[RP] Eglise de la Fraternité Pascale St Lambert

A ma grande stupéfaction, Delarosa m’apprit que la ville était en danger et qu’une horde de pirates se dirigeait sur Eu.

Vraiment, cela vous a été confirmé en taverne.

Delarosa me montra la direction où la horde aurait terrorisée et décimée les villages de la côte. Avec la nuit qui tombait assez vite en cette période d’hiver, les lueurs d’incendie et de fumée étaient bien visibles.

Effectivement, on voit bien au loin, des lueurs rouges et blanches. Il n’y a point de temps à perdre, nous devons nous organiser rapidement…
De mon côté, je vais prévenir le Maire et le Capitaine du port. Que pensez-vous de se réunir afin d’évaluer le danger imminent et de déterminer la défense et la protection des habitants et de la ville... Ou logez-vous, pour qu’on puisse vous joindre dès que j’aurais l’accord du Maire sur le lieu de la réunion… Q’en pensez-vous, Delarosa ?

Une jeune fille, nous proposa de livrer des messages, je la regardais avec un sourire de reconnaissance…

Merci, Mademoiselle, c’est très gentil à vous de vous proposer et au besoin, nous penserons à vous car toute aide nous sera utile. Mais pour le moment, nous ignorons tout de ce qui va se passer.

"Nous réunir est plus que profitable, je loge a la taverne du port avec une partie de la garde pascal, je peut la convoquer de suite, une autre est a la résidence du cardinal luc, le temps d'envoyer un pigeon, la garde sera au complets sur le parvis d'ici la demis heurs."

il se dirigea vers le pigeonnier non loin de la

"l'église pourrait faire lieu de rassemblement pour les paysans alentours et les gens de Eu, l’édifice est sure et fortifier, nous avons un angle de vue sur les alentours et la ville, vous organiserez la défense de la ville avec le maire pendant que j’irai en éclaireur avec ma garde."

il s'adressa a la jeune femme

"Vous pouvez nous aider et nous faciliter la tache mlle, retourner en bas et accueillez tout les villageois et paysans dans l’église, indiquer tout les volontaires vers Messire wesley"

il se retourna vers wesley

"Retrouvons nous dans une demis heurs sur le parvis, nous agirons selon les moyens que nous aurons, a plut tard et que pascal nous garde"

Elle aimait bien l'organisation et la gestion des gens. Et le seigneur Delarosa avait une bonne idée pour elle.

- Avec plaisir monsieur.

Elle redescendit d'un pas leste, se dirigeant sur le parvis de l'église.

Haussant la voix, elle invita les gens à entrer.

- Venez à l'intérieur, les informations vous seront transmises en temps et lieux.

Elle se pencha pour aider une vieille dame à gravir les degrés et lui laissa son bras, la soutenant jusqu'à un banc.

- Allez, installez-vous confortablement, invita-t-elle les citoyens, restant calme.

Anne-laure arrivait du champs elle aussi. Elle aperçut Oksanna et s’approchant d’elle. Tu as besoin de mon aide ? Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Je t’ai vue partir, abandonnant ton duuuuur labeur. Lui fît un sourire. C’est quoi tout ça.

Oh non ! Mon dieu ! De la fumée, là-bas ! Elle pointa du doigt une énorme colonne de fumée pas très loin d’ici. Regarde Oks, mais c’est quoi ? un incendie ? Volontaire ?

En voyant Anne-Laure arriver, elle se dirigea vers elle, l'air grave. Elle tenait dans ses bras les jumeaux d'une mère de famille qui tenait encore un nourrisson d'un bras et un garçonnet de cinq ou six ans en pleur de l'autre main.

- Aide-moi à installer les gens dans la chapelle, Annouchka. L'heure est grave.

Lui remettant un des jumeaux d'à peine deux ans, elle s'approcha de son oreille et parla à voix basse pour ne pas être entendu d'oreilles indiscrètes.

- Des pirates ont accosté non loin. Ce sont eux qui pillent et ravagent les villages des alentours. On m'a demandé de mettre les citoyens à l'abri dans la chapelle. Aide-moi s'il te plaît.

D'un air calme, la jeune fille cachait du mieux qu'elle pouvait sa nervosité. Au fond d'elle, elle était terrorisée mais un profond instinct de louve protectrice s'emparait d'elle. Elle voulait empêcher les gens autour d'elle de souffrir.

D'un pas décidé, elle entraîna la mère de famille et sa marmaille dans la chapelle, leur trouvant un coin tranquille.

- Restez bien là, avec votre matouchka, mes petits. Tout ira bien, Pascal et saint Laurent veilleront sur vous.

Elle caressa gentiment les boucles de la fillette en la déposant près de sa mère puis s'éloigna, prête à répartir les nouveaux arrivants.

Elle n'avait pas vu, dans l'affolement général, où était parti le seigneur Westley et se demandait donc où envoyer les hommes valides voulant se battre pour défendre la ville.

Son regard d'azur parcouru la foule, à la recherche de l'homme afin de s'informer d'où il comptait regrouper les miliciens volontaires.

J’écoutais Delarosa qui donnait les directives, j’acquiesçais de la tête et l’idée était bonne de rassembler les habitants dans l’enceinte de l’église où ils seront protégés. Coco arriva complètement transformée et armée jusqu’aux dents, surpris encore par une nouvelle facette de sa personnalité.

Fort bien, je vais aller chercher mes armes et prendre les volontaires avec moi et nous vous retrouverons sur le parvis, dans une demi-heure pour faire le point.

Oksanna continuait d'installer les femmes et les enfants dans l'église, prenant soin de les rassurer, de leur faire sentir que tout irait bien.

- Pascal et saint Laurent, le patron de cette chapelle, veilleront sur nous, répétait-elle, ayant un geste patient pour chacun.

Lorsque le maire Esteban se présenta, débitant sa tirade, elle l'écouta, se sentant déjà rassurée. Elle vint vers lui et lui transmit les explications de monseigneur Delarosa.

- Messire Westley est allé chercher son équipement, il proposait de rassembler tout les volontaires sur le parvi mais je crains que de voir s'agiter des hommes en armes viennent à apeurer davantage les enfants et les mères.

Elle fit un geste vers la foule effrayée, peu convaincue qu'on réussirait à protéger tout le monde en ces lieux.

- J'aimerais qu'on trouve des ravitaillements. Les enfants sont toujours plus calmes lorsqu'ils ont à boire et à manger.

Oksanna avait d'ailleurs, encore une fois un bambin sur la hanches. Elle aidait comme elle le pouvait les mères et les grand-mères à rassurer les petits qu'on bousculait dans leur routine et qui sentait la peur ambiante mieux que quiconque.

Anne-Laure fut soulagée de voir tout ce monde arriver et continuait à rassurer tant bien que mal les personnes qui en avaient besoin.
Elle retourna près d’Oksanna.

A présent nous aurons tout ce qu’il faut pour les gens. Il nous manque juste la place.
Elle regardait en souriant notre chère mairesse qui était volontaire elle aussi.
Oh regarde-là Oks, je ne l’avais jamais vue ainsi. Au moins, une petite note amusante. Celle-là on ne l’oubliera pas de si tôt.
Je reviens, je vais voir s’il y a encore des personnes qui ont besoin de notre aide dehors tu viens avec moi ?

Frédéric et son épouse étaient a Eu pour passé un week-end tranquille oubliant un peu leurs journées de travail.

Tout deux dormaient encore quand Frédéric fut réveillé par un vacarme assourdissant mais dans un demi sommeil il n'y prêtât que peu d'attention mais fut bien vite réveillé quand on tambourinât a la porte de la chambre.
Frédéric sortit du lit et après avoir passé une tenue le rendant présentable il allât ouvrir et là devant la porte se tenait un coursier qui lui tendit un pli.

Frédéric ouvrit le pli et en prit connaissance.

C'était un courrier urgent de son Éminence Delarosa lui stipulant de se rendre de toute urgence a l'église de Eu avec tout son équipement.

Frédéric ne perdit pas de temps,si son Éminence lui donnât cet ordre c'est que danger il y avait.

Il réveilla son épouse puis allât ouvrit la grande malle et en sorti son armure de Garde et demandât a son épouse de l'aider a la mettre.

Spoiler:

Une fois prêt Frédéric regardât son épouse et lui sourit puis lui murmurât:"Ça va aller mon amour ne vous en faites pas , je vous aime ma douce et je vous promet de revenir prés de vous" Puis il l’embrassât tendrement la serrant dans ses bras.. " Mon amour , dés que j'en sais plus je vous tiendrais au courant mais a mon avis vous devriez me rejoindre a l'église,je pense qu'il se passe vraiment quelque chose de pas bon...."Après un dernier baiser et un dernier sourire Frédéric sortit de la chambre et partit rapidement en direction de l'église.

Frédéric se rendant a l'église remarquât que les rues étaient vide ,seul quelques habitants couraient en direction de l'église il pressât donc le pas et arrivât enfin sur le parvis.

Bien du monde était déjà là a l’intérieur et des questions pour l'instant sans réponses trottât dans sa tête

Dans son courrier,son Éminence demandait a Frédéric de venir le rejoindre sur le parvis de l'église c'est donc ici qu'il lui fallait attendre et c'est casque sous le bras, main sur le pommeau de son épée et aux aguets que Frédéric attendit l'arrivée de son Éminence afin de savoir ce qu'il en était de la situation.

Citation :

Rebonjour messire delarosa, bonjour Wesley, je viens donner un coup de main et ne me dites pas que les civils ne sont pas autoriser parce que je me fache, je veux defendre ma ville contre ces gredins et personne ne m'en empechera je me laissera pas faire et de toute maniere si on doit mourrir autant le faire en combattant. J'aurai au moins eu le merite d'avoir voulu defendre la ville et mes amis qui s'y trouve.

"Heureux de vous voir mlle COCO, bien que J'aurais voulut vous voir ailleurs et dans d'autre circonstance. Votre courage est vrais et plein de verité, je ne vous mettrait point a l’écart car votre présence sera plus que nécessaire, tout le monde est nécessaire."

Citation :

Je vais aider les villageois a se rassembler et aider ceux qui sont deja la en attendant, mais sachez que meme civil j'irais me battre et vous ne m'en empecherait pas.

"Je ne peu vous en empêcher COCO, et je ne le ferait pas , car seul pascal le peu. Votre hélant en est un signe, pascal est avec vous. Les clef de la ville est au main du bourgmestre ESTEBAN, voyer avec lui pour l'organisation, Mlle oskanna est en bas en train d’accueillir les villageois, allez aussi lui prêter main forte..."

elle partit en courant, wesley était deja partit lui aussi, il était désormais seul sur se promontoire. Il s'activa alors a envoyer pigeons sur pigeons. D'abord a la garde pontifical au mont, au gardes pascal rester a l'auberge de Anne, au garde pascal a la résidence du cardinal luc, au différent point, relais et commanderie pascalines, au monastères d'ordres militaires et religieux de la régions, au cardinaux mais aussi a sa baronnie de Grouville.

âpres plusieurs décollage périlleux des pigeons en mal d’expérience, car la volière ne servait pas quotidiennement, le doc s’approchât du parapet pour voir la situation. l'horizon s'amoncelait de colonne de fumée, le parvis se remplissait. Il vit plusieurs pavillons et emblème flotté en bas arrivant de tout coté. il reconnut celui du cardinal Luc, sa dépêche avait été lut.
il redescendit les escaliers, encore en tenue de cardinal, il devait remettre l'uniforme de commandeur de la garde restez a l'auberge de Anne. une armure d'argent et d'or marqueté, ce serait une première car depuis la création de la garde, personne de l'avait encore porté.

il vit que l’église était deja bien remplit et que l'aide apporté était d'une grande utilité, il remercia au passage oskanna dans sa tache et d'autre personne qui était venue lui prêter main forte, il reconnue une Dame et l’accueillit.

"Vous étés en sécurité Ici, les murs sont solides et les portes extrêmement dure. vos enfants ne doivent avoir aucune crainte.
Pour les blessé ? oui, il va surement y avoir aussi des malades, des vieillard a s'occupé et de nourrissons a langé. Prenez les draps de ceremonie rangé au vestiaire et demandé a se qu'on vous les pans au pourtours de la clôture du chœurs de la cathédral, cet endroit fera office d'infirmerie, je vous en confit la responsabilité, faite vous aider par le médicastre wesley, il est présent en ses murs.."

il eu un geste réconfortant, une main sur l’épaule de la dame.

"combien avez vous d'homme dans votre escorte ? Elle nous sera d'une grande utilité pour la défense du centre ville et des villageois, que vos hommes aille sur le parvis, nous nous occuperons de l'organisation..Que pascal vous garde"

il sortit et trouva un parvis bondé, il vit Luc et le maire discuté, il s'avança vers eux.

"Luc, Esteban, il nous faut compté nos effectifs, des escortes arrivent de toute part ainsi que des volontaires en armes, nommé un secrétaire et faite des groupes inventorier armes et vivre. le temps de me changé et je serait avec la garde pascal ici dans les 10 minutes, nous rejoindront les éclaireurs.."

il vit alors le garde de monfort s'approcher, le premier de la garde a arriver, il en sera récompenser pour sa rapidité.

"Garde, heureux que vous ailler pus venir si vite, votre armure vous sied a ravir, montrer la. je vous charge de chercher des volontaires pour allez en première ligne, des pirates pillent et brulent la baie de somme, ils se dirige vers nous en ce moment même, voyer avec le cardinal luc et le maire, ils font des groupes d'homme en armes. je vais a l'auberge d’Anne me vetire, nous nous retrouveon ici dans 10 minutes."

Zelina fût réveiller en sursaut par des coups dans la porte, ils étaient sur Eu afin de prendre un peu de recul avec le travail, et avait des amis à qui rendre visite aussi. Mais ce vacarne était assez affolant tout de même, son époux avait recus un plie. Elle eut sur le moment un coup de panique quand son époux lui annonçat son départ, elle tenta tant bien que mal de l'aider à mettre son équipent, d'un coup ses yeux prirent quelque peu des larmes, mais elle tentait de ne rien faire paraître à son époux, elle savait qu'en faisant parti de la Garde Pontifical, il serait ammener à certaines choses risquées, mais bon c'était ainsi, et elle était fière de son époux qui avait fait ce choix de servir la garde.

Après l'avoir aider à enfiller sa tenue, elle repondit à son baiser tendrement et d'un doux sourire lui murmura à l'oreille. Soyez prudent mon amour, je tiens tellement à vous!! Elle se blottit dans ses bras. C'est avec les yeux triste qu'elle laissa son époux partir, elle allât à son tour se préparer, car elle ne pouvait laisser son époux seul en cette situation. C'est très vite qu'elle s'habilla à son tour, une robe qui était là peu importe laquelle au fond elle s'en fichait, quand de nouveau on vint frapper à sa porte un plie pour elle aussi du Cardinal qui lui demandait à elle aussi de se rendre sur la parvis de l'église, elle n'attendît pas plus long, elle enfila son manteau, et c'est au pas de course qu'elle déambulait dans les rues de Eu, tout le monde courait en direction de l'église, il y avait vraiment quelque chose de pas normal, elle fût inquiéte Zelina, elle arriva très vite sur le parvis ou le Cardinal lui avait demandé d'aller, il y avait du monde partout, elle avait courru sur la fin de son trajet, elle vît son mari sur le parvis et c'est d'un sourire quelque peu inquiet de par la situation qu'elle lui dit.

Mais...Mais que se passe t'il ici, où est le Cardinal?! Pourquoi tout ce monde?!! Je suis inquiéte là!! Notre Zelina était en trance sur le fait puis patienta l'arrivée du Cardinal.

Frédéric regardant les villageois arrivant et entrant dans l'église vit son épouse arrivée a son tour ,il lui sourit mais n'eut pas le temps de lui parler car son Éminence arrivât sur le parvis et vint vers Frédéric.

Citation :

"Garde, heureux que vous ailler pus venir si vite, votre armure vous sied a ravir, montrer la. je vous charge de chercher des volontaires pour allez en première ligne, des pirates pillent et brûlent la baie de somme, ils se dirige vers nous en ce moment même, voyer avec le cardinal luc et le maire, ils font des groupes d'homme en armes. je vais a l'auberge d’Anne me vetire, nous nous retrouverons ici dans 10 minutes."

J'ai fait au plus vite votre Éminence,dés réception de votre courrier je suis venu aussitôt

Frédéric écoutât avec attention son Éminence et savait a présent le pourquoi de l'alerte.

A vos ordres votre Éminence , je vais taché d’être a la hauteur,dés que je vois le Cardinal ou Mr le Maire je leurs feraient part de nos besoins en hommes et de les rassemblaient ici même afin de voir de combien nous en disposons

Frédéric s’inclinât et laissant son Éminence aller ce changer il attendit que le Cardinal Luc ou le Maire arrive pour leurs faire part de la demande de son Éminence.

Je fus déposée par Firenze et allais vers l'Eglise. Mes habits d'homme au corps, je ne sentais plus aucune contrainte. J'allais vers Luc:

Je suis venue dès que j'ai appris. Puis-je être d'une quelconque utilité?

J'attendais tranquillement qu'on me répondit.

Esteban, mais que se passe t’il peux-tu m’expliquer ? Mes enfants ? mettre à l’abri, grand Dieu! c’est à se point la, une révolution ?

Dans un brouhaha venant de partout j’avais à peine tout comprit, je savais essentiel, enfin monsieur le maire vient de m’informer que des pirates venant de partout massacraient tout sur leurs passages, et qu’ils se rendaient au village d’EU, nous étions tous sur le pieds de guerre.


- Par pascal mes enfants, je file les chercher avec leurs nourrices, et mon chien « colonel »
Je reviens de suite Esteban, il faut que je retourne chez moi , au fait pensez à faire porter de quoi manger pour les villageois, et du lait pour les enfants, je vous rapporte aussi toute la nourriture que je pourrais... ha! si vous voyez Wesley, dites lui que je lui ramène « Sorbonne » son équidé il en aura surement besoin .

Je reprenais la route en sens inverse en espérant ne pas rencontrer un des pirates, car je ne donne pas cher de sa peau.
Filant comme une flèche sur ma monture ‘ Mistral, » direction le manoir en espérant ne pas arriver trop tard.

Zelina paniquait trop, je la fis s'asseoir près du sol. Chose bizarre, plus elle avait peur, plus je devenais courageuse. Je lui répondis

Zelina, tout va bien. Juste une bande de pirates qui cherchent à venir sur Eu mais ne t'inquiète pas, tout ira bien. La ville est hors de danger. Mais il faut nous préparer à nous défendre. Le Très Haut est de notre côté, d'accord Zelina.

Je la regardais calmement. J'étais sure de moi et prete à me battre s'il fallait défendre mes petits. Ils ne devaient pas mettre un pied ici.