[RP] Cadastre de la ville de Paris

Cela faisait maintenant deux jours qu'il connaissait Angélique et par élan de gentillesse lui avait proposer de lui faire visiter un peu la ville.. Celle ci lui avait dit qu'elle cherchait un local pour ouvrir un magasin .. Il lui avait donc proposer de l'emmener au Cadastre. Le rendez vous avait été pris et les voilà donc marchant dans la rue en direction du Cadastre. Comme a son habitude, il parlait peu et regardait les environs.. Réflexe vous croyez ? Surement oui ! Dans tout les cas un silence presque pesant s'installait et il cherchait un sujet de conversation pour le briser mais quoi ? Et la seule chose qu'il trouva a dire fut ...

Le cadastre n'est plus très loin.. Plus qu'a tourner dans cette rue et on y sera ..

Bravooooo ! Alors la tu fais fort vraiment ! T'aurais pas pu trouver mieux ?! Remarque .. On a rien de mieux en stock .. Donc on fait avec ce qu'on peu .. On verra bien comment va réagir la demoiselle..

Angelique essayait de suivre Adamantes ,ses pas etant bien plus grand que les siens ....Elle venait de faire sa connaissance et il avait eu la gentillesse de lui proposer de l'emmener
au cadastre pour mettre en place son projet
Il parlait tres peu et elle n'osa pas le deranger en lui posant trop de questions .Elle le regarda juste au moment ou il lui parla

le cadastre n'est plus tres loin.. Plus qu'a tourner dans cette rue et on y sera

Bon...pas tres original il faut en convenir mais elle se sentait rassurée....au moins il parlait ! Et que repondre ? Elle chercha chercha et finalement

Ce n'est pas si loin finalement

Et oui bah pas mieux !!!!!

Super ! Au moins tes pas le seul qui trouve rien a dire de constructif ! Bon bah aller enchaîne idiot ! Il sourit et ralentit son pas avant de lui répondre

Oui en effet ... Euh .. Nous y voilà. Bien euh je vais t'attendre ici ! Tu arrivera a te débrouiller sans moi maintenant ? Je t'attends ..

Il lui sourit Et lui ouvrit la porte

A moins que tu ne veux que je t'accompagne ..

Angelique se mordit la levre inferieur pour ne pas rire...Ah ils avaient l'ai fin a ne rien trouver comme sujet de conversation...mais bon

oui j'aimerai que tu m'accompagne,j'ai besoin de tes conseils

bah oui franchement....elle ne l'avait pas fait deplacer pour rester devant...ou derriere la porte

Il sourit et entra après elle

Soit je t'accompagne, après toi ..

Il toqua a la porte du bureau et appela

Il y a quelqu'un ?!!

[Firenze, désolée pour le retard ! J'avais zappé -_-" ]

Papoter, bah oui, c'est une bonne idée ! C'est pas drôle le cadastre. Vous vous ennuyez des heures durant et quand quelqu'un vient, c'est uniquement pour avoir une clef et basta... c'est nuuuuuuuuuuuuuuuul ! Le prochain, s'il amène pas les petits gâteaux pour le 16h, il aura pas ce qu'il veut, nah ! Et pour redevenir sérieux...

Marie-Jeanne sortit sa fameuse boite avec tous les actes de propriété et chercha les deux numéros que lui avait indiqué Firenze. Effectivement, il ne s'était pas trompé, ils étaient tous deux près d'un parc.

- Eh bien... Visiblement, ils sont tous deux près d'un parc oui, et tous deux libres d'ailleurs. Lequel devrions-nous mettre pour l'armée alors ? Le numéro 411 me semble plus grand que le 416. Mais si c'est uniquement l'espace à côté qui vous intéresse...

Elle suspendit là sa phrase, laissant le soin à Firenze de réfléchir à la question.



[Adamantes et Angélique]

Tiens, tiens... Voilà une nouvelle tête ! Et une plus ancienne et plus connue. Marie-Jeanne relève les yeux et sourit aux deux arrivants avant de se lever pour les saluer.

- Bonjour Adamantes ! Et demoiselle...

Ne connaissant pas le nom, elle arrêta sa phrase là, dans une semi-invitation pour la jeune femme à se présenter. Puis elle reprend, guillerette.

- Laissez-moi deviner... Vous venez ici pour vous cacher parce que... euh... Anne a lancé à vos trousses un de ses pigeons tueurs !

Comment ça elle a bu ? Mais non... elle essaie juste de sortir un peu de la routine du cadastre !

Il ne put s'empêcher de rire légèrement puis répondit a Marie-Jeanne

Me cacher ? Noooooon pas du tout, ils ne me touchent pas .. Sinon ils finissent a la casserole sans autre forme de procès !! Et puis pourquoi ma femme voudrait-elle me faire agresser par ses pigeons ? Je me le demande ....

Il sourit, a vrai dire selon lui il y en avait des raisons mais pas a aller dans ces extrémités ... Il se tourna vers Angélique silencieuse d'un coup .. Il lui sourit et se tourna a nouveau vers Marie-Jeanne

Je me demande si je dois laisser mon amie se présenter ou le faire moi même .... Hum ... Où est mon perroquet quand j'ai besoin de lui je vous le demande !

Lui non plus il a pas bu ... Euh ... Un peu seulement mais faut bien continuer a animer !

(PS : Désolé Firenze ^^ je ferais plus gaffe la prochaine fois^^)

( ada tu peux pas voir firenze c'est pas au même moment ^^)

-Exact c'est uniquement l'espace, je n'ai pas besoin d'avoir une grande surface habitable. Ce ne sera qu'un point de rencontre pas besoin d'un palace pour ça.

Il sourit.

-Mon choix penche plutot pour le 416.

Dans le genre contradictoire ! Mais le terrain était attenant au bâtiment ce qu'il jugeait plus pratique.

Angelique entra dans la piece et laissa un instant parler Adamantes...puis elle s'avançat vers le bureau et se présenta

Bonjour je suis Angelique Leroy.Je suis arrivée depuis peu a Paris et je cherche un endroit ou je puisse faire ma boutique et au dessus pouvoir loger

Angelique regarda Adamantes d'un oeil amusé puis continua

ce monsieur est vraiment gentil,il m'a proposé de m'aider a l'installation et c'est pourquoi j'ai besoin de son avis.

[Fifirst]

- Adjugé vendu alors ! Va pour le 416 !

Elle détacha le trousseau de clefs de la fiche. -Bah oui, pour une fois, il y avait plusieurs clefs ! Pourquoi ? Parce que j'aime bien avoir l'impression que les RP du cadastre ne sont pas tous les mêmes ! Nah !- Et le tendit à Firenze. L'armée étant une institution royale, il allait de soi que la propriété était automatiquement transférée, sans avoir à négocier un quelconque prix ou quoi.

- Sur la fiche de propriété, je mets au nom du RDR ?

[Adamantes et sa charmante Angélique !]

Elle répondit d'un sourire à Angélique.

- Eh bien, avant toute chose, soyez la bienvenue à Paris ! Je vois que vous avez trouvé en Adamantes un guide sérieux et attentionné !

Elle adressa un regard taquin à Adamantes, puis reporta son attention sur la jeune femme.

- Je suis Marie-Jeanne Le Chardonneret, maire de Paris entre autre... Et nous allons donc voir ce que je peux faire pour vous !

Elle sortit de derrière son comptoir et les invita à la suivre devant un grand tableau, affiché sur le mur : le cadastre de Paris !

- Vous souhaiteriez que ce soit grand ? Petit ? Non loin d'un endroit particulier ?

Angélique ne savait que répondre.Elle ne connaissait pas Paris alors il était difficile pour elle de designer un endroit précis.Elle sourit et dit

oui c'est vrai Adamantes m'est d'une aide precieuse.Il s'est proposé de m'aider pour mon projet.Mais vous, pouvez vous me conseiller? Je cherche un endroit ou je puisse ouvrir une boutique
de mode,avec une piece attenante pour entreposer le materiel et avoir si possible un logement pour moi au dessus.


Angelique se tourna vers le plan de la ville

[Fifi !]

Marie-Jeanne sourît avec franchise à Firenze.

- Avec plaisir. Je note donc cela au nom de l'armée. N'hésitez pas si vous avez besoin de quoi que ce soit d'autre !

Elle prit soin de noter le nouveau propriétaire sur la fiche puis raccompagna Firenze pour le saluer.

[Adamantes et Angélique]

- Eh bieeeeen.... Voyons voiiiiiiir....

Marie-Jeanne parcourait le plan des yeux et réfléchissez à voix haute.

- Une grande propriété... Pour une boutique, il vaut mieux que la rue soit passante...

Rien que ce détail lui permettait de se concentrer sur le coeur de Paris.

- Et pour de la mode... Quelque chose de prestigieux.

Il fallait un truc qui fasse un peu classe... et quand on parle de truc classe, j'en connais un qui vous saute immédiatement dessus en pensant que ça ne peut être que lui...

- La rue du Roi par exemple ! Le 117, qui fait l'angle avec la rue du connétable, semble être assez grand... Qu'en pensez-vous ? Je vérifie si c'est libre ?

Elle commençait déjà à chercher dans son petit carton la fiche du 117 rue du Roi.

Angelique eut un large sourire,elle allait enfin pouvoir creer sa propre boutique...et puis cela etait un signe du destin ; la rue du Roy pour Angelique LeRoy

J'apprecie enormement votre choix ,merci .J'aurais une question a vous poser.Pensez vous que je puisse a coté ouvrir ma boulangerie ?je pourrai vendre et faire deguster mes pains et mes
patisseries.Cela serait une agreable façon de les faire patienter

Angelique se tourna vers son ami Adamantes et lui sourit

je vouilais te faire la surprise; je viens de reussir mon diplome de Boulangerie.Que penses tu de mon idée?

Il écoutait légèrement en retrait et regarda le plan du cadastre et l'emplacement en question et sourit et se tourna vers Angelique son sourire s'agrandissant de plus en plus

Hé bien sa pour une surprise c'est une surprise !! Toutes mes félicitations mon amie ! Hé bien pour ton idée je la trouve très intéressante ! Après Madame le Maire a surement un meilleur avis que le mien

Il sourit malicieux a Marie-Jeanne avant de reprendre

Bien sur cela demanderais du travail et relancera peut être les activités de la ville... N'est-ce pas madame le Maire ?!

[Pardon pour le retard !]

Ecoutant à moitié, Marie-Jeanne était occupée à chercher la fiche de cette parcelle. Lorsqu'elle la trouva, elle grimaça.

- Mince... Cette parcelle est déjà prise...

Elle sortit toutes les fiches tenant aux propriétés de la rue du Roi et les examina une à une. Munie des fiches des parcelles qui n'appartenaient à personne, elle consulta de nouveau la carte.

- Par contre, il y a bien la parcelle 411 de libre. Elle est grande, et en prime, elle est située juste en face d'un parc. Ce qui veut dire que, si vous dédiez une partie de votre boutique à votre boulangerie, vous aurez plus de clients avec les parents venant faire jouer leurs enfants au parc et leur achetant une gourmandise pour goûter... Qu'en pensez-vous ?

Elle regarda tour à tour Adamantes et Angélique, tout sourire, persuadée que c'était une bonne idée.

Je me présentais au cadastre J'attendais Firenze avant d'entrer pour que nous choisissions ensemble notre maison, j'étais très impatiente de le retrouver et espérait qu'il se libérât tôt.

Il était là, c'était le principal. Je lui pris la main et j'étais folle de joie. J'essayais de rester relativement calme pour avoir les idées claires. Nous avions l'un et l'autre réussi à savoir à peu près ce que nous voulions. Je souriais en me disant que c'est au cadastre que j'avais changé de vie et c'est au cadastre que de nouveau je tournais une page. Courte certes mais suffisamment longue. De la petite étrangère qui avait débarqué à Paris, j'avais parcouru un certain chemin qui m'avait fait découvrir l'Amour.
Il n'y avait plus qu'à attendre d'entrer pour choisir ce qui nous conviendrait le mieux. Je glissais alors à l'oreille de Firenze: "je t'aime".

Toute occupée à tout autre chose, la petite clochette qu'avait fait posé Marie-Jeanne au dessus de la porte d'entrée lui indiqua l'arrivée de personnes au bureau du cadastre. Elle sortit donc de la pièce à côté, où elle se posait tranquillement -comprenez qu'elle était ses papiers dans tous les sens- pour travailler sans encombrer le cadastre. Elle lâcha donc plume et encrier pour aller accueillir...

- Messire Falcone, dame de Benavente ! Bien le bonjour à vous !

Ils étaient là, en face d'elle, main dans la main, et cela ne put que la faire sourire. S'occuper du cadastre, c'est un peu voir les gens grandir dans leur vie sociale. Ils viennent d'abord pour une petite maison, puis ils agrandissent parce qu'ils ont plus de sous, ou une famille... C'est assez amusant.

- Que puis-je faire pour vous être agréable ?

Marie-Jeanne nous ouvrit et nous pria d'entrer, je la saluais. Je m'installais sur une des chaises en souriant. Elle nous demanda ce qu'elle pouvait faire pour nous. Je répondis alors en regardant Firenze. Non pas que je l'aimais au point de ne voir que lui, même si cela pouvait être le cas, mais je tenais à parler avec son entier accord, même si je savais que nous étions d'accord:

Nous aimerions acquérir une nouvelle maison, suffisamment grande pour nous deux et nos enfants.

Puis je me tournais vers Marie-Jeanne:

Pour mon ancienne maison, j'en garderais l'acquisition jusqu'à fin janvier pour l'exposition. Quant à l'atelier, je le garderais.

Je laissais Firenze émettre à présent ses souhaits, ses remarques etc.

Marie-Jeanne acquiesçait aux indications de Anne-Marie, et son regard suivit celui de celle-ci pour se poser également sur Firenze. Une remarque sur sa légère protubérance et Marie-Jeanne souffle, à moitié amusée.

- Si seulement... si seulement...

Puis, avec la même concentration qu'elle avait utilisé plus tôt pour écouter Anne-Marie, elle nota les attentes de Firenze.

- Hum... Bien... Donc... Firenze... Trois enfants c'est bien cela ? Et Anne-Marie deux ? Donc une maison assez grande pour au moins une dizaine de personnes, voir plus... Vous prenez avec vous vos gens de compagnie je suppose, dame Anne-Marie ? Et vous la souhaitez où cette maison idéalement ? En centre ville ? Au sud de Paris ? Au contraire au calme au nord ? Proche d'un parc ? Non loin de l'armée ou du palais ?

C'est que c'était grand Paris, il valait mieux avoir quelques indices pour savoir où chercher.

Citation :

Hum... Bien... Donc... Firenze... Trois enfants c'est bien cela ? Et Anne-Marie deux ?

J’acquiesçais.

Citation :

Donc une maison assez grande pour au moins une dizaine de personnes, voir plus... Vous prenez avec vous vos gens de compagnie je suppose, dame Anne-Marie ? Et vous la souhaitez où cette maison idéalement ? En centre ville ? Au sud de Paris ? Au contraire au calme au nord ? Proche d'un parc ? Non loin de l'armée ou du palais ?

Nous ne prendrons qu'une dizaine de serviteur avec nous en tout. Mais j'aimerais que nous ayons assez d'espace pour tous, je veux dire au cas où...

Je rosis légèrement, non pas que je fus enceinte, du moins pour le moment, mais cette allusion au futur me faisait espérer... et je me tus avant de me rappeler les autres questions de Marie-Jeanne. Le quartier, j'avais rêvé assez proche des jardins royaux où nous avions eu ce merveilleux repas mais mon bon sens revint et je répondis à Marie-Jeanne:

Je n'ai aucune préférence quant au quartier, peut-être préférais-tu être prêt de la caserne? demandais-je à Firenze.