[RP] La Turquoise…

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha était ravie qu’elle reste et la serra contre son cœur …après avoir finit de tout ranger, elle fit un feu et lui tendit robe de nuit et robe de chambre ainsi qu’une serviette de bain …voila si tu veux te changer nous pourrons nous prendre une petite tisane bien confortablement assise devant le feu … chacune partie de son coté et elles revinrent en se lançant sur le fauteuil et riant aux éclats comme quand elle était petite fille, s’enveloppant dans une grande couverture duveteuse.
Elle appuya sa tête sur le dossier du fauteuil et les yeux dans le vague et sourit ….

Arnold si je me souviens…bien sur ! ce fameux cochonnet qu’on a cacher si longtemps lui évitant la mort et qui avait mit la maison de ma tante sans dessus dessous …et avec le temps ont c’étaient tant attaché a cette bête que lorsqu’il fut finalement tuer …ça c’est l’idée ce ma tante…elle la regarda avec une drôle de grimace … on a pas manger de sa viande …disons que depuis ce temps, je suis pas folle du porc chaque fois je pense a Arnold… et de rire aux éclats en repassant a tout les coups pendable de ce cochon.

Ma belle amie nous avons vécu tellement de chose ensemble …tu es comme ma sœur tu sais et je te remercie d’être la, te retrouver après ce long séjour loin d’ici a été un des plus beaux moments de mon retour …et celui de Goeffray bien sur mais elle le pensa seulement …étouffant un sanglot comme chaque fois qu’elle pensait a lui …elle prit sa tasse les mains légèrement tremblante et but une longue gorgée de tisane qui l’apaisa, fermant les yeux un moment.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne suivi Martha qui lui donna une chemise de nuit et un robe de chambre. Une fois cela fait chacune fit sa toilette et elles sortirent presque au même moment de leurs chambres ce qui les fit rire. Des souvenirs lointains remontaient lentement à la surface. Elle se revoyait jeune pensionnaire toute maigrichonne sortant au mesme instant que son amie et courant vers le salon pour prendre une place devant la cheminée. De voir la jeune femme sortir ainsi cela lui donna l'idée de refaire la même chose. Comme leurs esprits se rejoignaient toujours, sans qu'un seul mot ne fut échangé, les deux jeune femme se dirigèrent au pas de course vers le salon en riant. Cela lui rappelait de très agréables souvenirs. Toute bien au chaud enroulées dans une couverture duveteuse elle vit que Martha semblait avoir retrouver un peu de sa sérénité.

- Puis quand le boucher était venu pour voir si nous l'avions vu, nous lui avions dit qu'il n'y avait qu'un animal du nom de Arnold dans la maison . Il n'a jamais fait le lien avec son cochonnet heureusement pour nous. Puis il n'avait point trop insisté lorsque nous lui avons dit qu'il vaudrait peut-estre mieux de se dépêcher à le retrouver sinon quelqu'un d'autre pourrait fort bien vouloir le garder. Nous avions pris bien soin de le cacher lorsqu'il avait frapper à la porte.

Il est vrai qu'une maison ou une serre, ce n'est point l'endroit idéal pour garder un cochon si petit soit-il. La petite bête avait besoin d'espace pour courir et de plus dans la serre il y avait beaucoup de plante ce qui était pour lui un petit paradis. Mais la tantine n'avait point trop appréciée la chose. Elle ne voulait cependant point faire de peine à personne et elle permit qu'elles puissent le garder mais ailleurs que dans la serre ou la maison. Mais il finissait toujours par trouver le chemin qui y menait et elles savaient par avance qu'il fallait s'attendre à des surprises et qu'elles ne seraient point toujours réjouissante.

Marianne éclata soudain de rire en repensant à une de ces fois qui était cependant très hilarante. La tante de Martha faisait la lessive et avait un panier plein de ses dessous et le petit curieux de cochonnet s'aventura jusqu'à celui-ci. Elle ne savait point trop comment, mais il se retrouva avec une paire de dessous de la tantine sur lui. Elle voulu le prendre pour récupérer l'objet en question, mais il eut peur et se mit à courir dans tous les sens, ne voyant point où il allait.

- Je viens de revoir la course de nostre protégé avec les dessous de ta tante...

Puis Martha lui dit qu'elle était comme sa sœur. Ce que la jeune femme aurait bien souhaité estre vraiment, quoiqu'elle aussi la considérait comme tel depuis longtemps.

- Pour moi aussi tu sais, le jour où j'ai appris que tu te trouvais icelieu m'a rempli de joie et plus encore lorsque j'ai emménager à Rouen.

Elle voyait dans ses yeux l,émotion et la tristesse qui menaçait de revenir à tout moment.

- Je pense sérieusement ma toute belle que le Très-Haut à fait en sorte que nous puissions toutes les deux nous épauler le cas échéant. Il sait bien ce qu'il fait j'en ai l'impression. J'ai passé une journée fort agréable ma toute belle en ta compagnie. Et il ne faut point oublier que Rodolphe sera là à l'aube. Nous ferions peut-estre mieux d'aller nous reposer avant son arrivée. Sinon c'est en chemise de nuit qu'il nous trouvera, quoique je ne crois point que cela puisse lui déplaire...

Elle lui fit un clin d'œil et fini de boire son infusion ...

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha sourit a Marianne et l’accompagnait dans ses éclats de rire aux histoires qu’elles se racontaient puis elle la remis sur le chemin de la sagesse …douce Marianne oui tu as raison ma tendre amies …montons mais je me demande si on seraient pas mieux ici bien envelopper près de l’âtre, les chambres doivent être froide un peu …elle rit et se leva l’attirant en même temps debout puisqu’elles étaient envelopper ensemble.

Elles faillirent s’étaler de tout leurs long et se mirent a rire marchant d’un même pas vers l’étage ….elle ouvrit sa porte de chambre …et la regarda …tu restes avec moi comme quand on étaient petites dans le même lit …elles s’avancèrent et tombèrent ensemble sur le lit en riant.

Martha se défit de la couverture pour ouvrir le lit et elles s’y réfugièrent tout deux …sur le dos a se raconter encore des histoires puis tout devint silence, Martha entendit la respiration régulière de Marianne …elle dormait, souriant dans le noir, Martha se tourna et Marianne fit de même instinctivement et elle se colla dans son dos comme quand elles étaient fillettes s’endormant profondément.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne pensait bien qu'elles allaient toutes les deux tomber à la renverse lorsqu'elles se levèrent de commun accord. Mais tout se passa bien. Martha proposait qu'elles dorment devant l'âtre. Mais valait mieux estre plus sage et monter se coucher dans un bon lit confortable. Cela évitera moult courbatures le lendemain matin. Elle se souvint l'avoir fait à plusieurs reprise lorsqu'elles étaient encore jeunes mais le temps avait bien changé depuis et leurs corps aussi ce qui demandait un peu plus de confort.

- Peut-estre les chambres sont plus froide mais je pense que conseil de l'infirmière, c'est préférable d'accorder à nos corps le repos et le confort dont il a besoin. Hélas, nous ne sommes plus des petites fille et nous avons de nouveaux besoins pour estre en forme. Bien que nous ne soyons point encore de vieux crouton, soi-dit en passant, les courbatures sont malheureusement inévitables. Nous n'avons plus la souplesse d'autrefois et je m'en désole parfois.

Il y avait bien longtemps qu'elle ne montait plus aux arbres, ni ne grimpait plus sur les toits sauf comme de bien entendu pour son métier de charpentier qui nécessitait cela. Le but n'était plus de chercher à apercevoir la mer au-dessus de la forêt... Elle montèrent ensemble riant toujours et en vue de la porte de sa chambre Martha la regarda et lui demanda si elle voulait partager son lit comme elles l'avaient fait bien souvent.

- Tu ne ronfles point j'espère? Lui dit-elle en riant.

Elle acquiesça et elle tombèrent toute deux dans le lit moelleux et se parlèrent un long moment. Marianne était plus fatiguée qu'elle ne le croyait puisqu'elle s'endormit la première. Mais Martha ne fut point longue à en faire de-mesme et dans leur sommeil elle se tournèrent et se retrouvèrent coller dos à dos tout comme par le passé. Chacune d'elle s'envolait vers le pays magique des rêves...

Messages : 42 Date d'inscription : 23/03/2011

Au petit matin Rodolphe arriva avec les ouvriers, voyant la maison silencieuse ils dit aux hommes d’y aller doucement….a peine avait t-il dit qu’un bruit de planche qui tombèrent le fit se retourner vivement …

Bande d’incapable beuglait-il je dois tout faire ici hein! Attention a ce que vous faites …et le verre… c’est fragile si vous me le briser vous ne serez pas payer …vous êtes avertie bande d’abrutis …il était rouge de colère et se retournant au son d’un porte qui ouvre , il retira son chapeau complètement désolée et rouge pivoine …il ne distinguait pas vraiment la silhouette avec cette clarté …si c’était Martha sur, qu’elle lui crierait dessus et de lui demander ce qu’il avait a beugler ainsi et de la réveiller …tout ce qu’il vit ces une silhouette hum! Divinement bien roulé ….et des bras sur les hanches.

Plissant les yeux ,il ne pouvait voir avec le contre jour qui était a la porte Martha ou Marianne …ce silence ne ressemblait pas a Martha …il s’approcha plus encore …

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne avait pour habitude de se lever tôt et ne voulant point réveiller son amie s'était glissée lentement hors du lit. Elle avait entendu les ouvriers qui commençaient à arriver. Elle passa dans l'autre chambre pour y prendre ses vêtements de la veille puisqu'elle n'avait que ceux-ci sous la main pour l'instant. Puis elle découvrit dans la penderie une tenue qui serait surement plus adéquate quoique légèrement différente de ce qu'elle portait habituellement. Une paire de braie dont l'appartenance devait estre le mari de la tante de Martha. Ils n'étaient plus d'usage de porter ce genre de chose aujourd'hui mais il faudra bien s'en accommoder pour l'instant. Surement que son amie n'y verrait aucun inconvénient. Elle passa une grande chemise par dessus et un ceinturon pour finir le tout. L'ensemble dessinait la fine silhouette de la jeune femme, de façon très nette. Le tout ne cachait nullement ses traits féminins pour autant. Elle se demandait si les ouvriers étaient ceux qu'elle avait fait venir ou encore ceux qui devaient accompagner Rodolphe la réponse lui vint dès qu'elle approcha de la porte.

Bande d’incapable beuglait-il je dois tout faire ici hein! Attention a ce que vous faites …et le verre… c’est fragile si vous me le briser vous ne serez pas payer …vous êtes avertie bande d’abrutis …

Ayant reconnu la voix de Rodolphe et comme elle ne voulait point que Martha se fasse réveiller par tout ce boucan elle se dit qu'il vaudrait mieux l'en avertir. Elle ouvrit celle-ci et les mains sur les hanches attendit de voir Rodolphe s'approcher.

- Que se passe t-il donc mon ami pourquoi ces cris? Martha dort encore il ne faudrait point l'éveiller elle n'a point tellement dormi.

Elle ne savait point trop qu'elle effet elle pouvait donner dans cette tenue. Il était habitué de la voir en robe avec les cheveux bien coiffé et l'image qu'elle donnait présentement en vêtements d,homme les cheveux libres dans son dos cela devait paraître bien étrange. Il lui faudra repasser par la maison se changé un peu plus tard pour aller à l'hôpital. Elle verrait cela plus tard lorsque Martha sera réveillée.

- Vous n'avez point eu le temps de prendre vostre café ce matin Rodolphe c'est pour cette raison que vous estes si nerveux? Je suis certaine que ces hommes savent ce qu'ils ont à faire. Allez venez nous allons prendre un café sur la terrasse pendant qu'ils s'occupent du transport des matériaux.

Elle savait une chose au moins c,est faire le café heureusement d'ailleurs et sans doute que Martha se réveillera dès qu'elle en sentira l'arôme...

Messages : 42 Date d'inscription : 23/03/2011

Il n’arrêtait pas de tordre son pauvre bonnet surtout quand il reconnu a la voix de la silhouette celle de Marianne qui l’invita gentiment a entrer et laisser faire les hommes sans lui, pour un café …il ouvrit grand les yeux en s’approchant et voyant l’accoutrement de Marianne …

Heu! Ben j’ai pas l’habitude de laisser les gars a eux même c’est des incapables …vous voyez …tordant son chapeau encore plus …ils on faillit mettre en miette le verre pour la serre alors je veux pas vous vexer Dame Marianne mais le café on le prendra tous a la pause plus tard …il la salua et lui fit un clin d’oeil amusé… drôlement jolie votre tenue puis elle enfonça son bonnet sur la tête et tourna les talons …..

Attention la ….poser cela ici et toi la bas qu’est-ce que tu fais assis ? Aller c’est pas le temps de la pause …nom d’un petit bonhomme qu’est-ce que j’ai fais au ciel pour qu’il m’envoi des abrutis pareil….

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha fut réveillé d’abord par du bruit mais se mit la couverture par-dessus la tête et d’un coup elle se souvenu…Marianne …elle se leva et vit le lit vide , elle enfila sa robe de chambre et descendit l’escalier une odeur de café vint lui chatouillé les narines …elle se mit a rire en entendant Rodolphe crier contre les hommes …ha! Lui il a pas changer toujours aussi patient …bonjour ma toute belle bien dormit?

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne compris que Rodolphe préférait surveiller les travaux et lui sourit.

- Mais non ils savent bien ce qu'ils ont à faire c'est seulement qu'ils doivent estre nerveux eux aussi tout comme vous en ce moment. Vous ne m'offensez nullement très cher.

Peut-estre est-ce en effet plus sage d'attendre pour le café cela ne pourrait que le rendre encore plus anxieux, pensa la jeune femme. Lorsqu'il parla de sa tenue et lui fit un petit clin d'œil, elle rougit légèrement.

- Vous avez encore l'œil vif à ce que je constate lui répondit-elle.

Elle le regarda retourner vers les homme en maugréant. Il devait vouloir que tout soit parfait pour la belle Martha qui semble-t-il se levait car elle avait entendu des pas dans l'escalier. Un craquement de la cinquième marche l'avait avertie. Elle ne fut donc point surprise d'entendre son amie lui demander si elle avait bien dormi. Puis elle rit avec elle lorsque celle-ci parla de l'impatience de Rodolphe.

- C'est un bon bougre, il veut que tout soit parfait c'est un méticuleux je dirais. Oui j'ai bien dormi comme un bébé je dois dire. Au fait ma douce je me suis permise de prendre les ancien vêtement de ton oncle dans la penderie. Ce n'est plus tellement le genre de vêtements qui se porte aujourd'hui mais c'est confortable et je ne voulais point remettre les mesme que j'avais hier. J'espère que cela ne te choque point.

Bien que ces habits étaient fort vieux et assez défraîchi ils donnaient à la jeune femme un tout autre aspect de ce qu'elle avait l'habitude. Qui aurait pu croire que des vêtements d'hommes pouvaient laisser transparaître autant la féminité lorsqu'il était par elle porté...

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Elle sourit à Marianne ;

Bien non tu as bien fait en fait c’est les vêtements que je porte quand je travaille a la terre dit dont il te vont bien... et d’éclater de rire en allant la serrer dans ses bras …ça sent le bon café et j’ai faim que dirais tu si je faisait cuire ceci …

Elle souleva un linge qui recouvrait une tôle ou on pouvait voir une multitude de petit croissant …me reste qu’a les enduire de beurre et le tour est jouer …elle parlait tout en remettant une bûche au poêle ….

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne était ravie de ce que lui dit son amie et rosit lorsque celle-ci lui fit elle aussi un compliment sur sa tenue. Elle se joignit ensuite à son rire avant de regarder ce qu'il y avait sous le linge.

- Hum! Ça m'a l'air franchement délicieux tout ça. Je te fais entièrement confiance, en ce domaine tu es beaucoup plus efficace que je ne le suis. J'arrive à faire du bon café et c'est à peu de chose près mes capacité à part quelque dessert que tu connais bien.

Pendant que son amie s'occupait des croissant elle mit les couverts et regarda par la fenêtre l,avancement des travaux.

- Tien mes hommes arrivent, Rodolphe n,aura plus à se faire du soucis maintenant. Ce sont des professionnels et ils s'y connaissent fort bien. Il pourra se détendre un peu ce cher homme. Ce n'est point bon pour lui de s'échauffer les sangs ainsi à son âge il devrait faire attention à lui. Je n'aimerais point à le voir à l'hôpital comme patient et s'il ne se ménage point c,est une grande possibilité.

Marianne aimait bien ce vieil homme il lui faisait penser à un grand-père ce qu'elle n'avait jamais eu pourtant. C'est bien ainsi qu'elle se l'était imaginée.

- Je ne pourrai point rester trop longtemps aujourd'hui ma douce, je dois aller me changer chez-moi et faire mes visites quotidienne à l'hôpital. Si tu t'ennuie ma douce tu peux venir me retrouver là-bas. Moi, de toute manière mon intention est de repasser en fin de journée, pour voir comment le travail avance.

Elle attendit que sa chère amie la rejoigne pour déguster ces bons croissants dont l'arôme délicieuse emplissait déjà la cuisine. Avec un peu de confiture cela devrait estre très bon...

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Elle sourit aux dires de Marianne ;

Ha! Tu sais ce Rodolphe c’est un éternel bouillonnant, rien a faire il a toujours été comme ça mais il est aussi si gentil et affectueux qu’on en oubli son caractère …ha! Tes hommes arrivent …parfait, nous allons comme tu dis récupérer Rodolphe, je suis certaine qu’il a même pas prit son petit déjeuner …elle déposa le plateau plein de croissant encore tout chaud sur la table avec de la confiture maison et se dirigea vers la porte.

Je sais ma belle que tu dois te rendre a l’hôpital, je comprend cela mais moi je vais rester aujourd’hui pour surveiller tout cela et faire manger a ces hommes affamés sans aucun doute au dîner ...mais oui reviens souper avec moi en fin de journée ,si tu veux voir comment ça avance, moi je vais m’installer dans le local que tu me prête bien gentiment lorsque la serre sera finit et que je placerai mes plants a l’intérieur ainsi je pourrai déjà mettre de coté les plants près a être broyés et que j’apporterai avec moi lors de mon installation …elle sourit et ouvrit la porte

Rodolphe j’ai besoin de vous ici immédiatement cria t-elle au dehors et de se retourner vers Marianne en pouffant de rire et lui faisant un clin d’œil.

Messages : 42 Date d'inscription : 23/03/2011

Rodolphe vociférait depuis un bon moment sur ses hommes incapables quand d’autres hommes se présentant a lui venu de la part de Dame Marianne….il fit un grand sourire aux hommes et serra la pince a l’homme qui semblait mener la troupe ;

Ravi monsieur de vous voir …donner moi juste une minute... voyant le nombres d’hommes avec lui, il se retourna et cria à ses hommes …

C’est bien pour aujourd’hui vous pouvez partir je vous donnerai vos gages plus tard …Hé attention toi la bas ou tu dépose tes choses ….nom de nom maugréa t-il encore en se retournant …je sais pas ou je les ai pêcher ses abrutis ….alors dites moi ce que vous voulez ,je suis votre homme et il tendit le plan dessiner par Marianne a l’homme en montrant du doigts le futur emplacement de la serre …lorsqu’il entendit une jolie voix lui criait après…se retournant, il vit Martha a la porte …

Ciel …levant les yeux sur celui-ci …je vais passer un mauvais quart d’heure messieurs j’ai du la réveillée… je vous laisse la conduite de vos hommes et je reviens vous voir ….il le salua, enleva son bonnet qu’il tordit avec ses grosses mains et se présenta a la porte.

Je t’ai réveillé douce colombe murmura t-il penaud.

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha avait juste envie de rire de le voir ainsi ;

Aller entre vieux grincheux on a du bon café et des croissants tout frais sortit du four …elle lui laisse le passage dégager pour qu’il entre et fait un clin d’oeil a Marianne …

Viens déjeuner avec nous, Marianne doit aller a l’hôpital travailler un peu et moi je veux plus que tu te mêle des hommes ils vont très bien te débrouiller sans toi …non je voudrais que tu m’aide a porter quelque carton a l’hôpital …Marianne m’offre généreusement un local pour préparer mes herbes et comme j’en ai plusieurs qui seraient du a moudre je ferai mieux de commencer maintenant ….

Elle lui sourit et regardant Marianne elle s’assoit et leur sert du café.

Et un jeune garçon frappa a la porte elle se leva pour lui répondre celui-ci lui remit une enveloppe qui avait l’air a avoir fait beaucoup de chemin, elle ouvrit celle-ci rapidement en retournant vers ses amis mais a mesure qu’elle lisait, elle palissait a vue d’œil et ses lèvres se mirent a trembler…elle leva les yeux plein de larme avant de souffler… Geoffray et de se laisser glisser sur le sol a genoux se mettant le visage dans les mains et se berçant d’avant en arrière murmurant sans cesse Goeffray… Goeffray …non… non.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne avait tellement rit d'entendre Martha appeler Rodolphe qu'elle avait bien de la peine à se retenir lorsqu'il fit son entrée. le ton qu'il employa n'avait rien pour l'aider ni mesme les paroles employées. Mesme si celles-ci n'avaient été qu'un simple murmure la jeune femme les avaient entendues. Afin d'éviter de gâcher le plaisir de son amie. Celle-ci fini par se tourner vers elle et lui fit un clin d'œil en laissant le passage à l'homme pour qu'il se joigne à elle.

- Vous savez Rodolphe je n'ai point connu ma famille ni père, ni mère et encore moins mes grands-parents. Mais j'aime à penser que mon grand-père fusse un homme comme vous Rodolphe. Un tantinet grincheux sur les bords mais toujours prêt à rendre service à son prochain.

Elle le regarda avec un grand sourire. Martha lui dit ensuite qu'elle aurait besoin de lui pour l'aider avec les boites de plantes à transporter à l'hôpital dans le local que celle-ci avait mis à sa disposition. Tous les trois mangèrent avec appétit et juste un peu avant le départ de Marianne arriva une missive pour son amie. Elle senti un frisson parcourir son corps tout en ne sachant point trop la raison de tout ceci. Mais lorsqu'elle vit le visage de son amie devenir de plus en plus pâle au fur et à mesure que celle-ci prenait note de la dicte missive. Cela ne prit point tellement de temps avant que la jeune femme en comprenne la teneur sans l'avoir lue. Les mots à peine audibles lui parvinrent en fait ce fut un nom Geoffray...

Marianne se leva et alla près de son amie l,aidant à se relever puis la serra tout contre elle sans mot dire. De toute manière que pouvait-elle faire de plus en se moment que de tenter de consoler son amie.

- Je suis là Martha, je suis là je reste près de toi. J'enverrai un messager prévenir la Mère Supérieur que je serai un peu en retard. Mais je ne te laisserai point toute seule en ce moment.

Elle la berça un long moment dans ses bras jusqu'à ce que celle-ci se fut apaisée...

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Martha sentit a peine Marianne près d’elle et Rodolphe qui ne savait vraisemblablement plus ou se mettre marchant de long en large en maugréant des paroles que lui seul pouvait comprendre …Marianne la berçant un moment la fit se relever et l’asseoir a un fauteuil près de la cheminée…Martha grelottait de froid et Marianne fit un feu ….elle n’ouvrit pas la bouche au début se laissant bercer par la chaleur de la cheminée et les douces paroles réconfortantes de Marianne.

Rodolphe finit par prendre congé par l’insistance finalement de Martha qui lui dit d’aller rejoindre Bertha et de revenir dans quelque jours pour le transport des caisses a l’hôpital.

Elle regarda Marianne par la suite ;

Va aussi ma belle j’irai avec Rodolphe dans quelque jours m’installer …je vais me reposer et jeter un œil sur le travail ici …j’ai besoin d’être seule ….l’embrassant sur les joues ,Marianne comprit et Martha la remercia du regard ….quand la porte fut fermer délicatement derrière Marianne, Martha laissa aller sa peine et sa colère contre la peine que Goeffray lui imposait puis elle s’endormit en fin de journée quand tout les bruits de l’extérieur ce fut tu sur ce fauteuil sur laquelle , elle était assise devant l’âtre dont le feu mourait doucement …demain serait un autre jour .

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Oui ce fut un autre jour douloureux , elle resta au lit presque toute la journée entendant au dehors les hommes travailler et un Rodolphe qui menait le bal pour ainsi dire …quand ça criait trop fort, elle s’enfouissait sous la couette et se bouchait les oreilles pour finir par s’endormir …c’est le silence qui la réveillait en fin de journée elle se leva , se lava mangea un peu et se recoucha ….ce fut ainsi encore quelques jours jusqu’au matin ou elle se leva avant la venu des hommes…elle avait constater la veille que la serre avait fière allure et qu’il ne restait que quelque finition a faire …elle sortit en robe de nuit emmitoufler dans un grand manteau et une écharpe autour du cou et s’installa a l’intérieur sur un échafaud regardant le merveilleux travail fait …sa tasse de café en main elle se sentait dans un autre monde dans cette serre …comme elle avait penser ce fut Rodolphe seul qui se présenta ce matin la …elle lui sourit quand il ouvrit la porte et le vit sursauter ….rentrez Rodolphe après lui avoir demander si elle allait bien et a sa mine plus souriante qu’elle lui présentait ce matin la, elle cru percevoir un soupir …elle lui sourit et se leva passant son bras sous le sien .

Venez je vous offre un café et de poursuivre la conversation sur une not plus pessimiste.

Je vais mieux …nous allons finir ensemble cette serre pendant que vous laverai les vitres je commencerai a placer mes plants ensuite nous irons a l’hôpital porter ceux qui sont prêt …il acquiesçait en souriant et ils travaillèrent une bonne partit de la journée , dînant d’un bout de pain et fromage pour reprendre après .

C’est parfait Rodolphe… je suis contente du résultat …je place les sacs de grain dans la voiture et nous allons a l’hôpital déposer le tout au local que Marianne me prête ensuite vous pourrez rentrer avec la voiture il se peut que j’y passe la nuit …le grain est sur le point de pourrir je ne veux pas prendre de chance de perdre tout ce travail.

Il lui sourit , elle lui sourit aussi ,il la serra doucement contre lui elle lui fut reconnaissante qu’il ne dise rien puis ils prirent la direction de l’hôpital.

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Arriver chez elle, Martha se lava et se changea puis elle descendit se faire un breuvage chaud , elle prit un crayon et se mit a dessiner le visage de Goeffray et écrivit un mot .

Citation :: Cher amour
Quand une personne que l'on aime nous quitte c'est une page de notre livre qui se tourne malgré nous... Tu es parti me laissant tel une orpheline de l'amour, en manque de toi et de tes sourires que j'aimais tant... J'apprends à vivre sans toi mais peut-être devrais-je dire: "J'apprends à survivre sans toi mon amour..." sois heureux, je t’aime …

Elle prit le dessin

et le mot et elle descendit a la plage … leurs lieu qu’ils aimaient tant …elle se pencha près de l’eau et déposa image et mot sur l’eau …les petites vague les fit flotter un moment puis une plus grosse vint chercher le tout pour l’amener au large …Martha pleura longuement la a genoux sur cette plage en cet automne quelque peu frisquet …elle se leva un long moment plus tard transit et regagna la maison …plus jamais sa vie ne serai la même plus jamais …elle avait beau s’occuper , s’étourdir …un vide ,un immense vide était installer dans son cœur .

Ce soir elle entra sans un regard vers la serre qu’elle avait regarder monter avec empressement et se coucha avec dans le cœur le désir de ne jamais plus se réveillé.

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Au matin du premier jour du mois de Novembre, Martha s’éveilla tout doucement avec un poids en moins …elle avait laisser aller Goeffray et lui souhaitait d’être heureux la ou il était …elle se leva donc. Aujourd’hui était un jour spécial, elle commençait sa place comme conseillère a l’accueil et voulait se rendre au bureau de celui-ci avant de se rendre a l’hôpital voir Marianne pour lui montrer tout l’arrangement qu’elle avait fait pour l’hôpital et ses patients.

Elle prit son petit déjeuner et alla terminer sa tasse de café avec ses plants dans la serre, qu’elle arrosa et arrangea avec délicatesse et doigté puis reprit la direction de la maison rangea la cuisine et sortie direction bureau d’accueil en fredonnant sur le chemin se sentant libre et joyeuse.

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

plusieurs semaine plus tard

Malgré son deuil bien entamé Martha s’ennuyait a mourir ,Goeffray lui maquait atrocement …elle manquait de son amour ,de ses bras , ses baisers … entre le bureau d’accueil bien trop tranquille et le labo de l’hôpital , la aussi fort peu occuper , elle sombrait doucement dans une mélancolie …elle pensait souvent a son amie Ayla ses derniers jours …elle lui manquait , Marianne aussi ,elle avait l’air occupé avec ses patients… c’est a peine si elles arrivaient a se croiser dans les couloirs de l’hôpital …Martha s’habilla chaudement prit une bouteille de vin et descendit s’asseoir sur une roche près de l’eau … malgré novembre commencer le temps était confortable avec une laine et une écharpe autour du cou …elle déboucha la bouteille et but a même le goulot …elle se mit a réfléchir a l’utilité de cette vie regardant l’eau qui l’hypnotisait et l’attirait comme un aimant mais elle restait bien assise sur sa roche s’enivrant tout doucement pour combler l’ennuie de sa vie et le vide de son cœur .

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Les vagues auraient pu venir la récupérer sur cette plage, 1 million de fois personne ne se serait rendu compte de son absence …elle rebroussa chemin essuyant ses larmes , elle avait l’impression que ça faisait des jours qu’elle était assis la …personne ne s’était assez soucier d’elle pour venir ne serait-ce lui parler ….elle entra dans la maison frigorifier et s’enferma dans la chaleur de celle-ci de plus en plus soucieuse de sa présence ici lieu …elle ne sortirai que pour son travail point barre …et se mit a rêver de voyage était-ce mieux ailleurs plus vivant !!!! elle ne savait...mais ici elle s'ennuyait au point de vouloir mourir ...le temps allait faire son oeuvre après mourir d'ennuie ou emporter par les vagues le résultats était le même ...mais elle tenait a sa petite vie quand même ...elle finit par s'endormir tout recroqueviller devant l’âtre a rêver d'endroit ou les gens se parlaient , vivaient ensemble, s'entraidaient un endroit vivant quoi par de mort vivant comme ici ou personne ne parlait a personne.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Lorsque Marianne arriva en vue de la maison elle trouva que celle-ci était bien silencieuse. Cependant il y avait un peu de fumée qui s'échappait encore de la cheminée donc son amie devait estre à la maison.

Toc! Toc! Toc! Martha ma douce tu es là?

Elle attendit un instant pour que l'on vienne lui répondre... Il lui semblait que cela faisait une éternité qu'elle ne l'avait croisée. La dernière fois qu'elles s'étaient vue c'était pour l'anniversaire de Mercedes et depuis le travail de chacune du moins le pensait-elle avait fait en sorte qu'elle n'avaient plus eu l'occasion de se reparler. Elle se rendait bien compte qu'elle faisait une bien piètre amie de ne point prendre de ses nouvelles plus souvent.

- Hé! Ho! Martha je t'ai apporter un petit quelque chose que Mariette à préparer pour nous deux.

Tout en attendant que Martha vienne répondre la jeune femme laissa vagabonder ses pensées. Elle aimait bien estre en compagnie de son amie. Comme elle devait parfois se sentir seule. À part Rodolphe et son épouse, Marianne ne lui connaissait point d'autres personne à Rouen et encore ces derniers n'habitaient point avec elle comme Mariette et Joseph et à l'occasion Oncle Mathéo quoique ce dernier était absent depuis plusieurs semaines maintenant. Il ne la surprendrait point d'apprendre qu'il avait fini par épouser sa veuve...

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha entendit comme dans un brouillard un son, un coup qu’est -ce que c’était? …dans son esprit embrumé par l’alcool ,elle se redressa et écouta …oui! On parlait bien et on frappait a la porte …elle se leva en tanguant et s’agrippant aux meubles sur son passage se tenant la tête …rhooo quel gueule de bois j’ai …maugréant… qui osait la déranger…depuis des semaines elle ne voyait personne et maintenant qu’elle c’était fait a l’idée…. elle ouvrit et plissa les yeux au soleil qui lui arrivait dans les yeux empêchant de voir son interlocuteur mais elle reconnue la voix de Marianne .Elle tira sur son bras et la fit entrer prestement fermant la porte derrière elle dans un fracas haletant tant l’effort l’avait essoufflée ….

Mais, mais qu’est-ce que tu fais ici ma belle? lui dit –elle le souffle court, les larmes aux yeux de la voir devant elle , croyant presque a une vision… ça y est la fièvre lui faisait voir des choses et en plus elle leur parlait …ajustant sa robe de chambre et sa chevelure …elle devait avoir l’air bien bizarre la devant elle ,pâle ,les cheveux ébouriffer, les traits tirées et sûrement une senteur de vin qui émanait d’elle d’avoir bu plus que manger , elle la regarda avec un air quelque peu interrogateur …la touchant et réalisant que c’est bien une personne elle s’adresse a elle.

Entre ne regarde pas la place j’ai rien fais depuis des semaines… mais je vais bien te trouver quelques herbes pour te faire une tisane, attend…elle se dirigea vers la cuisine poussant le tas d’assiette sale dans le lavabo et mit de l’eau a bouillir puis comme la pièce vacilla, elle s’écrasa sur une chaise plaçant sa tête entre ses mains …d’une voix pâteuse elle ajouta;

Assied toi ma belle fait comme chez toi …moi j’en peux plus …et elle se mit a tousser et tousser a se cracher presque les poumons …ha oui c’est derniers jours elle avait tousser et que prit des potages et du vin ça la soulageait de la brûlure qu’elle ressentait a chaque quinte de toux ….elle prit un mouchoir en s’excusant ,dissimulant la tache de sang avec son mouchoir qu'elle cacha dans sa poche de robe de chambre…elle la regarda les yeux fiévreux …que me vaut ta visite chère amie?

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

La porte fini par s'ouvrir après un long moment et Marianne vit de suite que quelque chose n'allait point pour sa douce amie. La toux qu'elle avait cru percevoir avant que la porte ne s'ouvre lui faisait craindre pour elle.

- Je croyais que tu ne viendrais jamais répondre ma douce amie. Ce que je fais icelieu c'est simple je rends visite à ma plus grande amie sinon presque la seule que je puisse avoir.Ça fait un moment que je voulais venir mais j'avais un travail fou en ce moment et des visites de routines à faire en plus ce qui me prenait beaucoup de temps.

Elle jeta un bref coup d'oeil à la jeune femme, il ne fallut point beaucoup de temps pour voir qu'elle n'était point au mieux de sa forme. Elle avait les yeux rougis et semblait aussi pâle et fiévreuse. Ses cheveux n'avait point le mesme éclat que d'habitude et elle n'était point peignés. Elle semblait avoir bu plus que de raison...La voyant vaciller elle fut contente qu'il y ait une chaise non loin puis elle l'écouta...

- Martha laisse faire la tisane et assieds-toi je vais m'occuper de faire bouillir de l'eau pour un café qui je crois sera mieux pour toi. Depuis combien de temps as-tu cette toux ma douce?

Elle la vit tenter de cacher le mouchoir et savait qu'il devait y avoir des traces qu'elle voulait lui cacher.

- Ma douce point n'est besoin de me cacher ton état. J'ai été bien inspirée de venir icelieu en ce jour et voilà que je te trouve en un sale état. Je vais te faire admettre à l'hôpital immédiatement tu vas commencer par prendre un bon café pour voir si cela passe ensuite je t,amène avec moi heureusement que j'ai pris ma diligence aujourd'hui.

Elle se doutait que la chose ne serait point facile mais elle ne partirait point de la Turquoise sans la jeune femme...

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Elle sourit tristement a Marianne et resta assis le temps qu’elle lui fasse un café toute façon elle n’avait plus la force de protester et quand elle parla d’hôpital elle ne broncha pas .

Elle prit le café les mains tremblantes essayant de la porter a ses lèvres et renonça en déposant la tasse sur la table avec quelque bruits de porcelaine qui s’entrechoquent …elle regarda Marianne et se mit a tousser encore en palissant a vu d’œil a chaque quinte …

Si tu veux m’amener Marianne fait le maintenant avant que je reprenne du mieux et que je ne me laisse pas faire , elle se leva mais tout tourna autour d’elle , elle s’effondra a nouveau sur sa chaise ….j’a j’arri..ve plus a me tenir debout …elle laissa tomber sa tête lourde et fiévreuse sur ses bras replier sur la table et le noir l’entoura progressivement entendant de loin la voix de son amie.