[RP] Eglise Paroissiale Pascale de Paris

Alban etait penché vers sa soeur pour entendre son murmur tandis que le curé demandé pour avoir une anecdote sur Maddox

Citation :

tu sais Alban je le connaissais pas trop, sauf depuis la place de la grêve, il faisait son travail avec toute application, aujourd'hui il n'est plus, c'est bien triste il avait de grandes valeurs et pour d'autres il était le mechant gardien ..

Quel drole de vie , c'est bien triste ce qui lui est arrivé je le connaissais point que son ame dorme en paix en mumurant a Elena

Il reconnut Marie d'Hautefort ,lui fit un salut de la tete ,regarda discretement si il connaissait des visages

Après un long temps de silence Remedius repris la parole.

- Avant de finir notre célébration nous allons récité la prière de Pascal pour lui confier Maddox.

Citation :

e crois en Pascal
Humble Paysan par qui la vérité Divine fût révélé aux Hommes.
je crois en la révélation, aux préceptes d'amour, de paix ,
de dialogue et de débat qu'il nous a transmis.
Je rejetterai le culte de la mort et observerai le bonheur de la vie
qui réside sous toute forme et dont le tout puissant en est l'auteur.
Je crois en Pascal , Prophète et saint et place ma foy dans son église.

c'est ma foy

Une fois la prière récité, Remedius descendit l'allée centrale de l'église puis attendit sur le seuil que chacun sorte après être resté quelques instant ou de longue minutes en prière.

Citation :

Aux Habitants de Paris,
Aux Fidèles de Notre Sainte Eglise Pascale,



L’heure du silence est terminée.
Il est temps de redonner un souffle nouveau à cette église qui nous est chère.
Parce que chaque personnes à droit à un lieu de recueillement.
Parce que chaque personnes à droit à un baptême, un mariage et même lorsque sa vie s’arrête, à un enterrement digne…
Parce que tous le monde doit pouvoir trouver une oreille attentive, tous le monde doit pouvoir venir se confesser…
Ainsi, The Pape, m’a confié la lourde charge de reprendre en main cette institution.
Je m’efforcerais de faire au mieux. Mais je ne pourrais pas faire tout, toute seule.
J’ai besoin de personnes qui travailleront avec moi. Aussi, je recherche des individus capables de prendre la charge de curé ou de diacre au sein de notre paroisse.
Si vous êtes intéressé, merci de m’écrire, afin que je puisse vous rencontrer.
A partir de ce jour, vous pouvez venir me voir pour toute demande de baptême ou de mariage.
Parce que j’y crois, parce que je sais que l’union fait la force, parce que je sais que chaque habitant se sent concerné, l’église de Paris retrouvera toute splendeur d’ici quelques temps !
C’est l’engagement que je prends ce jour.

Fait le cinquième jour du mois d’Octobre 1651
Que Pascal vous garde !

Esmée Leolan-Valrose,
Marquise de Brunoy,
Marquise de Montfaucon d’Argonne,
Baronne de Laigle,
Grand Aumônier de France,
Archevêque de Paris.

Dans l'après-midi Eyquem, se rends à l'église en quette d'un curé pour réaliser les volonté du roi. Il avise une personne de sa connaissance .......il s'approche salue avec souplesse d'un large mouvement de son bras tenant son feutre dont les plumes touchent presque le sol. Puis se plaçant de biais pour ne pas gêner il attends afin de n’interrompre personne ni gêner le déroulement du sermon qui,cela dit n'a pas encore commencé.

- Madame la Marrquise.... Puis-je vous entrretenirr un instant ?

- Oui je m'occupe de cela, je vais écrrire à sa Majesté du lieu et de la date de merrcrredi. Si vous souhaitez de l'aide ou quoi que ce soit d'autrre vous me trouverez en l'auberge "Aux plaisirr de Parris".

Si vous le perrmettez je vais me rretirrer, en vous rremerciant d'avaoir bien voulus prrendrre le temps de m'écouter, votrre serrviteurr, Madame.

Il salut avec courtoisie mais sans ostentation attendant que le Grand Aumônier lui accorde la possibilité de se retirer

Le 24 décembre Nuit de Noel

- Monsieur ? fit Salim en se baissant contre le fenestron de leur carrosse je suis désolé de vous importuner mais l'office n'a pas lieu à la cathédrale de notre Dame mais à l'église paroissiale Pascale

une petite déception pour Keridwenn qui pensait mettre une autre bougie, mais qu'à cela ne tienne, elle ira en déposer une pour amélys sur le socle de la statut prévu à l'enfant. elle regardait sa fille qui s'épanouissait dans les bras de son père, heureuse.. et oui elle la sentait heureuse. comme quoi même quand un père peut être absence, l'enfant a de la reconnaissance, comme quoi quand une mère n'allaite pas .. l'enfant aime sa mère .. comme quoi quand les parents étaient présent, l'enfant était heureuse.

mais malgré ce jolie moment, il manquait un petit quelque chose, un manque .. et quand Keridwenn regarda par la fenêtre, elle vit les lanternes éclairer un groupe d'enfant chantant se réchauffer autour d'un feu qui brulait sur le trottoir. Ils étaient pieds nu, sale et trés peu habiller malgré les manteaux troués qu'ils portaient sur le dos.

son regard croisa celui d'un petit garçon agé tout au plus de 8 ans. les cheveux bouclés et blondiné.. elle eut comme une vision, un pincement au coeur ce manque n'était qu'autre

ZAc ! susurrait elle en roulant ses yeux sur Charles qui souriait à Amélys . ils lui avaient envoyé un courrier en août mais depuis aucune nouvelle. avait il reçu la lettre chez les celliac ? lui avait il au moins donné ? était il bien traité sur l'ile ? tant de question qui la tourmenter soudainement mais qu'elle garda au fond d'elle jusqu'à l'arrivée sur le parvis de l'église qui sonnait déjà l'heure de la messe

juste à temps fit-elle avec un sourire

Jamais il n’avait été aussi excité. Il tenait la main de la reine. Rien que cela déjà c’était excitant. Il la trouvait belle la reine. Même le roi. Il croyait que les rois et les reines étaient des vieux, bien gros tant il ne faisaient rien, avec des bijoux et de l’or partout sur leur vêtement. Mais là, ils ressemblaient pas à ça. Et la reine avait été gentille avec lui, même s’il avait presque pas réussi à dormir depuis que Charles l’avait déposé.

Il piétinait et n’avait qu’une envie c’était de courir dans cette église et de sauter dans les bras de Kery. Elle lui manquait tellement. Et il avait tellement de choses à lui raconter. Et puis il y avait aussi le bébé, et, et, et…. tant de choses que le faisaient sauter comme une puce.

Et la porte s’ouvrit, et la reine lui dit qu’il pouvait y aller.

- Merci madame la reine.

Il lui fit une bise sur la joue et marcha le temps qu’il put avant de se mettre à courir avec un sourire immense, se moquant du bruit que faisait ses souliers sur les pavés de l’église.

Pourtant il devait se calmer et donner le papier. Alors il s’arrêta devant sa mère, les larmes aux yeux de bonheur, lui tendit le papier et lui sauta dans les bras.

- Oh maman… tu m’as tellement manqué maman, tiens, c'est un cadeau. C'est... c'est la reine qui me l'a donné, faisait il en riant mi pleurant.

Spoiler:

Interruption de la liturgie.

La grande porte de l'église s'ouvrit.. des retardataires surement! pensait elle en levant ses yeux sur le prêtre qui regardait vers la sortie. Et comme chacun de présent ce soir là, Keridwenn tourna la tête, comme tout le monde, ses yeux étaient rivés sur les silhouettes dans l’entre porte dont la lumière empêchait de voir de qui pouvait s'agir. Pourtant quand les personnes du fond de l'église firent une révérence, Keridwenn comprit que ses majestés venaient pour se joindre à la population Parisienne afin de partager cette office.

mais elle resta muette un instant quand elle entendit courir sur les pavés. Intriguée, elle garda ses yeux aux sourcils froncés devant ce manque total au protocole.. entrer avant le couple royal et d'autant plus faire autant de bruit dans un lieu saint n'était pas pour lui plaire. Elle regarda Charles qui prit un sourire , étonnée, elle se demandait bien ce qui pouvait lui arriver.

Et ce fut à ce moment là, qu'elle vit celui qui courrait dans l'église, au fur et à mesure de son approche, son coeur battait à rompre.. au fur et à mesure que ce petit garçon s'approchait, ses yeux se remplissaient de larmes, et au moment ou il l'appela maman, les larmes coulèrent sur ses joues, des larmes, elle en avait verser ses derniers jours, mais celles ci n'était qu'autre de l'émotion mélangé à la joie d'entendre son fils l'appeler, de le voir devant elle, qu'elle ressentit sa gorge se resserrer au point d'en être étrangler .

s'accroupissant devant zacharias, elle l'attrapa par les épaules, le serrant peut être un peu trop fort mais rien comparer à sa joie immense qui l'envahissait

Co .. comment .. comment est ce possible ? Zac, fit-elle étranglée Zac , mon fils .. tu m'as tellement manqué également fit-elle en le prenant dans ses bras, et l'embrassant sur chacune de ses joues, Par pascal, c'est ..c'est

les mots lui manquaient.. alors le baiser d'une mère était plus significatif à la tendresse et à l'amour qu'elle lui portait. prenant le parchemin qu'il lui tendait, Keridwenn se releva et jeta un regard vers Loysse qui foulait également l'allée principale de l'église, au bras du Roy.

elle déroula le papier ... et au fur et à mesure qu'elle lisait , l'émotion était de partie remise,

un certificat d'adoption? fit -elle en regardant Charles Charles ,! c'est un certificat qui dit officiellement que Zacharias est notre fils ?! continuait elle à s'interroger comme si tout cela était un rêve qu'elle vivait éveillée

Il ne savait pas ce qu'était le document donné par la reine. Il ne le sut pas jusqu'à ce que Kery le dise à Charles et là....là il ouvrit de grands yeux qui glissaient de sa mère et de son "père" ? Il devenait ainsi son père. Les choses se bousculaient dans sa tête. Il allait avoir une famille. Une vraie famille. Il serra encore plus Kery avant de se laisser glisser au sol.

- C'est vrai alors ? Je... je suis votre fils maintenant ?

Il se glissa entre eux deux et leur prit la main, regardant la haute stature de cet homme qu'il avait tant détesté et qui ce soir avait fait de lui son fils. Il vivait là un bonheur comme jamais il n'avait eu. Il serra un peu la main de Kery et lui fit un geste de la tête pour lui montrer le roi et la reine qui arrivaient.

- J'ai été dans leur maison tu sais. J'ai même dormi à côté de la reine, chuchota t'il. Dis, on part bientôt, il fait froid ici, fit il avec un sourire sur son visage bronzé.

Il n'avait rien en commun des autres enfants. Il était bronzé et portait une chemise blanche cintrée d'une ceinture de cuir noire et surmontée d'une veste noire. Il avait un peu l'air d'un pirate habillé comme cela, surtout que de sa botte dépassait le manche du couteau offert par Bouquincan qui ne le quittait jamais.

- Joyeux Noël kery, lui chuchota t'il alors que Zac la serrait fortement ampli d'une joie sincère. Je vous expliquerais tout lorsque le service de minuit sera terminé.

Il reprit sa place, admirant le bonheur qu'ils avaient à se retrouver. Il existait un lien invisible entre Kery et Zac. Un lien d'amour qui était né lorsque Kery s'était faite enlevée et que Zac, dit Marcel, était complice des ravisseurs. Charles ne savait pas ce qu'il s'était passé entre eux. Il savait seulement que ce petit garçon le regardait pour la première fois sans haine et sans peur. Ils finiraient peut être par s'aimer un jour même si Charles garderait toujours le souvenir de son cri lorsqu'il avait tué son père, son regard et ses larmes lorsqu'il l'avait mit en terre. Il ne pourrait jamais effacer cet état de fait et Zac non plus. Ils allaient simplement devoir apprendre à vivre avec.

Il sentit sa main minuscule prendre la sienne et pour ce soir tout ce passé serait derrière eux.

- Chut Zacharias. On rentrera dès que la messe sera terminée.

La Reine et le Roi venaient de prendre place et le prêtre termina la messe par un chant de petits choeurs. Amélys s'était endormie dans ses bras et s'était un peu tassée sur elle-même la rendant encore plus minuscule.

Keridwenn sentait la main de Zac dans la sienne, et ce fut un bonheur immense qui l'envahissait tout au long de l'office de minuit. elle ne pouvait s’empêcher de regard Charles, silencieusement, aux sons des cantiques, qu'elle admirait son époux. Sentant l'émotion au plus profond d'elle qui démontrait qu'elle n'était pas démuni de sentiment humain. cet amour qu'elle portait pour chacun de ses hommes étaient sans mot et infini.

Elle regardait aussi sa fille qui dormait paisiblement dans les bras de son père. ce soir, elle aussi aurait son grand frère à ses cotés. Amélys allait pouvoir profité d'une fratrie dont Keridwenn n'aurai pu espérer pour ses enfants.

Quand l'office fut terminé, tout le monde se leva, Keridwenn serra sa main dans celle de Zacharias qui s'impatientait de rentrer à l'hotel,

Charles permettez nous d'aller souhaiter à nos souverains, une joyeuse fête de la nativité, ce soir, toutes les mères sont à l'honneur d'avoir porter la vie en elle .

Zac? tu viens avec moi fit-elle avec un grand sourire

et devant l’acquiescement de son époux, ce fut en famille que les De Nemours se présenta devant les souverains de France

Majestés fit Keridwenn en faisant une révérence envers la Reyne et le Roy je tenais à vous remercier personnellement du merveilleux geste dont vous m'avez fait honneur, celui de retrouver mon fils. et de lui avoir permis d'avoir un nom ..Il n'y a pas plus grand bonheur de retrouver les siens d'autant plus ce soir, cette fête significative de la famille ..sachez que grande est ma reconnaissance... fi-elle en levant la tête

permettez nous de vous présenter également notre fille .. Amélys