[RP] Accueil des nouveaux arrivants

Cher Galdrien,

Je vous souhaite la bienvenue parmi nous, le bureau de l'accueil, vous invite à vous rendre au cadastre et de vous inscrire pour votre propriété, qui je tiens à le souligner, vous est offerte par la ville ainsi que la parcelle de terre de son emplacement.

Galerand

Varlax, tout juste arrivé il y quelques jours, venait de faire la plus belle de ses rencontres avec Monseigneur Brice et se vit offrir les fonctions de Diacre par celui-ci. Il avait encore l'impréssion d'être dans un rêve, mais sous les conseils de Monseigneur Brice, il alla se présenter au maire d'Amiens. Arriver devant lui, et bien qu'hésitant, il se lança dans sa présentation.

[Inclinant maladroitement la tête pour saluer]
- Bonjour Monsieur, je suis enchanté et honnoré de vous rencontrer, je me présente, je me nomme Varlax et je suis arrivé il y a peu à Amiens. Apres avoior travailler au champ plusieurs jours, je me suis vu offrir les fonctions de Diacre par le Monseigneur Brice il y a peu. ...

Ne sachant plus quoi dire et ne sachant plus vraiment pourquoi il était ici, il se tut.

Mettant de l'ordre dans mes papier, rédigeant une lettre mémoire pour une éventuelle affiche, je réalisais soudainement, le petit bruit d'ouverture de laporte d'entr"e.
Je levais la tête, un homme s'avançait vers moi.

Aussitot je me levais, allant au devant de ce personnage que jene connaissais point.

Il me saluât très poliment, puis il prit la parole.


Bonjour Monsieur, je suis enchanté et honnoré de vous rencontrer, je me présente, je me nomme Varlax et je suis arrivé il y a peu à Amiens. Apres avoior travailler au champ plusieurs jours, je me suis vu offrir les fonctions de Diacre par le Monseigneur Brice il y a peu. ...

Il avait l'air d'un brave homme, un peu timide.

A mon habitude, je le regardais dans les yeux.

Et bien mon cher ami Varlax, soyez le bienvenu en la ville d'Amiens. Je me nomme Galerand, je suis responsable de l'accueil des nouveaux arrivants, et de vous savoir Diacre chez Monseigneur Brice me rempli d'aise.


Voici ce que je peux faire pour vous, en un premier temps, vu les circonstance, je présume que vous vous installerez à demeure en notre cité.

Je vous donne donc, la procédure d'accueil.

Je commençais par l'entrainer devant la fenêtre de mon bureau pour lui montrer les lieux de sa futur vie parmi nous.

Voyez vous Sieur Varlax, la ville d'Amiens dans sa grande générosité offre aux nouveaux arrivants une parcelle de terrain, avec une demeure à votre nom.

Etant moi m^me le responsable du cadastre de cette ville, je peux si vous le désirez vous trouver un emplacement soit à proximité de chez Monseigneur Brice, ou dans une autre partie de la cité. Pour cela je vous conseil de faire un tour en cette dernière et de voir si vous ne préférez point les bords de La Somme, ou la proximité du jardin des plantes du quartier nord, ou la quiétude du quartier ouest. Visitez à votre guise messire et pour toute question, ma porte vous est ouverte.

Je retournais vers mon bureau et lui fit signe de s'asseoir, attendant ses questions, ou peut entre avait il déjà les réponses.

Mettant de l'ordre dans mes papier, rédigeant une lettre mémoire pour une éventuelle affiche, je réalisais soudainement, le petit bruit d'ouverture de laporte d'entr"e.
Je levais la tête, un homme s'avançait vers moi.

Aussitot je me levais, allant au devant de ce personnage que jene connaissais point.

Il me saluât très poliment, puis il prit la parole.


Bonjour Monsieur, je suis enchanté et honnoré de vous rencontrer, je me présente, je me nomme Varlax et je suis arrivé il y a peu à Amiens. Apres avoior travailler au champ plusieurs jours, je me suis vu offrir les fonctions de Diacre par le Monseigneur Brice il y a peu. ...

Il avait l'air d'un brave homme, un peu timide.

A mon habitude, je le regardais dans les yeux.

Et bien mon cher ami Varlax, soyez le bienvenu en la ville d'Amiens. Je me nomme Galerand, je suis responsable de l'accueil des nouveaux arrivants, et de vous savoir Diacre chez Monseigneur Brice me rempli d'aise.


Voici ce que je peux faire pour vous, en un premier temps, vu les circonstance, je présume que vous vous installerez à demeure en notre cité.

Je vous donne donc, la procédure d'accueil.

Je commençais par l'entrainer devant la fenêtre de mon bureau pour lui montrer les lieux de sa futur vie parmi nous.

Voyez vous Sieur Varlax, la ville d'Amiens dans sa grande générosité offre aux nouveaux arrivants une parcelle de terrain, avec une demeure à votre nom.

Etant moi m^me le responsable du cadastre de cette ville, je peux si vous le désirez vous trouver un emplacement soit à proximité de chez Monseigneur Brice, ou dans une autre partie de la cité. Pour cela je vous conseil de faire un tour en cette dernière et de voir si vous ne préférez point les bords de La Somme, ou la proximité du jardin des plantes du quartier nord, ou la quiétude du quartier ouest. Visitez à votre guise messire et pour toute question, ma porte vous est ouverte.

Je retournais vers mon bureau et lui fit signe de s'asseoir, attendant ses questions, ou peut entre avait il déjà les réponses.

Un beau jour, elle décida de quitter Paris pour Eu mais le temps la rattrape.
En quête d'aventure, elle parcoura d'innombrable ville mais le destin l'arreta à Amiens.
Cette charmante ville qui lui est entièrement inconnue.
Pour la première fois, elle fut émerveillée par la magnificence des édifices.
C'est Peut être en ce lieux que sa vie se terminera.
Mais avant tout, elle se rendit au bureau de l'accueil ou discutent deux messires qui ont l'air de bien se connaitre.
Elle les interrompit subitement dans leurs profondes conversations et se présenta

_ Messires, Je vous présente toute mes excuses pour ce dérangement précipité mais je me présente, mon nom est Lolita.
Je suis nouvelle dans votre charmante ville et je souhaiterais que vous m'enregistrez sur votre registre.
Est ce que cela est possible? Disposez vous encore de la place pour que je puisse poser bagage en ce lieux?

Elle les regarda et souria en attente de leurs réponse

Elle fut admirablement touchée par l'accueil du brave messire.
Le regarda à son tour:

_ Eh bien, montrez donc moi le chemin. Je vous suis mais avant tout, puis-je vous demander votre nom pour que je puisse mettre une jolie étiquette sur la douceur de votre visage?

Elle déploya son plus grand sourire et se laissa guider par les pas du messire.

Elle traversa les rues lumineuses au côté du Messire Galerand, bras dessus bras dessous, tout en admirant chaque recoin de la ville.
Elle l'aimait rire, lui aussi, ce qui influençait les minutes à accélérer le temps.

Il lui montra parmi tant d'autre, deux grandes édifices : le grand marché et la cathédrale.
Elle resta un moment immobile à contempler ces deux paradisiaque monuments.

Puis ensemble, ils reprirent le chemin, direction le bureau du cadastre.

Arrivé à destination, le feu réanima leur corps tout frileux, puis elle parcoura du regard l'édifice avant de pénétrer dans la salle des plans et inscriptions.

Ottokar entra dans la ville d'Amiens avec sa charette contenant tout ce qu'il possédait. Ses rondins, ses planches, ses portes et ses outils tenaient sur cette chariotte qu'il avait fabriqué lui même. Il chercha le bureau qui acccueillait les nouveaux arrivants. Il frappa et entra...
Une femme avait l'air d'attendre une réponse d'un homme assis face à elle.

Bonjour ! lança-t-il je me présente, je suis Ottokar de Syldavie. J'arrive de la ville d'Eu et je viens pour m'installer dans votre ville. Je suppose que c'est la même chose pour vous ! dit-il en ragardant la femme près de lui.
Je suis menuisier de profession. Je ne sais pas si cela est important pour vous mais je ne sais faire que ça : Travailler le bois.

Il regarda l'homme puis la femme et attendit une réponse à son tour. Il savait que les écritures étaient difficiles à faire et qu'il fallait laisser du temps à ceux qui savaient écrire. Lui, savait à peine lire et écrire.

Me voilà parmi vous...Nela d'Amiens,à votre service

Quant à moi quoi dire? Je suis toute seule,perdue dans cette ville.J'accumule les taches sans répi et je n'ai que des vétements misérables.Je ne connais personne,mais ma fierté m'empeche de mendier.Ma lignée en effet prend son origine en Espagne,au pays basque.Don Diego Lopez de Haro étant mon ancetre,qui s'est battu et a preté main forte aux rois catholiques contre les maures.
Aidez moi,monsieur.Je ne demande qu'à travailler dur mais dignement

Ottokar laissa la jeune femme s'exprimer en premier. Il n'avait pas suivi beaucoup d'études mais savait être galant. Il prit la parole pour se présenter :

Sieur Galerand, je suis donc Ottokar, je viens d'un pays autoritaire de l'Est qui se nomme la Syldavie. Parti de ma capitale Kwoll, je débarquai à Paris et remonatait la Seine jusqu'à Rouen. Je rejoignis la mer et m'installa à Eu. Une amie, Galeswinthe, m'informa que vous aviez peut-être besoin d'un menuisier. Voilà pourquoi je suis devant vous.
Je ne connais pas bien la ville d'Amiens mais si ma menuiserie pouvait être un peu isolée pour éviter le bruit à mes voisins, je serai heureux de m'y installer.

Voilà, vous savez à peu près tout sur moi...

Ottokar appréciait la boisson chaude distribuée par son hôte et attendait sa réponse.

Messire,je m'incline devant vous,et Dieu vous garde ,merci de votre générosité.Je suis plus que satisfaite de notre rencontre et j'accepte volontiers votre offre. Je m'excuse à l'avance si vous trouvez mon language incorrect,mais comme je vous ai dit je viens d'Espagne.Néanmoins je fairais de mon mieux pour ne pas éffrayer vos oreilles...

Dame Nela, prit la parole en premier, elle était satisfaite et de congratulations en bénédictions, me réconfortais en la qualité de mon travail.

Je me levais allant devant elle, le sourire affiché du devoir, de la concrétisation d'une idée à la réalité.

Dame Nela, ravis je suis, d'avoir trouver votre bonheur en notre belle cité. Votre sourire en est toute ma récompense, de vous voir si heureuse, remplis mon coeur d'allégresse.

D'un este de la main, je l'invitais à prendre la mienne pour se lever.

Gente dame, permettez moi de vous raccompagner jusqu'à la sortie, et pour votre langage, soyez rassurée, vous maitrisez fort bien la langue Française.

Joignant mes faits à mes dires, je raccompagnais jusqu'à la sortie dame Nela, lui ouvrant la porte, ej lui dis une dernière fois avant de la voir partir.

Souvenez vous, si vous avez une question, un problème, n'hésitez surtout pas à venir en discuter, cela ne sera certainement pas moi qui serai présent, mais la personne en charge, fera tout comme moi le maximum pour vous être agréable.

Si vous cherchez un lieu pour dormir, allez à l'auberge de l'Oiseau d'Or, vous y serez bien. Bonne soirée à vous dame Nela, mes respects vous accompagnent.

Je refermais la porte et m'en retournais auprès de messire Ottokar

Alors mon ami, avez vous bien pensé à ma proposition.