[RP] Eglise Paroissiale Pascale de Saint-Pierre-Port

bonjour ma mere.

je vient vers vous, car etant boulanger sur cette ile est papa de deux jumelles, je voudrait unir dans la loi de l eglise ma destinee a celle de ma fiancee maria.

je vient donc vous demender le bapteme, ma mere.

merci de votre acceuil est gentillesse.


ameder

NNOOONNNNN !

Dudule avait laissé exploser sa colère quand la dragonesse avait fini de parler, faisant sursauter Bouillette à ses côtés.
Mine renfrognée comme il le voyait faire à Aime, il s'avança devant Quasi et leva le nez vers elle.

NON !!! moi je veux pas que le pape commande !
pourquoi il veut commander alors qu'il voulait te brûler toi et Aime. C'était écrit sur l'affiche que tu m'as lu et elle est là bas encore dans la mairie !
pourquoi il veut commander alors que jamais il est venu ici
et pourquoi il veut commander alors qu'il est méchant

Les poings serrés le jeune garçon regardait le pape courbé en deux, saluant les rares personnes qui entraient dans l'église. Faut dire que quand ils avaient aperçu Quasi, ils étaient tous ressortis l'écouter.
Du haut de ses dix ans il s'approcha de l'homme et se pencha pour le regarder par en dessous.

Ma mère elle dit que quand on se plie en deux comme ça apres on reste plié.

Il se redressa et lui fit face.

monsieur le pape ? chuis Dudule et c'est moi qui sonni les cloches depuis longtemps.
Avant que Quasi elle vienne parler et faire prier les habitants, il n'y avait personne.
Tout le monde s'en fichait de l'église et le cur'ton avant il était maire et plein de choses mais il était zinvi.. inva... comment il lui avait dit déjà Bouillette.. ha oui... invisible qu'il était !

Les cloches étaient toutes rouillées, elles chantaient plus et l'église pleurait tellement y'avait personne qui s'intéressait à elle.

Tu me comprends ?

Il regarda l'homme d'un air décidé. Personne ferait du mal à sa dragonesse.

puis Quasi est venue, parce que Gwen lui a dit de faire la messe. C'est une grande dame Gwen j'aimerais bien la voir encore.

Quasi c'est notre abbesse à nous. Elle prie, elle dit de belles choses sur comment il faut s'aimer et s'aider et s'occuper de la Lucienne qui vit seule, et du Marcel qui voit plus tres bien. C'est elle qui a demandé qu'on arrangi le toit de l'église... il montra le toit et le clocher... tout allait s'effondrer et on a tous travaillé dans le village pour que l'église soit belle. Même Erwan le marin il a aidé avec tous les marins de son bateau.
C'est pas toi qui est venu, ni la baronne qui parle comme ca "hoo mais dépêchez vous de me suivre ne restons point au milieu de ces gens !".

Pour refaire la baronne il avait employé la même voix et les mêmes mimiques, ce qui fit éclater de rire son copain.

pourquoi tu dis du mal sur Quasi ? c'est pas beau de dire des mensonges .

Pour lui, la méchanceté et le mensonge étaient des sales choses qu'il fallait noyer au port.

[quand on est invisible devant un pape ]


Le gosse haussa les soucils façon Aime en voyant le pape même pas lui répondre et aller parler aux gens en mentant.
Pourquoi il mentait tout le temps sur Quasi et Aime.
Dudule l'aimait pas cet homme et c'était pas possible que le Tres Haut lui fasse confiance. Ses paroles c'était que des trucs méchants et faux.
Quand l'homme eut fini de parler il s'avanca à nouveau et se planta devant lui levant le nez.

S'il le voyait pas c'est qu'il était trop fier de lui et préférait les grandes pesonnes et n'en avait rien à faire des plus petits que lui.

Monsieur le pape pourquoi vous répondez pas à mes questions et pourquoi vous mentez toujours.
Quasi nous dit que mentir c'est pas bien et qu'il faut vivre et pardonner et vous, vous dites que des mots méchants.

Aimelin il croit au Tres Haut plus que vous !

il éleva la voix regrettant de ne pas être aussi haut que le cur'ton pape, car pour lui ce pape c'était un cur'ton qui mentait.

et t'es veni faire quoi sur l'ile ? dire des choses méchantes sur notre abbesse et sur le prince parce que tu les aimes pas ?
et tu t'en fous de ce qui se passi ici tu t'en fous parce que jamais on a vu ta tête ici.

y'a qu'un personne qui a le droit de nous dire de sonni les cloches, c'est Quasi.

Puis tu parles de pardon toi alors que même pas tu sais ce que c'est le pardon.
Mentir sur Aime qui a prié avec nous, pendant que le roi voulait tuer tous ceux qui priaient. Toi tu priais aussi ou tu faisais ce que disait le roi ?

moi je priais, Quasi elle priait, tout les gens ici priaient et Aimelin aussi il priait en disant que jamais quelqu'un interdirait à personne de prier à Guernesey.
Et toi avec tes mensonges tu viens dire ici qu'Aime il aime pas l'église de pascal ? t'es qu'un menteur !

il éleva un peu plus la voix, excédé par ce cur'ton

c'est toi qu'aimes pas l'église, et moi je t'aime pas et j'espère que le Tres Haut il te renverra de ton travail pour être si méchant.

Essoufflé il se tourna vers Aimelin qui le regardait d'un air bizarre et s'avança vers lui.

moi si le cur'ton dit encore que tu pries pas je demande au tres haut dans ma prière de lui donni un coup de cloche

La mine renfrognée il se posa à côté du Prince, jetant un regard noir à l'homme d'église tandis qu'il murmurait.

s'il te plait le Tres Haut, donnes lui un gros coup de cloche au cur'ton qui ment

L'EGLISE NE COMMANDERA JAMAIS CES TERRES, ELLE NE DÉCIDERA JAMAIS QUI EN SERA SON PRINCE, MAIS ELLE VEILLERA SIMPLEMENT A CE QUE CE DERNIER SOIT PASCALIEN.

Somnolent devant la fatigue qui se faisait sentir et la dure fin de cette journée qui n'en finissait pas, le jeune Prince sursauta en entendant crier.
Qu'est ce .. encore l'autre qui arr... ha non je l'avais oublié lui.

Haussement de sourcils et sourire. Ha ben voila il l'a dit que l'église ne commandera jamais ici et vu que je suis pascalien il peut plier bagage et commencer à fouetter ses rameurs pour rentrer le pape. Aime était certain que le pape avait dans les cales de ses galères quelques galériens qui ne marchaient pas à la parole du tres Haut, mais à celle du fouet. Et puis ça venait prêcher un semblant de belles paroles.

Surprise en voyant Dudule et air mi sévère mi amusé quand il vint vers lui.

moi si le cur'ton dit encore que tu pries pas je demande au tres haut dans ma prière de lui donni un coup de cloche

Il suivit des yeux le gamin qui se plaçait à côté de lui tandis que c'est Quasi qui prenait la parole. Il la laissa parler et se contenta d'ajouter, fatigué de parler dans le vent à un homme qui quoi qu'on dise ne clamait qu'une vérité, la sienne, et donc la fausse, vu que la réalité n'était pas à son avantage.
Avoir renié Guernesey qui défendait l'église Pascale, c'est vrai qu'il n'y avait pas de quoi être fier.

oui que le curé que vous enverrez ne sorte pas des textes compliqués que lui même ne comprendrait pas.
Nous nous faisons un point d'honneur à Guernesey à parler simplement afin que tout un chacun comprenne et parce que dire des choses accessibles à tous est un signe de respect.

Les textes recopiés, puisés dans des livres pour la facilité, nous les laissons à ceux qui n'ont rien a puiser dans leur coeur pour écrire et parler.

Nous avons eu ce genre de curé avant notre Abbesse, dieu nous préserve d'en avoir un autre de ce genre.
Notre encre et notre voix sont celles du coeur.

Le jeune garçon que voila il montra Dudule d'un signe de tête... saura lui rappeler de ne pas dire deux fois la même chose n'est ce pas Dudule ? il eût envie de rire à la moue du gamin.

et surtout qu'il ne soit pas en retard.

Il hésita et se ravisa, il avait oublié un détail important.

Côté église, c'est notre Abbesse qui l'entretient et enlève la poussière des bancs de bois, les arrange lorsqu'ils sont cassés, et met de l'ordre.
Je compte donc sur le curé que vous enverrez pour laisser cette église dans l'état où il l'a trouvée en entrant.
Il n'est bien entendu pas question que ma fiancée que vous insultez en la traitant d'idiote, joue le rôle de sa servante.

Et en tant que Prince souverain je n'hésiterai pas non plus à vous écrire publiquement si ce curé ne remplit pas l'office pour lequel il est nommé.
Vous privez Guernesey de son Abbesse dévouée, vous devrez en assumer les conséquences.

Je n'agirai pas toutefois, comme vous en vous traitant d'idiot, car je pense que vous comprenez que nous tenons à notre église et que quiconque la maltraitera subira la foudre de nos habitants.

Jean avait ouïe dire par les habitant décidément pas trés content de la présence papale , que ça sainteté s'était dirigé vers l'église où d'ailleurs tout le monde était réuni, et pour lequel le très saint père l'avait fait venir apaiser les tensions qu'il pouvait y avoir.

Après quelques minutes de marches il arriva à l'église où la discutions était trés animé

puis arriva près d'eux et se signa du p pascalien comme pour se donner courage dans cette grande tâche

puis s'inclina devant le pape et devant le prince , faisant au passage une révérence à quasi sourit au petit et salua le reste des personnes présente

Bonjour vôtre sainteté , Bonjour vôtre Altesse, Monseigneur bonjour , pitchoun bonjour

étant donné l'ambiance régnante il s'abstint de formule de politesse du genre comment allez vous et attaqua avec fort diplomatie le sujet senssible

je suis son éminence le cardinal d'Anjou me voilà ici afin de pouvoir parlementer avec vous Altesse et vous aussi Monseigneur afin de pouvoir apaiser au mieux cette tension qui n'est pas trés Pascalienne

puis sourit d'un air rassurant et attendit la réponse

Il faillit exploser de rire. Le pape décidait même de la date de leur mariage. Mais qui donc était il pour décider ainsi de la vie du couple princier. Aime préférait aller au royaume se marier en toute simplicité, comme l'avait fait le Roi et la Reine, plutôt que d'être marié par lui.

Quant à vouloir le bien de Guernesey, foutaises que cela ! ce pauvre homme n'était qu'un misérable petit serviteur du Tres Haut en mal de reconnaissance, qui insultait les îliens en affirmant sans savoir, que leur prince était hérétique. Quasi répondrait, il le savait, elle ne supportait ni le mensonge, ni l'injustice malgré son amour pour l'église, amour qui lui faisait servir cette église de Guernesey depuis aout 1649.

Un étonnement à l'arrivée d'un autre homme d'église, s'annonçant comme le Cardinal d'Anjou, et un bonjour franc et courtois, à l'homme en inclinant le buste.

Bonjour monseigneur. Bienvenue en nos îles.

Je laisse notre Abbesse vous répondre, car malgré les mensonges et calomnies de cet homme, elle est la sagesse même et parle avec sincérité et vérité de notre amour de l'église pascalienne.

Je suis las de parler à un mur.

Il regarda Quasi et lui laissa prendre la parole.

Jean s'attendait à un accueil plus glacial mais non même si les Habitant de guernesey étaient quelque peu en froid il ne restait pas moins courtois et trés Pascalien et lui répondit

Merci bien vôtre Altesse

puis un trés court instant après il répondit

Non vôtre Altesse , il n'y a plus de mur je suis là pour aider aux dialogues , à la paix . Nous savons vôtre Pascalisme qui dépasse les frontières de l'île et je n'en douterai pas une seule seconde ni pour vous ni pour Quasi que j'apprécie d'ailleurs. La liberté n'as pas de prix, ni celle de pensée et sachez que l'église ne l'enlèveras pas et fort heureusement d'ailleurs. Mais puisque nôtre amour pour la foy Pascalienne est commune je suis sûr que nous trouverons moyen d'arranger les choses

souriant , certes la tâche serait longue ou difficiles mais c'était le défi de Jean le défi que sa sainteté lui avait demandé de relever, le seul moyen le procédé que jean avait toujours fait suivre son cœur de pascalien coeur que les Iliens avait sans nul doute

jean sourit et dit


Oh quelle charmante attention , je suis heureux d'être ici bien que j'aurai aimé dans d'autre circonstance. Oui Monseigneur j'aime les anchois et je suis fort heureux de rencontrer son Altesse le prince Aymelin. Les raisons qui me pousse ici sont bien plus complexe que cela, outre la fraternité et l'amour que je porte à ses terres j'ai la lourde tâche d'apaiser ce climat de tension qu'il peut y avoir. Je ne suis donc pas là par hasard , je suis là car le pape m'as mandé ici, oh ne vous inquietez pas Quasi , vous me connaissez et savez que vous pouvez me faire confiance je suis ouvert au dialogue vous écouter et tenter de trouver une solution pour satisfaire les deux partie sans toucher l'intégrité de l'île, elle restera comme vous , son Altesse et ses habitants ma chère amie désiraient qu'elle reste. j'espère être assez mis au courant de la situation si quelqu'un peu me l'expliquer ??

Henri qui avait accompagné le Prince et sa famille se tenait un peu en retrait car il ne voulait pas gêner le Prince mais il était déterminé à le défendre si jamais celui qui après beaucoup d'autre portait si mal le nom de sainteté élevait la voix.

Il vit entrer Jean d'Anjou qui ne l'avait pas vu, il connaissait l'homme et le pensait de bon aloi et le considérait même comme un ami compte tenu de ce qu'ils avaient partagé dans l'Ordre mais le temps avait passé et il attendait pour se faire une idée.

Jean se retourna un instant et vit Henri et se devait de le salua chaleureusement

Mon ami quel plaisir de te revoir , j'espère que tu vas bien. Mon dieu le temps à passé j espère que nous aurrons possibilité de parler plus longuement après cette histoire

Henri sourit chaleureusement

je te remercie de ce salut fraternel Jean, tu sais être de ces hommes qui savent se souvenir, que Pascal te loue de cela, oui nous trouverons sans doute un moment pour parler de l'ancien temps et surtout du futur.

Un coup de coude à Aimelin...ah tu vois, lui, au moins il aime les anchois!

Elle voit De Coucy arriver et le salue en souriant.

Monsieur bonjour, heureuse de vous rencontrer.Permettez moi de répondre à la demande de son Eminence , votre ami.

Je vais vous expliquer ce qui se passe votre Éminence. Vous savez combien je respecte notre église et ma vie n'est guidé que par la foi. Depuis ma venue ici, je n'ai eu de cesse de regagner les fidèles qui avaient déserté notre église. Jamais je n'ai cru un jour m'opposer à une demande de notre Saint Père. Et pourtant, à l'encontre de toutes mes valeurs, je l'ai fait. Non par bravade, non par esprit de rébellion. Simplement par respect pour ce que nos iles ont vécu. Il y a peu nous avons du sortir nos armes pour avoir le droit de prier Pascal. Des armes pour la foi...triste mais necessaire et nous n'avons pas hésité. De ce combat, la foi a gagné et Pascal, dans son infinie bonté a guidé la main des hommes et nous a offert notre liberté. Cette liberté est toute fraiche, Votre Éminence. Le sang coule encore de certaines plaies. Durant tout ce temps de conflits, l'église nous a abandonné. Pas Pascal, oh non, jamais. Il a toujours été à nos cotés. Mais ses messagers, eux, n'ont pas répondu à notre appel. Alors quand sa Sainteté est arrivée, nous avons mis de coté tout cela et nous l'avons reçu comme il se doit.

Elle prend la main d'Aime et la serre.

Malheureusement, ce que nous attendions, de simples explications sur cette absence de soutient, sur ces excommunications sans raisons..nous n'attendions pas d'excuse évidement mais un mot qui aurait dit...nous ne vous avons pas oublié durant cette période trouble..mais les mots n'ont pas été du voyage Votre Éminence. Seul un écrit l'a été. Un écrit qui édicte des règles sur une terre qui vient de se battre pour que plus jamais on ne lui impose une loi qui n'est pas sienne. Un mot a tout changé. Soumettre...ce mot n'existe plus ici Votre Éminence et je quitterai notre église, le cœur en chagrin, si il le fallait mais plus personne ne nous soumettra. Les iliens ont choisi leur Prince. Non en votant, non en le nommant, mais en marchant tous derrière lui quand il le demanda. Et personne qu'eux n'est en droit de lui retirer cet honneur. Voila, rien de bien compliqué, vous voyez. Les anchois en gratin,, vous connaissez?

Henri salua Quasi, il ne la connaissait que de réputation mais on ne lui avait pas menti cette femme avait un charisme exceptionnel, il comprenait que le Prince en fut tombé amoureux et en ai fait sa femme.

Il s'avance, Tout cela est malheureusement exact Jean le souverain pontife qui n'a même pas pris la peine de s'occuper de ses sujets quant la grande maladie s'attaqua à Reims, qui n'a pas daigné répondre à ses derniers fidèles quant ceux-ci lui ont écrits est venu ici et s'est comporté comme un monarque absolut ordonnant et commandant comme s'il venait ici sur les terres d'un vassal.

Il aurait tout obtenu avec de l'humilité, il aurait tout obtenu en disant simplement, l'église a fauté, non Pascal, et je viens ici réclamer votre pardon pour mes fautes et votre aide pour reconstruire l'église. La il aurait tout obtenu car il se serait montré comme Pascal qui savait écouter les plus pauvre et s'assoir à côtés des plus démunis.

Nous avons eu Pascal, prêcheur humble et pourtant fort qui a battit l'église sur l'humilité l'écoute et l'entraide et nous avons son représentant qui arrive sur ses galères menacer un peuple fier et fidèle à la foi de Pascal....................Il n'y a, à mon sens, qu'une voie celle des excuses et de l'humilité car notre visiteur doit comprendre qu'il est seul et qu'il pourra excommunier, fulminer, menacer, ce faisant il se met lui même en dehors de la voie de Pascal et donc de son église.

Le clergé n'existe plus les église sont vides sauf ici ou la foi est intacte et que fait-il il rejette tout cela parce qu'il veux des croyant tremblants et soumis.............

Puis se tournant vers le Pape

Comprenez vous Mathieu que vous n'êtes qu'un homme et que votre seule force est d'être à l'image de Pascal, humble, aimant et toujours la main tendu ouverte vers ceux que tout écrase ? Comprenez vous que l'avenir de l'église est dans son soutien aux démunis et non dans la menaces de ceux qui ont tout fait pour tenir leur peuples dans la voie de Pascal ?

se tournant vers Quasi et Aimelin ainsi que vers Jean

Pardonnez moi mais il fallait que je le dise, j'assumerai mes actes si vous pensez qu'ils vous desserve. et il fait un pas en retrait

Alors que le Pape n'écoutant rien de ce qui venait lui être dit et s'avança pour prononcer son sermon au peuple de l'Ile, ce dernier se leva et lui tourna le dos encourageant Quasi et le Cardinal-Archevêque de Rouen à dire les paroles de Pascal.

l'un deux s'avança vers lui

Monseigneur, croyez que nous avons foi en Pascal et en son église puisque nous tournons vers vous pour nous dire et commenter ses paroles. Mais il n'est pas question que nous écoutions un homme qui entre chez nous comme chez lui et utilise un verbe haut et hautain, qui menace et cherche à nous soumettre comme des hérétiques. Cet homme n'est pas de la voix de Pascal, cet pêche contre l'esprit même de Pascal cet homme changera où il sera seul car personne ne l'écoutera, personne ne lui parlera, car il sera transparent aux yeux des croyants en la sainte église de Pascal

Un murmure d'approbation s 'éleva de la foule qui mettant un genoux en terre devant leurs Princes et le Cardinal-Archevêque de Rouen se préparèrent à écouter la sainte parole de Pascal portée par de vrais prêtres de sa sainte église. Henri les rejoint et met un genou en terre. Le pape étant seul à son hôtel

il écoutait avec douceur et calme pascalien tout ce que quasi et son ami Henri lui disait sur cette histoire , lorsque le petit colin dont il avait entendu parlé vint à sa rencontre

Dis, monchieu..tu aime le cocholat?


sourit et répondit au petit proche de tous ses fidèles

Mais bien sûr que j'aime le chocolat colin

puis trifouilla dans sa besace et trouva un petit coffret dans lequel il avait mis du chocolat et du sucre pour tenir pendant le voyage et pris le petit morceau qui lui restait et qu'il avait gardé pour le voyage de retour et accroupie et présenta

tiens ça c'est pour toi mon pitchoun je te le donne de bon cœur, nous allons manger

il écouta le Prince

Citation :

Pardonnez mon fils Votre Éminence, mais cela fait des heures que nous palabrons en vain

.

et répliqua

Citation :

Peut être souhaiteriez vous vous joindre à nous au palais où nous pourrons nous restaurer tout en devisant? Notre Maire Philippe Mézières, ma conseillère et lieutenant général, France que voici, ainsi que la Duchesse pourraient se joindre à nous, qu'en pensez vous ?

et jean souriant débordant de joie par tant de gentillesse il répliqua



OH et bien je pense qu'en parler autour d'une table sera que mieux , je pourrais discuter avec vous quasi Henri et tant d'autre qui seront présent afin de discuter plus sereinement et puis on discute mieux le ventre plein qu'une ventre vide, et puis Altesse ne vous excusez pas vôtre fils est empli d'amour comment lui en vouloir Pascal aurait agit ainsi devant ce petit bout de chou