[RP] Hôpital - "L'Hôtel-Dieu de la Madeleine du Lieu-de-Santé"

La doctoresse quitte quelques minutes la salle d'examen pour donner des instructions à son assistante prénommée Louise ...

Kallimero profite de cette absence momentanée pour se lever et aller consulter le gros livre ouvert à la page phtisie.

Le patient lit rapidement :

Des bruits de pas résonnent dans le couloir,
il s'écarte vivement de la table de travail,
se dirige précipitamment vers le gros poêle pour se réchauffer car la blouse d'examen n'est point chaude.

Malheureusement, un mouvement brusque referme le livre qui tombe à terre ...

La doctoresse en entrant dans la salle n'est pas dupe ...

Kallimero préfère la franchise.

Je vous prie d'excuser ma curiosité, mais votre gros livre que vous consultiez tout au long de mon examen, m'a attiré irrésistiblement.
Je lisais à votre arrivée les symptomes de cette maladie que vous nommez phtisie.
Mais, votre livre est très technique, utilisant un langage médical que je ne comprend pas.
Je n'en ai lu qu'un court passage qui m'a fortement inquiétée.
Cette maladie est mortelle !
De plus, aucun traitement n'a été découvert pour la soigner.

Je crois qu'effectivement, il serait préférable que je sois hospitalisé.
Je vais donc travailler de la chambre.
Je vous demanderais uniquement que deux fois par jour (en début de matinée et d'après-midi), un coursier de la mairie soit autorisé à m'amener le courrier et les dossiers en cours afin que les affaires courantes de la ville soient réglées.

Vous devrez me donner un traitement afin que je ne souffre pas trop.
Mais, surtout que les remèdes me permettent de travailler normalement.
Je ne veux surtout pas passer mes journées à dormir.

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

Elle 'avait appris elle savait tout ou presque de ce qui se passait en Normandie mais cette nouvelle la touchait personnellement

son filleul , son ami de toujours était malade elle n 'en savait pas plus mais elle avait vu que les dossiers de la mairie n 'étaient pas à leur place un garde lui ayant répondu que Kalli les avait fait emporter ici a l 'hôpital .

Mercedes arriva devant l 'hôpital ,y entra et se présenta à l 'accueil reconnaissant une infirmière qui avait été si douce avec ses enfants lors d 'une visite de contrôle .

Bonjour ,excusez moi de vous déranger mais serait il possible de voir Marianne ?de la part de Mercedes

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Après avoir fait les derniers préparatif pour que la chambre soiit prête, Marianne revint vers son patient qui avait un petit air penaud comme un jeune enfant qui vient de faire une bêtise. Elle avait bien entendu du bruit dans la salle d'examen et remarqué dès son entrée que son livre de mèdecine n'était point à l'endroit o elle l'avait laissé et de surcroit avait été posé à l'envers. Puis il lui dit l'avoir consulter pour en savoir un peu plus mais ne semblait point tout comprendre le language médical.

- Je ne vous en veut point , très cher. Bien au contraire c'est important de savoir de quoi il en retourne. Je ne fais point les choses pour empêcher les gens de faire ce qu'ils souhaitent mais je veille à ce qu'ils le fassent de la façon us saine possible pour eux. Vous savez maintenant pourquoi j'ai demandé vostre hospitalisation. Ce n'était en rien une manière de vous restreindre à vos obligations. Ne craignez surtout point de demander si la douleur est trop pénible nous tenterons de vous soulager le plus possible. C'est tout ce que nous pouvons faire hélas.

Elle lui sourit amicalement tentent de lui faire savoir qu'il aura tout le soutien de sa part et qu'elle fera tout ce qu'il faut pour qu'il souffre le moins possible.

- Vostre chambre est prête et beaucoup plus chaude que cette salle d'examen. Je vous y accompagne de suite. J'y ai fait mettre un petit secrétaire près de la fenêtre, un bon fauteuil près de l'âtre juste à côté. Je vous ai apporter aussi vélins, plumes et encre si vous avez autres besoinss juste à demandé à Marie vostre aide infirmière attitrée et elle m'en fera la demande immédiatement.

Elle l'aida avec ses affaires et le conduisit à la chambre qui sera le dernier lieu de travail et de vie de cet homme qui aura tant fait pour la Normandie...

Elle venait de revenir à son bureau lorsque Louise lui dit que Mercedes était là et qu'elle désirait la voir.

- J'arrive dans une minute juste le temps de me raffraichir un peu et je la rejoint. Oh! Louise faites lui un thé en attendant cela serait gentil pendant qu'elle attend.

Elle se devait de se raffraichir avant de rencontrer d'autres patients ou visiteurs. Louise parti chercher Mercedes pour l'amener au petit salon juste à côté du bureau de Marianne comme cela ce ne sera point vraiment long.

Madame, la Doctoresse Marianne sera icelieu d'un moment à l'autre, si vous voulez bien attendre. Voici un peu de thé et des gâteaux sec.

Elle lui versa une tasse de thé et mit une assiette de biscuits sur la table, avant de quitter les lieux et laissa Mercedes à son attente..

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

L'infirmière nommée Louise partit annoncer a Marianne sa venue et quelques minutes ,elle revint avec un plateau et dessus un bon thé et des biscuits secs pour elle ,et lui annonça que la doctoresse arriverait dès que possible Mercédes la remercia et prit le thé en lui souriant .

Vous êtes bien aimable et je vous remercie pour ce thé qui sent très bon ,je vais attendre bien sûr je suis un peu anxieuse j 'avoue et parler a Marianne me fera du bien

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne revint quelques minutes plus tard et entra dans le petit salon où elle trouva son amie Mercedes qui l'attendait.

- Bonjour ma belle, j'espère que tu n'as point attendu trop longtemps. Que me vaut l'honneur de ta venue icelieu en ce jour? J'espère que ce ne soit point la maladie, mais une simple visite à une amie.

Elle lui sourit, mais elle avait dès son entrée remarqué, son air songeur et préoccupé.

- Les enfants vont bien j'espère, sinon tu les auraient amenés me voir bien avant, j'en suis certaine.

Comme la jeune femme sortait peu elle ne pouvait point toujours se mettre au courrant de tout ce qui se passait dans la ville et la province.

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

Finissant son thé Mercedes reposait juste la tasse quand elle vit arriver son amie Marianne elle se leva pour la saluer comment poser la question et tout naturellement elle vint droit au but c 'était tout elle

Bonjour ma belle amie , non ne t 'en fais pas ce ne sont pas les enfants , ils vont bien je te remercie

Respirant un grand coup elle continua

Ce qui m 'amène est tout aussi triste ,mon filleul Kallimero est ici un garde m 'a averti qu 'il devait chaque jour lui donnait les choses les plus urgentes à faire ici Marianne j 'aime beaucoup mon filleul il est un ami un maire des plus compétents et je voudrais savoir ce qu 'il a pour que tu le gardes en ce lieu ,je le connais il n 'aurait pas accepté si ce n 'était grave

Mercedes regarda Marianne en espérant entendre une bonne nouvelle

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne reconnu là une jeune femme fort déterminée. Mais le secret personnel étant une chose sacré en médecine, et elle ne pouvait se permettre de divulguer quoi que ce fut sut l'état d'un patient sans son concentement expresse.

- Ma très chère amie je ne puis malheureusement point te dire de quelle maladie souffre ton filleul et ami. La seules chose que je puis faire est te dire que c'est très grave et que si je l'ai admis icelieu c'est que j'avais de bonnes raisons de le faire. Je puis lui demander s'il m'autorise à t'informer plus avant mais aussi longtemeps que je n'aurai point son concentement je ne puis hélas rien te dire.

Elle comprenait fort bien que son amie était inquiète pour Kali mais sa profession ne lui permetait aucun passe droit. Il fallait respecter et tenir le serment fait lors de son entrée en médecine. Jamais elle ne voudrait blesser personne par son refus mais sans autorisation impossible de répondre à la demande de la jeune femme.

- La seule personne qui peut te renseigner sur son état est lui-mesme en personne. Pour l'instant il est bien faible et je ne sais si une visite peut lui estre agréable. Comme il vient juste d'apprendre cette nouvelle lui-mesme sans doute à t-il besoin de temps pour y penser. Je suis certaine que le moment venu il te fera appeler. Je lui dirai que tu aimerais bien le voir et ainsi il pourra de lui-mesme décider de la suite.

Elle pressa les mains de son amie dans les siennes c'est tout ce qu'elle pouvait faire pour le moment.

Messages : 1486 Date d'inscription : 12/02/2012 Ville : Rouen

La Marie entra dans l'imposante bâtisse quelque peu troublée, voire gênée .
S'accrochant a son panier , la brunette se fit annoncer et prit place un instant.

Elle devait remercier la femme médicastre qui l'avait soignée et ne savait trop comment faire .

Plus loin des voix féminines échangeaient des phrases, la brunette tendit l'oreille , comprenant que les dames parlaient du Maire .

Il lui sembla reconnaître la voix de Mercedes, mais ne souhaitant pas déranger ou s'imposer , elle resta assise sagement , regardant ses pieds .

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

Marianne en bon docteur qu 'elle était ne pouvait c 'est vrai dire de quoi souffrait son filleul mais à son regard certaines de ses paroles Mercedes avait un peu deviné que c 'était grave ,Kalli ses derniers temps était faible ,amaigri il continuait son travail en bon maire qu 'il était sans se plaindre lui qui avait toujours son humour ,elle n 'avait pas osé lui demander mettant cela sur l 'absence de son épouse Aurélya jamais non jamais elle n 'aurait imaginé une maladie grave elle retint ses larmes et demanda a son amie .

Puis je le voir Marianne s 'il te plaît ,lui dire que je suis là même si ce n 'est que quelques minutes j 'aimerais tant le voir l 'encourager il ne croit pas en l 'église mais je vais prier pour lui Mercedes se leva et avança un peu et dans le couloir
Marie était là regardant ses pieds elle lui fit signe de venir elle était une amie de Kalli et l 'argentière de Normandie

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne voyait bien la peine dans le regard de Mercedes et elle n'y pouvait point grand chose hélas.

- Aujourd'hui il est encore sous le choc de cette annonce. Je vais le voir tout à l'heure et je lui dirai que tu es passée. Je lui dirai aussi que tu aimerais lui rendre visite. Mais je dois te dire que je n'empêche point les visites mais il ne faut surtout point trop le fatigué et je vais te demandé une chose aussi. Comme tu as de jeunes enfants et que je ne voudrais point qu'ils tombent malades, il faut éviter tout contact corporel ou le plus possible. Donc si tu lui donnes la main, il te faudra les laver après la visite avant de retourner chez-toi.

Il était très important qu'elle accepte de faire cela pour la santé de ses propre enfants. Bien que la contagion était presque nulle maintenant, il valait mieux ne point prendre de risques inutile.

-Lorsque tu reviendras demain, juste à demander le numéro de sa chambre à Louise mon assistante. Je ne puis rester plus longtemps avec toi je dois faire mes autres visites.

Elle lui pressa la main et la conduisit vers la porte. C'est en ouvrant celle-ci qi'elle vit la jeune Dame qu'elle avait soigné quelques jours plus tôt. Elle n'avait point eu le temps de retourner la voir avec ce qui venait de se passer.

- Bien le bonjour Dame, comment allez-vous? J'espère que la quinine à fait son travail. Que me vaut l'honneur de vostre visite? j'espère que tout va mieux pour vous et que vous avez repris vos occupations. Je puis vous examiner pour voir.?Juste par précaution car vous me semblez en pleine forme.

Elle rendrait visite à Kali après en avoir terminé avec la jeune dame...

Messages : 1486 Date d'inscription : 12/02/2012 Ville : Rouen

La Marie se mit debout en voyant la médicastre ainsi que Mercedes arriver en souriant légèrement .

Le bonjour Dame, je me porte fort bien je vous remercie grâce a votre intervention des plus rapides .

La brunette lui tendit un panier copieusement garni des produits fait par ses soins,

Ce ne sont que quelques douceurs pour vous remercier de vos bons soins , je pense que vous avez remarqué que je tiens une herboristerie .

Se tournant vers Mercedes , elle lui sourit tristement et s'approcha d'elle afin de lui serrer les mains entre les siennes .

Mon amie, si Messire Kalli doit se reposer, nous le verrons demain n'est-ce pas et nous nous plierons aux règles de Dame Marianne . Je ne fréquente que peu les médicastres, mais Dame de Bourbon est une femme hors normes , faisons - lui entièrement confiance .

Elle se retourna encore une fois vers Marianne en souriant .

Dame, si vous tenez a m'ausculter , soit, mais a part une petite bosse, il ne persiste rien de vraiment visible de ma chute .

Marie ne révélerait peut-être pas les raisons de sa chute , cela était encore trop frais dans son cœur et son âme .
Elle préférait se consacrer a ses semblables nécessiteux et tenter de vivre le plus normalement possible , remonter la pente grâce a des amis et ses enfants .

Messages : 26 Date d'inscription : 16/01/2011 Ville : Rouen.

Le vieux soldat, avait laissé la Dame Mercedes partir sur son beau cheval vers l'hôpital.
Quant à lui, il se dirigea tout naturellement vers l'auberge la plus proche.
Il fallait qu'il accepte le fait que son Colonel était malade.
Il s'en voulait d'être parti aux Amériques pour les fêtes de la fin d'année.
S'il avait été présent à la chaumière, il aurait pu entretenir la propriété et constater qu'il était atteint de cette maladie.
Mais ... le mal est maintenant fait.
Il va faire en sorte que les derniers jours de vie de cet officier ayant toujours œuvré pour son Roy et le Royaume ne soient pas trop douloureux.
Il connait bien ces nouvelles maladies et sait qu'aucun remède n'a été découvert par les médecins.
Des saignées et des ponctions ne sont qu'un emplâtre sur une jambe de bois !

Après plusieurs verres de vieux rhum, sa boisson préféré !
Il se supporte plus trop l'alcool et il est légèrement ivre.
Il quitte l'auberge prenant le chemin de la grande bâtisse.

Il grimpe la volée de marche menant à la salle d'accueil où une femme attend.

Bien le bonjour ma p'tite dame.

Il n'insiste pas, des voix proviennent d'un bureau dont celle de la Dame Mercedes, l'amie du Colonel.
Il entre.

Je suis Nestor.
Je viens rendre visite au Colonel Kallimero.
Où est sa chambre ?

Il n'attend pas une réponse ; s'engage dans le couloir où plusieurs portes sont fermées.
Il ouvre la première, la chambre est vide !
Il ne peut poursuivre car il est rattrapé par l'autre femme qui stoppe sont élan ...

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne ne s’attendait nullement à recevoir quelque chose. Il est vrai que dans son métier bien souvent les personnes n’étaient point tellement fortunées et lui payait ses visites en denrées de toutes sortes. Mais la jeune femme aimait son métier et ne demandait jamais rien pour ses services.

- Je vous remercie Dame pour ce présent mais vous n’étiez point obligée de le faire. Vous savoir rétabli est mon salaire. Pour ce qui est de vous occulter ce n’est point une nécessité, si vous me dites que tout va bien maintenant. Mais si vous avez besoin de soins vous savez maintenant que vous pouvez venir icelieu en tout temps.

Elle était bien contente que cette dernière comprène la nécessité de voir avec son patient avant de donner son assentiment. Elle était à parler avec ses visiteuse lorsque la porte s'ouvrit sur un drôle d'énergumène qui se permettait d’entre sans mesme se faire annoncer. Elle vit Louise derrière qui semblait bien embêter par un tel comportement. Ignorant l'homme un instant elle s'occupa de ses visiteuses.

- Vous m’excuserez certainement mesdames je me dois de régler cette fâcheuse situation. J’espère vous revoir en d’autres circonstances plus joyeuses sous peu.

Elle les laissa là et suivit l'homme qui semblait vouloir ouvrir chaque porte qu'il trouvait sur sa route. L’homme semblait estre bien nerveux mais non point dangereux. Juste à lui faire comprendre la situation. La Mère Supérieur qui sortait d'une chambre l'arrêta et Marianne pu s'approcher. Elle lui adressa la parole d’une voix douce mais ferme avec un regard sévère qui appuyait ses dires.

- Monsieur… Nestor si j'ai bien entendu... Je suis Marianne de Bourbon le médecin icelieu, je vous demanderais de vous calmer un peu, je vous prie. Vous estes icelieu dans un établissement de soins, non dans une auberge ou un moulin. Vous ne pouvez point ouvrir les portes ainsi. Les malades ont besoin de calme et d’intimité pour se rétablir. Vous voulez voir le Capitaine Monsieur de Casanova je suppose? Je dois vous dire que pour le moment, il est trop faible, il ne reçoit point de visiteurs jusqu’à ce que je lui en demande l’assentiment. Revenez demain et nous verrons ce que nous pouvons faire pour vous Monsieur…

Elle ne savait point qui il était vraiment Nestor ne lui disait point grand chose. Elle attendit qu’il se présente convenablement pour savoir qui était la personne qu’elle avait devant elle. Elle le reconduirtait ensuite vers la sortie...

Messages : 26 Date d'inscription : 16/01/2011 Ville : Rouen.

Le médecin de l'hôpital explique calmement la situation à Nestor.
Il comprend parfaitement et revient vers la salle d'attente.

Bonjour Madame la doctoresse.
Je vous prie d'accepter mes excuses pour cette entrée fracassante et cavalière.
Je reviendrais donc demain.
Mais, prévenez le Colonel que je suis de retour à Rouen et que je m'occupe de sa maison afin que lorsqu'il sera rétabli il la retrouve dans un état irréprochable.
Pouvez-vous me rassurer ?
Quel est son état pour que les visites lui soient interdites ?

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

L’homme compris que l’hôpital n’était en rien un moulin et qu’il fallait rester calme et estre patient pour facilite la guérison des personnes.

- Pour vous répondre sur l’état de sante du Colonel, la seule chose qu’il me soit possible de vous dire est que c’est très grave et qu’il doit avoir beaucoup de soins. Pour le reste je ne puis vous en informer sans son consentement.

Comme elle l’avait dit plus tôt à ses autres visiteuses.

- Je ne puis hélas point rester bien longtemps à vous parler car justement je dois faire mes visites et j’ai des soins à faire. Mais je ne manquerai point d’informer le Colonel de vostre demande soyez sans crainte.

Elle salua donc les personnes présentes et se rendit à son bureau pour prendre le nécessaire pour les soins à faire. Elle rendit visite à quelques patients et se rendit à la chambre 201 pour la visite de contrôle et les soins à apporter. Puis elle demanda le rapport de l’infirmière qu’elle avait attitrée pour le Maire avant de s’approcher du patient et lui parler.

- Bonjour Marie comment va nostre patient? Est-ce qu’il a pu dormir un peu avec la morphine?

Oui il a dormi un peu mais il était quelque peu agite dans son sommeil. Sans doute que toutes ses émotions lui ont causé cela. Mais je fais ce que vous avez dit et je garde la chambre bien au chaud pour l’aider le plus possible.

- Bien Marie allez donc prendre un peu de repos je vais prendre la relève. Revenez dans une heure pour reprendre vostre service.

Puis elle s’approcha de Kali et examina ses signes vitaux et fit un petit examen pour voir comment était la situation. Elle ne voulait point le réveiller mais il devait sans doute se rendre compte qu’elle était là ou tout du moins qu’il y avait quelqu’un dans la chambre. Elle attendit qu’il ouvre les yeux et lui mentionna qu’il y avait des personnes qui désiraient le voir et en savoir plus sur son état actuel.

- Bonsoir Kali, j’ai beaucoup de personne qui aimeraient bien avoir de vos nouvelles et qui voudraient vous visiter demain. Mercedes vostre marraine, Marie de la Rose une personne de vostre conseil je crois et un certain Nestor qui vous fait dire qu’il est de retour et qu’il s’occupe de vostre maison. Aussi le serment que j’ai fait lors de mon entrée en médecine m’interdit de divulguer l’état de sante de mes patients avec d’autres personnes sans une autorisation du patient lui-mesme. Je préférerais que vous le leur annonciez, vous-mesme ce qui vous arrive lors de leurs visites.

Elle ne voulait point par cela se décharger d’un lourd fardeau, mais simplement qu’il puisse dire ce qu’il souhaitait qu’ils sachent simplement. Parfois les personnes désiraient garder certaines choses que pour eux-mesme. Elle discuta avec lui un petit moment puis elle lui fit son injection de morphine pour qu’il puisse passer une bonne nuit et attendit que Marie revienne prendre son poste.

Kallimero est hospitalisé depuis maintenant plusieurs jours.
Les soins qui lui sont prodigués par le Docteur Marianne et l'infirmière Louise le soulagent.
Il ne souffre pas.
Par contre, il dort beaucoup.
Et cela le chagrine, car il ne peut plus étudier les dossiers en cours qui attendent sur la table de travail.

Dans un sommeil nébuleux, il entend des voix provenant du couloir.
Des voix qui lui sont familières.
Il essaie de parler, mais n'y parvient pas.

Totalement réveillé, il sent un léger courant d'air indiquant l'ouverture de la porte.

Marianne de Bourbon a écrit:: - Bonsoir Kali, j’ai beaucoup de personne qui aimeraient bien avoir de vos nouvelles et qui voudraient vous visiter demain. Mercedes vostre marraine, Marie de la Rose une personne de vostre conseil je crois et un certain Nestor qui vous fait dire qu’il est de retour et qu’il s’occupe de vostre maison. Aussi le serment que j’ai fait lors de mon entrée en médecine m’interdit de divulguer l’état de sante de mes patients avec d’autres personnes sans une autorisation du patient lui-mesme. Je préférerais que vous le leur annonciez, vous-mesme ce qui vous arrive lors de leurs visites.

Bonsoir Docteur.
Des personnes demandent à me voir !
Mais, bien entendu que vous pouvez autoriser ces visites.
Sauf si vous estimiez que je suis contagieux ou que mon état de santé ne les permettent pas.
Mais, quelques minutes ne devraient pas poser de souci.
Ma Marraine Mercedes et aussi ma Conseillère ; oui, cela me permettra d'avoir des nouvelles fraîches de Rouen.
Marie de la Rose, une amie.
Et Nestor, mon fidèle et vieux Nestor qui avait quitté le Royaume à Noël pour partir aux Amérique et qui est enfin de retour.
Le concernant, je vous préviens qu'il est parfois très imprévisible dans ses réactions ; mais ce n'est pas un mauvais bougre.
Je me chargerais bien sur mais très succinctement de les informer de la maladie dont je souffre.
Puis-je vous poser une question ?
Je dors beaucoup. Est-ce le fait de la maladie qui progresse dans mon organisme ou dû aux remèdes que vous m'avez fait administrer ?

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Elle était bien contente qu'il accepte de dire aux personnes qu'il estimait la vérité sur son état de santé. Et cela lui ferait aussi grand bien de voir un peu de monde.

- Alors j'autoriserai les visites mais à la condition que cela ne vous fatigue point trop. Si vous voyez que vous, vous sentez fatigué juste à le leur dire je suis certaine qu'ils sauront comprendre.

Elle sourit losqu'il lui parla de Nestor et elle lui dit:

- Justement disons qu'il a fait une entrée fracassante ce cher Nestor. mais j'ai bien vu que ce n'était point de la malice mais de l'inquiétude par devers une personne qu'il estimait beaucoup. Mais dès que je lui ai expliqué que l,on entrait point dans un hôpital comme dans une auberge ou un moulin il a très rapidement compris la situation et il s'est calmé.

Après quelques instants elle avait mesme sourit de sa façon de faire peu commune. Cela avait un peu allèger la situation et changer un peu les idées aussi. Puis Kali lui posa une question à laquelle elle répondit en toute franchise.

- Oui la maladie y est pour beaucoup, cependant le médicament est lui aussi responsable de vostre besoin de sommeil. Ce dernier est aussi employ comme somnifère à l'occasion. C'est un médicament très puissant qui n'endort point seulement le sujet mais aussi la douleur et c,est pour cette raison que nous vous en donnons afin de vous éviter de souffrir inutilement. Il peut aussi causer la nausée la raison pour laquelle il doit estre accompagner d'un repas qui évite cela.

Elle préférait qu'il sache tout, de cette manière cela éviterait qu'il se casse la teste à chercher à comprendre.

- Je vais donner les instructions pour que vous puissiez recevoir vos visiteurs dès demain. Maintenant je vous souhaite un bonne et douce nuit.

Marie venait de revenir et reprenait son poste auprès de son patient. Elle remit du bois dans l'âtre et remonta les couvertures replaça le traversin et lui apporta de l'eau fraîche. Marianne la regardait faire en souriant, elle prenait son travail au sérieux et elle savait qu'elle pouvait compter sur du bon personnel qualifié à l'hôpital.

En sortant de la chambre elle se rendit à l'accueil et dit à la préposée.

- Les visites sont maintenant autorisées pour la chambre 201 mais point plus qu'une personne à la fois et de courtes durées. Il ne faut point fatigué trop le Colonel.

Comme il ne lui restait que peu de temps il était préférable que cela se passe avec des personnes qu'il tenaient. Elle se demandait si son épouse saurait revenir avant la fin...

Messages : 1486 Date d'inscription : 12/02/2012 Ville : Rouen

La Marie entra doucement dans l’Hôtel-Dieu et sourit à la médicastre en lui adressant une petite révérence respectueuse ainsi qu'à la préposée .

Bien le bonjour Gente Dame Marianne, comment vous portez-vous en cette fraîche matinée ?

Baissant le regard vers son panier , la brunette espérait que les effluves émanant du pot de soupe n'incommoderait personne .

Me serait-il possible de voir Messire Kallimero quelques instants ce matin ? Je me suis permise de lui amener un peu de soupe et des douceurs que je le sais aimer ...

Elle sourit un peu gênée, comme une enfant prise en faute . Elle aurait voulu faire bien plus pour l'homme exceptionnel qu'était Kalli, mais que faire ?

Dame ... Permettez -moi de vous poser une question des plus directe et délicate...

Inspirant un peu avant de se lancer franchement :

Que pouvons nous faire pour adoucir les derniers temps de notre ami ? Je ne suis point dupe, j'ai vu son état et me doute qu'il ne restera point parmi nous encore longtemps .

Le regard foncé se posa dans le regard de la gentille médicastre et la Marie attendit patiemment .

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne peu habituée à se faire ainsi nommée rosit légèrement.

- Je me porte fort bien je vous en remercie. J'espère qu'il en est de-mesme pour vous.

Elle lui sourit voyant la jeune femme porter son regard sur le panier elle se doutait bien que cette dernière avait apporté quelque chose pour son patient. Elle confirma la suite par ce qu'elle dit et Marianne ne voyait point là quelque chose pouvant nuire au bien-estre de son patient aussi répondit-elle en ces mots.

- Oui il vous est possible de le voir quelques minutes, je suis ceraine que vostre visite lui fera bien plaisir. Surtout cela le changera suremnt du menu de l'hôpital qui en est un bien que de qualité est bien souvent différent des habituels repas que nous pouvons déguster à la maison.

Puis pour répondre à son autre question qui celle-là était un peu plus en rapport avec la situation elle lui répondit aussi franchement que possible.

- Je crois que le mieux à faire serait de rester vous-mesme et ne point le faire sentir comme une personne malade. Cet homme à tout donner pour sa ville et son pays et mérite que nous le rerspections en ne lergardant point avec pitié mais en rerstant naturel. Ce serait un affront à lui faire que de le faire sentir diminuer de ses capacités. Car il n'en est point cas pour lui. Malgré sa maladie il garde intègre toute sa volonté de continuer à oeuvrer au sein de la ville. La preuve étant qu'il continu mesme de son lit à travailler sur ses dossiers. Vous pouver donc déjà juger de sa valeur et de la droiture qui régissent ses actions.

Marianne espérait que ses réponses avaient satisfait dame Marie. Elle était plus que certaine que Kali préférait entendre rire les gens que de les voir chagrin sur une situation qu'il ne peut plus hélas contrôler. Le mal progressait à grand pas et ses poumons s'asséchaient de plus en plus chaque jour. Elle craignait chaque fois qu'elle quittait l'hôpital que lors de son retour il ne serait plus. C'est la raison qui fesait qu'elle passait de plus en plus de temps sur place.

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

Mercedes arriva a l 'hôpital dans la matinée après son travail au duché , le regard triste elle vit Marie discutant avec son amie Marianne et plus loin Nestor elle avait entendu les dires du médecin une personne à la fois elle attendrait pour voir son cher filleul et alla vers Nestor prenant ses mains .

Nestor je sais que pour vous c est difficile de savoir votre ami colonel Kallimero si malade et qu 'il doive rester au lit ce n 'est pas du tout son style ,lui qui prenait tant son travail à coeur ,sa fidélité envers notre roi et de le savoir si affaibli me chagrine mais je crois qu 'il n 'aimerait pas nous voir pleurer j 'imagine Nestor vivre un cauchemar et que je vais me réveiller , nous irons le voir après Marie ,venez Nestor je vais demander un thé et pour vous un café poussé ^^

Mercedes avait de la peine de voir Nestor perdu ,il ne voulait pas croire non plus que son colonel puisse être malade ,elle essuya sans se faire voir une larme et pensa que va devenir Nestor jamais elle ne le laissera seul

La médicastre avait tenté de rassurer son patient comme elle le pouvait.
Avec des mots gentils.
Mais surtout, elle avait été honnête et lui avait tout expliqué.
Il lui sait gré de cette franchise.
Il sait maintenant à quoi s'en tenir.

Il a donné son accord afin que ses ami(e)s viennent le visiter.

Après une nuit passée d'un sommeil nébuleux, il s'est éveillé sans souffrir.
Probablement ces remèdes puissants qui lui sont administrés y sont pour quelque chose.
Louise, son infirmière, est prêt de lui.
Après qu'elle eut aéré la chambre pendant quelques minutes pour changer l'air, retapé la couche de son patient.

Louise, ma bonne Louise.
Ce matin, j'ai une faim de loup !
Pourriez-vous me faire porter un bol de bouillon, agrémenté de quelques tartines et un fruit.

Elle quitte la pièce pour se rendre aux cuisine.
Lorsque la porte s'ouvre, il entend des voix connues.
Avant que Louise ne referme la porte.

Louise.
J'entends les voix de Mercedes, Marie et Nestor.
Si vous pouviez les inviter à entrer, leur présence me fera très plaisir.

Messages : 1486 Date d'inscription : 12/02/2012 Ville : Rouen

La Marie sourit à la médicastre .

Dame soyez bénie de votre franchise . Être moi -même ... cela sera des plus faciles . Chassez le naturel et il revient au galop !

Sur ces mots, c'est en riant que la Marie entra dans la chambre de Kalli et lui sourit chaleureusement .

Le bonjour Messire, ravie de vous voir réveille ! Comment vous sentez-vous en cette radieuse journée de printemps ?

En attendant que le maire réponde, la brunette se mit a sortir de son panier le pot de soupe, le pain, un morceau de fromage et prépara le tout avec un petit verre d'hypocras sur un plateau .

Me suis dit que vous auriez sans doute grand faim avec les médicaments administrés par Dame Marianne .

Posant le plateau sur les genoux du malade, la brune prit place un instant pour bavarder et surtout raconter quelques sottises .

Ce matin ,en allant ramasser les herbes pour améliorer votre soupe, j'ai trouvé un loir et sa petite famille installé dans mon panier . Je n'ai pas eu le courage de les déranger , ils étaient fort beaux je dois dire !

Elle le regardait manger avec un bon appétit tout de même et se pencha pour sortir encore une petite chose du panier .

Ne le dites point a Dame Marianne, elle me grondera sinon , mais je vous ai amené un peu de calva vieux que je vous sais aimer .

Elle souriait en coin la Marie en déposant la fiole de grès sur le plateau .

A peine Louise avait-elle refermé la porte de la chambre que celle-ci (la porte hein, pas la chambre !) s'ouvrit à nouveau en grand.
Un grand coup de fraîcheur arrive jusqu'au lit.
C'est la belle et douce Marie qui fait son entrée avec son éternel panier au bras.

MariedeLaRose a écrit:: Le bonjour Messire, ravie de vous voir réveille ! Comment vous sentez-vous en cette radieuse journée de printemps ?

Bonjour Marie.
Je ne sais pas quel temps il fait car je ne vois de l'extérieur que le peu que me permet la fenêtre.
Vous me voyez alité depuis maintenant plusieurs jours.
Eh oui, la médicastre Marianne, lors de l'examen médical a découvert que je suis atteint d'une maladie grave qu'elle a appelé la "phtisie" (!). Elle m'a expliqué ce que c'était. Tout ce que j'ai compris s'est qu'aucun traitement et remède n'est connu et que c'est mortel.
Enfin, je suis fort et les médicaments qu'elle me prescrit devraient me guérir ; et je devrais rapidement revenir parmi vous, dans ma bonne ville de Rouen où je me sens si bien.

Marie reprend son babillage.

MariedeLaRose a écrit:: Me suis dit que vous auriez sans doute grand faim avec les médicaments administrés par Dame Marianne .

Le plateau délicatement posé sur les genoux, Kalli regarde ces bonnes choses.

Vous devez avoir quelques dons de voyance !
Je viens de demander à Louise d'aller me quérir quelques nourriture terrestres ... et vous arrivez avec votre panier garni !
Cette soupe sent délicieusement bon. Vous avez dû y mettre dedans quelques herbes de votre connaissance.

Sans plus attendre, car il ne faudrait pas laisser refroidir, il se saisit de la cuillère et attaque le contenu du pot de soupe. En deux temps trois mouvements, celui-ci est vidé. Puis, c'est le tour du fromage (un bon camembert de Normandie bien entendu !) avec le pain.

Je vous remercie ; ce repas m'a fait grand bien.
Je mourrais de faim.
Il faut avouer que depuis que je suis hospitalisé, je n'ai rien pu avaler !

Pendant qu'il mange ; Marie fait la conversation en narrant ce qu'elle a fait depuis quelques jours.
Sa participation au "Concours pour la Foire".
Mais aussi le "quand dira t'on" de la vie rouennaise.

Marie retourne à son panier duquel elle sort une "petite fiole" qu'elle dépose sur le plateau.

MariedeLaRose a écrit:: Ne le dites point a Dame Marianne, elle me grondera sinon , mais je vous ai amené un peu de calva vieux que je vous sais aimer .

Kalli, comme un gamin surpris en faute, se saisit prestement de la fiole dont il avale le contenu en se délectant.
L'alcool en descendant dans son œsophage lui réchauffe le sang.
Il se sent bien.
Il est heureux.

La nuit tombe et il se sent fatigué.

Ma bonne Marie, je vous remercie d'être venue me rendre visite.
Votre soupe est délicieuse ... et votre calva également.
J'ai entendu des voix dans le couloir.
Pourriez-vous avoir la gentillesse de dire à Mercedes qu'elle peut venir me saluer.

Messages : 1486 Date d'inscription : 12/02/2012 Ville : Rouen

Marie sourit en le voyant faire avec le calva et se mit a rire doucement .

elle vit quelque signe de fatigue sur le visage de Kalli et se leva en même temps que celui-ci demandait a voir Mercedes .

Je vais vous la chercher mon ami ... Pardon Messire le Maire de cette familiarité . Que le très haut vous garde en sa lumière .

Un dernier sourire , la Marie fit disparaître le corps du crime a savoir, la fameuse fiole en riant avec Kalli et sortit en refermant doucement la porte .

Elle s'appuya un court instant contre le mur , cherchant a retrouver son calme et son sourire légendaire , mais elle avait les larmes qui lui montaient aux yeux .

Se dirigeant vers son amie Mercedes, la brunette la serra dans ses bras et lui chuchota doucement

Il vous attend . Il est las mais il ne souffre point . Souriez ma chère et point de pleurs en sa chambre .

Se reculant, la brunette prit place aux côtés d'un Nestor qui avait la bougeotte et machinalement, lui attrapa la main comme pour le calmer et leva son regard noisette sur l'homme .

Messire, il me semble avoir entendu que vous êtes un bon ami a Messire Kallimero ? venez , prenez place un instant et bavardons voulez-vous en attendant que vous puissiez le voir .

La Marie sourit avec douceur , espérant que Nestor lui accorderait le plaisir d'une petite conversation aussi minime soit-elle .

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

Marie était entré avec son panier avec dedans des bonnes choses ,et en sortant celui -ci était un peu moins garni ce qui fit sourire Mercedes et Marie s 'approcha pour lui dire que Kalli l 'attendait la remerciant elle la bisa puis se dirigea vers la chambre et entra .

Bonjour mon cher filleul ,alors comme ça tu as décidé de rester au lit et de travailler moins !

Mercedes prit place près de lui l embrassa très fort .

Dis moi mon filleul ,qu 'aimerais tu que je fasse a part retirer les miettes que tu as sur le coin des lèvres ?

Elle regardait son filleul et ne voulait pas imaginer qu 'il soit malade

» [RP lieu] Hôpital Public Guernessiais
» [RP] Hôpital de SPP
» [RP lieu] "le baptistère"
» [RP] Lieu d'Entrainement (recrues ou non)
» [RP-Lieu] Salle du Trône