[RP] Sur la plage d'Eu

C'était en début d'après midi, Pamèla se balade le long de la mer avec son panier repas cet sa canne à pèche

Elle choisit un bon pti coin et s'installe sur le sable confortablement et commençe à déjeuner

Hum une belle journèe commence je pense, j'irais faire une bonne pèche

Mercedes en visite a Eu pour voir ses amis
s est attarde sur cette plage ,
que c est doux de sentir la mer et cette
tranquillite , ce havre de paix
oh !!bonjour Pam , comment vas tu ?
puis je faire une promenade avec toi ?

[i]Pam fait un grand sourire à Mercedes, oui avec plaisir!

Je viens souvent souvent ici pour me balader et me relaxer ,regarder la mer , les oiseaux , la plage! que du rève

Tu es de passage alors

Leeana arriva sur la plage.

Elle aperçut une silhouette qui lui paru familière.
"mais c'est largo "
Elle se dirigea vers lui en souriant.

"Bonsoir Largo, comment vas tu ? c'est assez inhabituel de te trouver là, toi qui es tout le temps en train de travailler."

Elle lui sourit amicalement,

Aurélya se prit le désir d'aller voir le sable, la mer... elle était seule et en deuil cela tombait bien pour se balader sans but avant de continuer sa route...

Quant je pense qu'"elle " aurait voulu voir la mer ....

Les larmes coula doucement sur les joues d'Aurélya...elle ne pouvait pas faire grand chose d'autre....sauf y penser très fort et lui souhaiter bon voyage làbas....

Je serai une bonne fille..promis..tu ma appris beaucoup de choses et tes prouesses en la nature je pourrai les continuer...

Aurélya sentit le sable en ses pieds...elle défit ses chaussures et couru dans le sable à perdre haleine,laeshan sa louve...la louve...sur ses talons.

Une légère brise se leva comme pour répondre de l'infini...une douce odeur d'embruns..oui un jour elle reviendrai sans être seule et cela était écris..

Aurélya repartit apres un moment de songe profond ..espérant que son seigneur l'avait entendue..


Viens laeshan...vient ma belle..je sais..elle ne te parlera plus mais moi je reste..moi je m'occuperai de toi avec ta même fidélité crois moi...


Aurélya s'assit un moment regardant l'azur d'infinis avant de repartir pour son Régiment....

Le soleil brillait encore aujourd'hui, pas suffisament pour se baigner mais assez pour se ballader au bord de l'eau. Elle venait ici dans le passé chercher des coquillages pour en faire des coliers, la plage lui avait manqué depuis qu'elle etait a Rouen.

Elle avait aujourd'hui d'autres préocupations que son envie de collection, elle respirait a plein poumon l'air iodé, cela lui faisait du bien. Elle s'assit sur une pierre plate face a la mer en réfléchissant a sa petite famille et attendre son homme.

S'étirant comme un jeune chat, Fafounet ouvrit les yeux alors que le soleil commençait à peine sa grimpette quotidienne dans les allées du ciel.
Au loin, sur l’horizon la brume dansait sur la mer avant de disparaitre comme par enchantement pour laisser apparaitre un ciel d’un bleu magnifique, bleu comme les yeux de Sophie.
Une petite brise marine lui chatouillait le nez avec une douceur toute féminine, elle s’attardait aussi en tendres caresses sur le reste de son corps et, Fafounet se redressant et ouvrant de larges yeux, constata non sans s’en amuser, qu’il était entièrement nu.

Aussitôt la soirée et la nuit précédentes lui revinrent à l’esprit ce qui acheva de le sortir de son sommeil.
Il tourna la tête pour regarder Sophie qui dormait encore à ses côtés, guère plus habillée que lui. Elle s’était couverte de la chemise de Fafounet, plus à cause du froid que par pudeur, puisqu’après une nouvelle facétie de Raurau, elle s’était retrouvée sans robe au moment de sortir de la taverne.

Fafou la regarda dormir un long moment en silence, goûtant là un tableau aux charmes indéfinissables et qui ne cesserait jamais d’émerveiller un homme. Elle était allongée sur le côté, le visage posée sur la cuisse de Fafounet et offrant à la mer une vue magnifique sur son joli derrière. Sans doute harcelée par les poissons mâles, il sembla au Chancelier de Normandie que ce matin là, la marée montait plus vite qu’à l’ordinaire. ...

La brise marine qui jouait doucement dans ses bouclettes blondes faisait frissonner sa peau blanche au grain délicat ; elle bougea légèrement dans son sommeil se collant encore plus à la chaleur du corps de son amant d’une nuit ce qui, paradoxe délicieux, fit glisser la chemise de Fafounet, révélant à demi des trésors jusque là tenu cachés.
Une fois de plus, Fafounet admira cette merveille de la nature, ce corps sans défaut, souple et ardent qui lui avait donné tant de bonheur une grande partie de la nuit.
Puis à regret, il réajusta la chemise par mesure de décence, à cette heure matinale, le passage d’un pêcheur n’était pas à exclure.

Ayant appris par Mercedes le retour de Sophie, Fafounet l’avait cherché hier dans la soirée pour la retrouver à l’auberge en compagnie de Raurau.
Il était fou de joie de revoir son amie et de se remémorer ensemble les moments heureux passés au Conseil Ducal du temps d’Albéric et des diverses soirées de folies bien arrosées à l’auberge d’Eu.
Raurau partagea avec eux cet émouvant moment de retrouvailles qu’il agrémenta de ses farces habituelles ! Un seau d’eau renversé sur Sophie qui, pour faire sècher sa robe, avait dissimulé les parties les plus charmantes de son corps dans un tonneau vide.

Quand Raurau les quitta pour remplir son devoir conjugal il prit soin d’emmener la robe blanche de Sophie.
Fafou dut donc prêter sa chemise à la jeune imprudente et, ne se retrouvant plus que tous les deux, la soirée devint vite plus intime à force de réchauffer des souvenirs joyeux au bon feu du calva normand.

Les gais propos farfelus jusque là échangés par deux amis plus que ravis de se retrouver après tant de mois sans se voir, tournèrent, à la faveur la nuit, aux confidences mutuelles et leurs deux coeurs s’étonnèrent que cette vieille amitié se transforme soudain en une douce attirance.
Se faisant plus sérieux, ils cessèrent de rire de tout et de n’importe quoi, leur ton baissa, leurs paroles devinrent murmures, peu à peu un trouble bien agréable les maintint à distance respectable tandis qu’ils découvraient, l’un dans les yeux de l’autre, le même adorable frisson.

Sans qu’ils prirent garde, leurs lèvres se rejoignirent comme si elles s’attendaient depuis l’aube du premier jour, pour un premier baiser tendre et doux qui fut très vite remplacé par d’autres d’un tempérament plus fougueux et délicieusement armés d’une hardiesse qui les laissèrent hagards.

Trouvant qu’une chambre d’auberge manquait un tantinet de charme et d’originalité, Fafou suggéra d’aller poursuivre ce passionnant échange d’émotions chaudes sur la plage d’Eu, ce que sa conquète approuva d’un battement endiablé de ses longs cils lourds de concupiscence.

Sortant d’on ne sait où une dague, Sophie décapita les bretelles de son compagnon lequel ne pouvant tenir à la fois sa belle, son pantalon et quelques dizaines de bouteilles de calva, sacrifia le moins vital des trois et envoya balader d’un geste rageur le peu qui lui restait de dignité.
Sophie vêtue seulement de la chemise de Fafounet laquelle sous la force de caresses impérieuses avait perdu l’un après l’autre ses boutons, ne se souciait guère de savoir que ses gracieux attributs féminins certes, plus dissimulés par la nuit que par le vêtement, se trouvaient à portée de mains audacieuses, tant il est vrai qu’à cette heure tardive le risque de rencontre était nulle

Pour des raisons pratiques ils déposèrent les bouteilles dans une brouette qu’ils poussèrent ensemble vers la plage. La roue qui grinçait à chaque tour leurs déclenchèrent un interminable fou rire que seuls de longs baisers ardents parvenaient à calmer quelques instants.

Arrivés sur la plage sans encombre, il s’arrachèrent mutuellement le peu de vêtement qui leur restait et se jetant l’un sur l’autre ils roulèrent sur le sable jusqu’à ne former plus qu’un seul corps, aux bras et jambes multiples.
Bientôt leurs cris haletants couvrirent le doux murmure de la mer et au ciel, après avoir rougi, les étoiles s’éteignirent pour ne pas éclairer une scène que la morale et les bonnes moeurs réprouvent en frissonnant de dégoût.

Jusqu’à très tard dans la nuit, les deux amants alternèrent séance de câlins et bains nocturnes joyeux jusqu’à que rompus de fatigue ils sombrèrent enlacés dans un sommeil réparateur.


Il était temps de rentrer avant que les Eudois besogneux ne se lèvent pour aller au travail.
Fafounet réveilla la belle Sophie d’un long et doux baiser et regarda ses yeux émouvants s’ouvrir et se poser sur lui.
Quand il lâcha la bouche de Sophie se fut pour y voir naitre un grand sourire empli d’une profonde tendresse qui l’illumina de bonheur pour le restant de l’éternité.

Bonjour ma tendre biche, lui dit-il dans un murmure.

Mercedes decida d aller respirer l air frais ce matin
elle marcha les pieds dans l eau , respirant le parfum de la mer

et soudain entendit des voix oh serais je pas seule ?

des petits rires "je connais " cette voix mais ou l ai je dejà entendu

fafou et sophie , vous aussi vous etes venus respirer l air de la mer
heu !!ou sont vos vetements ?
detourne son regard mais pas de fafou ohh!!hi hi !!