[RP] Cadastre de la ville de Paris

Anais regarda Galerand, cet homme était courtois, agréable de sa personne, très bon conseilleur, un peu séducteur...elle se réchauffa les mains sur sa tasse de thé, tout en souriant des bonds que faisait Farouche...

"Des amis, Galerand que nenni, je suis restée très peu de temps à St Pierre Port, j'arrive à Paris...a part vous je ne me connais point de relations, mais cela va venir"

Anais prit le parchemin ou était noté les adresses des auberges de la ville,

"Merci sieur Galerand, je vais de suite parcourir les rues de Paris à la recherche d'une bonne auberge."

Elle sortit du bureau du cadastre en souriant , très impatiente de recevoir son acte de réservation, se voyait déjà en train d'agencer sa nouvelle demeure.

Je vous remercie monsieur Galerand pour votre offre de terain si gentiment proposée.

Ludmayelle entra dans le bureau de cadastre, elle était impressionnée toutes ces cartes réunies dans une seule pièce !
Bonjour messire.
je souhaiterais avoir une habitation, pour le secteur je ne suis pas difficile où vous aurez de la place avec des voisins sympathique ce sera parfait
je suis célibataire et menuisier de métier
Ludmayelle

quel accueil !
Je suis très heureuse de faire votre connaissance
un thé sera avec plaisir avec se froid j'ai besoin de quelque chose de chaud.
Les courtisans sont nombreux mais la perle rare c'est plus difficile!

Préparant son thé à dama Ludmayellle, j-envisageais diverses possibilités, mais plus j'avançais en mes pensées, le meme lieu me revenait à l'esprit. Le quartier du Louvre, voilà ou je devais la placer, calme et toujours gardé, des espaces vert à proximité.

Farouche jouait dans son coin, un morceau de bois dans sa gueule, qu'elle promenait fièrement au travers de la pièce. Déjà presque deux mois, que le temps passe vite, pensais-je

Le thé maintenant infusait, ne pas le laisser trop longtemps, ne pas gâcher par négligence le précieux breuvage de Ladyday; dehors une bise glaciale vous prenait jusqu'aux os, un vent de nord-est, signe qui ne trompait pas, nous aurions des gelées durant la nuit.

Je revenais vers elle, la regardais dans les yeux, lui donnant son breuvage, fumant de sa récente préparation.

Attention dame Ludmayelle, il est très chaud, posez le sur mon bureau et venez voir, je pense avoir trouvé, le lieu qui vous conviendrait le mieux.

Sortant mon registre, je parcourais les pages de mes enregistrés, posant l-index sur le numéro 115, du quartier du Louvre, je constatais que ma mémoire ne m'avait pas fait faux bond. Je m'empressais de sortir le plan.

Tenez, voici le quartier du Louvre, ici le palais de notre Roy, là l-hôtel du Connétable, par là des espaces vert, au numéro 114 une femme charmante, que j'ai moi même placé, dame Lisbeth, à deux pas vous avez la Seine.

Je buvais tout en lui expliquant les lieux.

Voyez vous, je pense aussi à votre sécurité, vous êtes jolie femme et célibataire de surcroit, ici vous ne risquez rien, d'abord, les gardes du Roy veillent en permanence, ronde jour et nuits dans le quartier, puis l'hôtel du connétable et lui aussi gardé, pour ce qui est de votre voisine, elle est charmant et travaille au conseil elle aussi, une personne de qualité . Plus loin de nombreuses échoppes pour vous approvisionner, non l'endroit me semble parfait pour vous.

Je venais de terminer ma boisson, je reposais sur un coin du bureau ma tasse, prenant bien soin de ne pas la laisser choir sur le parquet, parfois je suis d'une telle maladresse.

Alors, qu'en pensez vous dame Ludmayelle, je vous prépare l'acte de propriété?

Je retournais prendre place derrière mon bureau, lui laissant tout le loisir d'examiner l'emplacement

Elle acquiesçait, il ne me restais plus qu'à rédiger.

Un gros pigeon essouflé vient se poser sur le rebord de la fenêtre, a sa patte est liée une missive.

Citation :

Monsieur Galerand,

Je vous remercie de prendre des nouvelles, notre voyage se passe au mieux, la Normandie est bien agréable, nous avons Monsieur Maverick et moi même défendu les couleurs de notre bonne ville d'Amiens au jeu des centaures et nous avons remporter le jeu. Nous rentrerons la tête haute.

Pour ce qui concerne mon terrain, je peux vous confirmer que mon choix est définitif, d'ailleurs la construction est déjà commencée.

Vous me parler de mon veuvage, il est vrai que j'ai eu beaucoup de mal a faire mon deuil, m'être investie pour la ville m'a fait grand bien et le passé s'estompe doucement. Mon cher époux disparu trop tôt restera malgré tout dans mon coeur, j'ai le souhait que se voyage refermera les plaies de mon coeur encore si fragile et me permettra de tourner la page sur ses années de bonheur.

Je suis agréablement surprise des sentiments que vous avez a mon égard et je serai ravie de vous revoir monsieur, dès notre retour a Amiens.

Cordialement,

Iseult de Montgomery

Fait à Rouen, le dixième jour de mars de l'an de grasce MDCL

Travaillant d'arrache pieds sur le dossier de dame Ludmayelle, Farouche couchée à mes pieds, j'aperçus sur le rebord de ma fenêtre un pigeon courrier. Me levant , j'ouvrais les battant, prenant bien soin de détacher la précieuse missive, délicatement nouées à l'une de ses pattes.

Cela avait éveillé la curiosité de Farouche, qui voyant le volatil à sa porté, tenta vainement de l'attraper.

Je pensais, l'espérant en moi même , cela est il un pli de dame Iseult, femme de mes pensées. Fébrilement je déroulais le papier. Point question de m'assoir à mon bureau, j'étais bien trop pressé d'ouvrir et de lire ses mots, pourvu qu'il ne soient pas le son du glas, mais plutôt celui du renouveau, de l'espoir et de la passion, de l'amour et de ses sentiments.

Je n'osais pas lire de suite, je sentais tout d'abord le papier, une subtile odeur de son parfum l'embaumait, le papier avait été choisit avec soin, une encre de qualité aussi. Aimant la calligraphie, j'admirais la finesse de sn écriture, la délicatesse des pleins et des déliés, la parfaite maitrise de la ligne, chaque lettre semblable à sa jumelle, le geste doit être précis pour réaliser cela pensais-je, vraiment qu'elle femme extraordinaire.

Ni tenant plus, je me mis à lire comme un forcené, me dirigeant tout droit vers les mots que mon coeur espérait, sans trop y croire.

Citation :

Je suis agréablement surprise des sentiments que vous avez a mon égard et je serai ravie de vous revoir monsieur, dès notre retour a Amiens.

En moi, mon sang battait contre mes tempes, mon coeur venait de s'emballer, il me fallait me poser, lire et relire encore et encore pour voir si je ne m'étais nullement trompé.

Je suis agréablement surprise des sentiments que vous avez a mon égard et je serai ravie de vous revoir monsieur, dès notre retour a Amiens
cette phrase

Cette simple phrase,je me la ressassais, sans m'en lasser.

Apres un long moment de rêveries, je repris le cour de la lecture, mais partant du haut, comme il se doit.

Citation :

Monsieur Galerand,

Je vous remercie de prendre des nouvelles, notre voyage se passe au mieux, la Normandie est bien agréable, nous avons Monsieur Maverick et moi même défendu les couleurs de notre bonne ville d'Amiens au jeu des centaures et nous avons remporter le jeu. Nous rentrerons la tête haute.

Pour ce qui concerne mon terrain, je peux vous confirmer que mon choix est définitif, d'ailleurs la construction est déjà commencée.

Vous me parler de mon veuvage, il est vrai que j'ai eu beaucoup de mal a faire mon deuil, m'être investie pour la ville m'a fait grand bien et le passé s'estompe doucement. Mon cher époux disparu trop tôt restera malgré tout dans mon coeur, j'ai le souhait que se voyage refermera les plaies de mon coeur encore si fragile et me permettra de tourner la page sur ses années de bonheur.

Je suis agréablement surprise des sentiments que vous avez a mon égard et je serai ravie de vous revoir monsieur, dès notre retour a Amiens.

Cordialement,

Iseult de Montgomery

Fait à Rouen, le dixième jour de mars de l'an de grasce MDCL

Farouche, je pense que nous allons bientôt repartir sur Amiens, elle est la notre vie, notre destiné!

Je retournais à mon bureau, le coeur léger, les yeux ouvert, je n'étais plus là

La tasse de thé fumant devant elle Ludmayelle écoutait Galerand
Le quartier du louvre c'est très bien le numéro 115 c'est noté.
Nous pouvons finaliser l'acte sur le registre.
Elle prit une gorgée prudent de thé mais il était encore bien chaud
Je vais enfin avoir mon chez moi.
Je vous remercie infiniment Galerand
Ludmayelle avait vu le pigeon également et le trouble de son interlocuteur après la lecture du message
Vous allez bien? Ce n'est pas trop grave j'espère je vais vous servir une tasse de thé asseyez vous.

Demoiselle Ludmayelle, m'avait observait, rien de mon émois ne lui avait échappé. très gentiment elle me proposa.

Citation :

Vous allez bien? Ce n'est pas trop grave j'espère je vais vous servir une tasse de thé asseyez vous

Merci, gente demoiselle Ludmayelle, non rassurez vous, pour moi ce sont d'excellentes nouvelles qui viennent d'arriver, mais pour un petit thé je ne vous dit pas non, vous en prendrez avec moi pour m'accompagner. Mais laissez, je vais m'en occuper, profitez de ce temps à loisir, pour bien mémoriser le lieu indiqué.

Je lui donnais une feuille de papier, une plume.

Prenez donc ma place, vous serrez à votre aise pour prendre des notes.

Je partais préparer notre breuvage, noyé dans mes rêves de la femme pour laquelle je me destinai en mon âme et coeur, ma belle de mes pensées.

Me voila rassurée, ce doit être une très bonne nouvelle pour vous mettre dans cet état
Ludmayelle prit place et nota le lieu exact en buvant quelques gorgées de thé

Je vois où se situe le 115, je vais avoir du travail pour tout installer, qu'importe je serai chez moi c'est le principal.
Je vous remercie Galerand pour votre accueil et la propriété.
Elle vida sa tasse de thé se leva prit le titre de propriété
A bientôt
Elle passa sa main sur Farouche qui la regardait partir

Citation :

Hum ... est ce vous qui êtes responsable des habitations ici ?

Raccompagnant dame Ludmayelle, je fais une rencontre surprenante. Une jeune fille, pas encore une femme; m'accostant avec peu de ménagement, mais peu importe, je ne suis enfermé dans l'étroitesse de l'esprit, elle ne possède peut être pas toute l'éducation nécessaire, je vais l'aider.

Bonjour jeune demoiselle, effectivement, je m'occupe du cadastre de la ville de Paris, je me nomme Galerand.

Je la regardais, elle était effectivement presque une femme, mais pas encore, sur elle pourtant le bon gout pointait à l'horizon, certainement pleine de courage et de volonté.

Venez dans mon bureau et installez vous, nous allons discuter de votre venue, et de vos attentes. Mais si vous me vous me donnez votre nom, cela sera plus aisé pour nous de communiquer. Qu'en pensez vous?


Farouche venait toujours à mes cotés, je bougeais, elle suivait, cela m'inquiétais quelque peu pour la suite des évènements, ou bien venait elle déjà pour me protéger, l'autre soir à Amiens, elle avait grognée férocement, elle si petite, avec sa mâchoire garnie de dents de lait naissantes.

Farouche, tu viens, nous rentrons.

Arrivé devant les bureaux du cadastre, l’anglais descendit de son baudet et l’attacha à l’anneau prévu, il pénétra dans le bâtiment et attendit son tour afin de pouvoir discuter avec celui qui s’occuper des plans de Paris.

Avec une élégance des plus anglo saxonne, il fit une révérence aux quelques dames se trouvant dans la salle d’attente. Puis, appuyé sur sa canne, Bouquincan attendit son tour.

Sir ? miss? Good Morning! !

Parlant directement sa langue officielle , il s’adressa à l’accueil espérant voir le responsable des lieux

Nous regardions les différentes possibilités avec ma jeune visiteuse, quand soudain un homme bien vétu, mais peu à la française fit irruption dans le bureau, Farouche se redressa de suite.

Citation :

Sir ? miss? Good Morning! !

Tout d'abord surpris, ne m'attendant peu à entendre la langue de Shakespeare en ce lieu.

Hello sir, good morning, what do you want, please

Je regardais ce nouvelle arrivant, droit dans les yeux, toujours les yeux.

Sorry, parlez vous un peu le français, puisque vous venez me semble t il vous installer en notre belle ville.

Lui montrant un siège de la main, l'invitant à se reposer, je pensais que son voyage avait certainement été éprouvant et que se reposer avec une bonne boisson chaude le réconforterait. .

Désirez vous une tasse de tisane avec de la cannelle, pour vous réchauffer?

Oh !!sir vous parlez donc un peu l’anglais.. Bouquincan en grand gentleman fut assez aisé de voir que son attitude fonctionnait encore mieux de se qu’il pourrait l’espérer. Il s’assit sur la fauteuil gentiment présenté.

Yes , a cut of tea .. j’en serais ravi… but je parle le français mais no .. je ne suis point ici pour m’installer dans votre charmante ville .. je suis . .. ah .. comment dit on .. en .. visite .. ? en voyage ? and je loge actuellement dans une beautiful auberge de chez vous. Et j’aimerai voir tous les big monuments de Parissss

Et tout en parlant Bouquincan regardait le responsable dans les yeux essayent de feinter un accent qui sonnait très bien à l’oreille

But voyez vous , euh.. je ne voudrais point me perdre et j’aimerai savoir, s’il vous était possible de me fournir .. un .. un là il prit une feuille de papier qui se trouvait sur le comptoir afin de s’exprimer et joignait le geste à la parle a.. comment appelle t-on .. un .. registry des rues de Paris ?

Anais revint au cadastre, ce lieu l'attirait, elle ne saurait dire pourquoi
Elle pénétra dans le bureau de Galerand, vit une jeune damoiselle qui patientait...
Galerand discutait avec un messire de fort belle allure...

"bonjour Damoiselle, je me présente je suis Anais, une amie de Messire Galerand, l'odeur du thé semble vous attirer ? il est vrai que mon ami le prépare très bien, et quand ces temps il est le bienvenu..."

elle lui sourit, elle venait rechercher son ruban qui était tombé lors de sa première visite...

Anais vit farouche venir la renifler, elle la caressa sur le museau et derrière les oreilles, à son grand étonnement, la vit se poser à ses côtés ...
Elle s'installa confortablement dans le fauteuil, se relaxant quelque peu, les journées sont si dures pour une jeune femme...

"bonjour Galerand, veuillez excuser mon intrusion lors de votre travail, mais il me semble avoir perdu mon ruban lors de mon précédent passage, l'auriez vous retrouvé ? "

Elle lui sourit