[RP] Eglise de la Fraternité Pascale St Lambert

J’arrivais au manoir alors qu’il faisait encore nuit, aussi tôt je réveillais tout le monde, Ambre ma princesse, Richard, Aurore et Marine.

-Louise ,Sara vite dépêchez-vous, il faut se rendre en lieu sur, oui c’est ça prenez la calèche pour les enfants.

-« Colonel « mon chien, file vite rejoindre Wesley, si il te voit il comprendra, va mon chien, va vite..

Sara prenez aussi toutes les couvertures que nous avons, toute la nourriture que vous pouvez, il y a pas de temps à perdre.

En un record de temps nous avions prit en charge toute la petite famille, nourriture couverture, je faisais partit tout le monde direction, « Eglise de la Fraternité Pascale St Lambert »


Je me trouvais seule un moment je filais directement à l’écurie, prenant « Sorbonne » lui mettant une couverture et selle,
Allez viens Sorbonne Wesley aura besoin de toi, aussi, en le tenant par les rennes, je montais à nouveau « Mistral » revenant vers le centre du village.
je serai soulagée, une fois tout le monde en sécurité. Les enfants avec les nourrices arrivèrent à l’église comme convenu, aucun incident maintenant.

De retour sur la parvis, je savais les enfants en sécurité, descendant de ma monture, l’attachant avec Sorbonne non loin, marchant de quelques pas rapides je m’avançais vers, Coco elle pouvait avoir mal à l’épaule de porter son fusil.

- Change ton fusil d’épaule Coco, en m’approchant j’observais au loin cette fumée pouvant avoir incendié tout un village, je n’osais même pas penser ce qu'advenait des habitants voisin.

Restant prés de l’église, il est hors de question de s’en éloigner, je sentais montais en moi une effervescence, comme un retour en arrière lorsqu’il fallait partir en guerre, jamais on avait combattu dans les villages, on avait toujours éviter que la population en souffre, mais là, je n’étais plus militaire, une simple civile voulant protéger son village, mon arme à la ceinture, mes deux dagues à porter de main.

Nous ne savions pas, quand ses pirates allaient venir, et nous les attendions de pieds ferme, l’esprit militaire me revenait, en me souvenant chaque bataille, chaque combat, les tactiques des maniements des armes, il est vrai que je n’avais pas épée mais bien armée .

Zelina eut un gentil sourire envers Anne Marie et lui répondit.

Je suis désolé de paniquer de la sorte!! Je crainds pour la vie de mon époux, je sais très bien que le Très Haut et là, mais j'ai eu instant de panique excuse moi!! Merci Anne Marie, merci de ton soutiens. J'ai peur pour les habitants de Eu, mais que veulent ces pirates en notre bonne ville? Mais que faut t'il pour aider? Il faut des vivres? Oui des vivres je supose!!! Je peux voir à cela moi!! Puis si bléssé il y a je peux aussi faire un minimum!! je veux aider comme je peux je suis très volontaire!! Elle reprit ses esprit et se releva en souriant à Anne Marie.

Anne-laure regardait dehors.

Oksanna, je reviens je vais chercher les vivres et quelques matériaux que nous aurons besoin. J’ai tout chez moi. Tu me prêtes ton cheval ? je reviendrai en diligence avec celui-ci.

Je vais proposer de mettre mes chevaux à la disposition de la ville durant cette intervention.
Je reviens très vite.

Un geste tendre, un sourire rassurant, Oksanna continuait d'installer tout le monde. Elle berçait une petite fille dans ses bras, observant tout ce qui se passait.

Un geste tendre, un sourire rassurant. Oksanna continuait de superviser l'installation des citoyens.

Lorsqu'Anne-Laure lui demanda d'emprunter son cheval, elle eut un petit sourire et répondit:

- Prend Petit Pierre avec toi. C'est à lui que je l'ai confié tout à l'heure. Il saura s'occuper de Moshennik qui doit être très nerveux avec toute cette agitation. Petit Pierre a huit ans, mais je lui apprend à bien monter. Il s'occupera de Moshennik au retour, car il s'agit d'un coursier, pas d'un cheval de diligence.

Elle laissa Anne-Laure partir et s'approcha de Zelina.

- J'espère que tout va bien. S'il y a autre chose que je peux faire, n'hésitez pas.

Anne-Laure s’exécuta.

Petit Pierre Montait pas mal pour un débutant. Elle se glissa derrière lui. Allez, on y va ! Ils partirent au galop.

Petit pierre l’aida chez elle à prendre tout ce qui était nécessaire et utile pour aider la population de Eu. Elle embarqua toutes les provisions faites pour durer un hiver mais au fond, ce n’était rien, elle s’en referait.

Ils revinrent à l’église, et proposa ses chevaux au garde Mr Montfort.

Ils sont là, dehors. Rapides et dociles.

Oksana sourit à Zelina.

- Je suis heureuse de voir que vous allez bien.

Elle avait sur la hanche une fillette d'environ dix mois qui suçait son pouce, regardant tout ces gens avec des yeux arrondis.

- A-t-on déjà commencé à installer ce qui fera office d'infirmerie? Monseigneur Delarosa parlait d'utiliser la nef, là où est l'autel. Il a demandé à ce qu'on entoure l'endroit de rideaux.

Elle jeta un coup d'oeil vers l'endroit. Il faudrait que quelqu'un fasse le tri des denrées qui entrent dans la chapelle également. Il faudrait placer les vivres à un endroit, du côté droit, peut-être et tout le matériel qui servira à soigner vers l'avant, près du choeur. Croyez-vous qu'on peut envoyer les jeunes garçons trop jeunes pour se battre, mais pas assez pour rester sage chercher de l'eau au puis? Cela les occupera et nous sera utile.

Au fond d'elle, Oksanna était terrifiée. Toutefois, elle ne le montrait pas. Heureusement qu'elle avait toujours un enfant ou un autre dans les bras, cela empêchait ses mains de trembler.

Elle désigna la fillette qu'elle transportait d'un geste de la tête.

- Je l'ai trouvée toute seule près de la porte. Personne ne semble savoir où se trouve ses parents... L'avez-vous déjà vue?

Des bouclettes sombres, un peu sales, une tunique de lainage chaud et d'immenses yeux bleus. La fillette ne parlait pas et ne marchait pas très bien. Oksanna préférait la garder près d'elle jusqu'à ce que quelqu'un la réclamme.

Zelina regarda Oksanna avec cette petite brune dans ses bras qui sucer doucement son pouce, et d'un sourire vint poser la bise sur la joue de la petite.

Il est bien triste de voir que cette petite est perdue, je pense que vous faites bien de la garder avec vous Oksanna!! Elle a grand besoin d'être rassurer. Elle fit le signe de croix sur le front de la petite récitant une petite priére pour elle. Que le Très Haut te préserve jolie Demoiselle!! Elle regarda de nouveau Oksanna. Non je ne connais point cette petite, j'en suis désolé mais je pense que ses parents la savent en sécurité ici, et ne tarderont point à venir la retrouver ici!

Elle regarda de partout, et souriant de nouveau à Oksanna et Anne Marie. Anne Marie cela vous dit de faire le trie dans les vivres?? Puis nous pourrions ensuite même voir à faire du nef un lieux où on pourrais acceuillir les soufrant. Je pense que cela peut être dans nos cordes à moi et Anne marie!! Elle se retourna sur Anne Marie attendant sa décision.

[Au manoir ]

Luc était partis rejoindre les autres à l'église... Pendant ce temps elle organisait là maisonnée à savoir les mettre tous à l'abris et pour cela elle comptait sur Simon. Leur brave Simon ainsi qu'Eugénie et bien entendu Dame Liliane... Le manoir avait des allures de ruche en cet instant même... envoyer les enfants , gouvernante, cuisinière et homme à tout faire en la personne de Simon voilà ce qui'il y avait de plus urgent pour Maria à ce moment ensuite elle irait rejoindre les autres et Luc pour faire front devant Grenouille et ces gredins de pirates à la noix.


Après deux heures de branle bas de combat les malles furent embarquées puis les enfant dans la diligence de secours avec Eugénie et Dame Liliane un bisous à chacun leur promettant que je serai bientôt au mont avec eux.....

Soyez sages mes amours vôtre père et moi seront bientôt près de vous....

Simon dès que possible nous vous enverrons message s'il faut que vous alliez avec tout le monde à Saint-Ouen sur Jersey....


Ils partirent.... je n'avais plus le temps pour verser une larme.... Les enfants avaient trouver cela étrange de me voir vêtue comme leur père bottes montant jusqu'aux cuisse pantalon et chemise blanche je prenais ma rapière et ma veste des corps francs puis montait à cheval un petit coup au flan et ma monture parti en direction de l'Église...... Le bruit de la foule montait déjà plusieurs avait répondu à l'appel chacun ne voulant pas voir leur ville assiégée par les pirates.... Les gardes étaient à l'extérieur de l'église l'un d'eux gardait Foudre près de lui.... donc mon Époux devait être non loin.... Descendant de ma monture je confiais les rennes à un garde également. Au début il fut surpris de me voir ainsi attriquée.... mais bon force majeure la robe n'était point de mise à ces lieux et moments.... Je montais les marche deux par deux me dirigeant vers Luc pour lui assurer que nos enfants étaient partis en lieux surs....

J’arrivais au pas de course sur le parvis de l’église et vis notre calèche et nos deux équidés à proximité et j’en fus soulagé. J’entrais dans l’enceinte de l’église qui était bondée de monde, me frayant un chemin parmi la foule, je cherchais mon épouse, les enfants et leurs nourrices. Dans ce brouhaha, j’entendais comme des aboiements sourds et quand je sentis quelque chose contre ma jambe, je baissais les yeux et vis notre chien « Colonel » qui jappait, heureux de me voir. Je m’accroupissais et lui caressant le dessus de la tête tout en lui disant près de son oreille…

« Colonel », Oui, mon chien… Oui… Tu es un bon chien ! Conduit- moi à eux… Allez ! Va, va ! Mon bon chien !

Perdue dans ses pensées la jeune femme n'entendit pas son amie arriver, elle sursauta quand celle ci lui parla, elle se retourna en prenant son epee au passage et poussa un soupir de soulagement quand elle reconnue Helena.

Tu es folle de debarquer sans un bruit, j'aurai pu te blesser. Pour ce qui est de mon fusil il est pres de l'arbre, je l'avais deposer a coter de mon epee ca commencais a faire lourd tout ca surtout quand on ne bouge pas. Et puis j'ai ma jambe qui me fait un peu mal, mais avec le bandage que je me suis fait plus les bottes, la jambe tiens bien et je peux courrir sans me faire mal.

Elle lui fit un grand sourire pour la rassurer et lui faire comprendre qu'elle allait bien et que tout se passerai bien pour elle. Puis elle reprit

Tu a emmener tes enfants ? Et Wesley tu la retrouver ? Je l'ai croiser tout a l'heure et il a ete surpris de me voir habiller comme un homme, et aussi armer, bon c'est vrai qu'en meme temps il a plus l'habitude de me voir en robe ca a du le choquer, il devait croire que je n'etais qu'une jeune femme fragile et sans defense *rire* Bon c'est peut etre le cas, mais je sais aussi me montrer forte et me battre en cas de besoin, je me bat peut etre pas comme un soldat mais je manie tres bien l'epee et le fusil.

Puis la jeune femme regarda droit devant elle, ne voulant pas avouer a son amie qu'elle avait peur, peur de ce qui pouvait arriver, peur de ne pas avoir la joie de connaitre le bonheur dans ses bras ... secouant la tete elle se dit qu'elle ne devait pas penser a ce genre de chose, se retournant vers son amis elle lui dit.

Tu devrais rejoindre tes enfants, je pense qu'ils vont avoir besoin de toi que tu les rassure et puis je pense que Wesley a du arriver, et a mon avis il doit te chercher si il est ici, ne t'en fais pas pour moi, j'ai besoin de reflechir, de me preparer et de me ressourcer un peu en attendant le debut du combat.

Elle lui fit une bise sous la joue

Oui coco tu as raison, je vais aller rejoindre mes enfants, effectivement ils sont dans l’église tout en regardant mon amie, malgré son sourire, je me doutais bien de la souffrance de sa jambe, je la savais forte et courageuse aussi

- Si tu vois un chien un berger allemand il s'appelle « Colonel », c'est le chien de mémé Anna, une vieille dame morte pendant le sacre, et une grande amie de Wesley.

Tout en laissant mes armes sur la parvis de l'église car on ne rentre pas avec des armes surtout dans une église par respect de Pascal.

J’entendais une petite voix, cette voix, je la reconnais entre toute c’est « Ambre notre princesse » une toute petite voix, tout en me frayant un passage, il y avait tant de monde que j'avais du mal a avancer.

- Ambre ? Ambre ma chérie, je suis là c’est maman, non ma princesse ne pleure pas, je suis sure que papa va bientôt venir, et toi mon poupon, ne pleure pas mon trésor, je sais mes petits anges, je vous promets que tout ira bien, viens ma princesse, viens dans mes bras.

Assise à coté de Louise prenant Ambre dans mes bras, doucement je lui parlais pour la rassurer.

En me penchant vers Louise, je lui détaillais la situation, elle comprit que l'heure était grave.

- Louise ! tout ira bien ne vous en faites pas..

- Hélèna les enfants ont peur, ils n’ont pas l'habitude d'un tel chamboulement

- Je sais Louise, mais c'est pour votre sécurité aussi, je vais rester quelques instants avec vous, d'accord ?

Je ne pouvais pas lui dire l'angoisse qui me tiraillait les entrailles, je ne savais pas si Colonel avait trouvé Wesley, regardant le monde autour de moi, j'avais une crainte, trop de monde amasser dans l'église.

Achille arriva devant l'église.

Il était en tenu prés à combattre l'ennemie.

Il regarda à droite puis à gauche et aperçue le cardinal Luc. Il s'approcha de lui.

bonjour éminence, quel sont les ordres ?

le doc, après s’être changé et révisé ses armes a l'auberge d’Anne, revint sur le parvis en armure de la garde pascal pontifical. il était voyant car l'armure étincelait, elle était impressionnante par la carrure qu'elle lui donnait en plus des couleurs du mont que tous connaissait.
Son épée a sa ceinture, il traversa la rue pour rejoindre la place dans un cliquetis métallique, a chaque pat les jointures de cuire et de métal résonnait entre elle. Elle n’était pas handicapante et était plutôt légère.
Il aperçut au coin de cette rue plusieurs chariots couverts conduit par des bœufs qui remontaient vers lui.

"Messire, qui vous envoie et que transporter vous ?" dit le doc qui rejoignis un homme encapuchonnée conduisant le premier chariot, celui de la tète de fil.
"Je suis le Frère prieur Cristinus, moine fourassiens de l’abbaye de GAMACHES à l'est, on nous a envoyé une missive d’alerte et qu’il nous fallait rejoindre Eu avec des provisions. »
« L’ordre FOURASIEN ?!, oui, c’est moi vous est appelée. Qu’avez-vous ramenez ? »
« Monseigneur, nous avons ramenée 5 charrettes de provision soit quelque tonneau de lait, du pain, du blé, des pommes, et du lard salée, je suis venue avec une dizaine de mes frères. »
« Bien, diriger vous sur le parvis, l’église est le lieu de rassemblement des civils, voyez avec le maire Estéban pour la distribution et la prise en charge des civil. »
« Bien monseigneur »

Il les guida jusqu’au parvis et les aida a ses garer, les charrettes se positionnèrent tout autour de la place tel une ronde, tel une enceinte invisible. Un monde fou s’agglutinait dans une organisation bien huilé. Au portes de l’église, les civiles qui arrivait par dizaine formait une espèce de file d’attente afin de rentrée dans l’édifice religieux, elle se déformait rapetissant ou grandissant en compte goute. Au milieu du parvis, non loin des marches et de la file d’attentes des villageois, un groupe orchestrait cette organisation surveillant de l’autre coté des groupes d’homme en armes qui se formait. Il s’avança donc vers le groupe décideur tout en demandant au passage qu’on lui ramène un cheval.

« Bien, on en ait ou ? Fréderic vous en êtes ou ? Ont part dés que vous et les volontaires sont prêts, nous irons au plus prêt du CROTOY… »

Il vit Achille arriver par la même occasion et lui fit signe de venir le rejoindre avec Fréderic.

« …Ha Achille, trouvez moi assez de chevaux pour nos volontaires, j’espère qu’ils savent monter. Fréderic, pendant ce temps, vous faite deux groupe et désignée des binômes dans chaque groupe l’un veilleras sur l’autre, vous prendrez sous votre commandement un groupe et Achille un autre. Dés que vous êtes prêt, on y va, je vais voir ou est passer Mr le maire Estéban, des Moines son venue lui prêter main forte, ha au faite, vous avez vue votre capitaine angélique bella ?»


il avait appelé toute la garde, la capitaine devait être dans la régions, il ne l'avait pas vue depuis quelque jours, faite qu'il ne lui est rien arrivé.

J'avais rassuré Ambre et mon poupon Richard, ils sont entre de bonnes mains, aussi j'avais hâte de retrouver mon tendre époux aussi, il devait être avec le maire surement.

- Louise je vous laisse les enfants, je reviens dés que possible, je pars aux infos , voir le maire ou coco peut être aussi wesley ,je trouve que les infos diffusent trés peu, enfin c'est les curé je reviens dés que possible.

Héléna soyez prudente , soyez sans crainte pour les petits .

après avoir embrasse et rassurer plusieurs fois les enfants, ma décision de me rendre dehors, déjà d'une voir le maire le conseil de la mairie et voir ou est- ce qu'on en était

il y a avait pas mal de monde dans cette église, mais y savoir mes enfants ne me plait guère, c'est pour leur sécurité qu'ils ont dit

et comme par hazard en sortant de l'église pas un seul militaire de France et de Navarre, pas un seul garde de l'armée française, mais plus un seul mousquetaire quoiqu'il y en a plus rien, que les grades de curé , j'avais la vague impression que l'on assister à une évasion du curé,et de garde pontifical.

tout en sortant j'allais tout droit vers ma monture et celle de Wesley, il y a avait un déplacement à faire nos montures sont prête, mais ils est hors de question de prêter nos équidés, Mistral et Sorbonne à qui que se soit.

Tiens, toujours la coco, dis moi ou est le maire ? j'ai la vague impression de voir une évasion de curés, tout en regardant autour de moi .

Frédéric attendait avec les volontaires l'arrivée de son Éminence Delarosa regardant tout ce monde arrivé sur le parvis pour rejoindre l'église qui se remplissait de plus en plus et cela n’arrêtais pas d'affluer de toute part.

Puis Frédéric se tournant vers les marches menant au parvis vit son Éminence venir vers lui:

Citation :

« Bien, on en ait ou ? Frédéric vous en êtes ou ? Ont part dés que vous et les volontaires sont prêts, nous irons au plus prêt du CROTOY… »

Votre Éminence,jusqu'à présent j'ai rassemblais une vingtaine de volontaires tous désireux de prêter mains forte.Son Éminence le Cardinal Luc et son épouse sont parti pour faire évacué les village alentours et faire venir les villageois ici a Eu ou ils seront plus en sécurité

Pour ma part j'ai soumis une idée en ce qui concerne ces odieux pirates aussi permettez moi de vous l'exposé..

Frédéric déployât une carte qu'il avait pu ce procurer..



Voilà mon idée ..Comme vous pouvez le constaté le Cardinal Luc suit cet itinéraire

Frédéric montrât sur la carte le chemin suivi pas le Cardinal Luc et son épouse..

Comme vous pouvez le voir ici sur la route de Cayeux sur Mer,la route passe par un escarpement rocheux et si ces pirates suivent la route côtière il passerons forcement par cette route ce qui serait un avantage pour nous.. Aussi peut être serait il juste que je m'y rende avec un groupe de volontaires pour voir ce qu'il en est sur place et au besoin vous revoyez un message sur la disposition des lieux ...Quand pensez vous Éminence ?

Frédéric avait exposé son idée mais c’était a son Éminence de donner ses propres ordres attendant sa réponse Frédéric saluât comme il se doit l'arrivée du Caporal Achille puis revint au sujet de la conversation

il n'eut pas le temps d'aller voir le maire que frederic lui proposait deja ses idée sur une stratégie, il regarda la carte qu'il lui montrât

"Votre idée n'est pas si mauvaise" il sortie de sa manche une autre carte, bien plus précise qu'il avait prit, arraché dans un intitulé de géographie rangé dans une de ses malle a l'auberge d’Anne, Achille était toujours la, il leurs donna donc les directives.

Spoiler:

Frederic, vous prendrez le 1er groupe de volontaire, vous prendrez a l'est a la sortie d'EU en direction d'AULT puis vous irez vers CAYEUX en suivant le chemin de cote du MONT CAVREL au nord. Je prendrait le reste de la garde pascal avec Moi, je remontrait vers le nord est sur la route de BRUTELLE et tournerais vers l'ouest Pour LANCHERES, je vous rejoindrait vers l'ouest pour CAYEUX. Achille vous prendrez la route avec moi j'usqua BRUTELLE puis vous irez vers l'est en direction de PANDE et ESTREBOEUF, nous vous rejoindrons pour marché sur St VALERY, prenez avec vous des pigeons et des trompes d'alarme, on part dé que j'aurais trouver le maire et wesley"

bon sang, ou était passer Mr le maire et se cher wesley, les compagnies se formait, une vingtaine d'hommes chacune et le reste de la garde arrivait soit une quinzaine d'homme en armures et les chevaux arrivaient.

Après avoir exposé son idée a son Éminence celui l'approuva puis comme un magicien le Cardinal Delarosa sortit de sa manche une autre carte ce qui fit sourire Frédéric puis ensemble ils regardèrent leurs itinéraires et après que son Éminence eut donné ses ordres

Citation :

Frédéric, vous prendrez le 1er groupe de volontaire, vous prendrez a l'est a la sortie d'EU en direction d'AULT puis vous irez vers CAYEUX en suivant le chemin de cote du MONT CAVREL au nord. Je prendrait le reste de la garde pascal avec Moi, je remontrait vers le nord est sur la route de BRUTELLE et tournerais vers l'ouest Pour LANCHERES, je vous rejoindrait vers l'ouest pour CAYEUX. Achille vous prendrez la route avec moi jusqu’à BRUTELLE puis vous irez vers l'est en direction de PANDE et ESTREBOEUF, nous vous rejoindrons pour marché sur St VALERY, prenez avec vous des pigeons et des trompe d'alarme"

A vos ordres Éminence , je pars sur le champs.Bonne chance a vous et que Pascal veille sur vous

Après avoir salué comme il se doit Frédéric rejoignit les volontaires qui attendaient sur le parvis et s'approchant d'eux

Messieurs,nous partons vérifiez vos armes et équipements

Allez toute le monde en selle

Avant d'en faire de même Frédéric entrât dans l'église et cherchât son épouse du regard quand il l'à vit il s’empressât de la rejoindre

"Mon amour,je doit y aller mais je ne pouvais partir sans vous avoir dis au revoir et à plus tard,je vous aime mon tendre amour et je vous reviendrez soyez en sure" Frédéric embrassât son épouse avec la plus grande tendresse puis après un dernier sourire et un dernier baiser il sortit de l'église, prit un cheval que Annelaure avait laisser a disposition puis une fois en selle

Messieurs,que Pascal soit avec nous..

Frédéric donna coup de talons au flanc de sa monture et suivi de son groupe de volontaires sortit de la ville au triple galop en direction de l'est vers la ville d'Ault

Le chien me précédait, pour lui, c’était plus aisé de se faufiler entre les jambes des gens que moi, heureusement que ma haute stature me donnait une vue d’ensemble sur la masse houleuse car les personnes n’arrêtaient point d’arriver et de s’agglutiner de plus en plus dans l’édifice. A quelques mètres de moi, plus en avant, je revis « Colonel » qui faisait un temps d’arrêt en tourna sa tête dans ma direction. Je poussais en jouant des coudes, les gens qui me comprimaient de toutes part puis parvint jusqu’au chien qui se mettait à aboyer pour me faire comprendre que nous étions arrivés. Quand j’entendis des cris de joie « Papa ! Papa ! Mon papa ! » Je m’accroupissais pour les recevoir. Ils se jetèrent sur moi, s’accrochant fortement à mon cou. Je les embrassais en les serrant fermement contre moi puis Louise s’avança vers moi.

- Que le tout puissant soit bénit ! Vous êtes enfin là, Monsieur ! Avec votre épouse, nous nous faisons beaucoup de soucis pour vous et les enfants n’arrêtaient pas de pleurer.

- Je sais, Louise, mais il fallait que je m’organise et je viens du manoir et comme, il n’y avait plus personne, j’ai compris que mon épouse avait fait le nécessaire pour vous mettre à l’abri du danger… Au fait, j’ai vu nos équidés dehors et je n’ai pas encore vu mon épouse, vous savez où elle est ?

- Votre épouse est restée avec nous quelques instants et ne vous voyant pas, elle s’est dirigée vers la sortie pour vous chercher.

Je me dirigeais vers la sortie en direction du parvis tout en refaisant le même parcours en sens inverse, regardant avec attention de droite et de gauche si je ne voyais point ma douce, Esteban ou Coco. Je réussissais à joindre le parvis difficilement en jetant un regard circulaire au dehors et vis ma douce en compagnie de Coco. En grandes enjambées, je couvris la distance qui me séparait d’elles.

Ah ! Enfin, vous voilà ! Je suis soulagé de vous voir... Depuis que je vous cherche ! Avez-vous des nouvelles récentes ? J’ai point vu encore Esteban ni Delarosa, nous devions faire le point de la situation avec eux, ici même. Bouuuuuuu !!! Quelle organisation, c’est le foutoir ou quoi ? J’espère que Delarosa ne nous a point mis de côté, nous les civils, on ne voit que des gardes pontificaux de toutes parts… Et l’armée royale du Royaume de France, où est-elle ? Elle se cache derrière les arbres en attendant que la bataille soit finie !

il regarda de droite a gauche en s’avançant dans la foule, il avait prit deux garde pascal avec lui, il voulait voir wesley et Esteban, l’heur était compté frederic partait deja, il fallait manœuvrer.
il vit wesley sur le pat de la porte de l’édifice religieux, il l'appela "WESLEY, WESLEY, Ramener vous" il montât a cheval, prit les reines et au trot il vint a sa rencontre

"on y va, vous me suivez, Mes moines s'occupe des civil avec le maire, des religieux et des aides sont en route du mont, un de mes homme frederic vient de partir, je vous expliquerai en route!!!"