[RP] Cadastre de la ville de Paris

Marie-Jeanne ne put s'empêcher de sourire au "peut-être" de Anne-Marie. S'ils s'aimaient, il n'y avait pas de raison. Quoique déjà cinq enfants... Ça doit vous en donner du travail ! Tout en écoutant leurs indications, elle balayait des yeux le plan du cadastre. Quelque chose de grand, pour disons une vingtaine de personnes donc... Effectivement, pour cela, il valait mieux s'éloigner du centre-ville, dont les habitations étaient plus petites puisque plus concentrées. D'ailleurs, c'était le souhait de Firenze et cela tombait bien.

- Eh bien... De grandes demeures avec de l'espace en bord de Paris, c'est heureusement pas ce qui manque ! Je pense que je vais pouvoir y faire quelque chose !

Elle pointa alors du doigt les différents endroits qui à son avis pourraient convenir.

- Les plus grandes propriétés de Paris sont celles-ci : le 514 rue du jardin du Roi, le 614 rue du Luxembourg, et le 130 qui fait l'angle entre la rue du Louvre et la rue du Connétable.

A chaque énoncé, elle pointait du doigt les différentes maisons.

- Le 130 qui fait l'angle est très proche du centre-ville, il n'est donc pas l'idéal pour un peu de calme... Les 514 et 614 sont intéressantes, proches de grands jardins, jardin du Luxembourg pour l'un, jardins du Roi pour l'autre, et dans le sud de Paris, beaucoup plus calme. Peut-être même que, d'une des fenêtres du 514 rue des jardins du Roi l'on peut apercevoir les champs... Vous voulez aller visiter ? Je vérifie que c'est libre d'abord !

Elle rechercha dans les fiches jusqu'à trouver celle de ladite propriété, et un large sourire s'afficha sur son visage.

- On dirait bien que la chance est avec vous aujourd'hui ! Cette grande maison est libre. Je vous donne les clefs ?

J'écoutais les exigences de Firenze en souriant. Pour le coup, je lui serrais tendrement la main et le regardait avec tendresse, également, pour lui faire comprendre que j'étais en accord avec lui. J'entendis alors les demeures que proposaient Marie-Jeanne. Au nom du jardin du roy, je regardais Firenze. En plus la demeure était libre! Je répondis alors, en souriant et sentant mes joues rougirent:

Si tu n'y vois aucune objection, je pense que cette demeure nous ira très bien.

Je le regardais attendant avec impatience son accord.

[Arf ! Désolée ! Encore oublié... Ce n'est qu'une formalité mais bon... RP Firenze et Anne-Marie : )]

La maison leur convenait sans même la voir. Au petit échange de regards, Marie-Jeanne comprit qu'ils avaient une raison qui n'appartenait qu'à eux. Elle se garderait bien de leur demander ce qui faisait leur certitude. Par contre, les aider à construire leur bonheur, ça oui, elle le voulait. Elle détacha les clefs attachées à la cordelette, et leur présenta le titre de propriété, d'abord à Anne-Marie...

- Les dames d'abord !

... puis à Firenze.

- Messire Falcone...

Deux petites signatures, plein de sourires et de joie, et les voilà propriétaires. Il ne restait plus à Marie-Jeanne qu'à enregistrer l'acte officiellement, tandis qu'ils prendraient possession des lieux.


[Camille-Martin]

Eh bien, quelle entrée dynamique ! Marie-Jeanne sursauta et porta sa main à son coeur. La jeune femme devant elle respirait l'énergie à plein poumons alors qu'en face, elle se remettait à peine de son rhume.

- Bonjour mademoiselle. Ce sera avec plaisir. Seulement, Paris est une grande ville, auriez-vous une indication à me donner ? Une préférence ? Le centre-ville ? La périphérie ? Proche d'un lieu particulier ?

Tandis qu'elle posait ces questions, elle conduisit d'un geste la jeune femme devant la carte du cadastre qui était affichée sur le mur.

- Bonjour mademoiselle. Ce sera avec plaisir. Seulement, Paris est une grande ville, auriez-vous une indication à me donner ? Une préférence ? Le centre-ville ? La périphérie ? Proche d'un lieu particulier ?

Elle sourit à la dame...

- J'aimerai assez que ce soit le plus près possible de Vincennes, parce que je vais peut-être entrer dans le service médical du Roy. Et ce sera mon petit lieu de repos, lorsque je ne serai pas à l'infirmerie.

- Vincennes.... Vincennes...

C'était à l'est de Paris, donc il fallait trouver une maison limitrophe. Elle aurait bien une suggestion. Par contre...

- Je pourrais bien vous proposer quelques maisons. Par contre... Le service médical du Roi ? Vous savez que sa Majesté vit désormais à Amiens, et que les réunions du Conseil d'Etat ont lieu à Chantilly ? Je ne sais comment s'organise le service médical du Roi, mais s'il a vocation à demeurer auprès du Roi, nous ne devrions pas baser nos recherches sur Vincennes...

Marie-Jeanne esquissa un sourire.

- Ah ça... Nul ne le sait ! Je comprends mieux votre demande... Il y a tout le quartier de la rue des Iles qui pourrait vous intéresser je pense. C'est dans ce quartier que se situent la Bastille mais surtout, pour vous, la caserne. Voyons voir les maisons libres...

Elle feuillette son registre et en même temps annonce les maisons libres, à louer ou à vendre, qu'elle trouve.

- En face du parc, pour un peu de détente et de verdure, vous avez le numéro 442 rue de la Bastille, par contre c'est vraiment juste en face de la Bastille...

Elle précisa car ce n'était pas forcément toujours agréable. Rappelons que les habitants de cet illustre lieu étaient parfois passé à la question, et que cela se faisait rarement dans le silence... Marie-Jeanne en frissonna.

- Le 441 rue du Roi en est déjà un tout peu plus éloigné... Ainsi que le 436 et le 434 de la même rue.

Elle passe alors à la partie basse de la rue des Iles.

- Et dans la rue des Iles, 5 possibilités ! le 437, le 406, et les 438, 439 et 440. A noter que le 438 ne donne pas sur le parc par contre.

Camille-Martin avait le plan sous les yeux tandis que Marie-Jeanne donnait les maisons à occuper, ainsi elle pouvait suivre et faire son choix.

- Très bien !

Elle sort la fiche du 440 et regarde les renseignements.

- C'est une vieille dame qui loue une partie de sa maison. Elle habite en bas et vous laisse le reste de la maison. Si cela vous convient, alors il suffit de signer juste ici, elle pointa son doigt au lieu de signature sur la fiche, et d'aller directement la rencontrer pour convenir avec elle du reste...

Marie-Jeanne proposa à Camille Martin encre et plume pour ladite signature, et lui laissa le temps de prendre connaissance du document.

- Eh bien... Être heureuse ! C'est généralement ce que font les gens une fois qu'ils ont signé !

Marie-Jeanne eut un petit rire amusé pour redevint sérieuse.

- C'est tout bon. Je vais m'occuper de vous inscrire dans les registres. Et si vous avez le moindre problème, que finalement cette maisonnée ne vous convient pas, que vous voulez en changer ou que sais-je, n'hésitez pas à revenir.

Puisque j'étais à Paris il me fallait me loger , je ne pouvais pas vivre trés longtemps chez ma nièce.
Je devais faire venir aussi mes amis et les enfants , sans oublier mes chevaux de Rouen
Ceci fait je reprendrai mes études.

Une charmante Dame tenait le cadastre, la porte était entrebaillée, quelqu'un venait juste de sortir, je frappe discrétement et je m'avance, chapeau bas .

Excusez moi Madame, je ne vous dérange pas ?
Je suis Joachim Murato, j'étais conseiller à la Sécurité à Rouen , mais je veux faire des études.
Ma nièce habite ici , c'est mademoiselle Camille Martin , peut être la connaissez vous .

Je cherche une maison , assez grande et avec du terrain, j'ai une petite tribu à Rouen , je suis célibataire mais j'ai adopté 3 enfants , j'héberge 2 amis et une femme qui gère ma maisonnée. En plus J'ai une passion pour les chevaux .

Je me demandais si je ne saoulais la Dame, je me tais poliement et je souris .

Apres avoir passer du temps avec ses amies, Cara décida d'aller au cadastre et de rendre la maison qu'elle avait avec Gio. Du fait qu'elle l'avait quitter, il n'avait rien dit, pas un seul mot, pas une missive, à croire qu'en réalité, il s'en fichait d'elle ou, qu'il ne l'a jamais aimée. Arrivant au cadastre, elle frappa à la porte et attendit qu'on vienne lui ouvrir.

J'étais avec ma nièce , une dame entre, je la salue .
Sans y preter une grande attention j'entendais qu'elle cherchait elle aussi une maison .
D'aprés le plan , il me paraissait que rue de Notre Dame ou du Luxembourg m'irait bien, je pourrais plus tard acheter du terrain supplémentaire et y mettre des chevaux , planter des arbres fuitiers et de la vigne .
Je voyais mon avenir plutot souriant .

C'était une bonne nouvelle que de voir Camille occupée avec un poste humain , la connaissant je savais qu'elle allait vraiment s'impliquer dans son travail, c'était notre marque de fabrique de bien faire ce que l'on nous confiait.

je n'allais pas abuser de ma position et déranger ces dames .

Oui , Camille, rue de notre dame ou miex , rue du Luxembourg
. Je compte acheter des terres pour faire une bonne propriété qui produira de tout comme j'avais à Rouen .

Je voyais bien ùon projet dans les moindres détails

Camille regarde le plan, réfléchit et propose.

- Mon oncle je pense que le 623 Rue du Luxembourg ferait merveille pour vous, vous avez deux entrées -ou sorties- ça peut servir ! Des fois que vous ayez plusieurs galantes... vous faites entrer l'une par un côté durant le temps que vous faites sortir l'autre de l'autre côté ! Qu'en pensez-vous ?

Elle pouffe de rire, car évidemment, elle le taquine !

- Je plaisante mon oncle. Mais vous pouvez, si le coeur vous en dit, acquérir plus tard, soit le 615, soit le 602, qui sont mitoyens de ce dernier emplacement. Je puis mettre une option sur l'un ou l'autre et si quelqu'un veut l'acquérir avant vous, je vous demanderai le premier si vous le voulez ! Est-ce que cela vous conviendrait ?

Camille avait l'esprit gai et leste, elle m'amusait , par contre elle faisait son travail avec sérieux.

C'est parfait Camille, je vais la prendre , elle ira trés bien pour ce que je veux faire dans un avenir proche. Il ne me reste plus qu'à faire venir ma tribu de Rouen oiur faire les aménagements .

Pour les galantes , je vais attendre un peu , mes affaires ici m'occupent et des nuage de Normandie ne me plaisent pas .

Bien , je vais me rendre de suite au 623, j'ai hate de juger les travaux à y faire.

Merci Camille , je ne veux pas retarder Madame le médecin militaire .

Juste une bise à ma nièce , je lui pince légérement la joue en lui souriant et je m'appréte à sortir.

Entrant dans le bureau de Camille, Cara la salua, souriante.

Bonjour Camille, cela va et vous même?

S'installant sur le siège que Camille lui indiquait, elle les laissa parlés.

Prenez votre temps ne vous en faites pas.

Les laissant discuter de leur parcelle, Cara patienta.

Souriante à ses dires, Cara regarda Camille.

Je viens pour quelque chose de simple, rendre une maison que Gio et moi avions acheter mais, nous ne sommes plus ensembles et, je n'ai plus de nouvelles de lui depuis plusieurs semaines alors, est ce possible que vous repreniez les clés?

Etant repartie chez sa famille, elle n'allait pas vivre dans une maison où, les moments agréables comme les mauvais y étaient gravés à jamais, elle préférait ne plus y penser et, passer à autre chose.