures !

Il sourit amusé le voyant reprendre des crêpes, puis il se tourna de nouveau vers sa douce Mercédes.

Donner un calva au coq ? Jérémy sourit un instant en y songeant ... Cela pourrait être assez drôle tiens, il faudrait essayer !

Mercédes lui tenait la main et Jérémy lui caressa de son pouce.

Il ne faisait aucun doute que ces deux là s'aimaient. Mandrin ne souhaitait pas déranger ce bel amour. Il versa dans son café l'équivalent d'un dé à coudre de calva.
Il sourit en s'imaginant le coq essayant de se dresser sur ces pattes en voulant honorer la montée du soleil dans les cieux.
Après avoir avaler son café calva, il se leva

Madame, excusez moi de vous déranger, permettez-moi de vous demander de me mener à ma chambre pour la nuit. Il commence à se faire tard.