[RP lieux] Les geôles de Saint Pierre Port, ou l'Auberge du recueillement

j espère bien que tes pas mourante ! je te signale que tu ma promis une bière ...

un homme ... cylouan rit oui ta raison ... on verra ca ...
évidement que je me comporterai bien ... j ai deja asser fait de bêtises je pense ... et oui j aimerai autant sortir le plus vite possible d ici aussi tu t en doute je suis pas fait pour etre enfermer ...

il la regarda partir avant qu elle sorte

oscar ! merci d être venu ... ca ma fait vraiment plaisir de te voir ... même ici ! ....
il la regarda s éloigner tandis que ce garde répugnant referma la grille ... il ne lui dit pas un mot il ne voulait pas s attirer des ennuis et tant qu il ne le chercherait cyl ne le ferrait pas non plus ....

le voila de nouveau seul ... affreux dans ces murs ... mais les visites du jours ... comment dire asser extraordinaire et peut etre encore plus quand on est prisonnier et qu un prince vous donne la chance de ce déplacer dans des geoles pour une telle discutions ...

il regarda le garde repartir lui aussi ce bruit de clefs dans la serrure ... il retourna s assoir sur sa couche ...

Voyant la belle jeune femme triste, Bren se précipite... lui prend le bras et murmure "Il sortira bien un jour, tu sais..."
Puis il entraine sa douce vers la plage sachant qu'elle aime marcher ...

la porte de bois s ouvrit ... encore de la visite pfff l irlandais ... tu vis encore toi !

et bien ... je préférais mes visites précédentes ...

mon proces ... bien tien on te vois que pour les événement qui doivent te faire plaisir .... il vit les armoir a glace ... tout ca pour moi ... c est trop gentil ...

me tirer dessus ce serait trop facil ...

le garde ouvrit la cellule il resta au milieu de celle ci regardant mael

Donc c'était là les geôles de ces lieux. Le garde me parla avant de me laisser seul:

Vous aurez tout loisir de réffléchir ici Messire Alexandrovicht.......,
Serioja, monsieur
la repentance vous savez n'est pas un simple regret d'avoir pêcher,
tourner vous vers le tout puissant, peut être qu'il daignera vous écouter et vous accorder sa miséricorde.

Ils m'enfermèrent. Je m'assis par terre et me mis alors à repenser à mon acte. Me pardonnerait-elle? Comprendrait-elle que depuis mon plus jeune âge, je l'aime? Se souviendrait-elle? Je m'approchai de la porte et criai:

J'AVOUE TOUT! JE SUIS COUPABLE D'AGRESSION SUR DAME MARIE-HORTENSE CRUZ!

Je me rassis imaginant fort bien que je ne parviendrais à rien. Ces têtes-là m'écouteraient-elles?

Bonjour bonjour ! lança-t-elle quand il arriva.

Elle eut un sourire un brin crispé en réponse à sa tentative pour la rassurer. C'est que c'est tellement terrible comme endroit.

Elle salua ensuite le garde d'un geste de la mimine, et le suivit aux côtés de Monsieur Chric. Il faisait sombre, puis ça sentait pas bon et elle entendait des "scouic scouic" qui lui faisait dire que c'était pas habité que de prisonniers ici.

Finalement, ils arrivèrent devant la cellule, et elle s'avança un peu mais pas trop, comme le garde avait dit.

Bonjour Monsieur, je suis Madalena de Saint Samson, Procureur et Greffier de la Principauté. Et voici Monsieur Chric, notre Sénéchal.

Vous avez été arrêté suite à un dépôt de plainte contre vous pour agression sur la personne de Madame Marie-Hortense Cruz. Est-ce que vous auriez des choses à nous dire à ce sujet ?

Purée comment elle a bien dit les choses sur ce coup !

J'avais vu Ophélie. Elle se rappelais de moi et me l'avait signifié par son regard. Oui, moi l'admirateur! Contrairement à elle, Marie-Hortense avait toujours eu beaucoup de succès. Tout les pauvres l'aimaient et...Je le réveillais. Là on me jeta un morceau de pain. Et je me mords pas! Je le mange en deux deux. Dire que si elle me voyait, elle aurait au moins donné un lit, une couverture. Même pour le mal que je lui ai fait...Mais je raconte quoi moi là! Je ne mériterais même pas ça, mais il y a une chose qui est sûre, c'est qu'elle m'écouterait et comprendrait. Alors là comme par enchantement on m'amena la Procureur et le Sénéchal.

Bonjour, Madame. Bonjour Monsieur. Ce que j'ai à vous dire, Madame, c'est que cette plainte est fondée et que j'en reconnais la totalité des faits. J'ai en effet...

Que dire? Agresser? Non! Je ne l'ai pas agressé! Je lui ai fait du mal, elle doit vivre un calvaire à cause de moi!

J'ai...j'ai agressé Marie-Hortense Cruz et je le regrette beaucoup. Je suis prêt à répondre à toutes vos questions et à encourir la peine que les lois de ces isles me demandent d'encourir.

Je me tus un instant. C'était le moment de dire ce que j'avais sur le coeur, alors d'une voix que je voulais ferme mais qui trembla, je dis:

Je suis prêt, Madame la Procureur, Monsieur le Sénéchal à encourir tous les tourments, tous les calvaires que vous désirez. Je suis prêt à endurer mille morts pour payer ma dette. Je ne vous demande qu'une chose. J'aimerais que vous transmettiez cette demande à Señorita Marie-Hortense Cruz et que vous me disiez sa réponse. Je désirerais la voir. Un instant, et m'expliquais à elle seule. Elle comprendra certainement cette demande. S'il vous plaît, je suis prêt à tout pour quelques minutes à la voir. Transmettez-lui cette demande et tant pis si elle répond non, je comprendrais.

Mais eux, comprendraient-ils cette femme? Elle si belle, qui plaît par sa douceur... Ces yeux gris, ces cheveux aux vents...

Très bien, très bien. Je comprends.

La procureur me posa une question naturelle. Je m'assis alors par terre et fermais les yeux.

Dame, il faut remonter bien loin. L'avez-vous déjà vu danser ou chanter? Non, sinon vous ne m'auriez pas posé cette question. Elle a toujours était gentille et belle. J'ai toujours eu envie de lui plaire. Je la voulais tout en gardant une distance particulière. Alors un jour je suis parti et je suis arrivé à Paris. J'ai voulu la revoir. Et la voir si triste, pouvoir être si prêt d'elle... Je ne me suis pas vraiment contrôler. Je suis parti puis quand je me suis rendu compte de mon geste...

Des larmes coulaient et je les laissais. Je ne voulais pas l'attrister loin de là, mais elle m'avait dit que pleuré vider et soulagé mieux que les mots.

J'ai voulu le réparer. Je suis revenu pour cela. Pourquoi je l'ai fait? Si seulement je le savais.

Oui, Dame. Nous étions descendus pour manger. Quand j'ai vu que nous mangions qu'une simple soupe, elle s'est excusée. Je lui ai alors dit: "Ne vous inquiétez pas, je viens m'incrustez chez vous alors que vous êtes en deuil. C'est très aimable à vous que de m'accueillir alors que votre âme est en peine.". Mais vous savez, c'est la personne la plus aimable de tout le monde. Elle s'excuse de tout et cherche à plaire. Qui ne peut pas l'aimer, même les hommes les plus durs et j'en ai connu on était touché par cette générosité et par tout son charme naturelle.. Alors, elle se mit à jouer et à chanter. Alors j'étais bien décidé à lui dire mon amour pour elle et l'admiration qu'elle m'inspire. Je n'ai pas osé. Alors nous nous sommes séparés. Pendant des heures je suis resté à me traiter d'imbécile. Puis je me suis calmé en buvant une lotion acheté. Un hallucinogène, je crois et je l'ai entendu pleuré. Alors je suis allé la voir et c'est là que je ne me suis plus contrôlé. Je lui ai donné de ma boisson et c'est là que...

Pas la peine d'en dire plus. La p'tit dame blonde n'est pas sotte.

Je me suis retrouvé quelques jours plus tard à Eu. Je ne comprenais pas très bien ce qui m'arrivais puis un soir où j'avais trop bu, je me suis souvenu. Et c'est là que j'ai voulu revenir.

Voilà, que dire de plus si ce n'est que je voulais la voir...Rien. Une question lui revint à l'esprit: D'où venait-il qu'elle ne soit pas marié. Une femme comme elle, il y en a peu. Elle est si douce et si belle...