Demande de Baptême

[b] Bonjour,
j'aimerais me faire baptiser S.V.P.

Kaoni entra dans la chapelle silencieuse.

Seuls quelques murmures trahissaient la présences de certaines personnes.

Elle s'approcha d'une jeune femme qui, d'après la description qu'on lui en avait faite, devait être l'abbesse.

Bonjour Dame, serait-il possible de recevoir le baptême ? Je n'ai aucun parrain mais ce sacrement me tient à coeur.

Kaoni écouta la réponse de l'abbesse et une joie immense l'envahie.

Elle remercia cette femme si châleureuse avec les paroissiens et partit aussi discrètement qu'elle était entrée.

Elle n'avait plu qu'à attendre le jour heureux de son baptême par le Pape lui même !

Quelle joie !!!

Grocol avait reçu une missive de dame Quasi au sujet de sa demande de baptème
c'est donc le coeur joyeux qu'il se dirige vers l'église .
il y pénètre et aperçois une jeune femme .

Bonjour dame , je viens donc vous demandé le baptème .

*S'essuie les pieds sur un tronc d'arbre proche de l'église*
Eh ben, quel temps.. Il fera meilleur à l'intérieur..
*Entre dans l'église, tortillant entre ses doigts ses moustaches tombantes*
Fichtre, je n'y vois goutte ici, il fait bien sombre avec cet orage
Dame Quasi ? Vous êtes là ?
Je suis Ferdinand de Haussac, un des menuisiers du village..
Je sais bien que vous m'voyez pas souvent passer les portes de l'église mais je me suis dit que.. c'était l'occasion ou jamais pas vrai ?
Bon ben je vais m'asseoir là, je vais pas faire de bruit soyez tranquille..
Et pis merci de m'accueillir ici au fait hein ? J'ai pas trop l'habitude

Il pénétra alors dans l'église, bien décidé, car la conviction profonde était en lui, depuis moult temps... De plus, il aimait passionnément sa promise et il devrait un jour l'épouser, pour sur.

Il se dirigea alors vers l'officiante qui était peu loin de la travée centrale... D'un pas chaloupé et tout en saluant, il se présenta : Madame l'abbesse, je viens à vous, humblement et pieusement, pour vous demander le baptême. Il pencha alors sa tète vers le bas...

[quel jour, quel mois, seul le Tres Haut le sait]



Le Prince venait rejoindre sa douce lorsqu'il entendit quelques mots.

Madame l'abbesse, je viens à vous, humblement et pieusement, pour vous demander le baptême

Il souriait en entrant quand il se fit bousculer par un malandrin, et reconnu la voix du pape, ce même pape qui se terrait sur sa galère, ne faisait pas les messes et n'était pas présent depuis tant de semaines, trop de semaines qu'il était arrivé
Il laissa la phrase papale se terminer et posa sa main sur l'épaule... non sainte.

Monsieur le Pape ? en voici des manières d'entrer chez les autres. Car vous n'êtes pas chez vous ici, ne l'oubliez pas.
Mais l'on m'avait annoncé que vous étiez souffrant depuis... voyons... depuis tant de jours que vous êtes ici.
Quel jour sommes nous car j'avoue que depuis votre arrivée, nos îles ont perdu leur sérénité et le fil du temps.

Une petite poussière sur l'épaule du pape qu'il chasse d'un geste nonchalent avant de finir d'enlever la vilaine capuche. Pourquoi le pape se cachait il d'ailleurs... était il si laid que ça ? oui il l'était bouhh... capuche qu'il fit donc tomber d'un geste.

Ne vous a t on pas appris à vous découvrir dans une église ou un lieu saint et ici c'en est un.

Se tournant vers le jeune homme.

Vous étiez en train de parler à son altesse Quasi avant que ce mal élevé intervienne ?
mais elle va se faire un plaisir de vous répondre.

Puis toisant le pape.

N'êtes vous qu'un sous homme pour insulter et mépriser ainsi son Altesse en ignorant sa présence et en faisant fi de la demande de ce jeune homme ?
Tant que je serai Prince en ces terres que vous méprisez et souillez de vos bottes conquérentes, vous n'y ferez jamais la loi.

Sachez que s'il y a une chose que je déteste, c'est qu'on lui manque de respect. Vous l'avez déjà insulté, souillé par vos mots et je ne tolèrerai plus un seul mot de travers à son égard.

Sur nos îles il y a des lois qui précisent que tout manque de respect envers le Prince et sa famille, est puni par la loi, et je nous donne de plus le droit de vous juger. Vous avez d'ailleurs devant vous ... désignant Quasi... notre Procureur. Vous ne serez donc pas dépaysé car je serai Juge spécialement pour vous.

Grand sourire hypocrite.

Le pape n'est pas le Tres Haut, il n'est que son serviteur... son .... humbre serviteur.
Alors taisez vous et laissez répondre son Altesse Quasi.

Il regarda sa douce avec un sourire. Si l'homme avait le malheur de répondre avec ironie ou suffisance, il serait capable de le jeter dans le port.
S'il avait laissé le pape faire son petit numéro depuis son arrivée, aujourd'hui c'en était fini, et ça allait changer.

Renaissance qui revenait de son voyage eu envie d aller parler a un reponsable de L'eglise pacalienne

Arrivée a la Mission Pascale,elle vit son Altesse Le Prince Aimelin ainsi qu une jeune femme et un homme avec un manteau a capuche


Renaissance fit une profonde Reverance a son Altesse accompagné d un petit sourire timide

"Votre Altesse,bonjour" dit elle d une voix intimidée. elle salua respecteusement l homme et la jeune femme et lui sourit

Qu'il était difficile d'être pape ! Combattre les hérétiques et le vice de pouvoir d'une "Reine" tout en continuant son travail pour la Gloire du Créateur. Pour sûr, ce n'était pas du tout repos ! Mais Matthieu Ier était un malade de la foi, un fanatique du Créateur, et c'est pourquoi, il s'était de suite mit à discuter discrètement avec le croyant, sans daigner regarder un instant les membres présents. "Servir le Très-Haut" était bien sa mission et c'est ce qu'il faisait actuellement.

Bien monsieur Acar, à dimanche prochain alors pour votre baptême et votre mariage ! Ce sera là un beau jour croyez moi !
Après l'avoir saluer dignement, il n'eut le temps de se retourner que voilà que SA TRES FIDELE ALTESSE ROYALE vint le taquiner. supporter les caprices d'un prince, était une autre tâche à rajouter à sa longue liste qui alourdissait sa charge.

Votre Très Fidèle Altesse Royale, excusez de ne pas vous avoir aperçu. Vous êtes en pleine forme dites nous! Furent ses simples mots, il n'avait de temps à perdre avec un homme borné, qui croyait que sa loi humaine était supérieure à celles divines.Monseigneur Quasi, nous vous avons point vu, recevez nos excuses ! Nous voulions vous remercier d'avoir préparer certains dossiers de demande de baptême et d'avoir réaliser une réunion dominicale, pour occuper les fidèles en notre absence. Si nous vous avions suspendu pour que vous puissiez vous reposer, le destin a fait que c'est nous qui avions besoin de repos. Quoi qu'il en soit, Sa Majesté le Roi de France, qui lui a accepté d'être le défenseur de notre Église et à suivre ses préceptes, au contraire de votre fiancé, désire que vous officialisez les obsèques de sa défunte Soeur ~ Paix à son âme. Nous avons donc enlever la suspense. Vous retrouvez pleinement vos charges. Toutefois, étant donné que nous nous devons de rester encore ici un long moment, c'est que nous ne partirons pas avant qu'une Altesse ait été sacré, il faudra s'organiser pour partager le travail. Si cela ne vous dérange pas ? De même, nous vous invitons à un entretient avec notre personne à notre navire. Vous saurez, exceptionnellement la parole des îles et moi celle de l'Eglise, nous pensons que deux précepteurs de l'Eglise pourront discuter calmement ensemble, afin d'établir enfin le lien naturel qui uni depuis maintenant deux ans chaque royaume d'occident avec l'eglise.* le pape n'avait pas invité le Prince, sachant pertinemment que ce dernier, toujours remplie de rancoeur, ne ferait que ralentir les débats, sans comprendre véritablement le sens de chaque mot.

Madame Renaissance, un heureux plaisir de vous revoir également. Bienvenue dans la Maison du Créateur, qui appartient à Ses enfants, et qui est donc "chez nous" et non "chez les autres".

(*Volonté de l'administration, à lire dans son annonce "Des Religions")

Sa douce répondit au curé et comme toujours... employant les bons termes, et surtout elle venait de lui dire que seul le Prince est la voix de l'ïle, ce que ce pauvre homme baffouait.
Quand elle eut fini il se pencha vers elle et lui déposa un baiser sur la joue en la retenant par la main quelques instants.
Savoir se mettre à la hauteur de son interlocuteur, et donc en ce moment, devenir aussi idiot que le curé remplaçant.

Je prie tous les jours pour que le tres haut vous rappelle tres vite à lui afin que vous lui fassiez vos interminables lectures ennuyeuses, libérant ainsi ce trône en or sur lequel vous vous incrustez.

Concernant la soeur défunte de sa majesté Alexandre, le premier ministre m'a écrit personnellement, et c'est une visite privée et son Altesse Quasi est bien évidemment au courant nul besoin que vous fassiez le messager.
Si vous devez être de cette visite privée, c'est bien simple, le navire royal fera demi tour avant d'entrer au port, et je serai désolé de ce fait de par votre faute.
C'est ma condition pour que cette jeune personne repose ici, terre qu'elle a choisi, et j'espère que vous aurez assez d'honneur pour respecter ce fait.

Vous m'insultez constamment dans vos propos mensongers concernant ma foi.
Je tiens et j'ai promis à nos visiteurs que nulle personne ne viendrait troubler sa visite, et sachant la petitesse de vos propos et même de vos pensées se lisant sur votre face, à l'encontre du Prince que je suis, je ne tolèrerai pas votre présence, que cela soit entendu de tous.
Le roi souhaite que ce soit la Princesse qui officie, et ce sera elle seule.
Les gardes veilleront à vos actes et auront ordre de vous emprisonner à mon signe.

Comment il n'avait pas le droit d'emprisonner le pape ? mais si, il était souverain en ces iles, et en 1650, un piètre pape disparu on ne sait où, ne serait que banalité, et sans doute que la reine remercierait le ciel.

Et comme l'a dit si justement son Altesse, pour la centième fois depuis votre arrivée, c'est uniquement le Prince qui peut parler au nom des iles.
Remettez vous cela en cause ?
une petite ingérence de votre part encore une fois ?

Haussement de sourcil en entendant le curé prononcer le nom de la Dame qui venait de passer la porte, et ne s'était pourtant pas présentée.
Gageons qu'en ce moment il cherchait une justification. Petite remarque ironique à l'homme, Aimelin adorait ça et ça allait devenir un rituel dans lequel il allait exceller.

je constate que la nature ne vous a point doté de ce que l'on appelle savoir vivre et politesse, mais comme le disait ma grand mère, une sainte femme qui a voué sa vie à soigner ses semblables, "on ne peut empêcher un âne de braire surtout lorsqu'il est en rut".

Il lui faudrait lui conseiller la lecture de cette sainte bible "Louisinime où comment mettre un jambon au sec afin d'en garder sa saveur" .
Sourire à la visiteuse et ignorage royal du curé.

Dame... je vous souhaite la bienvenue en notre église guernesiaise et vous prie d'excuser ces propos.
Mais ce malotru fait fi de l'autorité souveraine de Guernesey, ce qui me désole au plus haut point.

voici notre Evêque et Princesse de Guernesey, son Altesse Quasi, qui dirige cette église avec une foi inégalable et inébranlable.

Renaissance fut soualger de voir le Prince sourire,elle l'écouta attentivement

Citation :

Dame... je vous souhaite la bienvenue en notre église guernesiaise et vous prie d'excuser ces propos.
Mais ce malotru fait fi de l'autorité souveraine de Guernesey, ce qui me désole au plus haut point.

Je vous en prie Votre Altesse,je suis tres heureuse de vous revoir et je vous remercie de votre accueil je vous remercie egalement de m avoir acceuilli en votre Principauté.....je puis revenir plus tard,si cela n est point le bon moment ..j allais a mon bureau voir si peut etre quelque personne auraient besoin de mes services

Citation :

Voici notre Evêque et Princesse de Guernesey, son Altesse Quasi, qui dirige cette église avec une foi inégalable et inébranlable.

la jeune femme tourna vers celle que le Prince lui presentait et a qui elle avait sourit et lui fit une profonde Reverance..Elle ne savais pas si elle devait lui dire Monseigneur ou votre Altesse,mais elle opta pour le titre Princier


Votre Altesse c'est une grande joie de vous rencontrer et un immense honneur

La jeune Copiste regarda l homme et reconnu sa Sainteté le Pape,elle s inclina et baisa respectueusement l Anneau Papale

Votre Sainteté,je vous remercie de votre acceuil et suis honorée de vous revoir