[RP-Lieu] Cabinet de travail du Roy

Messages : 101 Date d'inscription : 04/10/2009

Azzio, non connais pas

Lio prit la carte et l'examina

Hmmm s'il s'agit de bouger un peu pourquoi pas !

Bon allons-y vous m'expliquerez en chemin

Invité

Citation :: Où êtes vous donc Chriskhan ?

Mousquetaire Lionix, veuillez me pardonner... Le Roi ayant fait savoir que je pourrais le voir sitôt que le Marquis se serait exprimé, je ne me suis pas, évidemment, permis de ne pas me soumettre à sa volonté... Le Marquis doit réfléchir sans aucun doute...

Cela dit, je crois que le Premier Ministre s'est chargé de faire rapport au Roi quant à ma candidature au Poste de SEG et que celle-ci doit faire l'objet prochainement d'un acte officiel. Ainsi, sauf avis contraire de Sa Majesté, je retire donc ma demande à le voir, il a certainement d'autres chats à fouetter et je le verrai en Salle du Trône où il doit recevoir sa Noblesse... (En cours...)

Sauf avis contraire, je me retire donc. Et dans la foulée, je vous fais mes hommages dans l'espoir de vous revoir bien vite !

Messages : 2647 Date d'inscription : 04/10/2009

Après quelques mètres dans le palais, Firenze la vit reprendre du poil de la bête. De toute façon il ne se voyait pas la porter jusque dans les appartements du roi de quoi aurait-il eu l'air ?

Pouvez vous me poser s'il vous plait?

-Bien entendu Mademoiselle Sophie.

je ne voudrai pas que mon frère me voit blessé.

Ça il le comprenait très bien, l'orgueil de la jeunesse lui non plus n'aimait pas montrer ses faiblesses la plupart du temps il gardait tout pour lui et il était impossible de dire ce qu'il ressentait la seule personne qui arrivait à briser cette glace il ne savait si un jour il la reverrait.

Mais tenez moi surtout, je ne me sens pas très...stable.

-Ne vous inquiétez pas.

Comment faire autrement puisqu'elle avait mis la main dans la sienne. C'est donc ensemble qu'ils arrivèrent devant le cabinet de travail au mousquetaire qui gardait la porte il expliqua la situation et au valet il demanda d'annoncer que la soeur du Roy Sophie était arrivée et souhaitait voir son frère.

Messages : 570 Date d'inscription : 01/06/2010

Répondant surpris à l’annonce de l’arrivé de sa sœur.

Ma sœur dites-vous ?
Impossible, elle est à l’abri d’un couvent, que ferait-elle ici ?
Enfin faites entrer cette personne.

Alexandre se leva tout de même, comment se pouvait t’il qu’elle soit la.
Et si c’était une plaisanterie, l’imposteur allait voir ce qui est de se moquer de lui.
Mais rien qu’à l’idée, qu’elle soit présente le cœur d’Alexandre se réchauffa.
Autant il n’aimait pas son frère, qui par soit disant foi, n’avais jamais songé défendre ses terres quand elle en avait besoin.
Jaloux aussi, qu’il fût aux yeux de sa mère un exemple de sagesse et de façon d’être.
Alors que lui, n’avait le droit qu’a des reproches, il était à ces yeux condamné, trop de boissons, trop de femme, trop de frasque, Alexandre était promu à l’enfer.
Et le jour où il apprit la nouvelle, la maladie et la guerre avait éteinte une lignée, et lui le coureur de jupon était Roy.
Ce jour la, il avait prit une feuille pour écrire quelques mots à celle qui l’avait enfanté.

Citation :: Mère je vous informe par la présente, que ce jour je deviens Roy de France.
C’est Dieu qui l’a décidé ainsi, et par la même, il vous informe de votre erreur.
L’enfer n’est pas pour moi, Dieu n’est pas d’accord avec votre Jugement

Alexandre le Fier

Et sa sœur dans tout cela fut placée au plus jeune âge, dans un couvent, pour en faire une triste fillette respectueuse de la vie des autres, et devant oublier la sienne.
Il ne la connaissait que trop peu, mais il l’aimait cette gamine.
D’un caractère changeant, elle savait le faire rire de ces phrases et de ces mots de fillette.
Il se rappelle de sa dernière visite au couvent, endroit merveilleux, ou il pu délivrer des femmes de leur souhait impossible.
Elle avait été punie, mais il avait eu le droit de l’emmener en ville.
Douce journée, et de complicité avec Sophie.
Et ce jour était hier, enfin non il ne l’a pas vu en tant que Roy.
L’année dernière, non la guerre faisait rage.
Cela remonte à bien quatre ans, voila bien que le temps passe vite.
Il est certain qu’à présent, elle doit être une petite femme.
Chassant ces pensées, aussi nombreuses que rapide, pour regarder qui allait passer cette porte.

Messages : 2647 Date d'inscription : 04/10/2009

Le valet disparu derrière la porte Firenze en profita pour ôter doucement sa main. Pour sur le roy aurait une surprise restait à savoir comment il le prendrait...Léger haussement d'épaule au mousquetaire pour lui signifier qu'il n'avait pas pu faire autrement que de venir jusqu'ici en attendant que le valet ne rouvre la porte ce qui ne tarda pas à se produire.

-Mademoiselle il vous faut y aller maintenant.

Firenze s'effaça pour la laisser entrer la première, en faite il n'osait pas entrer, elle n'avait plus vraiment besoin de lui.
Après tout il lui avait dit qu'il l'accompagnerait, n'étant pas du genre à revenir sur ses paroles, il finit tout de même par franchir les portes.
Première fois qu'il venait ici, après tout il y a un début à tout, il s'inclina devant son roy et attendit la suite, qui sait il pourrait encore se rendre utile!

Invité

Il avait lâché sa main mais elle n'y prit pas garde. Son frère était derrière cette porte et elle était prête à foncer dans la porte si celle ci ne s'ouvrait pas au plus vite. Heureusement, la porte et le valet concerné comprirent que la situation était des plus pressée. Quand les deux immenses ventaux s'ouvrirent, Sophie resta sans voix et sans bouger.

-Mademoiselle il vous faut y aller maintenant.

Alexandre était bien là mais il était encore plus beau que dans son souvenir.

Adieu genoux douloureux, adieu rides causées par les larmes, adieu éducation religieuse...elle couru pour se jeter dans ses bras. Pendu à son cou, elle enfouit son visage contre lui, respirant cette odeur de sécurité, de bonheur, qui lui avait tant manqué.

Mademoiselle Sophie! voulez vous descendre de cet arbre!! ce ne sont pas des jeux de jeunes filles de bonne famille!! Oui ma sœur...

Un éclat de rire, de ce rire que la fin de l'enfance n'efface pas, sincère et sans retenu, vint enjoliver la pièce. Elle n'aurait plus à entendre toutes ses stupides recommandations, n'aurait plus à subir ces punitions injustes, elle était libre avec le seul frère , presque père, qu'elle aimait.

Oh Alexandre, je suis si..si...ne me renvoies pas, je t'en prie.

Messages : 169 Date d'inscription : 04/10/2009

Le colonel Firenze entra, accompagner d'une jeune fille, qui d'un bond couru vers Alexandre. Lauranna s'avança vers la demoiselle et la prit pas le bras.

--Je vous en prie Damoiselle......

Que dire d'une ressemblance physique telle que cette enfant et notre Roy... C'était frappant; laissant faire cela, la Colonel se doutait bien que Firenze n'aurait jamais mené en ce lieu une intruse qui en voulait à sa majesté.

Un regard entendu entre Firenze et Lauranna, ils attendirent la réaction du Roy, en maintenant la jeune fille a distance.

Messages : 570 Date d'inscription : 01/06/2010

Un vent de jeunesse ou de folie était rentré dans les lieux.
Voila Alexandre figeait par la surprise et la vivacité de sa sœur.
Elle s’était refugiée contre lui, mais fut tout aussi vite écartée par Lauranna.

Un instant d’hésitation, il regarda la jeune fille en sifflant.

Bien que tu as grandit, et puis d’aill,,,

Le Roy s’arrêta regardant la main du colonel des mousquetaires, sur sa sœur.

Vous pouvez la lâcher, elle n’a rien de dangereux pour moi.
Mais pour vous, méfiez vous de ces farces.

Et souriant réalisant complètement, la présence de la gamine.

Je vous présente Sophie, ma petite sœur, qui devrait être en train d’étudier dans un couvent, comme le souhaite notre mère.
De plus ma douce sœur, je ne t’ai jamais renvoyés.

Ouvrant les bras face à elle, en souriant.

Alors tu ne veux plus me câliner ?

Messages : 169 Date d'inscription : 04/10/2009

Sitôt dit, sitôt fait, Lauranna ôta sa main du bras de la jeune sœur du Roi. Elle comprit le pourquoi de cette ressemblance, Alexandre le fier portait bien son nom en cette heure.
Il paraissait même presque joyeux....
La Colonel recula jusqu'à la grande colonne de marbre en pensant à la jeune Sophie et se demandant comme devrait-elle la nommer......Princesse, Comtesse, elle n'en avait pas la moindre idée, une lacune a combler au plus tôt.

Invité

alors que Lauranna reculait, Sophie lui marcha sur le pied. Et comme elle avait hérité de la tante Berthe, il y avait peu de risque qu'elle la loupe.

Elle lui saute dans les bras à nouveau et le couvre de bisous.

Comme je suis contente Alexandre. Mère ne veut pas que je devienne comme toi, elle dit que...enfin tu sais toi mais moi je sais que tu es le plus gentil et que tu vas t'occuper de moi.

Elle tourne la tête pour regarder Firenze et lui fait un sourire.

Il est gentil lui, il m'a porté parce que je suis blessée mais comme je ne veux pas de ride il m'a tenu la main.

c'est logique, suffit d'être une fille de quatorze ans pour comprendre, c'est tout.

Elle regarde ensuite son frère encore et encore.

Tu es le roi maintenant. C'est bien mieux que notre frère , pas vrai? Dis, je suis toujours ta Sophie Chérie? je suis toujours ta préférée?

tu te rappelle quand j'etais petite, tu me chantais la chanson des fiancées d'Alexandre. Tu te rappelle dis? Moi je me rappelle.

Elle rit et commence la chansonnette.

Quand je pense à Fernande, je...oh c'était quoi le mot déjà? Même qu'il y avait Félicie et Léonore et Lulu et tu disais toujours que même si tu...oh flute et zut, le mot me revient pas...ah si si je me souviens.

Quand je pense à Fernande, je mande, je mande...dis, même si tu mandes pour tes fiancées, c'est toujours moi que tu aimes pas vrai?

Elle le regardait , inquiète.

Messages : 291 Date d'inscription : 31/01/2010 Ville : Paris

Doe entra discrètement dans le cabinet du Roy, il n'y était jamais rentré et n'avait pas envie de se faire remarquer. Doe regarda toutes les personnes présentes et les salua une part une. Même s'il connaissait pas grand monde ici, il se dit que ce n'était point le moment de faire connaissance.
Il chercha du regard le Colonel Lauranna. Elle lui avait demandé de passer quand il aurait fini son travail.

Voilà mon Colonel, j'ai terminé ce que je faisait. Pourquoi me vouliez-vous ici au faite ?

Doe regarda la salle. Il y avait peu de monde à surveiller. Il se demandait pourquoi elle l'avait appelé, mais qui était-il pour contre-dire un ordre de son supérieur ?

Messages : 169 Date d'inscription : 04/10/2009

Elle lui avait marché sur le pied, petite peste qu'elle était, cela se voyait d'entrée...Lauranna ne fit mine de rien, après tout un poids plume cette gamine.
Doe entra et s'adressa au Colonel. Une idée de génie lui traversa l'esprit, avec un sourire enjôleur elle lui répondit.

--Mousquetaire, parfait, je vous remet cette Demoiselle sous votre protection, faites en sorte qu'il ne vous arrive rien.

Lauranna se reprit à ce laspus idiot.

--Qu'il ne lui arrive rien surtout. Vous en êtes responsable.

La Baronne de Nivelle savait que cela ne serait pas de tout repos pour Doe, mais elle était confiante, après tout un mousquetaire se devait d'être à la hauteur en toute circonstance.

Messages : 291 Date d'inscription : 31/01/2010 Ville : Paris

Le Colonel Lauranna donna alors les ordres à Doe.

Pourquoi faire attention à moi ? Elle n'a pas l'air bien méchante cette petite... Tout les enfants sont un peu joueur... D'ailleurs pourquoi dois-je la protéger ? Qui est-elle ?

Doe la regarda le regard suspicieux...

Oui mon Colonel ! J'ai compris... Il ne lui arrivera rien. Mais qui est-ce ?

Doe fixa la petite fille qui ne semblait guère méchante, elle souriait et chantait devant le Roy, cela le fit sourire. Il surveilla donc la petite, il espérait que le lapsus du Colonel n'était pas révélateur...

Messages : 2647 Date d'inscription : 04/10/2009

Firenze observait les retrouvailles entre le frère et la sœur. Avait-il bien fait de l'amener jusqu'ici ? Il croisa le regard de Lauranna et lui fit comprendre qu'il n'y avait pas grand chose à craindre jusqu'à ce que Sophie entreprenne de sauter au cou de son frère ce qui ne fut pas du gout de Lauranna enfin il se dit qu'il aurait peut-être du lui dire que la jeune fille était la sœur du roy.

Quand il entendit la porte s'ouvrir à nouveau pour voir arriver le mousquetaire Doe il pensa qu'il était temps pour lui de retourner à ses occupations mais il aurait manqué le plus drôle : Sophie qui écrasa le pied de Lauranna. Puis il vit qu'elle le regardait, c'est vrai qu'il l'avait porté un temps dans les couloirs qu'allait-elle dire ?

Rien que la vérité en fait, Firenze esquissa un petit sourire et inclina légèrement la tête pour confirmer ses paroles. La chansonnette qu'elle entonna ensuite par contre avec des mots si évocateurs, qui plus est dans la bouche d'une gamine, il retient difficilement le fou rire qui le guetter mais il du reconnaitre que la chanson avait certaine vérité.

Puisque sa présence n'était pas indispensable, Firenze s'effaça jusqu'à se trouver à la hauteur de Doe qui demandait à ce moment là qui était la jeune fille à Lauranna il lui chuchota qu'elle était la soeur du Roy et que son nom était Sophie.

Messages : 570 Date d'inscription : 01/06/2010

Alexandre était heureux de retrouver ainsi sa sœur.
Et il l’écouta, il faut dire qu’il n’avait pas le choix, la gamine avait un débit irrésistible.
Leur mère, il savait bien ce qu’elle pensait de lui, mais d’un autre coté, il ne souhaitait pas que Sophie devienne comme lui, car un homme avec plusieurs femmes est un tombeur, enfin sauf pour sa mère, mais une fille avec plusieurs hommes une gourgandine et cela aux yeux de tous.
Un regard de travers tout de même, vers Firenze, il faudra qu’il lui demande pourquoi il porte les jeunes femmes, et que fait t’il de ces mains pour y chasser les rides.
Et son frère, bien mieux que ce frère, sa vie était déjà bien mieux avant d’être Roy.
Et un éclat de rire à la chanson, oui il s’en souvenait sans aucun doute et non il ne mandait pas, mais il pensait inutile de corriger sa sœur sur ce simple mot.

Oui ma sœur, c’est toi que j’aime
Comment cela pourrait être autrement, je t’aimerais toujours.
D’ailleurs tu auras une chambre dans mes appartements.
Et si quelqu’un essaye de te dérider, dorénavant cela sera moi.

Alexandre regardait Firenze, en prononçant ces dernières paroles.
Mais son visage redevint immédiatement joyeux, fixant sa douce sœur.

Puis l’on décidera ensemble ce que tu veux faire de ta vie ma sœurette.

Souriant décidant de l’agacer un peu.

Soit travailler dans les champs, soit devenir none, nous verrons cela ensemble.

Messages : 169 Date d'inscription : 04/10/2009

Lauranna se retint de rire, elle imagina d'un coup la sale gosse aux champs en robe de soie bordée de dentelles. Se pinçant les lèvres un instant elle pensa a ce pauvre Doe.
Regardant Firenze il ne serait surement pas trop de deux pour surveiller la soeurette, qui paraissait à la Colonel bien délurée pour ses quatorze ans.

--Sire, si je puis me permettre je pourrai affecter le mousquetaire Doe pour la sécurité de votre soeur.

Un petit sourire ironique aux lèvres de Lauranna qui regarda un instant la jeune Sophie, en imaginant sa protection par les mousquetaires et la garde royale réunis.
Lauranna se dit que l'avenir n'allait pas être de tout repos....

Messages : 291 Date d'inscription : 31/01/2010 Ville : Paris

Doe attendait la réponse de Lauranna quand dans son dos il entendit une voix qu'il connaissait, le Colonel Firenze.

Merci Colonel.

La soeur du Roy ? Je ne savais pas qu'il avait une soeur. Remarque... Pourquoi me l'aurait-il dis ? Je ne suis point son confident, je ne suis rien qu'un de ses gardes personnelle, pour lui. Peut-être que cela changerait avec le temps, mais pour l'instant c'est ce que je suis pour lui : Une armure, qui le protège et qui finirait les pieds devant avant que le Roy soit blessé.

Doe sourit au Colonel Firenze et regarda le Roy et sa soeur. Ils parlaient d'avenir... de champs et de couvents. Doe ne connaissait pas le tempérament de la jeune soeur du Roy, mais en voyant la réaction du Colonel Lauranna, il se douta que ça ne lui convenait pas. Doe continua de regardait le Roy qui souriait à sa soeur. Puis il entendit la voix du Colonel Lauranna qui annonçait au Roy qu'elle comptait affecter le mousquetaire Doe à la protection de sa soeur. Il n'avait pas l'habitude de protéger de jeune personne, mais il était plutôt doué avec les enfants, il espérait que se soit pareille avec la soeur du Roy qu'avec les autres enfant de son age.

Invité

Elle le regarde, éberluée. Au champs ou nonne...Elle le retrouve, taquin, prévenant, aimant. Lui seul a toujours compris que quand elle attachait des poêlons à la queue du chat c'était juste pour que la pauvre bête ne se perde pas.

Je veux pas etre nonne! elles sont tristes et elles sentent pas bon. et les champs..

elle le regarde, sourire en coin

Oui, c'est une bonne idées les champs , il y a plein de gentils paysans qui m'apprendront.

"le mousquetaire Doe"...elle tourne la tête et regarde. Beau garçon le mousquetaire. C'est pas un colonel mais bon, ca peut servir quand même hein.

Je vais avoir un garde rien que pour moi? et des robes, je vais en avoir des robes?

Petit regard triste , presque la larme à l'oeil.

Tu sais, au couvent , elle me volait toutes les belles robes que tante m'envoyait...même qu'en hiver, j'avais tout froid partout et je toussais.
Je peux dormir dans ta chambre ce soir dis? tu sais..tu m'as beaucoup manqué et j'ai peur la nuit. je rêve qu'on vient m'enlever et..

et quoi...parce que les rêves de douce Sophie en général se finissent par un baiser, acte suprême que son age considère comme l'amour parfait.

Messages : 570 Date d'inscription : 01/06/2010

Plein de gentil paysan, oui ils seraient sans doute trop gentils.

Alexandre sourit

Bon, oublions les champs et oui tu auras une belle robe.

Le Roy pris son innocente sœur dans ces bras, comme s’il voulut la réchauffer et la rassurer.

Si ces nonnes ont étaient à ce point cruel avec toi.
Nous ferons démonter le couvent pierre par pierre.
Et oui ce soir, tu pourras dormir avec moi, si cela peu te rassurer.
Mais tu sais ici, tu ne risques plus rien ,d’ailleurs tu auras une protection jour et nuit.

Alexandre se dit qu’il allait devoir prévenir Léonore, cela n’allait pas être simple.

Lui dire qu’il avait oublié de lui parler d’une sœur, et qu’il avait aussi omis de dire à sa sœur son mariage.

Mais un Roy à toujours de grandes idées, et il ne fut pas long à trouver l’excuse de la rencontre.

D’ailleurs pour ta robe, je vais te présenter la personne qui a le meilleur gout du royaume.

Cela il en était certain, vu qu’elle l’aimait lui.

Lauranna, pourriez vous faire chercher mon ép, ehhh la R,,, je voulais dire la Princesse Léonore.
Vous lui dites que ma s,,,enfin qu’une surprise est arrivée.

Invité

Elle imaginait avec joie la destruction du couvent. Là bas, ils étaient tous contre elle, elle en était sûre. Elle embrasse son frère dans un câlin tendre. Lui seul l'a toujours protégé et vraiment aimé.

Oh merci Alexandre. Je vais avoir une dame rien que pour moi? Une princesse en plus? Moi aussi je suis ta princesse, pas vrai? Elle m'aidera avec mes robes alors. et des chaussures, j'en aurai des jolies? Et..je pourrai en avoir des vertes? j'adore le vert, tu le sais. C'est la couleur de mère quand elle me courait après pour me corriger et qu'elle n'arrivait plus à respirer.

Tu m'as manqué Alexandre. Je veux plus jamais te quitter, jamais!!

Qui c'est qui va me protéger jour et nuit? c'est lui?

Un joli doigt fin pointé sur Doe. Un sourire doux au mousquetaire. Les garçons, elle ne les déteste pas. Un regard pour Lauranna. Une rivale celle là, Sophie le sent bien. Elle ne bougeait pas des bras fraternels. Elle était enfin à sa place.

Messages : 169 Date d'inscription : 04/10/2009

Quelle ne fut pas le soulagement de Lauranna quand le Roi lui demanda d'aller chercher son épouse. Soeur du Roi oui elle l'était mais assuré"ment la reine des pipelettes aussi.
La jeune fille parlait tant et si vite, que la colonel pensait qu'elles étaient des dizaines dans la pièce, aussi elle s'empressa de répondre favorablement à Alexandre, sans une joie dissimulée.

--Parfait Sire j'y vais de ce pas.

Surtout elle n'attendit aucune réponse et sortit rapidement de la salle rien qu'a l'idée qu'il aurait pu changer d'avis.

Que le trajet parut cours à la jeune mousquetaire qui revint avec Léonore et sa meute de chiens encore plus nombreux qu'auparavant, sans attendre elle entra et laissa le passage à la Reine qui se dirigea vers Alexandre.

Lauranna craignait la suite des évènements, Sophie avait l'air aussi possessive que Léonore, pauvre roi trop aimé des femmes, pensa t-elle.

Messages : 1830 Date d'inscription : 06/12/2009

Lauranna etait venue chercher Leonore dans son bureau. Et aussitot, la reine fut suivie par sa meute. Zeus, Appollon, Magnum, Higgins, Ferrari, et les bébés de cette derniere. Tout le monde etait là, manquait que Nicotine à l'appel, que la reine avait offert au baron de Marlborough. Et tout ce petit monde aboyait joyeusement autour des jupes et des dentelles virevoltante de la reine dans les couloirs du palais. Autant dire que les gardes l'entendaient arriver de loin, et avaient le temps de se reveiller pour se mettre au garde à vous à son passage.

Les portes du bureau de travail du roi s'ouvrirent. Et le valet annonça:

Sa Majesté la reine et... sa... heu... suite.

Chuuut, taisez vous donc! S'amusait la reine. Allons, Allons! Je sais que vous etes contents de voir le roi mes bébés. Mais on se calme! Allons, allons! Vous m'avez fait demander mon coeur?

Comme le roi l'avait faite venir dans son cabinet de travail, et pas en salle du trone, la rencontre etait donc moins protocolaire. Aussi Leonore alla tout sourire embrasser tendrement son mari, pendant que la meute s'adonnait à un concert d'aboiement, des petites pates qui courent partout sur les tapis, et qui s'elancent vers le roi pour lui faire plein de joies canines.
Elle aperçu alors une toute jeune fille, charmante au demeurant, qui lui semblait avoir des traits commun avec son epoux. Leonore lui sourit gentiment. Alexandre aimait les femmes, mais celle-ci semblait à peine etre sortie de l'enfance. Elle eut neanmoins envie de taquiner son mari.

Vous les prenez au berceau, maintenant? A moins que vous ne commenciez à vous exercer à vos futures responsabilité de pere? Rassurez vous, vous aurez le temps avant que votre enfant ne devienne aussi grand.

Elle s'approcha de la jeune fille, lui tendant sa main.

Ravie de vous rencontrer mademoiselle.

Invité

Mon cœur? la princesse des robes, et surement des chaussures, appelle le roi "mon cœur". Et vas y qu'elle l'embrasse maintenant. Et c'est quoi ces bestioles qui la suivent en braillant.
Sophie, elle sent que là, va falloir réfléchir. Donc, ça doit être une fiancée de plus bien sur.Alors grand sourire joli et tout mignon. Des années de couvent lui ont appris a ne jamais montrer qu'une façade, et elle est douée pour ça, elle le sait.

Donc, le sourire, mais on lâche pas le frère quand même. des fiancées, comme Alexandre disait, elle en avait fait chasser plus d'une par le passé. celle là, ca ne serait pas plus dur. Parce que fallait quand même qu'elles comprennent, toutes, qu'Alexandre était à Sophie. Il était son frère, son père et bien souvent celui qu'elle allait épouser.

Et quand enfin la princesse se tait, la Sophie elle récapitule les informations obtenues.l'histoire du berceau..c'est bon, on la lui faisait quand elle avait six ans. un blabla sur une histoire de père..le leur était mort de toute façon. et une histoire de..une histoire d'enfant? C'EST QUOI CETTE HISTOIRE D'ENFANT???

Ca hurle dans sa tête mais le sourire est toujours là. Elle est douée à ce jeu là, vraiment. Alors un plus grand sourire vers la femme aux chiens, on serre la main tendue avec une jolie révérence puis on tourne la tête, on regarde son frère droit dans les yeux, on se colle à lui et...on fait monter les larmes. On dose bien, faut juste que ça perle sous la paupière, pas plus.

Tu..vois, tu ne m'aimes plus..tu préfère la dame aux chiens..elle dit que je suis un bébé...

Magnifiques perles de tristesse qui obéissent au doigt et surtout à l'œil. Un sanglot qu'on étouffe, pour être convaincante. Une main que l'on serre, une grande main fraternelle qu'on ne veut pas quitter.

et en plus...elle est grosse quand même, non?

Messages : 570 Date d'inscription : 01/06/2010

Alexandre éclate de rire, sa sœur n’est vraiment que douceur et candeur.

Je t’aime Sophie voyons mais laisse moi te présenter.

Un sourire regardant Léonore.

Sophie je te présente mon épouse, c’est une princesse devenu une reine et porteuse de mon enfant.

Puis regardant de nouveau sa sœur.

Léonore je te présente un ange, ma petite sœur, douce, intelligente, rieuse et si agréable à vivre.
Je suis certain que nous allons faire, une grande et belle famille.

Le Roy préférait se rendre optimiste, car si sa sœur n’était que douceur.

Léonore pouvait fort mal prendre cette sœur qu’elle ne connaissait pas.

Invité

Le sourire il bougeait pas...les larmes avaient été chassées, mais la tête elle chauffait, et pas qu'un peu. Il s'était marié et elle était enceinte...son frère..c'était SON frère. Elle réfléchit vite la doucemignonnegentille Sophie. Une fiancée, c'est facile à faire fuir. Une épouse, grosse, et pleine de choses qui braillent sans cesse...ça devrait l'être aussi. Allez, on se retourne et on est la plus douce des belle soeur.

Elle se retourne, sourire gracieux, et...elle court vers Léonore. Bon, elle court...deux pas à faire. Mais elle y met tout le cœur nécessaire et hop, allez, on la serre dans ses bras..enfin comme on peut, parce que la porteuse, elle est volumineuse quand même.

Oh comme je suis heureuse. Je vais avoir un..une..je vais être tante!!

Et un bisou, un. Faut pas économiser, ca peut servir.

Je pourrai t'aider? je pourrai lui montrer les jeux qu'on faisait avec Alexandre. Il se cachait et moi je devais le trouver et chaque fois que j'y arrivai , on faisait la course jusqu'aux cuisines et on mangeait tous les gâteaux

Si avec ça elle n'est pas la plusdouceetadorable des belles soeurs...

Retour vers le frère et là le sourire n'a pas a être forcé. Il est si gentil son frère, elle l'aime tant.

Oui, on va être une famille tous ensemble. Je suis heureuse mon Alexandre.

Oui..on va être une famille...TOI et MOI.

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