[RP] Hôpital de SPP

Un messager arrive avec un pli pour Ophélie:

Spoiler:

Angelique qui était médicaste avait entendu parler d'un hôpital à Saint Pierre, et surtout qu'elle pouvait y voir Marie-Hortense.

Elle amena quelques herbes médicinales pour lui remettre.

Son bureau étant vide, elle laissa à son intention une missive.

Citation :

Bonjour Marie-Hortense,

Je suis de passage à St Pierre, et j'ai ramené quelques herbes médicinales de mes voyages que je vous laisse.

Je sais que vous saurez les utiliser.

Amicalement.


Ange

Puis repartant ce soir, elle partit chez elle pour préparer ses bagages.

Le doc arrivé en ville la veille au soir; s’était fait porter ses bagage a sa résidence st pierroise, un corps de ferme avec dépendance qui entourant une cour pavé avec patio ombragée de fleur venue d'orient. Une nouvelles acquisition qu'il avait faite nouvellement par le biais de son intendant de grouville.
il passa des lors, la nuit au presbytère de l’église afin de preparer la messe dominicale du lendemain, il se réserverais ensuite un déjeuner frugale en compagnie des représentants des guildes commerçante dans une auberge qui disait t'on avait ouvert ses portes les pieds dans l'eau en front de mer puis dans l’après midi visiterai l’hôpital qui avait subi une reorganisation, plusieurs travaux de restauration et intégrer de nouveau collaborateur médicastre, il se devait d'y voir les résultats.

c'est en calèche décapotable qui y alla en compagnie de son cocher, misant sur une tenue un peu plus décontractée soit une chemise de lin écrue sur un pourpoints de cuire sur une veste longue de coton, légère au manches retroussé.
ils s’arrêtèrent enfin au porte de l'institution, se gara au emplacements indiqué et descendirent de leur véhicule.

"Belle bâtisse dite moi" dit un doc complaisant au charme de lieux a son ami cocher.
"oui monseigneur, l'administratrice ne doit pas être pas loin, elle s’attelle a la tache des lieux chaque jours que pascal fasse."
"Admirable esprit de nos fidèle Guerneseyois d'avoir entretenue ce bâtiment en mon absence, ils en ont fait un au lieu de santé admirable au première abords, rentrons mon ami, allons voir la sainte créatrice de ce miracle."

il vit arriver une jeune et belle femme et se présentât a lui.
il en fit de même heureux d'entendre que le nom de la jeune personne sonnais comme le sien "de la rosa"

"oui oui bien sur, je vous suis"

il s’avança a son invitation

"Enchanté, Cardinal nonce apostolique Arnoldo roberto Delarosa, Baron de grouville et medecin chirurgiens, ravie de rencontrer un confrère qui plus est une femme, elles sont trop rare dans la fonction, permettez moi d'observer que votre nom mes vaguement familier, il ressemble au mien. Avez vous de la famille au abord de Venise ?"

cela serait une coïncidence, une cousine éloignée, c'est dire que les familles italiennes sont nombreuse, le doc ne connaissait que le quart de sa famille entières, et le quart représentait beaucoup de monde.

heureux hasard en effet que cette jeune personne sois natif de sa cité, et une "de la rosa" qui plus est.
Ceci devais surement corroborer a ses questionnements sur ses origines, ainsi Ophélie était de sa famille il en était certain, il n'y avait qu'une famille a Venise de se nom morcelée en plusieurs fratrie dans la cité habitant hôtels particuliers et maison de brique. certains était de riche notable, fonctionnaire, ou membres du gouvernement de la cité, d'autre de simple artisan, gérant d'affaire, loueur ou pécheur, l'on pouvait certainement dire que l’économie vénitienne leur appartenais.

"Quel était le prénom de votre tante ? veillez m’excusez si je vous importune avec mes questions, ma curiosité a l'habitude est plus réservée, j'en suis désolé. Aviez vous eu connaissance lorsque vous logiez chez elle d'un certain Fabrizio delarosa ?"

il avait selon les dires de sa mère et de son père plusieurs tante et oncles directe disséminer un peu partout, il n'en avait vue qu'une infimes parties et son désir de connaitre sa famille n'avait pas faiblis et avait redoubler avec le temps.

"Volontiers, je vais vous aidez a la visite des patients, les locaux me connaissent, j'en ai construit les fondations, j'ai du partir précipitamment pour d'autre fonction il y quel temps deja, j'en ai restitué les clef a la municipalité, mais je voie que qu'en vous confient les clefs, le conseil municipale a été prit de sagesse, ou puis-je me changer ?"

Il me posait des questions. Alors, je commençais à espérer... Je le guidais vers le vestiaire homme et pendant ce temps je lui répondais:

Pour vous changer, veuillez me suivre. Vos questions ne m'importunent pas, elles me font espérer ce que je n'osais plus croire depuis si longtemps. En faite, je vous ai simplifié mon histoire. La tante qui m'a recueilli à Venise se nommait Angelica, je n'avais pas un an. Puis j'ai été envoyé chez une autre tante, lors que j'ai atteint mes dix ans, qui m'a envoyée chez une autre. Ainsi en passant de tantes en tantes, j'ai traversé la côte méditerranéenne et je suis arrivée en Espagne. De là bas, je suis venue à SPP. Quant au nom que vous me dîtes, il ne m'est pas inconnu. A vrai dire, c'est ma tante espagnole qui m'a parlé le plus de ma famille. Elle m'a laissé entendre que celle-ci était très grande et que le nom de la famille avait été un peu transformé au fil des générations. C'est tout ce que je sais, mais nous voici arriver.

Matthieu, grand gaillard très doux pour qui aucun métier ne valait celui de la médecine, sortit des vestiaires. Je l'interpellais:

Voici le cardinal Delarosa, il est également docteur et chirurgien. Il prendra quelques patients mais à besoins de se changer, je me tournais vers Arnoldo. Chaque médecin a un infirmier qui l'accompagne pour s'occuper du travail mineur et compléter le dossier, et je lui murmurais "certains docteurs oublient de le faire et puis Matthieu sait comment je fonctionne ici. Il pourra aussi vous donnez, si je puis me permettre, des conseils et vous dire les habitudes de la maison". Donc Matthieu sera votre infirmier. Matthieu, je te laisse trouver des dossiers intéressant à traiter. Je dois vous laisser, j'ai une femme a accouché.

Je partis donc m'occuper de ma patiente. Son accouchement risquait d'être long et difficile

[Matthieu]

Il salua le cardinal et lui donna des vêtements plus adéquats. Puis il le laissa se changer. Enfin, ils allèrent vers la salle d'accueil. Matthieu, d'un naturel silencieux, parla d'une voix grave et posé:

Monseigneur, je ne parlerais pratiquement pas durant vos visites. Je vous écouterais et noterais ce qu'il faut noter. Maintenant, je voudrais savoir si vous préférez opérer ou passez voir des patients? Me permettez de vous appeler docteur ou doc?

c’était donc une de ses cousines, la tente angelica ne lui était pas inconnus non plus, il la connaissait et pour cause c’était la sœur du père de son père.

"je ne peu que vous annoncer que votre histoire me bouleverse, et j'y découvre une part de vérité et de l'esperence dans vos paroles, je connais la tente Angelica, mon père Fabrizio était son neveu, j'en déduit donc que nous somme de lointain cousin"

Un grand dadet arriva et on le présentât a lui, Mathieu, qui deviendrait son infirmier.
Ophélie s’excusa et le salua.

"se fut un plaisir chère cousine"

il se changea et Mathieu le guida ver une salle ou quelque gens attendais de se faire soigner;

Citation :

Monseigneur, je ne parlerais pratiquement pas durant vos visites. Je
vous écouterais et noterais ce qu'il faut noter. Maintenant, je voudrais
savoir si vous préférez opérer ou passez voir des patients? Me
permettez de vous appeler docteur ou doc?

"Appeler moi doc, c'est comme cela que l'on m’appelle habituellement, et les bonne gens sont habituer a se surnom.
ci vous le permettez, nous allons procédez au plus urgent, faire en sorte de désemplir cette salle."

[Matthieu]

Il voulait vider la salle. Donc direction la salle des premiers soins. Il était encore tôt, 9h00 et le doc aurait beaucoup de patients.

Je vous donnerais les dossiers doc car Ophélie déteste le désordre. Cela évitera des soucis.

Matthieu prit une série de dossiers et emmena le doc vers un premier patient. Pendant qu'ils marchaient, Matthieu tendit le dossier après l'avoir survolé des yeux:

Ce sera notre premier patient, doc. Un jeune homme de vingt-deux ans qui a fait une chute dans un escalier.

Dans le dossier était inscrit ceci à la première page:

Spoiler:

Les autres pages étaient blanches ce qui signifiait qu'il n'avait aucun antécédent.

Ils aiment bien que nous les tutoyons et les appelions par leur prénom, remarqua Matthieu

Ils arrivèrent près du patient. Matthieu posa les autres dossiers et reprit le dossier de M. Leur. La plume prête, il attendait les ordres du doc pour noter ce qu'il y avait à noter et à aider.

le doc lut le dossier de ce Monsieur LEUR et recommanda a Mathieu, âpres ample observation et manipulation de la jambe du patient ses prescriptions

"préparer lui en décoction, de l’écorce de saule a de la feuille de mauve réduite en poudre a délayer avec du miel mercuriale toute les 4 heurs pour ses douleurs, la quantité est a discrétion, qu'il boive beaucoup et se repose. qu'il évite de boire trop froid et d'etre exposée a la chaleur, je recommande pour ses difficulté respiratoire soir et matin, quinze goutes de baume de soufre anisé diluée a du sucre en poudre accompagné de pain a chanter ( pain azyme) et du ratafia de coquelicot.
pour sa jambe, aux vue des chaires rouges et gonflé autour de la cheville, elle est surement foulée. preparer un cataplasme de 10 g de poudre d'absinthe, de racine d’angélique, de rhubarbe mélangé a du miel blanc, bandé ensuite la cheville sans serrée"

[Matthieu]

Heureusement que l'infirmier avait l'habitude de travailler avec Ophélie. Elle aussi parlait vite, visiblement c'était vraiment la même famille. Elle ne détaillait pas tant les remèdes devant les patients. Comment cela se faisait-il? Matthieu ne se le demanda pas, Ophélie avait son style à elle d'entrer et de prendre soin du patient, le doc un autre. Dès que le doc avait fini, un petit garçon qui passait par là prit la feuille sur un signe de Matthieu. Il expliqua au doc:

Le vas-y-dire va porter la feuille à l'infirmière qui tient notre apothicairerie. Il reviendra vite. Ces vas-y-dire sont des enfants de mendiants. Ophélie les recueille et les nourrit en échange ils transmettent tous les messages.

L'enfant revint avec une infirmière qui portait un plateau. La feuille remise dans le dossier et ramenait par le vas-y-dire. Matthieu se leva et fit signe au doc de poursuivre. Nouveau dossier

Spoiler:

Le dossier n'a pas encore était traité.

Ils arrivèrent devant la patiente.

yolane était plus que l'ombre d'elle meme .Elle était passée à la maison prendre machinalement de quoi changer Bren' pour son dernier voyage .Sans y croire c'était pas possible aura t-elle le courage de survivre ?

Elle prit son costume bleu qu'il aimait tant et se rendit à l'hopital ....
Elle arriva et vit Chric , elle alla vers lui

Merci Chric tu es le seul sur qui je peux compter .Le regarde les yeux remplit de larmes et de douleurs tenait contre elle le costume de Bren' perdue

le doc était de permanence se jour, sa cousine Ophélie était partie en ville et la remplaçais pendant son absence.
il était Occupé a soignée les quelques patients deja bien rétablie et donnée ses instructions a matheux son infirmier quand une sœur en furie, affolé et apeuré arriva en courant dans la grande salle de repos ou le doc et son infirmier remplissait les derniers dossiers a archiver, attablé a la grande table situé au milieu.

"Monseigneur, Monseigneur, par la grâce de pascal, vous êtes la.......je vous trouve enfin, venez vite..."

le temps qu'elle reprenne son calme le doc s’était levée et l'avais rejoint pour la conforter et l'aider a reprendre ses esprit

"Que vous arrive m'a sœur, dite moi tout...."
"Le.....le...le...sénéchal est la, il....il...il vient de nous ramenez une personne........inconsciente......mon dieu, que pascal nous garde.....seigneur...."
"Chric !!!!! Ou est la personne qu'il nous a amenez, ou l'avez vous mis,........"
"On la....................emmenez en salle d’opération a l'instant, le.........le.......le sénéchal est avec lui....ho mon dieux"
"ma sœur, calmer vous je m'occupe de tout, prenez se siège et reprenez vos esprit, Mathieu on y va, on finira plus tard"

les deux comparse se pressa jusqu'au au lieu ou on avait accueillie les visiteurs, et comprit alors l'affolement de la sœur a la seconde ou le doc vit la personne inconsciente, "bren" et l'etat de chric, le visage morne et fatigué, son uniforme sale et boueux.

Sa réaction ne se fit pas attendre, le doc se dirigea vers Bren inconscient et sans vie et procéda au geste de premier secours avec l'aide de Mathieu qui le desabillat jusqu'au torse, et préparait plusieurs série d'instrument.

A ses gestes le doc prit la parole, il n'avait pas encore vue yolane qui se tenait prostré dans un coin.

"Que sait t'il passé ? "