[rp ]chez Alazaïs

Alazaïs écoutait attentivement son hôte lui parlait des grands moments de sa vie tout en sirotant sa coupe. Elle était admirative de la vie bien remplie que lui contait la jolie Mercedes :

-oh quelle riche vie vous avez là ! alors que vous êtes encore si jeune. Je vous admire de poursuivre sans relâches vos implications dans le royaume de Normandie voire même de France. C'est tout à votre honneur. Ma petite vie me semble bien faible à côté de la votre mais j'espère aspirer à une vie s'y rapprochant un tant soit peu  sait-on jamais. Après tout je peux déjà me targuer d'être l'invitée d'une des personnes les plus influentes du duché ce n'est pas rien ! Alazaïs rit et fit un clin d'oeil à Mercedes.
Je serais ravie en tout cas de lever également ma coupe à notre amitié naissante. Alazaïs joint son geste à la parole et but une nouvelle gorgée sentant avec délice les effluves de l'alcool lui montait doucement à la tête.

-Je dois vous faire une confidence avant d'arriver en Normandie l'on m'avait déjà parler de vous. J'ai été attaqué au cours de mon voyage mais par chance un seigneur passait par la et m'a sauvé la vie. Je lui en serai d'ailleurs gré à vie. Nous avons suite à cela échangé quelques paroles et lui faisant part de mon désir de découvrir le duché, n'ayant encore jamais quitté le domaine de mes parents, il m'a recommandé certains noms qu'ils connaissaient et que je serait susceptible de rencontrer, dont le votre. Un certain Doe. Mais peut-être vous ne vous en souvenez plus c'était il y a un fort long moment je crois.

Alazaïs se tut alors se disant que l'alcool la rendait plus bavarde qu'une pie et qu'elle allait finir par ennuyer sa charmante hôte.

Les deux filles discutaient riaient Mercedes s 'était allée aux confidences , ce qui était rare chez elle elle regardait Alizaïs devenir

rose bonbon avec la boisson ,si son cocher était là il serait rouge cramoisi lui en voyant une jeune fille aussi fraîche , et ce fut son tour de se raconter Mercedes ouvrit des grands yeux quand elle entendit le mot attaquée et la suite fut plus jolie , un prince ""qui vient a son secours et on lui a parlé de mot ohhhhhhhh suis je connue par dessus les frontières   et elle prononça un nom ,des souvenirs gardés dans son coeur ,ses yeux se brouillent tout à coup ,ce nom .

DOE , vous avez dit Doe ,ne pas se souvenir de mon très cher ami ,mon confident , mon ami de coeur Doe ,si vous saviez combien il me manque , nos soirées a rire , aux batailles de neige , buvons un autre verre pour lui pour toi ou que tu sois mon Doe ,jamais je ne pourrais t 'oublier Mercedes leva son verre et essaya de ne pas montrer sa tristesse il n 'aurait pas aimé

Alazaïs si vous avez besoin de quoi que ce soit ,demandez le moi , les amis de mon ami sont les miens et parler de lui me fera du bien Elle sourit et trinqua ,le feu commençait à s 'éteindre ,un peu froid ou bien aux souvenirs de son cher ami
trop tôt disparu

Alazaïs fut surprise de la réaction de Mercedes à l’annonce du nom de son sauveur ne s’attendant pas à créer une telle émotion chez elle.

-Je suis confuse d’avoir soulevé chez vous de la tristesse mademoiselle j’ignorais que mes paroles pourraient avoir une telle portée.

Mercedes leva alors son verre en souvenir de son ami et communiqua à Alazaïs de rassurantes paroles.

-Ah je suis rassurée de voir que vous ne m’êtes point gré du trouble que je viens de vous causer. Et merci pour votre offre je n’ai besoin que d’agréables compagnies et je vous promets que vous y parvenait très bien. Alazaïs sourit.
Si vous désirez parlait de Doe eh bien je n’ai malheureusement pas eu beaucoup d’échanges sur la durée avec lui car nos chemins ont du se croiser. Mais je peux vous assurer qu’il allait bien à ce moment là et je prie le ciel pour qu’il continue d’en être ainsi. Il m’a dit qu'après avoir œuvré au sein de la capitale, dans l'armée et pour notre roi, il s’en retournait vers ces terres natales en Italie revoir les siens. Egoïstement je m’étais prise à rêver qu’il allait également en Normandie et qu’il pourrait continuer de me protéger comme il l’avait fait, comme un grand frère que je n’ai jamais eu.  Mais ce n’était pas le cas hélas. Cela m’avait l’air d’être quelqu’un de tellement bien, j’avais peine à le quitter.

Mais je crois qu’il m’a bien apprécié, enfin j’ose le croire, Alazaïs rosit encore un peu plus si cela est possible, car avant que l’on ne se quitte il m’a offert ce bracelet. Alazaïs retroussa la manche de sa robe et montra la gourmette ornée d’un sceau qu'elle portait à son fin poignet. Il m’a dit qu’il appartenait à sa mère, et que celle-ci le lui avait donné sur son lit de mort alors qu’elle venait de mettre au monde son jeune frère. Agé alors de 10ans il m’a avoué en avoir voulu à son frère de lui avoir volé sa mère, puis qu'il avait compris qu’il n’y était pour rien et qu’il était même a plaindre car il ne pourrait jamais connaitre le bonheur d’avoir sa tendre mère auprès de lui comme avait pu l’avoir Doe.

A ces explications bien tristes j’ai voulu refuser son offre emplie de tels souvenirs mais il m’a dit qu’il serait honoré que le bracelet de sa mère foule à nouveau les terres tant chéries par celle-ci qui lui contait de si belles histoires à son propos. Et qu’il puisse me porter chance comme il le lui avait porté, à lui Doe, durant toutes ces années.

Alazaïs fit tournoyer le bracelet délicatement entre ces doigts se remémorant ce passage émouvant de son voyage.

Voila pourquoi maintenant ce joli bracelet ne me quitte plus et j’essaye de faire honneur à sa mémoire en parcourant la Normandie comme le voulait Doe.
Alazaïs poursuivit sur un ton plus joyeux :
Et je dois avouer que je m’acquitte de cette tâche avec bonheur ! Alazaïs sourit

Mercedes regardait le bracelet qui était porté avec grâce Doé avait bien fait ,c était bien de sa part , elle éprouvait une sympathie pour cette jeune fille qui lui rappelait un peu sa soeur de coeur et une idée germa dans sa tête et elle devait en parler

Ma chère Alazaïs ,je voudrais vous proposer de devenir ma demoiselle de compagnie ,et aussi celle de ma fille mais

surtout une confidente en qui je pourrais avoir confiance et parler de tout sans oublier de rire ^^et pour la maison je serais heureuse de vous laisser celle -ci , il y une très grande chambre de libre donnant sur le jardin , l 'été c 'est très agréable ,en ouvrant la fenêtre vous entendrez les chants d 'oiseaux ,et l 'odeur des fleurs viendront vous chatouiller les narines .

Mercedes remet une bûche dans la cheminée et sa gouvernante leur apporte un biscuit avant d 'aller se coucher .

Vous m 'avez parlé de mon ami , même si j 'ai paru triste un moment ,ne vous en veuillez pas , au contraire et ce bracelet vous va à ravir il a bien su choisir à qui l 'offrir et je fut une héritière de mon ami et à partir de ce jour cet argent est à vous et c 'est pour moi une immense joie de vous avoir comme amie ,tiens une occasion de finir notre verre .

Mercedes trinqua et but une gorgée en souriant

Alazaïs écouta Mercedes lui répondre suite à son histoire qu'elle venait de lui  contait et elle fut stupéfaite par ces paroles. La bouche arrondie de surprise la blonde sentit son cerveau s'engourdir sous la stupeur, révait-elle ? le champagne lui jouait-il des tours ? ou bien la jolie mercedes lui avait- elle réellement fait part de toutes ces merveilleuses propositions ?
Une joie intense parcourut Alazaïs qui répondit aussitôt la voix chargée d'émotion :

-Oh que de belles propositions vous me faites là chère Mercedes. Ce serait avec grand plaisir que de devenir votre demoiselle de compagnie et votre confidente ! Les temps qui courent sont parfois rudes et qu'il est bon de rire et de partager pour s'en échapper parfois ! Et pour votre maison je ne sais que dire sinon vous remercier grandement, c'est un tel cadeau que vous me faite ! Alazaïs bafouilla emportée par la joie Je... Justement je, je me suis attachée à cette ville de Rouen et l'idée de devoir la quitter bientôt me peinait grandement.

La gouvernante entra à ce moment là dans la pièce et leur porta des biscuits puis  Mercedes fit ensuite part à la jeune Alazaïs d'un héritage qu'elle avait reçu de Doe et qu'elle souhaitait lui mettre à disposition.

-Oh quel honneur vous me faites donc là. Je vous promet de toujours demeurer votre obligée, d'être là dès que vous aurez besoin de moi.

Alazaïs sourit remerciant le ciel de lui avoir fournit une si belle amitié et trinqua avec Mercedes. Puis elle croqua un biscuit avec gourmandise.

Spoiler:

C était le grand jour Mercedes se leva de bonne heure son amie Alazaïs qui logeait chez elle , s 'occupait des enfants ce qui lui rendait un immense service .

Elle fit un brin de toilette , enfila une simple robe en attendant Marie pour l 'habiller , la coiffer stressée Mercedes non pas du tout

ben siiiiiiiiiii elle courait ,la gorge nouée viendra t il ? sera t 'elle prête a temps .

Alazaïs un thé avec moi ,vous voulez bien ça me calmera qui sait d être en votre présence Lillye va t 'habiller ma chérie , ah bien Raphaël tu es beau mon fils ton père serait fier crois moi ,bon ou en étais je ? oui un thé et Marie est elle arrivée ,Dudule a t il préparé le fiacre ? Je vais être en retard je le sens  

Spoiler:

N'ayant presque pas fermé l’œil de la nuit malgré tous les travaux menés dans la salle du mariage, Alazaïs trop enthousiaste qu'elle était à l'idée du grand jour venue, décida de se lever alors que l'aube naissait tout juste. Elle fit bien car passant devant la chambre de Raphaël elle remarqua que celui-ci s'était levé. Elle lui demanda s'il voulait qu'elle l'aide à se recoucher mais comme celui-ci refusait elle lui proposa d'aller s'amuser en bas dans le grand salon ce qu'il accepta de bonne grâce.
Elle lui prit la main et il descendirent ensemble afin de déjeuner puis de jouer.

Un peu plus tard Lilyrose probablement attirée par leurs voix vint les rejoindre pour participer à leurs constructions de chateaux en cubes.
Puis ce fut le tour de Mercedes d'apparaitre, une Mercedes qui semblait bien anxieuse pour ce grand jour et qui courait dans toute la maison.

-Bonjour ma chère tranquillisez-vous je vous prie, tout va bien se passer je vous le promet !
Alazaïs lui prit les mains l’empêchant de paniquer de nouveau et lui fit un grand sourire. C'est un grand jour pour vous, vous allez être resplendissante pour cette belle union qui vous attend avec votre cher adrien De Gercourt.
Et vous avez encore tout le temps ne vous inquiétait pas. De toute façon Marie ne devrait plus tarder !

Allons boire ce thé en attendant et bavarder de tout et de rien comme il vous plaira pour vous détendre ! Lily va mettre ta jolie robe que l'on voit comme tu seras belle pour le mariage et toi Raphael fini ce château si tu le souhaite, je reviendrai l'admirer tout à l'heure promis.

Prenant les choses en main pour que son amie ne cède pas à la panique Alazaïs partit chercher tout le nécessaire : thé, viennoiserie, jus de fruit... Rien ne valait la gourmandise pour se détendre ! La blonde fit un geste vers la table.

-Servez-vous donc ma chère si le coeur vous en dit. Ce jour est le votre ! Quoique les autres jours aussi en fait. Alazaïs rit.

Lillye avait suivi Alazaïs apres la mariage , elle était un peu fatiguée Dudule portait son petit frère

il le monta dans sa chambre et Lillye parlait parlait pour ne pas se laisser envahir par le sommeil c est qu 'elle en avait à raconter puis elle ne pu lutter la jolie Alazaïs riait de la voir faire ,elle voulait dormir avec elle pour une jolie histoire de princesse et demain sa maman allait passer lui dire au revoir avant son départ avec Adrien il était si gentil qu 'elle l 'aimait comme un papa et elle lui dirait mais là dodo

Tu sais Alazaïs tu ressembles à une gentille fée toi je suis contente de rester avec toi .Elle lui fit un baiser sonore et rit .

La belle fête du mariage de Mercedes avait pris fin. Après des rires et des danses chacun petit à petit s'en était allés saluant les heureux mariés et les félicitant une nouvelle fois.
Lorsque la salle se fut vidée il était temps pour Alazaïs de ramener chez eux les enfants de Mercedes. Après tout il fallait bien la laisser profiter de sa nuit de noces comme il se devait ! La jeune blonde s'arrangea avec Dudule pour que celui-ci porte Raphaël qui s'était déjà endormi. C'est qu'il était encore bien jeune pour veiller si tard. Quand à Alazaïs elle prit la main de la jeune Lilly et après avoir fait une grosse bise et un clin d'oeil à Mercedes lui souhaitant une bonne soirée elles quittèrent la salle.
Durant le trajet la petite Lilly, encore toute excitée, et Alazaïs s'amusèrent toutes deux à imaginer la robe de mariage de leur rêve. Puis, envahie par le sommeil, lilye se calma peu à peu alors qu'elles arrivaient devant la maison.

Alazaïs dit alors à la petite demoiselle qu'il était temps de se coucher ce que cette dernière accepta mais non sans réclamer une histoire de princesses pour s'endormir. Ne pouvant réprimer un sourire la blonde accepta, et alla cherche un livre de contes. Au passage elle s'assura que Dudule avait bien couché le jeune garçon et que celui-ci dormait d'un paisible sommeil.
Puis elle passa dans la chambre de lillyrose qui s'était couchée et qui demanda à Alazaïs qu'elle dorme près d'elle en attendant sa maman qui ne reviendrait que le lendemain. La blonde accepta également et rendit son baiser a lilly.

Citation :

Tu sais Alazaïs tu ressembles à une gentille fée toi je suis contente de rester avec toi

-Et toi lilly tu ressemble à une belle princesse ! Ecoute l'histoire que je vais te lire il y en a pleins dedans des princesses et des fées et comme ça après tu décideras quelle fée et princesse nous sommes tu es d'accord ? Mais après il faut me promettre de vite t'endormir comme ça demain maman sera contente quand elle viendra dire au revoir !

La petite Lilly fit un grand sourire suite à sa proposition, mais vu ces petits yeux ensommeillés Alazaïs se doutait que la petite fille ne tiendrait pas jusqu'à la fin de l'histoire et tomberait bien avant endormie. Qu'importe ce ne serait que partie remise et ça lui permettrait peut-être de faire de jolies rêves. La blonde commença donc son histoire jetant de temps en temps un œil à Lilly qui petit à petit glissait dans les bras de morphée...

( le jour du départ ... )

Mercedes s'était levée très tôt pour aller dire au revoir a ses enfants et a son amie et confidente Alazaîs a qui elle confiait son bien le plus précieux Lillye et Raphaël , elle entra sans faire de bruit et trouva son amie dans la cuisine buvant un café , les yeux encore un peu endormis Lillye avait du demander une histoire c 'était à prévoir ,elle passa derrière Alazaïs et la bisa .

Bonjour , on dirait que la nuit fut courte ma douce amie je suis passée vous dire au revoir et Dudule va rester avec vous ainsi que ma louve Farouche ,Lillye serait triste sans elle et ça sent bon le café j 'en prendrais bien un avec toi

Mercé s 'installa et versa un autre café a Alazaïs et un autre pour elle et les deux amies parlèrent du mariage mais pas de la nuit de noces ben non !! elle raconta juste quelques rires avec les convives et la joie d 'avoir vu un ange nommée Candice et comme elle aurait aimé voir un autre ange aussi Doé

Alazaïs s'éveilla lorsque les premiers rayons du soleil pénétrèrent dans la chambre.
Elle n'avait que peu dormi car s'étant couché bien tard après la fête, et de même sa nuit de la veille avait été courte avec tous les préparatifs du mariage ! Pour autant la jeune blonde ne trouva pas le sommeil de nouveau et décida donc de se lever. Elle dormirait mieux la nuit suivante. C'est donc une Alazaïs toute ensommeillée qui descendit les marches et passa dans la cuisine afin de se faire un café, espérant que celui-ci l'aiderait à garder les yeux ouverts.
Elle sirota ensuite son café repensant à la soirée de la veille. Puis, elle vit Mercedes entrer à pas de loup et lui faire une bise.

-Oh bonjour Mercedes, vous semblez toute rayonnante je crois que le mariage vous réussit ! Elle lui sourit oui c'est vrai que la nuit fut courte mais votre soirée de mariage valait la peine d'écourter sa nuit, c'était une fete très réussi je trouve ! Qu'en avais vous penser vous-même ? Etes vous heureuse de la soirée que vous avez passé ?
En plus vous avez eu une belle surprise avec le retour de votre amie Candice que vous croyiez perdue.
Il est vrai que si Doe avait également pu revenir cela aurait était un vrai bonheur mais il ne faut pas trop en demander au ciel j'imagine, c'est déja une belle nouvelle pour vous.
Et maintenant ce voyage de noces qui vous attend ! tout est prèt ?

Tout en discutant la blonde but quelques gorgées de son deuxième café sentant de l'énergie fluait peu à peu en elle et le sommeil se dissipait, surtout dû aux souvenirs de la soirée qu'elles partageaient ensemble.

( toujours le jour du départ )

Alazaïs vous êtes une perle rare et vous avoir ici me fait chaud au coeur ,je sais que mes enfants sont entre de bonnes mains ,et si vous deviez vous absenter demandez a Angelynn de venir je l 'estime beaucoup .

Mercedes but un café et sourit en pensant au mariage c 'est vrai que la nuit fut courte mais ce voyage à deux ,remplis de ballades
promesses et d 'amour la fit frissonner d 'avance .

Oui tout est prêt , comme toutes les femmes quand il s 'agit de voyager les malles sont faîtes longtemps à l 'avance et puis j 'espère faire les boutiques italiennes , je penserais à vous , y a t il quelque chose qui vous ferait plaisir ma douce amie ? Mercedes regardait le bras de son amie elle avait toujours ce petit bracelet de leur ami commun , elle posa sa main dessus

Je vais devoir y aller mon amie la bas je déposerais un cierge pour lui ,et j 'emmène ma tourterelle qui viendra vous donner une missive de tout ce que je vois .Je finis mon café , faire un baiser aux enfants et vive Venise
Elles rirent ensemble

-Oh je vous remercie pour le compliment mais c'est vous qui etes une perle rare de m'accepter comme vous le faite dans votre vie. Oui je demanderai à Mademoiselle Angelynn si jamais j'ai besoin de son aide. Mais je pense que cela devrait aller, je n'ai pas vraiment de grandes obligations qui m'obligerait à quitter vos enfants. Vous pouvez partir sereinement je m'en chargerai avec plaisir !

Alazaïs regarda son amie qui semblait déja partie en voyage en pensée au vu de son regard voilé et du fin sourire qui ornait son visage. La jeune blonde ne la comprenait que trop bien. C'était la de magnifiques moments qui s'annonçaient pour Mercedes. Puis celle-ci lui expliqua qu'elle allait faire les boutiques italiennes. Quelle chance elle avait là ! Alazaïs se pris à rêver qu'un jour elle-aussi pourrait s'adonner à pareilles activités sans doute forts réjouissantes... Puis Mercedes tira Alazaïs de ces rêveries en lui demandant quelque chose qui lui ferait plaisir.

-Oh eh bien vous allez à Venise je crois, je... j'ai entendu dire que le carnaval la-bas y était somptueux. Pourriez-vous alors me ramenez un loup vénitien vous savez ces masques qui ornent les yeux des personnes costumées ? Cela doit être fort joli... Et cela pourrait servir au cours d'un bal prochain qui sait, si cela pouvait séduire un beau jeune homme! Alazaïs se mit a rire puis se reprenant voila ce qui me ferait plaisir mais n'allez pas vous importuner pour moi surtout ! Alazaïs rosit ne voulant pas déranger la belle Mercedes dans son voyage par des désirs farfelus.

Mercedes posa ensuite sa main sur le bracelet porte-bonheur de son sauveur et lui confia qu'elle poserait un cierge pour lui et qu'elle enverrai des messages à la maisonnée grace à sa tourterelle.

-Oh oui faites nous partager un peu les beaux moments que vous allez vivre Alazaïs sourit à moins que votre époux ne vous accapare entièrement ce que je comprendrai aussi elle lui fit un clin d'oeil.
En tout cas oui vive Venise ! la jeune blonde enthousiaste, accompagna son exclamation en levant sa tasse de café comme s'il s'était agit d'un verre de champagne.

( Mercedes partie ben oui q même ) Un courrier par pigeon vénitien arriva et se posa en faisant tomber un courrier , il attendit on sait jamais une graine , un peu d 'eau ^^

             

Spoiler:

Spoiler:

Lillye avait boudé un peu de voir sa mère partir ,quand elle s 'est levée mais elle oublia vite en humant une bonne odeur de chocolat chaud provenant de la cuisine Raphaël la suivait pour trouver sa maman ,son vieil ours à la main dont il manquait une patte
mais impossible de dormir sans celui ci Lillye voulut lui donner le sien mais non il voulait pas pffffff les frères

En arrivant à la cuisine ,elle sauta au cou de la jolie blonde comme elle , l 'entoura de ses bras pour un câlin Raphaël en demanda aussi et ensuite ils avaient faim et cette odeur hum

Les journées suivantes se passaient toujours dans la joie et la tendresse de notre jolie nounou

Un jour Alazaïs nous proposait de faire de la pâtisserie ,un autre des jeux en fin de compte maman pouvait partir on était bien nous
pas de Lillye ,fais pas ci , fait pas ça ,laisse ton frère tranquille ,range ta chambre bon sa maman lui manquait il fallait le reconnaître mais ...

-Il y a une petite surprise pour nous les enfants ! Venez suivez-moi vous allez voir de quoi il s'agit.

Les deux suivirent leur nounou et crièrent de joie quand elle dit qu 'un courrier était arrivé Lillye toute fière de savoir bien lire s 'asseya entre les deux ,a chaque mot un sourire se dessinait sur ses lèvres ,et ensuite elle alla chercher le papier que sa marraine lui avait offert et s 'appliqua dans ses écrits ,elle la donna ensuite a Alazaïs qui l 'attacha à la patte du pigeon qui après avoir mangé et bu s 'envola
Tu sais Alazaïs j 'aime bien être avec toi , tu connais plein de jeux , des jolies histoires et je t 'aime très beaucoup Et Raphaël se leva et dit

Moi zaussi je te zème beaucoup comme ça Il ouvrit grand les bras et fit rire les deux filles , fier de lui l 'homme de la maison pour encore quelques jours .

Un cocher arriva pour donner un courrier de l 'intendante ,pour la chancelière et amie de Mercedes

Spoiler:

Alazaïs, un châle sur les épaules, se décida à ouvrir la porte de sa maison qui se tenait fermée voila un bon moment maintenant. Puis elle s'avança de quelques pas heureuse de constater que ces pieds la portaient de nouveau avec plus ou moins de force. Ne voulant pas user trop vite de celles-ce elle s'assit sur l'un des bancs du jardin et ferma les yeux sous les chauds rayons du soleil. Combien de temps cela faisait-il qu'elle n'était pas sortie prendre l'air ? deux semaines peut-être trois...

En effet un soir alors qu'Alazaïs revenait d'une promenade dans le bois, comme elle aimait en faire pour récolter des fruits, elle s'était sentie bien fatiguée. Mais mettant sa fatigue sur le compte de sa promenade elle n'en tint pas compte. Sa fatigue se maintint pourtant le lendemain mais la jeune blonde, n'étant pas du genre à se laisser abattre, continua ces occupations comme si de rien de n'était. Seulement la nuit venue elle sentit une lourde fièvre l'envahir et s'ensuivit ainsi de longs jours où elle resta alitée, sans force, ne se levant qu'au prix de grands efforts pour se nourrir un tant soit peu malgré son manque d’appétit. Lorsque sa fièvre baissait un peu la jeune fille essayait de lire ou de dessiner pour s'occuper un peu. Mais sa maladie quelle qu'elle fut reprenait bien vite le dessus et la forçait à tout lâcher et à reposer sa tête sur l'oreiller.
Lorsqu'elle ne dormait pas elle songeait qu'il n'était pas bon qu'elle reste seule ainsi dans cette maison. Sans ses provisions qu'elle avait heureusement constitué elle serait probablement morte de faim. Malgré cela bien souvent elle jeûnait par manque de force pour se lever. La jeune fille se promit donc de se mettre à la recherche d'une dame de maison dès qu'elle serait à nouveau sur pieds. Si cela lui était possible un jour. Après tout ce n'est pas l'argent qui lui manquait maintenant.

Puis un matin elle se sentit mieux et osa faire quelque pas qui se révélèrent sans douleur. Progressivement celle-ci s'estompa ce qui amena notre jeune fille sur le banc de son jardin. Quel bonheur que de retrouver à nouveau l'air chaud du printemps. C'était bien difficile pour la jeune fille d'admirer par la fenêtre la nature ensoleillée sans pouvoir aller la contempler à sa guise.
Elle remercia donc le ciel de lui permettre à nouveau ce plaisir.

Attirée par un bruit sur sa gauche Alazaïs tourna la tête mais ne vit rien. Baissant les yeux elle avisa alors un petit miroir qu'elle avait du oublié sur le banc avant sa fièvre. Elle s'en empara et le porta devant elle. "oh" Ce qu'elle y vit manqua de lui faire lâcher le miroir. Etait-ce vraiment son visage que lui renvoyait le miroir ? La blonde fut stupéfaite de voir ces traits creusés et ces cernes sous les yeux... Quel triste état. Il lui faudrait vraiment reprendre du poil de la bête. Maintenant que ces jambes acceptaient de la soutenir de nouveau elle pourrait peu à peu remettre de l'ordre dans tout ça. Sans parler de sa maison. Mais ça elle verrait plus tard lorsqu'elle aurait recouvré toutes ces forces.
Déglutissant la jeune fille grimaça de douleur une fois de plus. Cette gorge qui lui faisait mal c'était bien gênant.
Peut-être pourrait-elle s'aventurer en ville pour trouver de quoi la soulager..
Forte de cette résolution la jeune blonde alla prévenir le cocher de  préparer la calèche et retourna dans sa maison enfiler une tenue adéquate.

Augusto traversa la ville pour trouver une maison ,il fit plusieurs rues et enfin 108 rue des lilas et pourquoi le cheval connaissait le chemin et pas lui ,oui car c 'était bien le cheval de l 'intendante que montait Augusto , elle croyait pas quand même qu 'il allait venir à pieds hé oh !!Il descendit et attacha l 'étalon ( le cheval pas lui   ) ,il regarda si sur la terrasse il n 'y avait pas une jolie demoiselle ,ben non !la lettre entre les mains ,il devait la donner à la chancelière ,mais personne alors il la glissa sous la grosse porte en bois ,remonta ensuite sur le cheval et en route pour une taverne .

   
   

Citation :

Il y a bien longtemps que l 'on ne s'est pas vu ,et surtout papoter un peu devant un verre de thé ,ou autre chose plus fort

Si vous voulez je passerais vous voir très prochainement j 'ai quelques anecdotes à vous raconter et vous parler d 'un projet mis en route je ne vous en dit pas plus ,ce sera mieux de vive voix

Je vous envoie mon amitié et des bises chaleureuses
Mercedes

Quelques jours plus tard :

Ces derniers jours la jeune fille s'était mise à la recherche d'une gouvernante comme elle se l'était promis. Elle avait interrogé ici ou la des voisins des amis, lu des petites annonces au marché... Puis elle en avait sélectionné deux qu'elle avait convié l'une après l'autre pour un petit entretien chez elle. La première s'était révélée assez sévère et acariâtre, et bien que semblant être compétente, la jeune demoiselle ne s'imaginait pas du tout vivre avec cette compagnie.
Par contre la deuxième, qui arrivait d'Amiens, semblait douce et agréable à vivre. De plus elle avait officié dans une famille haut placée puis à un mariage et semblé à chaque fois s'en être bien sorti.
La demoiselle l'avait donc invité à venir chez elle dès que cela pourrait lui être possible pour une période d'essai. Elle pourrait alors juger de ces réelles compétences.

En attendant son arrivée la jeune fille alla s'installer sur son banc préféré dans son jardin munie de son attirail de menuisière. Elle observa attendrie  pompom qui courait dans le jardin puis elle continua l'ouvrage qu'elle avait entrepris depuis ces quelques jours, à savoir se construire un  nouvel arc. Elle tailla également des flèches pour aller avec.
C'était un travail minutieux où la précision était de mise car si l'arc était mal construit aucune flèche n'atteindrait la cible.
Puis quelques heures plus tard l'arc était achevé.

Spoiler:

Alazaïs était contente de son oeuvre mais encore fallait-il le tester pour en juger.
Elle s'en alla donc chercher une cible dans la remise de sa maison et l'accrocha ensuite à un arbre.  
Puis elle s'empara de l'arc, et alla se positionner devant la cible. C'était bien agréable de retrouver ces sensations. Après avoir évaluer la distance à la cible elle arma la flèche et lâcha. Bon elle n'atteint pas le centre mais pour un premier jet ce n'était pas mauvais non plus. En tout cas l'arc semblait bon. Après il lui faudrait s’entraîner de nombreuses heures pour retrouver ces quelques talents perdus.
Cela tombait bien la jeune fille en avait des heures à perdre en attendant sa future domestique, aussi continua-t-elle ces lancés de flèches.