[RP] Demeure de l'Espèrance

Messages : 1525 Date d'inscription : 19/08/2010 Ville : Eu

Le 23 février de l'an de grâce 1655, au soir...

Après s'être quelque peu reposé ou désaltéré..., puis avec acharnement repéré dans les lieux, l'émissaire, vint frapper à la porte d'une grande demeure en la capitale, pour y remettre une lettre scellée à ses occupants.

Citation :: Mes chers amis,

Dame Hélèna et Messire Wesley.

C'est avec grande peine que je suis au regret ce jour, sous les traits de ma plume, de vous faire part du décès de Dame Cococcinelle, notre amie de longue date. Je sais à quel point vous l’appréciez, et imagine tout autant le chagrin que cette triste nouvelle vous affligera. Pour ma part j'en garderai un souvenir éternel d'amitié et de dévouement.

Puisse cette lettre vous parvenir sans encombre et assez vite, afin que vous ayez le temps de prendre les dispositions nécessaires pour lui rendre un dernier hommage.

La cérémonie se déroulera en milieu de journée du 25 février 1655, à midi sonnant, en l'église St Lambert à Eu.

Je vous réitère toute mon amitié et ma compassion, pour affronter cette sinistre et douloureuse épreuve avec courage et dignité.

Cordialement et respectueusement,

votre ami,

[23 Février 1655, au soir ]

Pierre revenant des écuries ,se trouve avec un émissaire devant la grande porte,il a l'air des plus fatigué.

Bonsoir messire, un pli pour la famille ?, je vous remercie bien sûre, Pierre ne savait pas le contenu du pli, il entrât dans la salle à manger ou tout le monde est à table à cette heure-ci

Et bien Pierre ? c'est l'heure du repas,

j'ai dut finir de soigner les chevaux, humm ça sent drôlement bon

Tout en s'approchant de Wesley lui remet un pli.

je fut étonner de savoir un pli venant aussi tard, tout en observant mon tendre époux,lorsqu'il fait sauter le sceller.

Mon amour ? de bonnes nouvelles? qui nous a envoyé un pli à cette heure si tardive.
Je ne pouvais pas savoir le contenu jusqu’à que mon tendre époux m'en parle, en le regardant quand même un peu inquiète.

[Fin mars 1655]

Depuis qu'elle a découvert une affiche placardé à la ville de Paris, Héléna se faisait du souci pour son amie Mai-Lee,que c'est il passé à Amiens pour que coursier soit venu jusqu'à Paris, dans quelle galère c'est elle mise, elle, toujours droite honnête, voila qu'elle aurai été torturer par une personne, mais qui a osé lui faire subir de tels sévices ? elle voulait en avoir le cœur net, aussi il lui fallait faire part des intentions, de ne pas laisser impuni cet acte de cruauté.
la dernière adresse qu'elle lui connait est Amiens, ne sachant pas si elle s'y trouve encore, en espérant qu'elle ne soit pas partie sur les mers.
Assise à son bureau au manoir, après une journée de labeur , commençait a lui rédiger un pli qu'elle enverra par un coursier.

Spoiler:

puis elle appela un coursier lui confier le pli en le payant largement pour son transport et ses frais personnels

Voila mon ami, je vous confie une lourde tache, c'est de me retrouver l'ex mousquetaire du roi, ex lieutenant de l'armée Mai-Lee Lacytadelle , la dernière adresse que je connais est Amiens, mais peut être il se peut qu'elle n'y soit plus, aussi traversé tout le royaume de France et portez lui ce pli donnez lui en main propre et je veux une réponse de retour en urgence, je vous remercie tenez cela est pour vos frais.

Bien le merci Madame je pars sur le champ je vais me rendre à Amiens et demanderai ou cette dame puisse loger lui donner votre pli
Ainsi donc le coursier partit sur son équidé prenant la direction d'Amiens .

Le coursier de Paris

Quelques jours plus tard .

Il était parti de Mont, depuis quelques, traversant le royaume de France et de Navarre, pour retrouver l'amiral Mai-Lee,sa mission accompli il reprit la bateau jusqu'à Amiens, la traversée de nuit, c'est au petit matin apres un bon casse croute , manger à l'orée d'un bois qu'il repensait a son éminence Luc et son amiral ,il savait une chose, c'est qu'elle est sous la protection papale , rien de fâcheux ne pouvait lui arriver,

Il reprit sa route très tôt pour se rendre aux portes de Eu, prit un petit chemin contourner le village, il voulait rentrer au plus vite, pensant à Dame De Lhavilland qui devait surement se faire du souci, tout en caressant l'encolure de sa monture, il lui parle doucement à l'oreille, le soleil brillait au dessus des villages, quelques paysans travailler dans les champs, il continue sa route vers la capitale, il devait aussi ménager sa monture, il arrivera probablement que le soir, et se rendra au manoir de l'espérance que le lendemain porter des nouvelles, la famille des « De Lhavilland » ont des enfants, voulant respecter le calme de cette famille, il irai dormir à la belle étoile avec son équidé vers la porte Saint Martin ,
une partie la nuit il repensât à son entretien avec son éminence, puis s'endormi.

Le coursier de Paris

huit heures sonnaient à la capitale, lorsque monté sur sa monture, le coursier traversât la ville, rencontrant quelques personnes à son passage, surement des gens qui devait partir au marché ou au travail, il avait accompli sa mission et revenait au manoir, donner des nouvelles,

il descendit de son équidés, s’approchât des grandes grilles,traversant la grande allée central, il se doutait qu'a cette heure-ci Monsieur et Madame De Lhavilland devaient prendre leur petit déjeuné, ce qui le fit sourire en sentant une bonne odeur de café

il sonnait à la porte attendit qu'on vienne lui ouvrir, d'une main fit tomber la boue de ses vêtements il avait prit soin de décrotter ses bottes,afin qu'il soit présentable.

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

Toute la famille des De Lhavilland était réunie autour de la grande table de la salle à manger pour prendre un copieux petit déjeuner lorsqu'on frappa à la porte. Regardant l'horloge murale avant de demander à Pierre d'aller voir de qui cela pouvait-il bien être au quart de la huitième heure du matin. Pierre s'exécuta et revint accompagné du coursier. Je me retournais vers le jeune homme pour le saluer avec le sourire.

Alors, Jean, nous apportez-vous de bonnes nouvelles ?

Le coursier de paris

Surement qu'il était un peu tôt pour se rendre chez les De Lhavilland, il a fait aussi vite que possible, sachant que Madame De Lhavilland se faisait surement du souci pour son amie.

Un jeune homme venait lui ouvrir la porte, le salua , et le fit entrer, Monsieur de Lhavilland vient lui parler , un regard vers la table le fit sourire en voyant toute la petite famille à table, « voilà une famille qui bien unie et les enfants sages » , un petit pincement au ventre pour notre coursier qui ne connait que les routes , aucune famille ne l'entend, vivant de l'air du temps, a faire le tour des villes porter des nouvelles » et cela lui plait aussi.

Mes respects Monsieur, je suis désolé de venir si tôt, je doute bien que madame votre épouse doit être impatiente d'avoir des nouvelles.

J'ai bien rencontré l'Amiral Mai-Lee, elle va bien, je vous assure, mais ne se trouve pas à Amiens, je suis aller voir madame la mairesse qui m'a gentiment reçut, qu'elle ne savait pas ou se trouver Dame Mai-Lee , elle m'a dit de voir au moulin, voir monsieur Neuville, je ne l'ai pas trouver, ni sur les routes, ni sur les quais.

enfin je me suis rendu à l'église, voulant prier avant de reprendre a route, et là j'ai rencontre un moine le père Fouras, me disant que Dame Mai-lee se trouve à Mont, d'aller voir son éminence Luc.

effectivement j'ai bien rencontrer l'amiral et j'ai la réponse pour votre épouse, je dois lui remettre en main propre.
Surement que madame De Lhavilland a du entendre sa conversation avec son époux, lorsqu' elle vient les rejoindre,

sortant les plis de sa veste, les tendit à la maîtresse de maison.
voilà Madame , je suis désolé pour le retard, il m'a fallu aller jusqu'à Mont ou se trouve dame Mai-Lee, enfin je veux dire l'amiral pontifical,

Spoiler:

Spoiler:

Héléna prenait son petit déjeuner avec son tendre époux et les enfants, lorsque une personne venait sonner à la porte, « mais qui peut bien venir à cette heure-ci » Pierre allait ouvrir au visiteur mais c'est le coursier ? Avait il de bonnes nouvelles a lui dire ? Sachant son amie Mai-lee a sa dernière adresse Amiens.

Elle venait rejoindre son tendre époux , regardant le coursier lorsqu'il lui tendait pas un pli mais deux.

vous n'avez pas à vous excuser, je vous remercie humblement d'avoir retrouver Mai-Lee, je me fais du souci pour elle, elle a déjà tant souffert depuis bien longtemps.
alors donc elle se trouve à Mont avec son éminence Luc , bien, elle est sous bonne protection, et son éminence est aussi un ami

je parle, je parle , voulez-vous prendre une petite collation, nous sommes entrain de prendre le petit déjeuner,
allant s’asseoir elle lisait les plis et fit quelques grimaces, ainsi donc , c'est bien vrai Mai-Lee a subit des sévices et torturer à Amiens.

Il lui fallait en faire part à son Altesse sérénissime Paul, tout cela à cause d'une loi complément stupide demander par madame Mercedes Falcone, cette loi qui date du 7 décembre 1654.

s'adressant à son tendre époux

Mon ange ? Tu vois! cette loi qui date de décembre, elle est complément stupide, je ne sais pas si son altesse a donner son accord , ce que je doute,car il ne s'en souviens pas, les lois sont pour tous, il faut que cette loi soit aboli, , les gens risquent de se révolter ils ont faim, et ne peuvent acheter du pain sans se trouver condamné à rembourser, ou puni par cette loi.
elle lisait le pli de son éminence, elle sait qu'il est juste et droit.

Mon cœur ? Je vais demander audience à son Altesse sérénissime au plus vite, étant sa secrétaire personnelle, je pense qu'il voudra entendre Mai-Lee accompagner de son éminence Luc de se qui c'est passé à Amiens.
tout en ramassant soigneusement les plis dans un porte document, qu'elle portera au Louvre.

Je vous remercie, tenez prenez cette bourse pour votre déplacement, voulez-vous passer à table avec nous, vous devez avoir faim,
le coursier restait silencieux,

Madame , ne vous inquiétez pas, si vous permettez , j'irai à la cuisine manger quelques chose avant de reprendre ma route, mais vous m'avez largement payer Madame, je ne veux pas abuser de votre bon cœur,

je vous en prie, vous avez retrouver Mai-Lee et ça vaut pour moi tout l'or du monde,

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

Jean avait commencé jeune dans la profession de la messagerie, il aimait cela, galoper de ville en ville et battre la campagne en toutes saisons. Il faisait de l'excellent travail et à chaque fois, nous faisions appel à ses services car il était un honnête homme digne de confiance. Il s'était démené comme un diable pour retrouver la personne et l'avait trouvée. Quand Jean remit en main propre les deux plis à sa douce, je me contentais d'y dire.

Jean ne soyez point timide, prenez donc cette bourse que mon épouse vous offre pour votre excellent travail et puis détendez-vous et asseyez-vous à la table avec nous. Martha va vous servir un copieux petit déjeuner car vous l'avez bien mérité et vous préparera aussi un panier de victuailles pour la route sans oublier un bon petit vin des cépages de mon épouse.

Puis pour en revenir ce que disait sa douce au sujet de cette loi fantôme.

Oui, ma chérie, j'ai vu cela et cette soit disant loi n'a aucune probabilité de recevabilité car d'une part, elle doit avoir impérativement l'aval du Régent pour qu'elle soit promulguée et d’autre part, si le Régent ne s’en souvient point donc il y a eu faute grave car se servir du nom du Régent pour référence afin de faire passer une loi selon son désir de brimer le peuple est passible de sanctions.

Il faudrait demander auprès du Régent l'abrogation de celle-ci, ni plus ni moins et qu'il prenne également les sanctions qui s'y rattachent.

C'est vrai que le coursier a parcouru tout le royaume pour retrouver Mai-Lee, elle est entre de bonnes mains et sous la protection de notre sainte église , peut être s'est elle exiler d'elle même pour fuir ses bourreaux ? Tout cela pour avoir acheter trois pains qu'elle a dut largement rembourser la connaissant pour avoir déjà été Mousquetaire du roi et lieutenant de la marine , et maintenant Amiral pontifical.

Regardant mon tendre époux, buvant un peu de café , écoute attentivement , cette loi ne lui dit rien de bon, et si son Altesse Sérénissime Paul ne s'en souvient pas, il y a surement anguille sous roche, mais cela j'en n'ai pas eu la moindre preuve que madame « la secrétaire de la maison du roi » aurait pu lui fournir.

Mon amour, cette loi a été affiché par mes soins à la demande de Madame Falcone,par contre je n'ai jamais preuve de sa part que son Altesse lui ai donner son aval, cette loi est complètement stupide, surtout pour du pain alors que c'est la manne que chaque mairie reçoit , tu te rend compte ? Pour trois morceaux de pains ? Juste pour faire un voyage, Par pascal heureusement que nous avons donner des louis et victuailles au coursier pour ses déplacements, cela lui a évité d'acheter du pain sur les marchés.

hochant la tête, je savais combien il avait raison,si il y a eu faute grave on ne peut fermer les yeux, sur qui que se soit, la loi est la loi pour tout le monde, sinon le peuple peut se soulever contre les nobles, et pourquoi pas prendre le Louvre d'assaut.

Je vais en parler à son Altesse Paul, lui montrer le pli de Mai-lee et la demande de son éminence Luc pour assister à cette réunion , je suis certaine qu'il est à l'écoute de son peuple, et qu'il pourra abolir cette loi.

[Quelques jours plus tard]

Depuis qu'elle avait demandé de trouver Mai-Lee et de faire part à son Altesse Sérénissime, sur une loi complément stérile laissant les gens presque mourir de faim, et surtout les sévices que son amie à subit pour trois pains acheté et rembourser trois fois sa valeur.

Il faisait beau , ce jour là, aussi après avoir passé en mairie et faire quelques emplettes au marché, bien qu'elle ne rencontre personne, il est tant pour elle de retrouver son cocon familiale, cette après midi, après la sieste des petits, ils iraient au lac voir, il pouvait y avoir des naissances des petits cygnes. il lui fallait changer les idées, et quoi de plus naturel de sortir dans le parc, surement que Richard voudra suivre Julien jusqu'au jardin potager, il aime travailler la terre, planter et faire pousser des légumes.

tout en pensant à Ambre, elle devait se sentir bien seule depuis le départ de son amie, heureusement que nous sommes là pour la consoler de ses petits soucis d'une petite fille de quelques printemps.

le soleil brillait de milles éclats, les oiseaux chantaient dans les arbres revêtus de leur parure printanier, le parterre de fleurs égaye l'entrée, une fontaine coulait pour l'abreuvage des oiseaux, un vrai havre de paix et de bonheur.elle pouvait sentir une bonne odeur de cuisine c qui la met vite en appétit, accélérant le pas; allant directement aux cuisines voir Pétronille et Martha

Par Pascal que ça sent bon, j'ai une faim de loup.

et Martha lui répondait.

C'est normal vous êtes partie à Paris le ventre vide, ce n'est pas sérieux Héléna

C'est vrai ma douce Martha pourriez-vous me faire un petit encart ?

il me faut ensuite voir mon tendre époux, je pense qui est dans son bureau?

il me semble qu'il soit allé avec Vincent jusqu'aux écuries. mais il ne devrait pas tarder à revenir.

[Quelques jours après la venue du coursier ]

Revenant du Louvre avec son dossier, elle n'a pas vu son Altesse sérénissime, celui-ci à dut s'absenter un laps de temps. elle dit au valet que des le retour du régent qu'on lui fasse savoir au manoir, franchissant les grilles, elle aperçut de loin ses enfants entrain de jouer avec Louise et Sara,
surement que Richard devait être avec Julien soit à la pèche au lac, soit au jardin, avant d'entrer elle se dirigeait vers Louise et Sara

je vois que les enfants sont sages, puis l'allant les embrasser les uns et les autres.
mais ou est Ambre ?

Oh Héléna Ambre est au petit salon, il faudrait qu'elle sorte un peu, il est vrai que depuis la fête , elle n'a plus de nouvelle de son amie, Joanna je crois.

Ne vous inquiétez pas je vais la voir et surement que nous faire un tour toutes les deux, il y a si longtemps que je n'ai pas passé de temps avec ma princesse.

Laissant les enfants à Louise, tout en se dirigeant à l'entrée, me disant " il est grand temps que je m'occupe de ma douce Princesse"

D'un pas accélérer montant les quelques marches, la première chose à faire est de déposer son dossier dans son secrétaire.

[Cette après midi ]

Ambre est salon , les yeux rougi par des larmes, aussi en m’approchant de ma petite princesse, la prend dans mes bras lui parlant doucement.

Et bien ma princesse que se passe t'il pour avoir tant de peine ?

Ho Maman ma petite maman... Joanna me manque, elle est si gentille, si douce, j'avais trouvé une amie et je n'ai pas de ses nouvelles.

tu sais ma chérie, joanna a dut partir peut être, et qu'elle n'a pas eu le temps de t'avertir , je suis sure que bientôt tu auras de ses nouvelles. allons ma puce sèche tes larmes , si tu veux nous allons sortir ça te fera du bien.

Elle avait rangé son dossier afin que nul puisse tomber dessus et le détruire, elle a une confiance absolu à son personnel, sachant que des personnes mal attentionnés pouvait faire intrusion au manoir aussi attendrait que son Altesse sérénissime revienne pour mettre au clair cette histoire absurde.

Comment expliquer à une jeune fille de quelques printemps, la vie n'est pas facile,que se sont les aléas souvent il faut se remettre en question le pourquoi de tel chose, ou pourquoi le monde est injuste comment lui explique son amie sera toujours présente dans son cœur , et que Joanna a dut partir pour des raison qui ne la regarde qu'elle, il est vrai qu'elle est douce et merveilleuse.

tu sais Ambres , Joanna a dut partir , mais sache qu'elle doit penser à toi aussi et que des qu'elle pourra tu auras très vite de ses nouvelles , alors s'il te plait sèche tes larmes et viens avec moi, nous allons sortir un peu, crois-tu que si Joanna te voit dans cet état ? à te lamenter ? elle serai contente ? non je ne crois pas et puis tu sais la vie est ainsi faite.

Bien sûr que la vie ne l'a pas épargné puisque c'est une enfant abandonnée, et élever dans l'amour d'un foyer, ne pouvant pas non plus lui décrire sa propre vie assez mouvementée, nous avions toujours épargnés nos enfants contre la méchanceté contre ceux qui leurs voulaient du mal, voir la mort, sans faire allusion à la cruauté , bien des choses se sont passés et sa plus grande qualité est le pardon,suivre le chemin et l'enseignement de Pascal, être toujours disponible et à l'écoute de tous, mais ça elle le garde pour elle.

Allée ma princesse, allons jusqu'au lac tu verras, les grands cygnes, et nous pourrons discuter. tu observeras la tranquillité du parc et cela te fera le plus grand bien.

Messages : 223 Date d'inscription : 06/11/2014 Ville : Bourges

Les claquements de sabots résonnent bruyamment, un homme drapé d'une cape de velours noir heurte abruptement le sol et longe l'allée pour remettre un courrier destiné à la famille Lhavilland.

Hôtel particulier Delarosa De La Fayette:

Messages : 223 Date d'inscription : 06/11/2014 Ville : Bourges

De nouveau, un homme drapé d'une cape de velours noir croise le sol du manoir des Lhavilland et longe l'allée centrale pour remettre un courrier.

Hôtel particulier Delarosa De La Fayette:

Messages : 42 Date d'inscription : 13/03/2012

En revenant du lac,avec sa maman, Ambre était un peu rassurée au sujet de son amie Joanna, elle avait dut partir et sûrement qu'elle aurait vite de ses nouvelles.
Aussi Ambre promit à sa maman d'être toujours elle même, leur gentille petite princesse.

C'est vrai, maman; tu as raison, si Joanna me voyait dans cet état, elle ne serait pas contente de moi et une amie c'est sacré,je ne veux pas la décevoir, tu crois qu'elle va bientôt revenir ? je te promet d'être toujours rayonnante.

toutes deux reviennent au manoir, l'air du lac lui a fait du bien, ce qu'elle ne savait pas c'est qu'un messager a porté un pli au manoir et pas n'importe lequel celui de Joanna.

Maman, j'ai grand faim aussi crois-tu que Pétronille a fait sa bonne tarte aux fraises ?

Regardant sa maman lui sourire, la trouve de pus en plus belle et qu'elle est jolie lorsque maman sourit.

Elles avaient passées une bonne partie de l’après midi prés du lac , c'est à cet endroit ou Héléna aime venir, un endroit calme et serein , un vrai havre de paix, source de méditation.

En revenant avec Ambre, au manoir, elles discutaient de choses et d'autres, bien sûre lui donnant toujours de bons conseils, sa petite princesse grandissait vite aussi,elle est très mûre pour son âge, aussi à la grande joie de ses parents.

Ecoute- moi Ambre? promet- moi aussi de moins ennuyer ton frère Richard, tu sais il est encore petit, et vos frères ne sont que des bébés, il n'a personne pour jouer, bien sur il est souvent avec Julien au jardin. il n'est pas de son âge , alors si parfois il t’ennuie c'est parce qu’il t'aime aussi .

Elle lui parlait aussi d'Aurore, Elisabeth Alexandra, ainsi que de Marine leur nièce qu'ils avaient fini par adopter
.
Et si un jour son père Alban venait la réclamer, elle doutait tant ce jour, ho par pour elle , ni pour son frère d'arme et de cœur , mais pour la petite, elle ne le connaissait pas , il y a si longtemps qu'il est parti.

Et ben oui allons voir si notre douce Pétronille a fait sa bonne tarte aux fraises.

En rentrant, son tendre époux est présent, il avait un pli à la main, fronçant les sourcils, elle a peur d'une mauvaise nouvelle, aussi regarde Ambre lui demande d'aller jusqu'à la cuisine rejoindre Martha ou Pétronille .

Restant seule avec son tendre époux, le regarde d'un air soucieux.

Mon tendre amour ? j’espère que nous n'avons pas reçut de mauvaises nouvelles ?

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

Revenant des écuries où une de nos pouliches venait de mettre bas, je m’arrêtais sur la terrasse et debout les mains posées sur mes hanches, je regardais Pierre allait à l’encontre d’un cavalier tout de noir vêtu qui lui remettait un courrier. J’attendis Pierre pour entrer ensemble dans la salle à manger où nous attendaient le café frais et les succulentes brioches de Pétronille.

- C’était qui ? Pierre !

- Je crois bien que c’était un messager appartenant à la Maison Delarosa… Euh !... Il me semble… La Fayette... De La Fayette. J’ai pas trop retenu le nom en entier, il m’a remis ce pli pour vous.

- Ah ! Oui, je vois de qui cela provient, merci Pierre. Viens donc prendre un café avec moi et tu me diras où tu en es de tes nouvelles plantations. Tu as fait un sacré travail, j’ai vu cela ce matin, les jardins vont être magnifiques.

Après avoir bu son café et avaler sa brioche, Pierre tout content de mes appréciations, repartait vers ses parterres de fleurs. Richard était resté aux écuries avec Vincent et Julien pour voir le très jeune poulain faire ses premiers pas et les filles jouaient dans le parc. Seul autour de la table, je faisais sauter la cire qui scellait le pli et pris connaissance de son contenu lorsque ma douce et ma petite princesse entrèrent de leur promenade au lac.

Alors mes chéries, la promenade vous a-t-elle donné faim ? Je crois bien que notre bonne Pétronille nous a préparé quelque chose de bon pour le dessert de ce soir mais elle n’a point voulu me dire ce que c’était que Martha m’a fait déguerpir comme un gosse de ses fourneaux.

Ma douce fronça les sourcils à la vue de la missive et demanda à notre petite princesse d’aller rejoindre Martha et Pétronille aux cuisines. Rester seuls, je lui remettais le pli avec un large sourire.

Aucunes inquiétudes à avoir, mon amour, ce ne sont que de bonnes nouvelles et j’en connais une qui va être vraiment heureuse de savoir que son amie Joanna est de retour à Paris.

Elles avaient croisées Pierre , tout content de lui,ce que faisait plaisir à voir, elle ne voyait ni Julien ni Richard dans les parages, un peu bizarre quand même lorsqu'on connait ce petit bonhomme heureux et espiègle, souvent il taquinait Pétronille lui défaisant le nœuds de son tablier,et partait en courant , ben sûre Pétronille le menacer de « Richard, tu vas voir si je t'attrape je te mange tout cru » Pétronille et Martha riaient aux éclats, « Ses petits, ils sont si mignons, adorables, ils sont pleins de vie »

ho mon amour, notre promenade prés du lac, nous a fait un bien fou, de plus avec Ambre nous avons beaucoup parler, elle est inquiète de ne pas avoir de nouvelles de son amie Joanna, ce n'est pas facile pour elle, mais ne t'inquiète pas je lui ai dis que Joanna a du partir et que des qu'elle pourra lui donnera de ses nouvelles,

Plus elle écoutait son tendre amour, plus elle pouvait se l'imaginer se faire rouspéter par Martha, oh cela ne l'étonne guère, connaissant son tendre époux aussi espiègle que Richard.

Mon ange, j’espère que notre princesse aura plus de chance que toi pour un morceau de gâteau surtout qu'une odeur de tarte aux fraises se faisait sentir.

Lorsque Ambre fut parti pour la cuisine, venant s’asseoir prés de son tendre époux, lui remettant le pli, en lui disant « ce sont des bonnes nouvelles »,parcourant le pli, un large sourire s'affichait sur son visage, un peu comme un soulagement , d'une !de savoir Joanna de retour et aussi qu'elle soit en bonne santé,

Et bien mon amour il faut lui répondre que nous acceptons son invitation en plus elle nous invite tous, rendons lui visite, tu me connais mon ange, nous lui apporterons un présent, je suis certaine que les filles seront ravies elles vont bien nous demander de les aider à savoir ce qu'elles vont pouvoir offrir à Joanan.

Tout en dégustant une tasse de café, hum combien cela fait du bien, lorsque Ambre entrât dans le salon avec une part de tarte aux fraises couchée sur une assiette, regardant un instant mon tendre époux lui souriant.

Messages : 42 Date d'inscription : 13/03/2012

Ambre partit à la cuisine ou une bonne odeur de tarte aux fraises se fait sentir , toute contente et heureuse d'avoir passé un moment avec sa maman près du lac, elle avait grand faim, tout en s'approchant de Martha et de Pétronille leur fait une grosse bise chacune.

Pétronille avait trouvé une famille qu'elle n'a jamais eu , des enfants et un mari décédés depuis longtemps, et c'est son papa qui a la chercher à Paris, pour venir a EU dans leur manoir, et depuis elle n'avait plus quitter la famille, et à deux pour faire à manger à tous ses petits affamées, n'est pas de trop, on pouvait voir la bonne humeur de la maisonnée et puis maintenant pour rien au monde elle ne partirait, c'était en plus une amie de longue date de Martha.

Martha , ma douce Martha? j'ai grand faim , j'aimerai s'il vous plait une part de tarte aux fraises avec son petit sourire qui fait craquer à chaque fois cette douce Martha.

A toi ma belle , on ne peut rien refuser, tu veux une part de tarte aux fraises, tu vas te régaler, personne d'autre que notre bonne Pétronille ne sait faire un tel délice tiens ma douce va rejoindre tes parents au salon.

Martha et Pétronille parlaient souvent entre elles.

tout en rentrant au salon, Ambre trouve ses parents en grande discutions devant une dégustation de café.

Maman ? papa , regarde, Martha m'a donné une grosse part de tarte , elle a l'air délicieuse,

Tout en les observant, elle a remarquer un pli sur la table , et dans sa grande discrétion n'en fit pas cas, venant s’asseoir près de son papa et sa maman, oh c'est qu'elles les aime beaucoup, ses parents.

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

J’écoutais ma douce d’un air amusé quand elle me parla de Joanna. J’arquais les sourcils sur la prédilection des chances qu’aurait leur petite princesse auprès des deux cuisinières. Fort gourmand comme je l’étais, attendre ce soir me torturait un peu papilles et l’estomac et me contenta du café et des brioches.

Je sais ma chérie que je ne suis point doué pour obtenir quoi que ce soit auprès de nos gardiennes de fourneaux mais bon ce n’est point grave du moment que les enfants obtiennent leurs gâteries. Hum ! Je suis grand et je peux attendre le dîner quoique… J’aurais bien voulu tout de même la goûter leur tarte à la fraise.

Le pli de Joanna posé sur la table devant moi n’attendait plus que notre petite princesse qui d’ailleurs arriva avec une grosse part de tarte à la fraise et mettait l’assiette presque sous mon nez avant de s’asseoir entre nous. Je fermais les yeux pour ne plus la voir afin que le diable ne soit plus tenté et les rouvris sur ma douce qui me regardait en souriant. Je lui faisais une petite grimace qui voulait dire « Oui, ça va, je sais, j’ai encore perdu, elle a été plus maligne que moi ! »

Revenons donc la missive de notre amie Joanna. Avant de mordre dans sa pâtisserie, le regard d’Ambre se posait tantôt sur sa mère et sur moi tout en jetant un œil furtif sur la lettre. Je décidais donc que c’était le bon moment pour lui dire.

Ma petite chérie, ta mère m’a fait part de ton immense chagrin en ce qui concerne l’absence de ton amie Joanna et les nouvelles que nous venons de recevoir vont bien vite te faire retrouver ton sourire et ta bonne humeur. Joanna est de retour sur Paris et va bien fort bien et serait ravie de nous rencontrer en son Hôtel Particulier. Je vais aujourd’hui même faire réponse et je pense que le plus tôt sera le mieux… Ce mercredi, serait bien, qu’en penses-tu, mon amour !

Posant sa tasse de café sur la table, il est vrai que notre petite princesse avait un immense chagrin de ne pas avoir de nouvelles de son amie Joanna, c'est ainsi aussi une grande discutions avec Ambre, lui faire comprendre que la vie est ainsi faite, de bons et mauvais moment, elle était certaine que si Joanna est partie, c'est qu'elle avait ses raisons sans pour autant qu'elle avait oublier Ambres.

Je sais mon amour combien tu es gourmand et tu connais Martha, seuls les enfants sont sa priorité ses petits rois et si tu n'as pas eu droit à de la tarte , c'est pour te taquiner aussi.

le pli posé sur la table? les yeux de notre princesse dans sa grande correction ne dit rien, mangeant sa par de tarte aux fraises sous les yeux de ses parents qui me faisait sourire, il ne fallait pas attendre trop longtemps pour lui dire que Joanna est de retour tout en me méfiant de la grande joie d'Ambre, je m'attendais a une réaction positive de sa part.

tu vois ambre ta patience a porter ses fruits, ce mercredi nous irons tous voir Joanna , puisqu'elle nous invite à son hotel.
Tout en regardant son tendre époux d'amour lui sourit.
Je pense que se sera parfait pour ce mercredi mon amour, d'ailleurs ça me fait penser, j'ai vu une petite boutique à Paris, je pense qu'un présent lui fera plaisir.

.

Messages : 42 Date d'inscription : 13/03/2012

Sa joie immense se lisait sur son visage, c'est vrai que sa maman lui avait dit que des que son amie pourrai lui enverrai des nouvelles, tout en mangeant sa part de tarte, écoutait attentivement ses parents, lorsque son père lui dit que Joanna est de retour, elle aurai voulu bondir de joie.elle était si contente qu'elle failli faire tomber son goûter.

C'est vrai Joanna est à Paris ? maman, papa, comme je suis contente qu'elle soit de retour, j'ai eu si peur de ne plus la voir, maman tu veux bien que je vienne avec toi ? faire ds achats ?

Apres un oui Ambre bondir sur ses parents pour les remercier,

moi aussi je voudrais lui faire un présent, c'est ma sœur de cœur depuis que nous avons sceller les liens de l'amitié.

Ambre ne savait pas encore que son amie était seule au monde elle l’apprendra et leur amitié sera encore plus fort.

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

Ah ! Oui ! Martha a osé me refuser une part de tarte pour me taquiner, moi ! Hé bien ! Elle ne perd rien pour attendre la coquine et j'irais voir notre espiègle de Richard pour qu'il me donne des idées en la matière.

J'éclatais de rire en m'imaginant toutes les petites bêbêtes grouillant dans ses poches de tablier car taquin, je l'étais jusqu'au bout des ongles. Je toussotais afin de reprendre mon sérieux quand notre petite princesse nous rejoignait à la table.

Fort bien, si ce mercredi te convient, mon amour, je n'ai plus qu'à donner réponse... Oui, c'est une excellente idée, les présents entretiennent l'amitié... Bon, je vais vous laisser entre filles pour le choix du cadeau car j'ai une missive à envoyer avant ce soir puis je retournerais aux écuries rejoindre Richard.

» [RP] Demeure Neu
» Demeure de Whoopie
» [RP] La demeure de France
» [RP] Demeure de Sventovit II
» [RP]Demeure Neu-d' Anjou