[RP] Hôpital - "L'Hôtel-Dieu de la Madeleine du Lieu-de-Santé"

Messages : 17 Date d'inscription : 30/09/2010

Oui bien sur, je sais que cela peut-être fatal si cela devait de nouveau se reproduire, mais il faut dire que j'ai été soumis a un stress trop important pour, sans doute d'autres personne jugeront que cela est ridicule....mais pour moi c'est juste insupportable alors je fais au mieux pour prendre sur moi, seulement quand la pression est trop forte, et bien cette fois....je n'ai pas eu de chance....

Arnaut répondit a ces questions...

Cela dure depuis environ une semaine...et je n'avais jamais eu un tel soucis auparavant, oh bien sur un soucis de santé qui fait que je suis rester trois mois dans un lit sans bouger....je ne sais plus trop ce que c'était ,mais sinon jamais rien de tel qu’un problème cardiaque..

Il retire par la suite veste et chemise, les posant sur un endroit où cela ne risque pas de gêner, puis il appela doucement l'infirmière, près a subir l'examen médical.

Messages : 56 Date d'inscription : 03/08/2011

merci dame marianne faite au mieux pour lui si il faut un traitement ou un régime ou même du repos je lui ferais prendre.

et en cas d'attaque si il y a quelque chose a faire.

puis je l'attendre dans le couloir je ne dérangerais point vos patient.

il a refait une attaque faite ce qu'il faut je vous prie.

et si il faut l'hospitaliser en le prenant a la maison mercedes étant ma voisine très proche ou sinon et bien faites donc.

je vous remercie.

pense il est ma vie.

va dans la sacoche de tonnerre et prend du miel le donne a l'assistante et lui dit:

c'est pour dame mariannne vous et pour vos patient hospitalisé.

attend sagement dans le couloir.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Réponse à Thalia dans la salle d'examen 1

Marianne écouta la jeune femme qui déjà oubliait les conseils qu'elle venait de lui donner. Elle pouvait comprendre tout de mesme que la jeune femme soit inquiète pour son ami... Son ami dit-elle, il est peut-estre un peu plus qu'un simple ami pour elle, pensa Marianne. Mais toujours aussi discrète jamais elle ne poserait la question à celle-ci. De toute manière cela ne la regardait en rien...

- Tout ce que je puis vous dire pour le moment, c'est que je ferai tout mon possible pour qu'il recouvre sa santé. Je dois vous avertir cependant que je ne parle jamais de mes patients avec les autres. Ce qui ce passe icelieu est un entretien privé entre une infirmière et son patient. Bien entendu certaines choses peuvent se dire avec le consentement de la personne impliquée seulement et habituellement à la famille très proche. J'espère que vous comprendrez que ce n'est point de la mauvaise volonté mais du respect par devers les personnes qui viennent nous consulter en toute confiance. Nous avons une obligation selon nostre code de médecine qui nous lie au secret professionnel.

Elle regarda la jeune femme toujours aussi souriante mais très fidèle à ses principe et aux obligations de son métier.

- Je ne puis dire si c'est vraiment un attaque qu'il a subit, il me faut l'examiner par avance pour déterminer la nature réel du problème. C'est tout ce que je puis vous dire sans compromettre le secret de ma profession. Puis comme je vous disais plus tôt, il est important pour vous d'apprendre à vous détendre un peu. Cela n,aide personne si vous êtes aussi malade, vous comprenez?

Elle la regarda et vit bien qu'elle était encore très inquiète aussi demanda t-elle à son assistante de lui apporter une infusion puisqu'elle désirait rester à attendre la sortie de son ami. Elle donna ses instructions à Juliette et laissa Damoiselle Thalia à ces soins. Elle entra ensuite dans la salle d'examen, prit la fiche que lui avait laissé son assistante et commença par lui poser quelques questions avant de procéder à l'examen véritable.

Dans la salle d'examen 2 quelques instants plus tard

Une fois qu'il fut prêt elle se retourna et s'approcha de lui pour l'examiner. Elle prit son poignet dans ses délicates petites mains et compta pour voir la vitesse de la circulation sanguine.

- Si je puis vous demandez sans trop de détails, comme de bien entendu, ce qui a causé le premier malaise et si vous, vous rappelez sa durée cela m'aiderait beaucoup à comprendre ce qui se passe.

Elle l'examina bien comme il le fallait. Il n'était point trop gras, et semblait ne point estre tellement âgé. En ce qui la concernait, il n'était point le sujet qui pouvait avoir une crise cardiaque, il semblait beaucoup trop jeune pour cela....Puis elle songea qu'elle avait omis de lui demander son âge.

- Il serait aussi important pour mon dossier si vous voulez bien me donner vostre âge.

Elle se retourna et prit dans son sac un appareil lui permettant habituellement d'entendre le bruit des battements de cœur et aussi la respiration.

- Il se peu que cela soit un peu froid je suis désolée par avance du désagrément, mais il me faut écouter les battements de vostre cœur et c,est beaucoup plus facile avec cela que ce qui se passait avant.

Ce nouvel instrument était depuis peu en usage et surtout lors de grossesse pour entendre le cœur du bébé et dans les cas comme celui-ci pour certains problèmes du muscle cardiaque. Avant d,aller plus loin elle se devait de savoir ce qui avait été la cause du premier malaise...

- Lorsque vous avez senti un malaise pouvez-vous me décrire ce qui s'est passé? Qu'avez-vous ressenti au juste?

Les réponses à ces questions étaient très importantes pour bien le soigner...

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

Un coursier messager apporta un pli à l'Hôpital de la Madeleine pour Mademoiselle Marianne de Bourbon de la part du Docteur Wesley de Lhavilland d'Arques.

Spoiler:

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne travaillait à son bureau lorsque lui parvint un pli que son assistante s'empressa de lui remettre. Elle n'eut point de mal à reconnaître l'écriture de son auteur qui lui était maintenant bien familière. Il était donc de passage à Rouen avec sa famille qu'il espérait lui présenter. Mais elle se demandait si l'Hôtel-Dieu serait l'endroit idéal pour une telle rencontre aussi lui répondit-elle aussitôt.

Très cher Docteur Wesley,

Comme je suis heureuse d'avoir enfin de vos nouvelles. Il me semble qu'il y ait eu bien du temps passé depuis nostre dernière missive. Je suis en pleine forme soyez donc rassuré à ce sujet. Je me doute bien que vous aimeriez bien aimé passer directement à l'hôpital pour voir comment tout allait. Je n'y vois aucun inconvénient. Cependant je trouve que l'endroit ne se prête guère pour faire la connaissance de vostre épouse et de vos enfants. Je préférais vous recevoir au Manoir l'Espérance où nous aurons toute l'espace voulu en toute sécurité surtout si vous avez de très jeunes enfants. L'hôpital n'est point tellement recommandé pour les accueillir. Je ne voudrais point qu'ils soient mis en contact avec certains maux qui ne pourraient que leur estre néfaste. J'attendrai vostre réponse pour vous indiquer la route à suivre jusque chez-moi par la suite si vous acceptez cette invitation. Je ferai prévenir mes gens pour que tout soit prêt à vostre arrivée.

Marianne de Bourbon.

Puis elle appela son assistante et lui dit:

- Juliette prenez ce pli et envoyez un messager de suite au Docteur Wesley je m'attends à avoir une réponse rapidement. Je serai à mon bureau venez me la porter dès qu'elle arrivera je vous prie.

Marianne la remercia et repris son classement des dossiers en attente de la réponse du Docteur...

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

Je disais au messager qui m'avait apporté un pli de Mademoiselle de Bourbon en réponse du mien, d'attendre la réponse par retour de courrier. Quelques instants plus tard, je remettais le pli et quelques louis au messager qui reprenait la direction de l'hôpital.

Spoiler:

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne travaillait à compiler ses dossiers lorsque son assistante vint lui remettre la réponse du Docteur Wesley. Il acceptait de venir au Manoir il lui fallait donc avertir Mariette qu'il y aurait du monde pour quelques heures et de prévoir un petit goûter pour tout le monde mais elle ne savait point trop l'âge des enfants. Il lui faudrait discuter de tout cela avec Mariette qui avait surement des solutions pour ce genre de situation. Puis il lui faudrait aussi voir si elle avait tout ce qu'il fallait pour bien les recevoir ce sera un honneur que de les avoir à la maison pensa-t-elle.

Après avoir pris connaissance du pli elle répondit de suite car on lui avait dit que le messager attendait une réponse de sa part à remettre au docteur.

Citation :: Très cher docteur Wesley,

Ce sera un grand honneur que de vous recevoir en mon Manoir avec vostre petite famille qu'il me tarde de connaistre. Vous ne me dérangerez nullement n'ayez aucune crainte à ce sujet. Mesme si je n'ai point d'enfants j'aime bien estre en leur compagnies.

Ne vous en faite point pour mon emploi du temps chargé à l'hôpital. Je me suis établie une petite routine de travail qui me permet de faire ce que je dois faire de façon efficace et qui me laisse un peu plus de temps libre, surtout lorsque les soins à faire ne sont point trop en demande. Les quelques cas que j'ai en ce moments heureusement sont très simple et ils ne nécessitent point trop ma présence. Mes assistantes et la Mère Supérieur sont très efficaces et je m'en remets à eux pour faire le suivi des quelques patients présents en établissement. Je me suis entourée de personnels connaissant très bien leur métier et n'ayant point grand besoin de supervision.

Il me fera donc grand plaisir de vous recevoir demain après-midi comme convenu, je vous donne les indications pour vous rendre chez-moi. Le Manoir se situe au numéros 10 dans le quartier Saint-Nicaise. Vous n'aurez point de mal à trouver j'en suis persuadée. Puis je suis assez connue donc si vous ne savez point trop où se trouve ma demeure je suis certaine que l'on vous indiquera la route à suivre sans problème.

En attente de vostre visite prochaine, recevez mes plus chaleureuses salutations.

Marianne de Bourbon

Elle scella le pli et le remit à son assistante pour qu'elle le donne au messager.

- Juliette, je vais maintenant quitter pour la journée et je repasserai en matinée demain juste pour vérifier si tout est en ordre, ce dont je ne doute point bien entendu. Je serai absente demain en après-midi je reçois des invités au Manoir si un cas urgent se présente veuillez me faire prévenir. Je dois justement voir la Mère Supérieur pour l'en avertir.

Une fois que la jeune assistante eut quittée son bureau Marianne rangea les dossiers classés et se rendit au bureau de la dite personne pour lui laisser savoir son emploi du temps pour le lendemain.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Plusieurs jours plus tard

Marianne était à son bureau après avoir fait sa tournée avec la Mère-Supérieur des patients qui se trouvaient sur les lieux. Elle venait coucher sur parchemin ses notes suite à cela.

Pour le patient de la chambre 12, encore quelques jours à ce régime et il pourra retourner dans son foyer.
Pour le patient suivant, celui de la chambre 27, l'opération a bien réussi la plaie guérit bien, il faudra lui enlever ses points dans deux jours.
La patiente de la 10 semble avoir repris assez de force depuis la naissance de son enfant, et son fils est en pleine santé, donc elle aura son congé demain si elle passe une bonne nuit.
Pour la petite Angélique, de la salle 22 son état demande encore un peu de suivi, son cas m'inquiète encore, son poids est encore bien trop faible pour une enfant de huit ans...

Elle continua ainsi jusqu'à ce qu'elle eut transcrit toutes ses recommandations dans chacun des dossiers. Puis Juliette lui apporta son infusion habituelle.

- Merci Juliette, si quelqu'un avait des besoins spécifique venez me prévenir. Je vais rester encore un moment je dois finaliser l'inventaire du dispensaire et faire de la place pour les nouveaux arrivage de Martha. Au fait est-ce que le ménage a été fait dans le bureau voisin comme je l'avais demandé?

Ho! Oui damoiselle Marianne, j'y ai veillé moi-mesme.

Marianne la remercia et s'installa près de la fenêtre pour la prendre ce qu'elle faisait toujours. Puis elle se remit à penser à son amie justement qu'elle avait quittée à sa demande mais dont elle s'inquiétait grandement. La nouvelle que celle-ci avait reçue semblait l'avoir anéantie. Quoi qu'elle ne sache point la teneur de cette missive, elle se doutait très bien que cela avait un rapport direct avec son fiancé.

- Ma pauvre amie si je pourrais faire quelque chose pour te soulager. Je le ferais volontiers mais hélas, il est de ces maux que nulle médecine ne peut guérir. Il n'y a que le temps et encore parfois cela est bien difficile.

Comme à son habitude Marianne réfléchissait à haute voix. Heureusement personne ne se trouvait dans la pièce. Juliette était repartie vaquer à ses occupations et la porte était fermée. La jeune femme jeta un regard sur la rue qui semblait beaucoup plus animée que d'habitude se demandant ce qui pouvait bien se passer...

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha arriva avec Rodolphe en voiture, comme elle n’étais jamais venue, elle lui demanda de l’attendre voir ou elle pouvait passer pour entrer son matériel. Elle monta les marches de l’établissement et se dirigea vers l’accueil ;

Bonjour, je viens voir Marianne de Bourbon…je suis Martha une amie, elle ma demander de passer j’ai un chargement de plant pour elle qu’elle veux mettre dans un local ainsi que moi-même …elle sourit se retenant de rire, sa description devait paraître bien loufoque …elle attendit donc le sourie aux lèvres sa réponse.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

À l'accueil

Juliette finissait de remplir le plateau des médecines à distribuer lorsqu'une jeune femme entra et se présenta.

Oui Damoiselle Martha, tout est prêt pour vous recevoir, vous et vos plantes je veux dire. Si vous voulez bien me suivre je vous indique l'endroit et vous pourrez passer par la porte de droite pour les entrer.

Elle lui indiqua la pièce et la porte dont elle venait de lui mentionner puis alla prévenir sa patronne de l'arrivée de son amie.

Toc! Toc! Toc!

Elle attendit un petit instant...

- Entrez Juliette, qui a t-il? Un problème avec l'un des patients ou serait-ce autre chose?

La jeune femme était toujours aussi surprise que celle-ci sache que c'était elle qui frappait à la porte et non la Mère-Supérieur. Elles avaient toutes les deux une façon différente de s'annoncer peut-estre était-ce, cela la raison.

Non c'est simplement que vostre amie la damoiselle du nom de Martha, elle vient d'arriver et elle vient livrer ses plantes et aussi s'installer du moins c'est ce qui m'a sembler comprendre.

- Je vous remercie Juliette, je vais donc aller la rejoindre pour l'aider à s'installer.

Marianne vit partir sa jeune assistante faire la distribution des médecines et elle se rendit dans la pièce voisine pour voir si Martha avait trouver où ranger ses précieuse plantes.

- Bonjour ma belle heureuse de te revoir. L'endroit te semble bien pour ce que nous avions discuter?

Elle attendit qu'elle eut terminée de transporter les dernières boîtes et qu'elle lui dise ce qu'elle pensait de cet endroit. La connaissant très bien elle se doutait que celui-ci serait surement bien employé. Elle n'avait point encore prévenu le Docteur Wesley de ce nouvel arrangement. Il lui faudra le lui laisser savoir dès qu'elle en aura le temps. De toute manière il lui avait laissé carte blanche pour l,administration et comme il savait déjà que Martha était un des fournisseur des plantes médicinales il ne verrait sans doute aucun inconvénient à la chose...

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha vit vite arriver Marianne en souriant lui proposant de l’aider ….Rodolphe descendit tout de la voiture et transporta avec Marianne et Martha tout son matériel puis elle l’embrassa sur le front lui faisant promettre de s’occuper d’elle … acquiescant ;

Ne t’inquiète pas ,je vais m’enfermer ici pour quelque jours… j’ai du travail pour m’occuper …elle avait bien l’idée aussi de faire quelque expériences…toi jette un œil sur ma serre , pour qu’elle soit aérer et bien tempérer a mon retour je partirai de nouveau plant pour cet hiver …elle le regarda partir et se tourna vers son amie .

Voila ma toute belle me voila arriver, merci infiniment pour ton aide et cet endroit …c’est magnifique jamais je n’étais venue …montre moi juste ou me restaurer et ça ira ...je ne veux sous aucun prétexte être déranger quand j’aurai terminer je te monterai un comptoir de demande ou tes gens pourrons venir faire le plein de leur petite fiole qu’ils ont déjà …ça te va comme idée…manque tu rapidement d’une sorte de mixture ? tu me dis je te fais ,j’ai quand même quelques sachets de prêt ….elle lui sourit et s’installa dans le local regardant les possibilités …tables, armoires fermées et vitrées et bureau était disponible pour recevoir tout son matériel …elle en aurait sans doute pour quelque jours juste a s’installer …elle avait hâte au fond de se jeter tête premier dans ça pour oublier la peine qui lui écrasait le cœur .

Bien je te mets dehors si tu n’as besoin de rien lui dit-elle en riant les bras sur les hanches …

Spoiler:

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha avait travailler fort pour tout faire ces derniers jours, moulant, mettant en purée, cuisant …elle pensait a Geoffray il lui fallait qu’elle lui fasse un adieu …elle eu une idée un matin ou elle avait travaillé toute la nuit et terminant son travail ferma la porte, fatiguée, elle voulait aller se reposer un peu chez elle. Elle avait l’impression que ça faisait des jours qu’elle était enfermer la et au petit matin, elle quitta sans bruits le laboratoire et l’hôpital et se dirigea vers chez elle.

Messages : 3405 Date d'inscription : 04/10/2009

Le jour de l'enlèvement de la Reine.

Charles de Nemours devait être aussi blanc que son épouse en ce moment même sauf si le vent qui avait fouetté son visage lui avait un peu redonner des couleurs. Il avait galoper au travers de la ville en criant aux passants de s'écarter de son chemin.

Les petites rues de Rouen ne devaient pas avoir l'habitude d'autant d'activité. Entre les soldats qui couraient partout pour retrouver la Reine et à présent un cavalier fou qui voulait atteindre l'hopital au plus vite.

Il entra en trombe dans l'édifice sans trop prendre garde à qui était là et se dirigea vers la première personne qu'il croisa. Il la salua rapidement :

- Madame De Bourbon ? Je suis à la recherche du docteur. Marianne de Bourbon. C'est une urgence. Vite. Pouvez me dire où la trouver ?

Il cherchait autant des yeux quelqu'un qui pourrait répondre à cette question que le médecin elle-même.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne travaillait à son bureau depuis un petit moment lorsqu'elle entendit du bruit à l'accueil et Juliette vint la prévenir que quelqu'un la demandait.

On vous demande à l'accueil et cela semble estre une grande urgence.

La jeune femme laissa son travail, se leva et lui dit

- Je présume que cela doit provenir de tout ce bruit que je viens d'entendre. J'arrive de suite préparer donc ma sacoche juste au cas et portez la moi à l'accueil j'y vais de ce pas.

Elle sorti rapidement de son bureau et alla à la rencontre de la dicte personne. Comme il avait le dos tourné elle ne pouvait point savoir de qui il pouvait s'agir. Mais à voir ses vêtements elle savait qu'il ne s'agissait point d'un simple badaud.

- Je suis Marianne de Bourbon que puis-je pour vous être utile?

Lorsqu'il se retourna elle le reconnu.

- Messire de Nemours que me vaut cette visite? Vous ne me semblez point blessé, ni malade ,alors il s'agirait point de vostre personne.

Elle attendit de voir ce qu'il allait lui dire tout en apercevant un animal près de lui... un loup... mais il semblait docile et ne bougeait point d'un poil...

Messages : 3405 Date d'inscription : 04/10/2009

Charles s'était retourné vers la porte d'entrée en voyant Laeshan arriver. Il se baissa pour lui donner une caresse ce que la louve n'accepta pas vraiment. Elle semblait sur ses gardes et cherchait quelque chose.

- Files donc voir ta maîtresse. Elle doit t'attendre, lui dit Charles le plus doucement possible malgré son état d'agitation.

La voix du médecin le fit se tourner presque aussitôt. Il reconnut Marianne qu'il avait un peu aidé alors qu'elle fuyait la peste de Reims.

- Madame, je veux dire docteur, non ce n'est pas pour moi. C'est pour mon épouse. Mais prenez vos affaires. il faut faire vite, je vous expliquerais en route.

Il avait presque envie de la tirer par la manche lorsqu'une jeune femme lui donna sa trousse. Tout en avançant vers la porte, il commença à lui donner quelques explications.

- Le bébé se présente mal, commença t'il comme si tout le monde savait que Kery allait mettre un enfant au monde. Il n'arrive pas par la tête et personne n'arrive à le faire sortir. Elle souffre beaucoup et ..... la phrase s'étrangla dans sa gorge.... et il semble que cela soit très risqué autant pour elle que pour le bébé.

Il arrivait à son cheval.

-Il nous faut vite rejoindre l'Hotel du Roi.

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne voyait que l'homme semblait nerveux et qu'il avait hâte de reprendre la route pour rejoindre son épouse le plus tôt serait le mieux autant pour lui que pour la jeune femme qu'elle devait voir. Juliette lui remis sa trousse et elle la remercia.

- Merci Juliette vous ferez message à Mère-Supérieur que j'ai dû m'absenter pour une urgence. Je suis prête à vous suivre vous me direz ce qui se passe lorsque nous serons en route comme vous dites.

Il lui dit pendant qu'elle attachait sa sacoche à son cheval que son épouse allait enfanter et que le bébé se présentait mal. Une nouvelle fois en si peu de temps, un autre bébé qui n'avait point voulu se tourner au bon moment. C'est à croire que ce devait estre une nouvelle mode, mais il ne faudrait point que celle-ci ne dure sinon les naissances seront des cas difficiles, pensa la jeune femme

- Je ne savais point que vostre épouse allait enfanter. Il faut dire que vous habitez en un autre lieu, je ne pouvais donc point le savoir. Il ne faut point vous en faire je vais tenter de les aider tous les deux, vostre épouse et le bébé. Alors mettons-nous en route dès maintenant.

Arrivée à son cheval lui-même monta en selle. Elle fit de-mesme, comme une cavalière et serra les talons pour faire partir la monture au galop derrière celle de l'homme.

Son étalon était bien dressé et parvint à rejoindre le cheval du Sieur rapidement et ils firent route ensemble vers l'Hôtel du Roi...

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne était revenue quelques heures après pour faire ses dernières visites avant de retourner chez-elle. Son amie semblait ne point-estre dans son bureau-atelier lorsqu'elle passa devant tout semblait bien calme aussi décida-telle d'aller prendre un peu de repos elle reviendrait le lendemain pour voir si Martha s'adaptait à sa nouvelle tâche et au lieu qu'elle lui avait accordé.

- Je repasserai très tôt demain mais si vous avez des urgences faites moi prévenir je serai au Manoir en cas de nécessité.

Elle partie ensuite munie de son éternelle sacoche monta sur son cheval et retourna chez-elle le sourire aux lèvres en repensant à la naissance de ce charmant poupon qui ne manquerait point de faire le bonheur de ses parents. Elle avait bien entendu reçu des remerciements des parents et mesme des personnes l,ayant assisté. Cependant pour elle l'important est de voir les visages rayonnants des parents et un bébé en pleine santé mesme avec quelques semaines d'avance. Tout cela était la plus belle récompense des efforts de son travail...

Lendemain matin

Le personnel lui dit que la nuit avait été calme et qu'il n'y avait point eu d'urgence aussi entreprit-elle sa tournée journalière. Il ne restait presque plus personne dans les lieux. La jeune maman et son fils étaient retournés dans leur foyer. Le patient de la 101 allait beaucoup mieux et dans deux jours pourrait à son tour quitter les lieux si tout continuait ainsi. Il ne restait que la petite qui commençait à prendre un peu de poids mais qui n'était point encore assez forte pour qu'elle la laisse partir. De toute manière où irait-elle cette pauvre enfant n,ayant plus de parent. Un instant Marianne avait songé la prendre avec elle au Manoir mais elle ne savait point si cela serait une bonne chose. En fait il faudrait lui trouver une famille des parents qui l'aimerait et lui donnerait ce qu'elle avait besoin. Puis soudain il lui vînt une idée, Mariette et Joseph n'avaient point d'enfant et ils feraient sans doute de bon parents pour la petite Iris...

- Il faudra que j'en parle avec eux à mon retour...

Hem! Vous avez dit quelque chose Docteur?

Voyant qu'elle avait réfléchit à haute voix Marianne rougit légèrement avant de répondre.

- Heu! Non pardon je réfléchissais tout haut, à quelque chose c'est une mauvaise habitude de ma part. Continuons les visites je vous prie Juliette.

Ce ne fut point tellement long que celles-ci se terminèrent. La petite Iris semblait avoir repris des couleurs et un peu plus de poids. Son appétit semblait aussi lui estre revenu ce qui fit plaisir à Marianne.

- C'est bien ma toute belle, bientôt, tu seras en pleine forme et je suis contente.

La petite lui sourit bien que dans ses yeux Marianne pouvait y déceler une certaine appréhension. Sans doute avait-elle peur de retourner à la rue.

- Iris fait moi confiance, tout va bien se passer pour toi. Je vais faire ce qu'il faut pour cela....

Elle lui sourit et lui remit une poupée de chiffon trouver sur l'étal d'un marchand.

- Voilà qui te tiendra compagnie en attendant ma jolie.

Puis elle la laissa avec sa poupée pour aller compiler ses rapports. Elle savait qu'il ne faut point s,attacher trop à ses patients mais avec cette enfant elle n'avait point été capable de le faire. Elle était si fragile et e si mauvaise condition lorsqu'elle l'avait trouvée et amené icelieu...

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Martha avait passer un bon moment a son bureau d’accueil a faire du ménage dans la liste des citoyens puis avait prit le chemin de l’hopital …en entrant elle prit directement le chemin de son laboratoire ne voulant pas déranger Marianne …elle s’installa pour mettre en bouteille et en pot ses herbes et onguent maintenant prêt …elle était toute concentré sur sa tache quand elle entendit la porte ouvrir doucement …elle sourit a Marianne l’invitant de la main a entrer …viens ma toute belle que je te montre ce que j’ai pour toi …Matha avait les traits légèrement tirés encore par ses nombreuses journées et nuits de travail mais sa soirée de la veille lui avait fait un bien fou et ses yeux recommençait a briller .

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Lorsqu,elle poussa la porte elle croyait que son amie ne serait point encore arrivée car elle savait qu'elle avait travaillé fort tard la veille. Mais une voix joyeuse se fit entendre.

- Tu es déjà là ma douce moi qui croyait que tu te reposerais un peu ce matin. Tu as beaucoup travaillé ces derniers jours et je vois que tu as encore les traits tirés ma toute belle.

Elle entra à son invitation et avait bien du mal à reconnaître l'endroit tellement celui-ci était maintenant chaleureux.

- Tu as fait des merveilles icelieu ma toute belle tout brille et chaque chose à sa place vraiment je sens que tu te sentira très bien avec nous icelieu.

Elle semblait heureuse et ses yeux étincelaient à nouveau, ce qui était signe qu'elle recommençait à se sentir beaucoup mieux depuis la perte de son fiancé. Celui-ci avait laissé un grand vide dans son cœur mais personne ne pouvait rien y changer. Mais elle tenterait de ne point parler de lui afin que sa plaie se cicatrise mieux.Regardant autour d'elle toutes les plantes et sachet déjà préparés elle ne doutait nullement que la jeune femme y avait mis beaucoup de son temps.

- Na douce c'est vraiment très bien, ce que tu as fait icelieu sera pour l'hôpital d'une grande utilité. Puis ta serre dois maintenant estre presque terminée je pense. Du moins cela ne sera plus vraiment long si ce n'est point le cas. Je vais m'arrêter au restaurant de Mercedes lui porter ses présents si tu as du temps peut-être pourras-tu m'y rejoindre. Il me reste quelques rapports à terminer ensuite je pourrai y aller à moins qu'une urgence m'appelle ailleurs avant.

Elle serra son amie dans ses bras et retourna à son bureau pour finir son travail...

Messages : 3567 Date d'inscription : 26/08/2010 Ville : Rouen

Elle sourit à Mariamne et rougit quelque peu sous les compliments

Je suis certaine que tu trouveras ici tout ce que tu as besoin, tout est identifier et placer par ordre alphabétique, j’ai même apposer sur l’étiquette pour quel maux …

Spoiler:

alors si jamais je suis pas la tu pourras facilement te retrouver …j’ai déposer aussi un cahier pour inscrire ce que vous venez chercher ce qui m’aidera a garder un inventaire adéquat ….alors ça ta plait ? Je suis ravie … Mercedes? Seigneur c’est vrai ! C’est son anniversaire j’avais complètement oublier moi avec tout ça …oui je vais te rejoindre je passe pas la maison chercher des fleurs et un petit quelque chose que j’ai certainement pour elle pour elle et je te rejoint.

Elle l’embrassa a son tour termina ce qu’elle avait commencer et sortit fermant la porte derrière elle.

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

Mercedes avait demandé a son amie Marianne de l 'ausculter pour des petits soucis , le matin au réveil , et aussi ses envies de chocolat , de

pleurer sans raison , elle aimait son travail ses habitants et son frère lui manquait aussi , personne ne lui donnait des nouvelles , enfin elle arriva

devant l 'hôpital , a l 'accueil elle reconnu une infirmière qui avait soigné son défunt époux elle la salua

_
Bonjour mademoiselle , j 'aimerais avoir un rendez vous avec Marianne si cela est possible , oh ce n 'est ni urgent , ni grave

et puis aussi pour mes enfants c 'est vrai , une visite avant l 'hiver , je ramènerais à manger car je vais lui prendre sa journée ^^

Mercedes sourit et attendit sagement ( dur , dur pour elle d 'être sage ) que l 'infirmière de garde lise le cahier de rendez vous

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne travaillait à son bureau après ses visites lorsque Juliette vint lui dire qu'une dame demandait à estre reçue.

C'est dame Mercedes qui est là et demande à vous voir. Elle ne semble point particulièrement malade mais elle a aussi ses enfants qu'elle dit qu'il vous faudrait voir...

- Oui Juliette, je m'attendais à sa venue car nous en avions parlé lors de son anniversaire. Je vais la voir dans la salle 1 pendant ce temps pourriez-vous vous occupé des petits? Il y a surement un endroit qui pourrait leur convenir pour qu'ils ne trouvent point trop le temps long.

La jeune femme sortie et Marianne prépara ce qu'il lui fallait pour examiner sa patiente. Elle se rendit ensuite dans la salle prévue pour l'examen.

- Bonjour Mercedes tu viens pour la visite dont tu m,avais touché mot lors de ton anniversaire?

Elle lui souriait et lui demanda de s'installer confortablement en écoutant ce qu'elle avait à lui dire.

- Hum! Du chocolat au matin... des pleurs pour un rien... cela me semble point estre très inquiétant. Je vais te faire un examen mais je crois connaître le résultat par avance. Dis-moi il y a combien de temps que tu n'as point eu tes périodes sanguines?

Elle attendit que la jeune femme s'installe avant de procéder à l'examen d'usage...

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

Molly heureuse de voir arriver Marianne , une amie , elle lui fit la bise et la remercia encore pour sa venue au resto , elle passa dans la salle

pour se déshabiller , et en attendit Marianne elle mangeait un morceau de chocolat puis le cacha

Je suis prête Marianne , je pense savoir aussi mais c 'est toi mon docteur et puis j 'ai ramené Maxime , il commence ses dents

du fond et essaie de se mettre debout , là commence les boums ^^

Messages : 751 Date d'inscription : 26/12/2009

Marianne sourit en relevant la teste et vit que la jeune femme avait du chocolat sut le coin de la bouche. Elle s'approcha d'elle et lui dit:

- Ho! Ho! Il te faudra faire attention pour ne point trop prendre de poids si tu veux retrouver ta taille de jeune fille mon amie. Le chocolat c'est bien bon mais il faut se défier de tous les sucreries dans ce que je crois estre ton état. Tu n'as point répondu à ma question très chère, il me semble...

Il était vrai que les sucreries étaient choses très prisées pour certaines personnes et non point seulement lorsqu'une naissance s'annonçait. Il y avait peu de temps que la jeune femme avait épousé l'homme qu'elle avait vu à la fête de la jeune femme. Il faut dire que Marianne en ce qui concernait ce domaine ne savait point trop si un enfant pouvait se concevoir aussi rapidement. Il faut dire qu'il semblerait que son amie soit très fertile en tous les cas.

- Je vais commencer par t'examiner et je verrai les enfants par la suite. Les enfants grandissent beaucoup trop rapidement selon moi. Le temps passe trop rapidement que déjà ce ne sont plus des bébés.

Elle se plaça pour l'examiner ce qui ne fut point tellement long car elle savait déjà ce qui se passait...

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

( pardon pour retard )

[b]Mercedes se laissa ausculter par Marianne et répondit à sa question Cela fait 1 mois et demi maintenant si j 'ai bien compté

et mes envies olala , chaque jour pire que les deux premiers ^^et l 'hiver va trouver des fraises tiens ^^

Elle regardait son amie et sourit , elle va penser que je ne change pas toujours a dire des bêtises et pensa a lilyrose qui allait poser des tas de questions

comme elle le fit pour son petit frère

Ma chère Marianne si mon avis rejoint le tien je connais un papa qui va être fou de joie , heureusement que j 'ai florentine avec moi

Marianne finit de l 'ausculter et se lava les mains , pendant Mercedes se rhabillait et attendit le verdict ...

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