[RP GUERNESEY] 1650-03-09 ~ I = De Paris à Guernesey / Escorte du SEG.

Un gros Plouf, suivit d'un autre plus leger...et du mouvement dans la foule, qui, au bruit, s'ecartait

Les gendarmes embusqués dans les tavernes et echopes de la place Adeodat se chargeront bien de l'individu qui joue les matamores,

le discours de Charles...grand sourire, limite risible...tellement facile de tout mettre sur le dos d'Elisabeth, et de lui donner un tel pouvoir nefaste...les choses n'etait pourtant pas si compliquée...

L'anspessade et le soldat semblaient raisonnables et ne bougeaient pas, juste nerveux sur la garde de leurs rapiere, rangée dans les fourreaux

"Restez calme et mettez vous au sol...on ne fera juste que vous retirer vos armes, et on pourra alors ranger les notres..."

Reste braqué sur ces cibles, le reste des evenements s'eloignant de lui

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Depuis les tavernes du ports et sur le quai

Alors donc il avait bien fallut qu'il y ait des tentatives d'héroisme...

Les 6 gendarmes remois habillés en civil et placé en embuscade suivirent les mouvement de l'individu à la casaque qui avait balancé Monsieur Haick à l'eau.

Apparement, le capitaine aurait mieux fait de le saigner à la dague..;trop humaniste,...ça le perdra

2 d'entre eux se dirigèrent vers l'autre coté du quai, laissant les gardes du prince s'occuper du SEG, et se mirent a scruter l'eau en attente de voir ressurgir l'individu enchainé et son otage en uniforme.


Il la repérere derriere une barque de pêche arrimée a coté du bateau qui avait amené les français. Ils la mettent en joue, attendant un officiel (PJ) pour la recueillir....s'agirait pas non plus de les rendre malade.


les 4 autres se mirent en traque de l'individu en casaque qui aurait du etre KO...mais bon, la nature est parfois surprenante...apparement, i auarit du avoir le bras ankilosé par le coup, mais bon, on dit tellement de chose sur les mousquetaires....

L'individu semblait s'amuser avec la foule...ça tombe bien, les agents de la maréchaussée de Reims, traquer un malfaiteur dans la foule, c'est un peu leur metier...
Ils n'eurent aucun mal à le suivre à distance le laissant faire ses moulinets et etaient arriver à encercler leur proie sru le quai, jouant les badauds apeurés, tout en reserrant leur encerclement, laissant de moins en moins de civil dedans

l'homme à la casaque plongea, sur qu'il etait d'etre seul....les policiers savaient se tennir discret avant de serrer un malfaiteur...alors en plus de ça quand habillé en civil

C'est juste qu'une fois l'individu à l'eau, et assuré alors que sa poudre etait mouillée qu'ils sortirent leurs armes et 3 des gendarmes les pointerent vers l'eau, suivant le plongeur à la vue, attendant juste qu'il remonte à la surface et commencer a se diriger vers le chateau cornet situé au Sud, en nageant contre un fort courant orienté plein Nord....qui le ramene direct sur la jetée du port, le 4e scrutant la foule et faisant s'eloigner les derniers civils.

là encore, les policiers remois attendent sagement qu'un officiel (=pj) interpelle l'individu

Transportant le Secrétaire qui revenait à lui sur les quelques mètres qui le séparaient du Prince, le Chancelier senti comme une forte brûlure au niveau de sa jambe gauche.
Une balle, une balle venue de la direction de Charles venait de lui entaillée la cuisse gauche créant une déchirure de quelques centimètres, rien de grave mais la blessure l’empêchait de se mouvoir correctement. Il en avait vue d’autre.

Il laissa sa place au Garde venu à sa rescousse et tout en se retournant vers le tireur, il ressorti son pistolet, et le pointait en sa direction.

Ne bouger plus Messire !!!

Lui ordonnait-il.
De cette distance, il ne le manquerait surement pas, entrainé depuis des mois au camp, rarement il n’avait raté sa cible.
A cet instant il ne savait plus, fallait-il tirer sur l’homme et l’abattre, ou le faire arrêter, un instant d’hésitation…..
Puis, Chric donnait ses ordres au deux derniers Gardes.

Gardes, mettez cet homme au arrêt et récupérez ses Armes.

Romeuf pointant son arme sur la nuque d'Adamantes, vit le soldat français donner une ruade... sur un passant top prés, qui s'ecroula de douleur.

"Bon, tant pis!."

Il assena alors un coup severe de la crosse du pistolet sur la nuque de l'Anspessade, qui s'ecroula au sol, assommé net, ...

...et rattrrapé par son camarade qui le tira comme un poid mort sur quelque metres.

laissant un Romeuf sur place un peu surpris !!!!

Puis, il vit le soldat français , comme drogué, apparement choqué par la situation hors de controle pour lui, chercher un coin pour se dissimuler...sachant qu'il n'y avait que des passants sur le quai qui avait été vidé de ses caisses etautres encombrant sachant la venu du SEG, la tache fut difficile,

Il le vit s'agenouiller derriere une bite d'amarrage, sous le regard etonné des soldats et marins à coté de lui, qui semblaient inexistant pour lui

Romeuf s'approcha donc tranquilement par derriere lui, se mefiant quand même du bonhomme...

et alors il le vit prendre son mousquet en main, d'une seule main, d'ailleur, comme pour un pistolet... sauf que l'arme faisait vraiment son bon 1m50, comme tout bon mousquet

"Apparement, ils ont du mal avec les armes à feu au RDR....", se dit il

Bien evidement, le coup tiré n'eut aucune precision : un mousquet, ça se tiens à deux mains, et avec le recul, la balle parti ricocher au loin...

Le soldat français, qui semblait etonné se releva et s'avança vers les gardes du prince en annonçant sa reddition.

Romeuf s'approcha derriere lui...constatat que l'Anspessade etait toujours assomé... et, pivotant vers le français qui etait de nouveau de dos par rapport à lui, s'approcha de lui en un pas ...

...et, de nouveau, la crosse du pistolet de Romeuf s'abbatu sur la nuque d'un soldat Français, qui s'ecroula à son tour.

Quelques matelots s'approcherent et garotèrent Adamantes et Charles Edouard

"Bon...les soldats, c'est fait ! Je vous les laisse, Chric ...Aux gradés maintenant..."

"Le port de St Pierre a toujours été un port commercial plein d’animation. Point d’ancrage grâce à la profondeur de ses eaux, relativement éloigné des côtes françaises, elle a toujours été le principal port d’entrée des îles Anglo-Normandes et a pu profiter de la richesse des constructeurs navals, des corsaires et autres aventuriers dotés d’un flair commercial particulier.Les bateaux marchant ne desemplissent jamais le port ,et le marché au poisson non loin attire toujour plus de monde" ....Le bateau français mouille au port avec tout un tas d'autre bateaux de commerce etc...

La brune était donc tombé à l'eau en charmante compagnie ,le vicomte fers aux pieds ,un poid considerable sur les jambes parvint tout de même avec on ne sait qu'elle force tenir Oscar qui n'etait plus à un etonnement près .Enfin il lache sa chaine (pour pouvoir la maintenir et eviter de couler avec le poid de celle ci )mais voila qu'il la ceinture et tente de la frapper ,nouvelle erreur ,son bras est bléssé et ses chaines aux pieds l'attire vers le fond ,seul Oscar l'empeche de couler et lorsqu'il la ceinture pour la frappé ,outre la lenteur de son geste sans parler du poid de la rapière rester dans sa main ,la brune qui a laché son pistolet desormais remue les jambes pour se depetrer .

Et la le miracle !!aussi inatendu que cocasse un homme qu'elle ne connait pas vient tirer le bras du vicomte pour l'empecher de la frapper ,la brune profite de la surprise pour prendre appuis de ses jambes sur le corp du vicomte et se propulser plus loin ....elle remonteà l'abris d'un bateau reprend son souffle un instant puis replonge s'eloignant ,laissant les deux hommes entre eux,le second devant maintenir le premier qui avec toute sa feraille sur le corp,chaine rapière ,fers aura vite fait de couler ....

Après quelques metres ,derriere un pavillon elle reprend une nouvelle fois son souffle plus longement ,elle éspere que l'animation de l'endroit fera en sorte qu'on ne la repère pas...dautaut qu'elle s'est defaite du vicomte sous l'eau donc theoriquement personne n'a pu evaluer la direction dans laquelle elle s'est enfuis...

(Edit pour ajout des guillemets )

Le Prince avait surveillé l'arrestation de Nemours. Il n'était pas un sauvage et la violence pour lui n'était nécessaire que pour se défendre.

Il regarda Chric quand il entendit l'annonce de Romeuf.

S'écartant un peu de ses gardes pour être bien entendu de la foule il enchaina apres Romeuf, profitant du silence.

Peuple de Guernesey !
nous ne sommes pas comme le roy avide de pouvoir et de sang !

je veux que le capitaine francais soit arrêtée mais amenée vivante au palais !

puis il revint vers Chric.

Attendez

Et se posa en face de Nemours, le fixant droit dans les yeux.

Les princesses déchues ne me dérangent pas, surtout selon quelle est la main qui a signé leur déchéance.
J'ai toujours préféré la compagnie des nobles de coeur, de ces gens dont le courage et la valeur sont égales à l’honneur qu’ils portent et que l’on voit dans leurs actes et leurs choix.

La noblesse asservie et rampante devant le pouvoir me fait sourire et me dégoute.

Son regard se fit plus dur… j’aurais aimé que vous apportiez vivre, armes, matériel de la part de votre maitre, cela m’aurait montré mon erreur, un temps soit peu qu’il y ait erreur.
Mais voilà, vous n’êtes venu que pour me rappeler de courber l’échine devant lui.

Mes îles n'ont donc plus à dépendre d'un précieux freluquet qui préfère pavaner plutôt que de prendre soin d'un peuple qu'il asservit.

Puis il regarda Chric à nouveau

oui allons y.

Vous mettrez Nemours dans une salle à part gardée par deux hommes quant aux autres prisonniers enfermez les séparément, je ne veux prendre aucun risque et souhaite parler avec chacun d'eux lorsque le temps m'en laissera l'occasion.
Et je veux que vous me teniez au courant pour le Capitaine Oscar.

Ses traits se faisaient durs.

Par la faute du duc de rohan, prétendant au trône, la violence était entrée à Guernesey qui vivait en paix, même lorsque les soldats royaux étaient là.Ce roitelet était un individu dangeureux et son avidité de pouvoir amenait les tensions et les batailles au lieu d'amener la vie et la liberté. Il était temps que tout cela change et que les provinces françaises réagissent au lieu de se laisser mener en laisse.

D'un geste énergique il remonta en selle et tendit la main à Bouillette pour le hisser derrière lui et d'un coup de talon mit Altaïr en route vers le palais.

Le SEG et les autres prisonniers français avaient été emmenés dans un lieu sure et sous bonne garde.

Il se retrouva dans une petite pièce, sans fenêtre en ayant aucune idée de là où il se trouvait. Peut-être les combles du Palais Princier ???

[Pendant ce temps, dans les rues qui mènent au port
non loin de l'auberge de St Pierre]

Qu'est ce qu'il courait le Dudule. Du haut de son mètre quarante et peut être des poussières qu'il laissait trainer derrière lui, il était pressé de rejoindre l'auberge de St Pierre pour aller chercher Planplanette et repartir au palais.

même pas il m'attend le Bouillette et puis il va dire suis pas là et que j's.... un coup de pistolet le fit sursauter et se cacher derrière un gros tonneau. Mais c'est quoi ça encore ? et il est ou Aime ?

Tout en guettant dans la ruelle qui descendait vers le port il se demandait s'il avait bien fait de partir de l'Eglise et donc de quitter Quasi et France. C'était quand même des grandes et il se sentait plus en sécurité avec elles que tout seul comme en ce moment.
L'auberge de St Pierre n'était qu'à quelques dizaines de pas de l'autre côté de la rue et il pointa d'abord un oeil afin de s'assurer que nul bandit ne voulait attenter à sa vie. Il allait traverser en courant parce qu'il n'aimait pas quand ça tirait au pistolet.

Sortant de sa cachette il bondit pour traverser la ruelle quand il se cogna à quelqu'un qui courrait comme lui, et se retrouva projeté les fesses par terre.

La brune court sans ralentir ,bien qu'elle soit epuisée ....beaucoup de questions se bousculaient dans sa tête ,qui était l'homme qui a jetté la foule à ses trousse ,celui qui la sauvé du bras du vicomte ?Pourquoi vouloir les faire prisonniers alors qu'ils n'etaient la que pour discuter ?qui tire les ficelles ?qui attise la violence sur l'île en pretendant sauvegarder une foi ?aucune reponse ....

Une chose est sure ,elle n'etait plus armée ,et ce n'est pas son corp de sylphide qui la defendra si on l'attrape ,ainsi son seul échapatoire est la course ...Dieu ,peut importe lequel ...faite que je m'en sorte !!!

Dans sa course elle retourne la tête pour voir si elle n'est pas suivis et lorsqu'elle la re-retourne ....Paf !!elle bute sur quelque chose ,ou plutot un jeune garçon que le choc à projetté au sol,sans reflechir ,au risque de perdre de precieuses seconde elle se baisse et ramasse le gamin .Il est sonné ...

Pardonne moi .....est ce que ça va ?

Tout en attendant qu'il reprenne ses esprits ,elle regarde dans la direction du port ,le petit chouine et elle appercoit au loin des hommes qui courent dans sa direction ,en la montrant du doigt

Attraper la !!!

enfer !!lançe t-elle cette fois je suis perdu ....

.

.

[Dans une ruelle, Oscar et Dudule]


non mais ça v...
Pardonne moi .....est ce que ça va ?

Pas le temps de finir sa phrase qu'il se retrouva en train de se relever, la tête comme une cougourde, comme lui dirait Aime. Quelques secondes pour réaliser qu'une femme se tenait devant lui, et les habits tout mouillés comme si elle s'était baignée toute habillée. Mais qu'est ce qu'elle faisait là et puis le coup de pistolet ha oui je me souviens.. vite rentrer dans l'auberge !

enfer !! cette fois je suis perdu ....
zêtes perdu ou ? tout en lui disant ça il entendit des cris et des silhouettes qui émergeaient au fond de la rue.
Viens restes pas là c'est des francais qui vont nous attaquer vite !

Sans lui demander son avis il lui attrapa la main et l'entraina en courant vers la porte de l'auberge avant de la faire rentrer et tirer la porte derrière elle, puis se plaça au au milieu de la ruelle en montrant la direction d'une ruelle qui s'éloignait.

là bas !! j'ai vu un soldat qui partait en courant vers les bois là bas vite !!

Il n'avait jamais été aussi rapide pour monter les trois marches et refermer la porte derrière lui, quand le groupe eût disparu. Il donna un tour de clé et regarda la jeune femme. Il laissa tourner tres vite sa cervelle. Voila qu'il aidait quelquun qu'il connaissait même pas. Y'avait pas intéret que Bouillette arrive sinon il allait encore lui chanter Manon.

Il s'approcha du feu pour remettre du bois dans la cheminée pour pas qu'elle ait froid puis il baissa un peu la voix, bien que l'auberge soit vide.

je suis Dudule c'est vous qu'ils poursuvaient les hommes ?

Tout en la regardant il se rendit compte de son uniforme, même si elle avait plus la veste. C'était un soldat, ça il en était sûr.

ben on est à l'auberge de St Pierre ! c'est tout les gens qui viennent ici s'en occuper quand ils ont le temps et moi je viens aider ou apporter des miches.

il fronça les sourcils en la regardant .. pourquoi z'êtes mouillée et puis pourquoi ils vous cherchent les gens ?

Il avait bien entendu Aime parler des soldats du roy qui viendraient surement pour l'arrêter et arrêter ceux qui voulaient pas lui obéir mais il comprenait pas trop. Tout ce qu'il savait c'est qu'Aime avait rien fait. En la voyant regarder le feu il pensa qu'il devait lui donner une couverture.

Ne parti pas je vi chercher une couverture à l'étage apres un regard méfiant et s'assurant qu'elle partait pas des qu'il avait le dos tourné, il monta quatre à quatre les escaliers de bois et attrapa la premiere couverture qu'il trouva dans l'armoire du couloir, avant de redescendre aussi vite.

Il la lui tendit avec un sourire un peu gêné... il était inquiet. Il regarda la porte.

Personne viendra ici j'ai fermé... puis la regarda à nouveau ... peut être il faudrait qu'il appelle la dragonesse ou Aime. Il était prince mais il avait jamais fait du mal à personne et il lui dirait quoi faire.. et s'il voulait pas qu'elle reste là ?
C'était le manège dans sa tête, il ne savait pas trop quoi faire. Et puis avec ses habits tout mouillés il vallait mieux qu'elle reste dedans.

ya les chambres là haut pour vous cacher il se gratta ses cheveux d'un air inquiet .... puis dehors y'a des coups de pistolet et moi j'aime pas les coups de pistolet

Elle était au marché, achetant quelques plats au boucher lorsqu'elle entendit du remue ménage vers le port. Curieuse de anture, et oui, c'est une femme ! Elle se dirigea vers cette cacophonie_qui ne lui scie pas la tête et qui n'a rien d'une harmonie*_
Arrivant au coin d'une rue, elle voit des soldats, et entend le Prince dire qu'il met quelqu'un aux arrêts. Elle reste derrière son mur, collée contre lui et jette un oeil. Elle vit des hommes armés, d'autres se faisant entrainer sans doute vers les geôles, elle reste là, stupéfaite qu'une telle chose puisse arriver sur l'ile.

Dernièrement, elle était peu sortie, et s'était donc peu intéressée aux nouvelles, la dernière fois qu'elle l'avait fait, c'était à l'église où elle apprenait que le roy était devenu hérétique. Elle avait également entendu des rumeurs comme quoi le Prince s'opposait fortement à lui et qu'il ne laisserait personne s'en prendre à l'ile et ses habitants.

Bien qu'elle même ne soit pas fort croyante, elle pensait plus raisonnable de suivre le pape qu'un roy qui risquait de se mettre non seulement une majorité de son peuple à dos, mais également les pays voisins.

Elle regarda le "défilé", inquiète. Et si une guerre devait éclater à cause de tout cela ? Le Prince semblait raisonnable et ne serait sans doute pas le premier à attaquer mais si le roy donnait l'ordre à ses armées de le faire ? Elle n'avait pas tout vu, et n'était pas au courant de tout, loin de là. Mais ceux arrivés là ne semblaient pas vouloir engager le combat, ce qui la soulagea quelque peu, bien qu'elle se demandait ce qu'il allait advenir d'eux...






* Petit clin d'oeil à l'assasymphonie ^^