[RP] Accueil des nouveaux arrivants

Elle avait l'assurance de sa fonction et la candeur de la couleur de ses cheveux parfois un peu trop pensa-t-il mais la désobligeance n'avait cours ici.


Du jus de raisin ou de la vinasse gouleyante ?

Un cru de ma personne Dame, de celui qui a été travaillé avec passion de la terre et récolté de mes mains charnues.

Sans attendre une quelconque réponse, il sortit de l'étagère deux verres légers à l'effigie de la ville.
Il les regarda un instant en se demandant bien si le fruit de son vignoble méritait bien de finir sa vie dans de si horribles réceptacles! Un regard furtif tout en balayant la pièce lui fit comprendre que le seul autre choix était de partager le goulot de la bouteille. Il hésita un instant tout en frottant les verres sur le pan de sa chemise dont la blancheur n'était plu qu'un vague souvenir.
Il se reprit , le chargé à l'accueil n'était pas tenancier d'un vulgaire tripot quoi qu'il y verrait peut-être un peu plus de monde!

Goutez ça chère, la robe claire habille le goût fruité!

Il s'assit sur la bureau tout à coté d'elle tout en vidant prestement le contenu.

Votre visite me fait dire qu'il y a encore vie, c'est déjà ça ....pour ma fonction, je pense faire mon labeur honorablement.

L'homme n'avait pas pour habitude de se mettre en avant, il préférait la simplicité des maisons rustres au demeures fastueuses dont la froideur n'avait d'égal que la suffisance de ses habitants.
Il reprit sa mine renfrognée en oubliant son hôte.

Il avait regardé la jeune blonde se gausser des excès de son tempérament, son rire chaleureux résonnait dans la pièce noyée dans la pénombre.
Sa verve était bien coutumière pensa-t-il de plus les effluves d'alcool avaient du libérer le peu d'inhibition que devait encore abriter cette charpente frêle en apparence.
D'un mouvement de hanche, il reprit sa droiture tout en la regardant

Vous savez les ours sont des animaux très intéressants, je prendrai cette remarque comme un compliment !
Auriez vous quelques conseils à me donner pour soigner au mieux l'âme charitable qui poussera un jour peut-être cette porte?

Tout en répondant à la mairesse, il s'avança vers un coin de lumière pour regarder quelques jeunes enfants s'ébattrent dans la ruelle voisine.
L'insouciance était encore bien présente, l'espoir aussi alors!

L'esprit ailleurs, le regard porté sur quelques têtes blondes dont la joie de vivre fesait plaisir à voir.
Noyé dans ses songes, il n'avait pas vu la mairesse quitter les lieux sans se signaler....une facétie de plus où alors un mot de trop de son conseiller, allez savoir pensa-t-il!
Il reprit place vers son bureau mais un bruit persistant outre porte intringua son ouïe, la jeunesse avait ses limites et moi les miennes maugréa-t-il tout en dirigeant d'un pas décidé vers l'entrée de son bureau.
D'un geste brusque, il ouvrit la pan de bois!

Oh, messire que puis-je pour vous?

Il regarda l'homme à l'allure sobre tout en poussant la porte pour l'inviter à rentrer.

L'homme s'en était allé sans quémander!

Il retourna l'oeil sombre vers son bureau, décidément y'avait-il autre chose dans cette ville que des donneurs de leçons!
Il referma les registres doucement.
Il prit sa plume pour sans doute la dernière missive qu'il allait rédiger en ces lieux!

Il finit sa prose tout en cachetant le support.
Quelques lignes seulement sans amertume, il déposerait l'ensemble et les registres à qui de droit!
Dans ce grand cirque, il allait plutôt s'occuper de lui pensa-t-il!
Il ferma le verrou sans se retourner.

Spawn avait aménagé depuis quelques jours à Amiens.

Mais il s'était contenté de trouvé du travail en venant chaque jours à la mairie pour travaillé dans leurs champs.

Mais ce jour, dans le détour d'un couloir après avoir pris son emploi, lui le simple bouseux se trouva devant une porte.
Sur cette porte était notée "Accueil des nouveaux arrivants".

Il resta quelques temps devant à lire et relire le texte. Puis il leva le poing doucement en le suivant des yeux.
Il frappa à la porte sans grande vivacité, plus par timidité qu'autre chose.

Bonjour je suis matelot zaza je cherche la personne qui pourai me donner la liste des nouveau arrivan pour faire le recrutement pour l'armee
la il me la faudrai rapidement pour le colonel keridewn
merci bien.

Bonjour remi je ne savais point que s'était vous

zaza fut surprise car cela et rare un baisemain, elle sourit elle aussi puis reprit ses esprit, malgré quelle était un peu rouge.

eu oui, j'en n'ai besoin pour savoir a qui je doit envoyer un courrier, mais pour le moment ses pour le colonel de vincenne.
ou j'apprends. je vous remercie bien et j'espère vous revoir

Il était entrain de travailler lorsqu'il attendit frapper à la porte. Il dit:

Veuillez entrer s'il vous plaît ?

Il attendit.

Il regarda et écouta l'homme qui se présenta. Il se leva,alla serrer la main de l'autre puis lui montre une chaise. Il lui dit:

Asseyez vous messire Cornelius.

Puis il rejoint sa chaise et s'assoit à son tour puis il dit:

D'abord soyez le bienvenue ici en Amiens. C'est une ville assez tranquille ici. Ensuite vous avez dit être un poète. Êtes vous un poète orale ou par écrit. Je suis assez intéressé par les poèmes quoi que je ne suis pas un poête.

Il attendit sa réponse.

Attendant patiemment que le préposé à l' acceuil,en eut finit avec un homme élégant
Joseph Balsamo,fit un petit tour des lieux,flânant entre les divers décors et ornements de l'édifice.

Ca et là,des peintures raffinées,mais un brin naives,l'Art n'est t'il pas de communiquer sur des bases simples ?
Un sourire de satisfaction,voyant un buste d'inspiration grecque prôner au pied de l'escalier...

De retour an devant du bureau du préposé,il pruit place sur une chaise,sand oute une discussion intéressante en cours,
leur faisant prolonger l'entretien...

Bien j'en ai bien pris note messire, passer un bon moment dans notre ville.

Il serra la main de l'homme et le regarda sortir. Il vit un autre homme et lui dit:

Veuillez entrer monsieur, s'il vous plaît.