[RP] Hôpital - "L'Hôtel-Dieu de la Madeleine du Lieu-de-Santé"

Cara avait reçu les dires de Marianne et apporta de suite la bassine d'eau fraîche et les linges pour éponger le front et les joues de son amie Martha lorsqu'elle sera en age car la poussée se fera sûrement avec difficulté et douleurs comme toutes les femmes enceintes. Mais...elle aurait aimer aussi accoucher son amie avec l'aide de Marianne, ce n'était pas si grave elle avait du soutien de son côté et son amie commença à pousser.

Et voilà la main de Cara qui devenait bleue, puis violette en passant par le rouge enfin, toutes les couleurs sous la pression de la main de son amie qui serrait si fort à chaque fois qu'elle poussait. C'est que ce bébé lui donnait du fil à retordre pour sortir, mais en le voyant sortir -car c'était un garçon avec des cris perçant- qui s’annonçait. Oh qu'il était beau et costaud ce petit...ce grand être plutôt car il n'était pas petit et maigrichon, il était grand et fort.

C'est un garçon ma douce amie, un garçon magnifique, mais tout ce que tu as manger comme tu m'as dit c'est lui qui en a manger le plus le petit goinfre.

Elle se mit à rigoler et regarda son amie épuisée donnant à manger à ce nouveau petit ange.

Bienvenue chez toi bonhomme.

Souriant à son amie puis à Marianne, elle fit une bise à Martha puis trempa un linge dans l'eau froide pour lui éponger le front.

Ne nous remercie pas pour cela, on est tes amies et les amies s'entraident c'est normal.

Gardant sa main dans la sienne, elle lui sourit toujours doucement étant très heureuse d'être près de son amie pour la soutenir.

Je te soutiendrais toujours tu le sais, y compris Marianne, tu es formidable aussi et adorable ma Martha.

Puis elle se tourne vers Marianne.

On va la laissée se reposer.

Sortant de la salle sans bruits, Cara se demandait quel prénom elle donnerait à son enfant. Martha devait se reposer après tous les efforts qu'elle venait de fournir.

Martha se réveilla le lendemain et prit l'enfant qui commençait à gigoter lui donnant le sein ...une aide vint la changer et laver l'enfant et lui apporta un petit déjeuner ainsi qu'une lettre .

Pardon mademoiselle est-ce que mon ami Cara est encore ici ? si oui vous voulez la prévenir que j'aimerais la voir.....

Elle lui sourit à la réponse affirmative de la demoiselle et lorsque l'enfant repu ,déposer à nouveau dans son petit lit, elle ouvrit la lettre...une lettre de son époux...qui s'excusait de ne pouvoir venir la voir avec les enfants...il avait reçu une très mauvaise nouvelle de sa famille son père se mourrait, il avait donc confié les jumeaux à la voisine qui les adorait et était parti quelques heures seulement après son propre départ avec Cara, il était passé rapidement par l'hôpital déposer cette lettre mais Martha était en plein travail alors il avait poursuivi sa route...

Martha laissa aller sa tête sur le gros oreiller qui la soutenait et fondit en larmes...inutile de lui répondre son accord puisqu'il était déjà parti...resterait qu'à attendre maintenant d'autres nouvelles...le reste de sa lettre était rempli d'excuse et de désolation de l'abandonner ainsi mais elle comprenait aussi que sa famille avait besoin de lui surtout son père, elle, elle serait la à son retour avec les enfants...elle replaça la lettre dans l'enveloppe, essuya ses yeux et attendit son amie Cara .

Assise sur l'un des fauteuils, Cara s'était endormie dans la salle d'attente et lorsqu'elle fut réveillée en sursaut par une des infirmières, elle se demandait où elle était et de plus, son dos lui faisait horriblement mal du fait d'avoir dormit ici. Reprenant ses esprit, l'infirmière lui dit que Martha était réveillée et qu'elle demandait à la voir. Cara se leva difficilement et se rendit à la chambre. Une fois devant la porte, elle frappa quelques coup et l'ouvrit doucement.

Bonjour mon amie.

Refermant celle ci derrière elle, elle s'avança doucement vers son amie et lui fit une bise sur le front.

Ce petit gourmand à déjà faim? Comment te sens tu? Tu as l'air éreintée...je me suis endormie dans la salle d'attente je peux te dire qu'entre un lit et une chaise je prefere de loin le lit.

Elle se mit à rire doucement afin que l'enfant ne soit pas déranger.

Alors, comment vas tu appeler ce petit garçon robuste?

Cara balaya la pièce du regard puis fronça les sourcils.

Euh mais attend...où est Blackies?

Martha attendit Cara rentré et lui sourit .

Bonjour Cara

Je vais bien tout de même, oui je me sens un peu fatiguée ce gaillard m'a donné du fil à retordre, il a peu dormi, me réclamant aux heures ...elle tapota son lit de sa main pour l'inviter à s'approcher à sa remarque ;

Viens t'assoir mon amie...quand elle fut près d'elle, elle lui prit les mains en souriant...

Blackies n'est pas ici, j'ai reçu une lettre de lui, il a quitté presque après nous hier, son père se meurt, il a dû partir à toute vitesse ... elle regarda Cara avec tendresse .....ne t'inquiète pas les petits, ils sont en sécurité chez la voisine, elle a l'habitude de s'en occuper... ils seront bien le temps que je récupère ici ...d'ailleurs Marianne refuse de me laisser partir avant au moins une bonne semaine.....ainsi je reprendrai mes forces et rentrerai peut-être en même temps que Balckies, qui sait ...d'ailleurs je veux que tu rentres chez toi maintenant...je te remercie de ta présence et de ta douce amitié et surtout de ton soutien ces dernières 48 heures mais toi aussi tu as une vie et certainement que des gens t'attendent...je vais récupérer ici et rentrer à la turquoise t'inquiète pas pour moi, ça va aller...et dès que le printemps se pointera le nez et que je serai en mesure de voyager, je te rendrai visite comme promis mais la je t'ai assez accaparer ma douce amie ...rentre chez toi fais moi plaisir ...elle la regarda avec toute la tendresse de son cœur.

Tant qu'au prénom de l'enfant , j'attend le retour de Blackies finit-elle par dire presque en murmurant tant elle avait le coeur serré par la tristesse.

Oui, ce petit venant seulement au monde n'allait pas par miracle faire une nuit complète sans réclamer à manger. S'approchant de son amie, s'installant à ses côtés elle lui pris doucement la main en écoutant ce qu'elle avait à dire. Blackies partit? Cela devenait une manie chez lui de partir lors des moments cruciaux, surtout qu'un accouchement ne se faisait pas plusieurs fois, à moins bien sur de refaire d'autres enfants.

Le ton qu'employait son amie était froid et sec, comme le fait qu'elle voulait qu'elle devait partir "maintenant", cela ne lui ressemblait pas mais sous le coup de la fatigue, la tristesse et la colère Cara comprenait.

Tu sais Martha, mon amie, je...je ne peux pas ressentir ce qu'éprouve une femme après l'accouchement mais l'absence de ton mari et le fait que tu n'as pas beaucoup dormi ainsi que la tristesse que tu as fait que tu réagisse de cette façon et que tu as besoin de solitude. Mais dis toi que c'est dans ces moments là que tu ne devrais pas rester seule. De toute manière, j'allais t'annoncer que je rentrais sur Eu aujourd'hui te sachant entre de bonnes mains, celles de Marianne. N'oublie pas que tu es mon amie Martha et que si tu as le moindre soucis tu peux m'envoyer une missive afin que je vienne te voir.

Lui souriant, elle se leva doucement et lui fit une bise sur la joue.

Et puis comme tu le dis, au printemps tu pourra me voir et admirer tes bulbes que j'aurai planter.

Un dernier sourire et Cara se dirigea vers la porte en reprenant ses affaires, laissant son amie se reposer. La porte ouverte, elle sortit doucement et rentra chez elle.

Son amie allait franchir la porte ...l'avait-elle blesser, ce n'était nullement son intention ...

Cara?

Excuse moi je ne voulais pas te blesser si c'est ce que tu ressens a l'instant ...elle la regarda tendrement...

Je ne pensais qu'à toi en voulant que tu repartes chez toi pas à moi car oui ,je me sens terriblement seule...puis sans s'en rendre compte de grosses larmes coulèrent sur ses joues...

Je ne veux pas te chasser sanglota-t-elle... je voulais simplement te libérer de moi, je me sentais coupable de t'accaparer ainsi si longtemps ma chère amie et j'essaie juste de me montrer forte ...elle étouffa ses sanglots dans son oreiller...

Excuse- moi Cara

Un pied hors de la chambre que déjà Cara faisait demi tour, se tournant vers son amie les larmes sur les joues. Posant ses affaires, elle revint vers elle et la pris délicatement dans ses bras.

Ma Martha, je ne suis nullement blessée ne t'inquiète pas pour cela, tu ne pensais qu'à mon bien je le sais mais tu n'est pas un fardeau pour moi et puis, si je suis restée aussi longtemps c'est parce que tu es mon amie depuis des années maintenant et que passer des jours avec toi ne m'ennuie pas le moins du monde. Tu as beau te montrer forte mais là aujourd'hui tu pleure car tu es épuisée et que ton mari est encore absent...Il reviendra vite mais je te rassure mon amie tu ne m'as pas vexer ou blesser ne t'en fais pas.

Cara sécha ses larmes coulant sur ses joues et lui sourit.

Aller à ton tour de me faire plaisir et de me sécher ces grosses larmes qui n'ont rien à faire sur tes jolies joues hein? Il faut te reposer, tu as une semaine pour cela d'accord?

Elle lui refit une bise puis recula.

Il est temps pour moi d'y aller, surtout n'hésite pas à me contacter si tu as un soucis, ma maison te sera toujours ouverte. Prends soin de toi surtout et de tes petits bout de chou.

Un dernier au revoir de la main et Cara reprend ses malles pour cette fois ci franchir la porte et prendre la route en direction de Eu.

Martha avait passé une bonne semaine à l'hôpital après le départ de son amie Cara , sous les soins de Marianne et des infirmières, elle avait été choyer comme une reine et son prince ...il était maintenant temps de rentrer a la maison...les jumeaux lui manquaient tant qu'à Blackies , le peu de nouvelle qu'il lui avait donné l'avais déçu...elle écrivit un mot à Marianne ne voulant pas la déranger et partie avec l'enfant dans les bras...remettant son message à la sortie pour son amie .

Martha a écrit:

Chère Marianne

Je ne te serais jamais assez reconnaissante pour tes bons soins...je t'embrasse et si tu peux et tu as le temps passe nous voir à la turquoise .

je t'adore mon amie de toujours .

Martha

Ce jour-là, Perceval décida d’aller à la rencontre des personnes qui tenaient cet hôpital. Ne voulant déranger les hommes et femmes qui occupaient leur temps à aider leurs prochains, il n’avait jusqu'à maintenant eu nullement l’occasion de se rendre dans ce lieu tant les occasions d’obtenir quelques moments de répits entre ces murs se faisaient rares.
Sur le chemin qui menait à l’hôpital il ne croisa quasiment personne. Les ruelles de la ville étés silencieuses par ce mois de mars dont la fraîcheur journalière décourageait les plus valeureux de la cité.
Le jeune maire s’était équipé d’épais habits, une légère brise soufflait dans la ville et lui fouettait le visage qui rougie légèrement sous l’effet du froid. Il n’entendait que le sifflement du vent cognant contre les murs et faisant osciller les branches des arbres dénudés par la saison hivernale.
Perceval arriva alors dans l’entrée de l’hôpital, il se frotta les mains pour se réchauffer et attendit de croiser un médecin ou un infirmier.

Un coursier arriva à l 'hôpital et demanda que l 'on remette un courrier au docteur Marianne de Bourbon et s 'en retourna en saluant

Citation :

Ma chère Marianne

Puis je te demander un rendez vous cette semaine ,pour le suivi de ma grossesse et ce sera l 'occasion de venir en famille et te présenter à mon époux et tu verras lillye qui a bien grandit .

Je te remercie d 'être là tu es un docteur super cool^^ dit Lillye

Je t 'embrasse bien amicalement

Une amie qui t 'estime
Mercedes  de Villefort

Emmitouflé dans sa veste, Perceval attendait de croiser l'ombre d'une personne, ne souhaitant point les contrarier en les dérangeant pendant que ceux-ci travaillaient à sauver des vies. Le jeune homme n'attendit guère longtemps dans l'entrée de l'hôpital qu'une jeune femme arriva pour l'accueillir. Elle se présenta à lui.

Bonjour madame de Bourbon, je suis Perceval Trevize, récemment élu maire de Rouen. Si je viens aujourd'hui vous déranger pendant votre permanence, c'était avant tout pour savoir comment vous vous sentez au sein de notre ville et également savoir si votre hôpital se porte bien.

Perceval lui rendit son sourire. Ils furent brièvement interrompus par un coursier qui livra à la jeune femme un pli. L'homme pressé de terminer son service s'en alla prestement. Le jeune homme se retourna alors vers Marianne et continua.

Peut-être pourrais-je abuser de votre temps en vous demandant également une consultation de routine pendant que nous converserons. Si évidemment, vous accepter ma présence dans ce lieu. Cela fait bien longtemps que je n'ai point eu l'occasion de vérifier mon état de santé.

Perceval écoutait la jeune femme tout en souriant.

Le plaisir de vous rencontrer est partagé madame de Bourbon. Je suis heureux que votre établissement se porte ainsi. Vous êtes donc la propriétaire des lieux ?
J'ose espérer que votre prédiction sur notre belle ville se réalise. Le printemps est proche et la froidure ne devrait point tarder à s'échapper désormais.

En tant que médecin, la jeune femme accepta de réaliser sur Perceval quelques examens routiniers. Elle lui demanda d'entrer dans une salle adjacente et de retirer veste et chemise. Elle le quitta alors quelques instants le temps de déposer la missive reçue. De son côté Perceval défit les habits demandés et s'installa sur la table d'auscultation.
À peine eut-il le temps de s'asseoir qu'on frappa à la porte et qu'une douce voix demanda la permission d'entrer.
Ayant reconnu le timbre de Marianne, Perceval ne pu qu'accepter. Lorsqu'elle entra, Perceval lui sourit un peu inquiet. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas eu besoin de consulter un médecin, si bien qu'il ne savait pas ce qui allait se passer.

Perceval se laissa faire pour Marianne, qui, à n'en point douter, en savait plus que lui sur le sujet. Elle approcha alors un instrument, qu'il n'avait encore jamais vu, de sa poitrine. Celui-ci semblait lui permettre d'écouter les battement de son coeur. Il obéit à ses ordres, il expira et inspira à chaque fois qu'elle le lui demandait.
L'examen fini, elle lui annonça alors sa bonne santé, et il s'en réjouit. Elle lui donna une fiche qu'il devait remplir et alors qu'il la remplissait, il continua de lui parler.

Je vous remercie de votre patience. Vous avez été fort aimable ! Vous restez sur Rouen la plupart du temps où il vous arrive d'exercer dans d'autre ville ?

Nous parlions tout à l'heure de l'éveil de la ville pour le printemps, une inauguration d'une hostellerie est prévu le 21 mars, je serai très heureux de vous y voir.

Perceval lui sourit alors qu'il l'invitait à l'inauguration.

Euh... Excusez-moi, qu'attendez-vous au niveau de l'état civil ? Savoir si je suis marié ?

Citation :

Nom : Trevize
Prénom : Perceval
Nom du père si connu : Trevize
Nom de la mère si connu : Avoise
Âge : 23 ans
État civil:
Si marié(e)nom de l'epoux ou de l'épouse :

Ayant reçu un courrier de son amie docteur Mercedes se prépara avec son époux et ses deux enfants Lillye et Raph

Dans la diligence Lillye parlait de Marianne en disant à son frère de ne pas avoir peur et d 'être sage s il voulait ensuite avoir une friandise

de Louise après la visite .

Le cocher trouva à stationner devant l 'hôpital Jérémy aida Mercedes à descendre elle profita de déposer un baiser sous le nez en souriant sous le regard des enfants et Lillye qui imitait sa mère en marchant 'chipie ""

Ils entrèrent à quatre ,les gens allaient penser que Marianne faisait des prix pour groupe

Bonjour ravie de vous revoir Louise j 'ai rendez vous ,enfin nous avons ) avec Marianne on va attendre qu elle soit libre

merci à vous .

Jérémy et sa petite famille devait se rendre chez le docteur Marianne de Bourbon, une amie de son épouse. Dans la diligence Lillye avait fait quelques recommandations à son frère....comme bien souvent, pour ne pas dire tout le temps en fait, Jérémy les observait amusé.
Un fois arrivés devant l'hôpital et Jérémy, une fois descendu, aida son épouse à descendre elle aussi et après un tendre baiser, la petite famille entra et Mercédes les annonça. La jeune femme les mena à dans un petit salon, où son épouse pourrait s'installer confortablement. Leurs enfants s'installèrent également, faisant montre d'une belle sagesse, il faut dire que Lillye avait fait miroiter à son frère, la possibilité d'obtenir une friandise.

Ils n'eurent pas à attendre longtemps avant que l'amie de son épouse ne fasse son apparition. La jeune femme les salua, un grand sourire éclairant son visage. Elle vint faire une bise aux enfants et lorsqu'elle s'adressa à Lillye, quelques mots firent tilt dans la tête de Jérémy... " surveiller les jeunes loups " ...c'est bien ce qu'il comptait faire lui aussi^^.

Citation :

- Je devine que ce charmant Messire doit estre vostre époux chère amie.

Jérémy sourit à cette phrase, il allait se présenter, mais remarqua que la jeune devait attendre que Mercédes fasse les présentations, Jérémy attendit lui aussi...

La famille de Villefort attendait dans un petit salon bien douillet quand Marianne avec un grand sourire Lillye se leva avec son frère et elle fit un gros bisou a Marianne qui lui fit des compliments sur sa beauté ,ensuite a Raph qui paru un peu intimidé à cause de sa soeur

Mercedes se leva doucement ( vi gros ventre ) et bisa son amie et présenta son époux

Bonjour mon amie ,je te presente Jérémy mon tendre époux qui est heureux d 'être papa bientôt et mon fils Raph

Les enfants se mirent à saluer le docteur et ensuite un biscuit les ont conquis .

Sa tendre épouse fit de suite les présentations...

Citation :

- Je suis enchantée de connaistre enfin celui qui a ravi le coeur de ma chère amie et le futur père de cet enfant à naistre sous peu si je me fie à la belle rondeur que je vois.

- Ravi de vous connaitre également dame de Bourbon ! ... Ravi le coeur de ma douce Mercédes ? L'inverse est tout aussi vrai, comment n'aurais-je pu tomber sous le charme d'une telle femme ?

Puis la jeune femme s'adressa à Raph, le prenant par les sentiments, avant de lui dire qu'elle commencerait sa consultation par sa mère, pendant que Jérémy lui servirait un jus de fruits.

- Je ferais le service bien sur et je vous remercie de vos attentions.

La jeune femme quitta la pièce avec son épouse, Jérémy n'était pas mécontent de se trouver là. Tout allait bien pour Mercédes, mais proche de l'accouchement, un examen était toujours le bienvenu tout de même. Il s'occupa donc des enfants, tentant de rassurer Raph sur ce qui se passerait en ce lieu....cette chipie de Lillye n'étant pas forcément le meilleur soutient pour son frère.

Alors qu'il discutait avec les enfants, il vit revenir Mercédes et Marianne firent leur apparition, l'examen n'avait que peu duré, ce qui était une bonne chose d'un côté. Mais cela avait tout de même du sembler long à Raph, qui se précipita vers sa mère, pour l'embrasser et la serrer fort dans ses bras.

Citation :

- Alors qui de vous deux veux estre le suivant en salle d'examen?

Jérémy fut surpris lorsque son fils fut le premier à se proposer, il se serait plutôt attendu à ce que Lillye soit plus prompte à passer.