[RP GUERNESEY] 1650-03-09 ~ I = De Paris à Guernesey / Escorte du SEG.

Messages : 132 Date d'inscription : 04/10/2009

Le Capitaine s'était défait de lui. Le Vicomte coulait peu à peu.
Il lâcha de l'air afin de signaler sa position à la surface.
Initiative récompensée. Un corde, lestée par une pierre tomba non loin de lui.
Le Vicomte l'attrapa et fit signe à Haik que tout allait bien.

Il donna un coup sec sur la corde pour signifier au gens en surface qu'il était prêt.
La corde le remonta peu à peu, jusqu'à libération totale.
Le Vicomte se sentit revivre une fois hors de l'eau.
Il se laissa tomber sur le dos sur le quai, la respiration haletante.
Un visage de marin barbu, environ la soixantaine se pencha vers lui.

Monseigneur... Tout va bien ? Vous devriez faire attention, c'est fort lourd les fers.

Le Vieux éclata de rire. Geoffroi écarquilla les yeux.

Alphonse ?! Mais que fait tu ici ?

Difficile d'être tranquille dans une taverne avec tout ce remue ménage.

Le vieux l'attrapa par l'épaule et le remit sur pied avec une force étonnante pour une personne de ton âge.

Allons voir un forgeron pour t'enlever ça.

Il regagnèrent un atelier où l'homme libéra le Vicomte en quelques minutes.

Maintenant, nous allons faire payer l'affront à cette maudite Française !

Le Vicomte attrapa le vieux par le bras et l'entraina dans les ruelles.
Ils regagnèrent un entrepôt. Le Vicomte y entra, et, après quelques minutes à farfouiller, en sortit avec une rapière et plusieurs mousquets.

Rassemble une dizaine de marin avide d'argent.

Il jeta une bourse de denier au vieux.

Rejoint moi à l'auberge de Guernesey la belle, c'est un endroit calme où les marins ont l'habitude l'aller, venez en groupe de trois pour ne pas éveiller l'attention.

Alphonse Acquiesça et les deux hommes se séparèrent.

Le Vicomte arriva rapidement à l'auberge de Guernesey labelle et tenta de pousser la porte.
Bloquée ? Mais que se passait-il.

Holà tavernier !!! Ouvrez cette porte sur le champ !!!

Messages : 258 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Amiens

Ils sont dans une auberge ,ce qui signifie beaucoup d'entrés et de sorties ,et par consequent de grandes possibilités de se faire repérer ou pire denoncer .Oscar n'est pas tranquille ,sur le quivive bien qu'epuisée ..Le petit la regarde avec mefiance et lui demande qui elle est .Elle se stope un instant ,reflechit ...commen un gamin innocent pourrait être au fait de ce qui se trame dans sur cette île ?Les a ton mis en garde contre les soldat français ?que risque t-elle si elle lui decline son identité ?

Elle soupire ,lasse...

Je ne suis qu'une une femme qui a toujour protegé les gens de cette ville et aujourd'hui ces même gens ont souhaité ma mort comme si je n'etais qu'une traitresse...elle se regarde et sourit ,le bain est une option .c'etait le seulmoyen d'echapper au prince et à ses hommes

Le petit ne dit mot et va chercher une couverture ,Oscar reste seule et en profite pour chercher du regard un objet qui ferait office d'arme si jamais elle devait se defendre ,Elle se voit mal demander à Dudule un couteau ou une dague ...et ce n'est pas ces quelques fleurs sur la cheminer qui vont la proteger ...Il revient ,lui tend la couverture ,elle le remercie ,puis il parle de pistolet ..Qu'est devenu St Pierre,pour qu'un enfant parle d'arme à feu ,le prince serait-il la cause de tout cela ?comment un homme qui avait choisi de defendre les plus opprimés jetterais une ville dans le chaos pour une independance qui au fond n'a pas d'importance....

Oui tu devrais rester à l'abris ,la folie des hommes n'as pas de limites,tu serais en danger dehors .Je crains que le Prince ai opté pour la violence...

P.N.J. Messages : 81 Date d'inscription : 10/11/2009

[l'Auberge Guernesey la Belle... dans les ruelles qui vont à la mairie]

Oui tu devrais rester à l'abris ,la folie des hommes n'as pas de limites,tu serais en danger dehors .Je crains que le Prince ai opté pour la violence...

Le gamin roula de gros yeux à la jeune femme.

Aime ? c'est pas lui qui tire sur les gens lui il veut que les cloches sonni et que tout le monde on est à manger et à s'habiller.
Même que le roi il nous aide pas et on peut mourir ici il est jamais venu !

il avait prononcé ses phrases d'un air de reproche. Comment elle pouvait dire qu'Aime, son modèle voulait la guerre.
Personne connaissait l'ile et tout ce qu'il avait fait et les gens de la france venaient ici pour tirer des coups de pistolet et dire que le Prince était un mauvais.

Il la regarda ... moi je veux dire au prince de venir vous voir si vous voulez...
personne vient dans cette auberge, les soldats vont tous dans l'autre, l'auberge du port ou y'a beaucoup de soldats mais moi j'aime pas... et puis là j'ai fermé à clé et bouillette va venir.

Puis Aime c'est pas vrai qu'il tue les gens moi il m'aide toujours et il me tape sur la tete doucement quand il voit que je fais des choses pas gentilles.

il prit un air boudeur.

puis si vous me croyez pas vous avez qu'à venir avec moi le voir il doit travailler il fait que ca travailler, travailler,
que même la dragonnesse elle dit qu'il travaille beaucoup.

Messages : 529 Date d'inscription : 04/10/2009

[dans l'église]

Les uns après les autres ils étaient tous partis. Inquiète de voir Aimelin la quitter sans un mot, inquiète de voir les autres le suivre, la coup déborda quand les gamins quittèrent le lieu saint aussi.Les temps étaient difficiles et a part prier elle ne savait que faire. Elle s'agenouilla donc, seule avec sa conscience et le Très Haut. Les mots vinrent aisément. Elle ne demanda rien si ce n'est l'impossible..que la paix revienne dans les cœurs et les esprits.

De longues minutes s'égrenèrent quand elle se redressa. La nuit commençait à recouvrir l'ile de son manteau sombre. Elle ne savait pas où se trouvait Aime. Sa seule certitude était que Colin était en sécurité au palais. Un châle sur les épaules, elle quitta l'église. Rentrer au palais, c'est ce qu'elle devait faire même si ce jour là elle avait besoin de leur maison cachée sur la plage, de son fiancé et de leur fils. Elle avait besoin de croire que tout allait bien.

[Dans les rues qui mènent au palais]

Plus de monde qu'a l'accoutumée. trop de monde même. Trop de mots qui vont et viennent portés par la douce brise marine persistante. Elle glane des phrases qui n'ont aucun sens individuellement mais mise bout à bout deviennent source d'angoisse.

Bateau, débarquement, coup de mousquet..le prince..le roy...lutte, blessés..

Son pas s'accélère quand d'autres mots viennent

Le port..Geoffroi...sang...Aimelin...les enfants du Prince....

Son pas s'arrête..elle doit aller sur le port. Aime est là bas certainement, les garçons aussi. Elle doit savoir!

[vers le port]

Si avant elle marchait vite, maintenant elle court. La robe d'évêque n'est pas l'accoutrement le plus pratique pour l'exercice. c'est ainsi qu'elle avait rencontré le capitaine. Ce soir elle sera plus prudente. Non que la rencontre lui ait déplu mais elle ne peut s'offrir le luxe de perdre des secondes qu'elle estime précieuses.

[sur le port (vivement qu'on invente le métro...)]

Personne..si le port n'est pas calme, elle n'y voit ni AIme, ni leurs invités ni personne qu'elle connaisse. Elle se sent vite perdue. La course effrénée lui monte a la tête. Elle reprend son souffle. Les lumières prennent vie alors que le soleil commence a disparaitre. L'auberge de l'ile. Dudule en a les clés et elle peut voir les chandelles bruler. Elle fait un dernier effort pour respirer normalement avant de faire les pas qui la sépare de la lourde porte.

Fermée...rien n'est normal, elle le sent. Elle frappe et attend

Messages : 258 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Amiens

[Dans l'auberge ...]

La derniere phrase de la brune semble avoir vexé le petit ,il boude ,parle du prince ,du roy ,de cloches,de guerre ,de travaille,de dragonesse etc...Oscar le regarde s'insurger mi amusée ,mi intriguée. Visiblement le gamin connait Aimelin et semble au courant de certaines choses.il est dailleur convaincu du pacifisme de celui ci et semble lui accorder une confiance sans borne ...son insitance melée à sa conviction est touchante .On dit que la verité sort de la bouche des enfants car eux seuls peuvent lire dans les coeurs et ce soir ,le capitaine aimerait y croire . Elle hausses les épaules enmitouflée dans sa couverture...

Si ce n'est pas ton prince ,qui se permet jouer du pistolet ? et qui est ce bouillette ?Qu'il vienne ici?mais ... ....les coups contre la porte viennent l'interrompre ,elle laisse sa phrase en suspend colle son index sur ses levres ,indiquant au gosse de rester silencieux .

Sans le moindre bruit elle se dirige vers la fenetre et observe discretement.La nuit etait tombée à present et seule la lune rependait encore sur terre son flots de clarté ....Personne .Si on venait l'arreter,ils seraient plusieur à cerner la rue ....Mais la rien,Son regard se pose sur son petit hote...

P.N.J. Messages : 81 Date d'inscription : 10/11/2009

[l'Auberge Guernesey la Belle... et pas celle des trouffions ni du port ]

Bouillette c' .. le geste d'Oscar suspendit les paroles de Dudule et il la suivit des yeux pendant qu'elle allait à la fenêtre.

Son regard partit jusqu'à la porte avant qu'il murmure.

on a pas tapi fort, c'est peut être mon copain
je sais par où on peut regarder, on le fait toujours avec Bouillette.

Le gamin s'approcha de la seule table dans le petit renfoncement à gauche de la porte et y grimpa dessus, se hissant pour pouvoir regarder par un petit fenestron situé en hauteur, dominant donc la porte et permettant de voir à l'extérieur.

Tout en s'activant il murmurait ... ça c'est pour surveiller dehors qu'on la fait. Un sourire éclaira son visage quand il reconnut la silhouette dans la pénombre... c'est la dragonesse ! il sauta prestement au sol et fit signe à Oscar d'aller dans la cuisine derriere lui.. je t'appellerai.

Le temps qu'elle disparaisse il ouvrit doucement et pointa son nez avant d'ouvrir un peu plus apres s'être assuré que c'était bien Quasi, qu'il attrapa par la main.

Vite entres ! faut je refermi derriere toi..

La porte refermée à double tour et la barre de fer qui l'immobilisait mise en place il regarda la dragonnesse.

Faut que tu nous aides

Messages : 132 Date d'inscription : 04/10/2009

Le Vicomte s'était placé en retrait, attendant un ouverture de porte qui ne venait pas.
L'Evêque vint un peu plus tard mais ne le remarqua pas. La porte s'ouvrit rapidement devant elle et se referma avant que le Vicomte ne puisse entrer.

Le Vicomte poussa un long soupir et se plaça devant la porte. Là ils seraient bien obligés d'entendre frapper.
Il sortir le pistolet qu'il avait récupéré à l'entrepôt et donna cinq puissant coup de crosse sur le bois de la Porte.

BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM

Au nom de Sercq !!! Ouvrez cette porte !!! Ici le Vicomte !

Edit : Corrigé pour l'auberge (ville de pébrons avec des auberges à tous les coins de rues Laughing

Messages : 258 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Amiens

Le petit semble avoir reconnu la personne derrière la porte et pousse Oscar dans la cuisine,une cuisine ? à la bonne heure !!Elle va pouvoir trouver des armes et echafauder son plan de retraite...Le gosse ferme la porte la laissant seule et le capitaine commençe alors l'exploration de la pièce.Quelques petits couteau ,un plus grand ...elle se met à fendre l'air avec ce dernier ,c'est bien moins maniable qu'une rapière mais ça fera largement l'affaire.L'habilité de la brune n'est plus à prouver...

Ses vetements sont desormais presque secs ,elle recoiffe sa mèche .Elle doit rejoindre Cornet au plus vite ,St pierre c'est beaucoup trop dangereux pour une pauvre femme ésseulée!

Alors elle hôte la couverture ,dechire une manche de sa grande chemise et se confectionne un foureau-jarretière qu'elle noue autour de sa cuisse .Elle y place les petits couteau,très legers .Et prend ensuite le plus grand qu'elle glisse dans sa ceinture .Son armement trouvée ,elle reprend la couverture ,s'enroule à nouveau incognito puis continue son petit état des lieux .Une fenêtre qu'elle ouvre..personne dehors ...des bouteilles, dalcool sans doute,un plan de travail en bois ,une sorte de four et tout ce qui peut se trouver dans une cuisine ...rien de bien interressant ...

Maintenant il n'y a plus qu'a attendre ....

Messages : 529 Date d'inscription : 04/10/2009

Il se passe bien quelque chose. Elle se laisse entrainer à l'intérieur tout en restant surprise de la fermeté du gamin.

Dudule, que se pass..

Les mots restent en suspend devant de regard de l'enfant.

Vas tu me dire à la fin. Des coups sourds à la porte, des cris, le vicomte...

Il l'entraine, murmure quelques mots qu'elle ne comprend pas dans le bruit, la pousse presque dans la cuisine.

Une femme s'y trouve. Quasi la regarde.

Qui..

P.N.J. Messages : 81 Date d'inscription : 10/11/2009

Dudule avait entrainé Quasi dans la cuisine et faisait face à Oscar.

C'est l'Evêque et elle va nous aider ... puis regardant Quasi ... c'est ... en fait il ne savait pas qui c'était… elle défend les gens elle a dit et les hommes la poursuivent il faut l’emmener voir Aime il pourra l’aider et puis il faut arreter les coups de pistolet

Le gamin commençait à s’affoler en regardant vers la porte et avait pris un air pas commode.

Va nous démolir notre porte lui et moi je vais aller lui dire qu’on démolit pas les portes des gens.
Faut sortir par là !

Il montra la porte qui menait dans la cour qui tombait dans une ruelle étroite et déserte, et attrapa la main de Quasi en regardant Oscar.

Venez on va passer là !

Messages : 529 Date d'inscription : 04/10/2009

c'était pas le bon jour pour sortir en robe d'évêque. C'était pas le bon jour pour se faire de nouvelles amies. C'était même pas le bon jour pour arrêter de...manger des anchois, même si ca n'avait aucune importance en l'état des choses.

Le regard du gamin était..Adulte. Il savait et elle ne savait pas. Elle aurait pu l'arreter d'un mot, cela elle en était sure. Mais il semblait tellement sur de lui qu'elle le laissa faire.

Elle serra sa main.

Montre nous, Dudule, c'est toi qui nous protège.

Les bruits contre la porte redoublaient d'intensité.

Messages : 258 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Amiens

La porte s'ouvre et une femme lui fait façe ,oscar apres avoir legerement plissé les yeux la reconnait,la fiancé du prince ...Que fait-elle ici?est-elle venu seule ?Oscar ne dit mot lorsque le petit fait les presentations.Ca ne ressemble pas à une embuscade ni a un piège ,pourtant,la brune,toujour enroulée dans sa couverture reste mefiante.

Puis des coups à la porte et une voix,encore et toujour ce maudit vicomte qui par on ne sait quel enième miracle vient frappée ici,dans une auberge en reconstruction,à l'angle d'une ruelle que pas même la brune ne connaissait .Un soupire se mèle à son sourire exasperé,elle le croyait noyé et en fait non !
Son regard passe du petit à la femme avec une rapidité incroyable ,elle aurait bien laissé le petit ouvrir la porte pour logé à son charmant poursuivant un poignard entre les deux yeux ...mais elle se voit mal user de violence devant un gamin et une representante du seigneur ....alors elle s'en remet à Dudule et acquiesse à sa proposition,si c'est un piege elle aura été trop naive ,si elle s'en sort elle ne l'oubliera jamais .Apres avoir tenté de sonder le regard du petit elle murmure ...

Je te suis

Sans grande conviction la brune s'ecarte pour laisser passer le gamin .Ses couteau sous sa couverture ,si elle doit effectivement les proteger ou se proteger de quelque chose ,au moins elle est relativement armée...

P.N.J. Messages : 81 Date d'inscription : 10/11/2009

A peine les deux jeunes femmes d'accord Dudule les entraina vers la porte de la cour. C'est là que le Firmin il livre le bois et que je mets Planplanette.

Là c'est la rue qui part vers le port.. il fit sortir rapidement ses protégées et referma sans bruit la porte de bois avant de les entrainer en courant dans une ruelle qui s'éloignait du port.

Il les fit courrir quelques minutes, prit un passage qui rejoignait une ruelle avant de tourner à l'angle d'une maison et d'arriver au jardin des roses, s'assurant que personne ne les suivait. Il ralentit un peu pour les laisser respirer et tout en marchant d'un bon pas il baissa la voix en s'adressant à Quasi.

faut que tu demandes qu'on rentre parce que sinon les hommes ils vont l'attraper et se servir de leur pistolet et moi je veux pas.

Il se tourna vers Oscar ... Quasi elle va nous aider alors faut la suivre... puis faut se dépêcher, on est arrivés apres le gros arbre à coté du mur là bas.

Reprenant sa course il les entraina vers le fond du jardin, laissant le passage qui menait vers la mairie. Il ne leur falut que quelques minutes pour arriver aux grilles du palais et il lança un regard inquiet à Oscar pendant qu'ils s'en approchaient.
La pénombre ne rendait pas les choses faciles et l'un des gardes leur fit signe de s'arreter.

Qui va là ! j'ai ordre de ne laisser entrer personne !

Messages : 529 Date d'inscription : 04/10/2009

l'attitude de Dudule, celle de la femme, la voix du garde..l'ile était en danger..Colin, Aime..bouillette..tous..elle reprend son souffle de la course folle jusqu'aux grilles. Le palais est derrière ces grilles, Aime y est aussi. Elle se retient de courir pour se jeter dans ses bras et fermer les yeux. Elle se reprend. Dudule n'a pas a assumer ce qui se passe même si elle n'en a qu'une vague idée.

Elle se dresse, s'approche du garde, prend une voix assurée et cherche les bons mots..et n'en trouvent aucun. Le palais..si il y a un conflit alors le palais n'est pas sur. Il n'y a qu'un endroit sur, et si il y a danger alors elle y trouvera Colin. Elle sait qu'Aime le protégerait en toutes circonstances.

Je suis la Princesse de Guernesey, l'évêque Quasi de Millelieues.

Si avec ca il ne sait pas qui elle est...c'est qu'il est sourd ou idiot. seulement entrer au palais n'est pas ce qu'elle veut, elle a besoin de sécurité et elle ne la trouvera qu'en un seul lieu.

Voici mon neveu, vous le connaissez. Il doit rejoindre le Prince, immédiatement.

Le ton est ferme et sans appel. L'homme s'écarte.

Elle se penche sur Dudule et murmure

Vas trouver Aime, débrouille toi et sois prudent. Si lui que nous sommes à la plage. Tu ne parle qu'a Aime , tu comprends mon garçon?

dudule a grandit en quelques heures. Il n'y a plus dans ses yeux cette insouciance qu'elle aime tant. Elle dépose un bisou alors qu'il acquiesce en silence.

La femme n'a pas bougé. Quasi la regarde, tend la main.

Faites moi confiance.

Elle laisse Dudule entrer puis se retourne vers la direction à prendre, leur refuge. Elles y seront en peu de temps, même si le chemin est assez caché et connu seulement d'Aime et des garçons. détour et retour, entre le arbres puis sur la plage et la maison est enfin là. Pas un mot échangé, mais le silence rassurant de la nuit. Elle cherche sa clé, ouvre et entraine sa compagne d'un soir à l'intérieur.

Messages : 258 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Amiens

Oscar,Quasi,Dudule. Un soldat ,une eveque ,un enfant....Le trio plutot inédit file dans la nuit ,traversant jardins et ruelles peu eclairée,petits passages et grandes avenues.

La ville est endormie,la nuit sombre, la brise légere.Oscar cour à present sans reflechir,offrant toute sa confiance au jeune garçon...

Au fond d'un jardin ,ils s'arretent et Dudule parle d'entrer quelque part.Puis une voix ,celle d'un garde et Oscar tressaille.Ils sont au Palais,Ils les a conduit au palais,au prince,aux geole,à l'homme au discour pompeux !!

D'instinct Oscar fait un pas en arrière.
Mais cette fois c'est à l'eveque de parler et la brune reprend des couleurs...La confiance ,il ne lui reste que cela...alors ,sans un mot ,elle prend la main que la jeune femme lui tend.
Des rues,encore des rues puis la plage et une petite maison.L'eveque ouvre,Oscar entre ,la porte se referme,la brune souffle ...

Regard reconnaissant ,c'est à son tour de tendre la main vers la jeune femme et à cette dernière de lui accorder ou non sa confiance .Elle se presente enfin :

Oscar-François... capitaine de l'armée du Roy...Merci ...

Immence paradoxe dans les evenements de cette nuit ,la brune sauvée du prince par la princesse...Il y a une erreur quelque part ,forcemment ,ou tout cela n'a aucun sens ...

P.N.J. Messages : 81 Date d'inscription : 10/11/2009

[Au palais, le 15 mars]

Il n'avait pas laché la main de sa dragonesse. Même s'il devait les protéger il ne se sentait en sécurité qu'aupres d'elle et Aimelin. Peut être il n'aurait pas du venir au palais si les gens qui courent apres le Capitaine vont y venir, mais il ne voyait que lui pour sauver la jeune femme. Personne avait le droit de désobéir au prince et il ferait pas de mal à la femme il le savait.

Il leva son regard vers Quasi.

Vas trouver Aime, débrouille toi et sois prudent. Si lui que nous sommes à la plage. Tu ne parle qu'a Aime , tu comprends mon garçon?

Aller voir Aime.... ça il avait compris, comme il avait comprit où Quasi voulait aller. Il hocha doucement la tête n'osant plus prononcer un mot devant le garde. Un petit regard à Oscar et Quasi mêlé d'un petit sourire et il passa devant le soldat qui lui indiquaitl'entrée du palais.

Pris de panique à l'idée qu'on pourrait l'arrêter il courrut vers la porte où les deux gardes qui plantaient le regardaient arriver. Le gamin était connu de toute la ville, surtout depuis qu'il était sous la protection du jeune couple. Il avait ses entrées au palais, et rendait service à tout le monde, apportant cette insousciance et cette fraicheur que seuls savent apporter les enfants.

- hé bien mon garçon c'est pas prudent de te promener seul il commence à se faire tard
- b'jour soldat faut qu'je vois le Prince c'est tres important ... il fallait trouver une excuse tres importante ... Colin il fit que pleurer et Bouillette s'en sort pas avec lui et il a tres mal à la tête ! faut le Prince m'aide
- Colin le fils du Prince ? regard amusé du Garde qui se rappelle les propos du Prince concernant ses proches... tu le trouveras aux appartements verts mais il est en réunion.
- merci, promis j'vais demander au garde

Pas le temps d'attendre une réponse, il fila à toute vitesse vers l'escalier qu'il grimpa quatre à quatre pour arriver essoufflé devant la porte des appartements.

- où tu vas Dudule, le Prince est avec le Secrétaire
Encore un garde, vi passer la nuit à parler à des gardes moi .. b'jour faut je parle au Prince c'est tres important ... c'est à cause de son fils ... il n'était plus à un mensonge prêt et il espérait qu'Aimelin allait pas se mettre en colère.

Le jeune garde fixa l'enfant.. le Prince ne voulait pas être dérangé mais le gamin ne viendrait pas pour des broutilles et il valait mieux jouer la prudence.

- je vais lui demander s'il peut venir te voir

Deux coups discret frappés à la porte avant que l'homme n'entre et salut le jeune prince qui s'était arrêté de parler à son entrée.

- votre Altesse, le petit Dudule veut vous voir il dit que c'est important.

Pendant que le garde parlait, le gamin s'était glissé derrière lui et avait jeté un oeil sur les personnes présentes, faisant un sourire timide à France, avant de poser son regard sur Aime. Il avait ce visage soucieux du jour où il était arrivé affolé à la mairie en voyant Quasi monter sur un navire.

Messages : 132 Date d'inscription : 04/10/2009

Personne n'ouvrit la porte. Le Vicomte repartit extrêmement courroucé. Il aperçut non loin trois silhouettes qui courraient dans une ruelle.
Si Oscar était parmi elles, elle pouvait toujours courir elle ne lui échapperait pas.
Il revint sur le port et arracha une affiche proclamant l'indépendance.
Il la donna à Alphonse qui l'avait rejoint et lui dit.

Va à Cornet, montre leur l'annonce. Qu'ils descendent tout navire passant non loin portant les couleurs de la France ou se dirigeant vers le Royaume.

Le vieux partit vers une barque, accompagné de trois marins armés qu'il avait du récupérer dans une taverne.

Maintenant, passons au choses sérieuse. Les Français ne quitterons pas l'île.

Il se dirigea vers sa demeure sur l'île. Y récupéra un Pigeon, et écrivit une missive.

Citation :

Capitaine,

Patrouillez le long des côtes de Guernesey. Arrêtez tout navire ne portant pas les couleurs de l'île ou se dirigeant, soit vers la France, sois vers Cornet.

Un Capitaine Français nous a glissé entre les doigts. Elle tentera sans doute de regagner le continent ou sa caserne. Il faut l'intercepter avant.

Il attacha le message à la patte du pigeon et l'envoya. L'oiseau était formé pour ça, il finirait bien par trouver "La Libération"

Messages : 1142 Date d'inscription : 04/10/2009

Romeuf arpentait le port, bredouille lui aussi de la recherche d'Oscar François et venait de passer une bonne heure à calmer les gens dans le port après l'explosion à l'arriere du navire où s'etait retrouvé enfermé l'officier des Mousquetaires...qui avait disparu des lieux.

apperçoit alors 3 individus qui s'appretent à prendre une barque.

leur demande leur destination et, une fois connue, et s'etre fait connaitre, leur modifie légèrement la consigne.

"Contentez-vous de juste leur remettre cette affiche et repartez tout aussi rapidement.
Ce sont certes des habitants d'ici pour la plus grande majorité d'entre eux, mais ils doivent faire leur choix.
Il est pour l'instant assez hatif de dire que le Chateau Cornet et sa garnison ont ralliés le Prince et là, ils sont encore potentiellment dangereux...même si bloqué sur leur ile et sans barques pour en sortir, celles-ci ayant servi à amener le capitaine et son escorte...et présentement sont à quai au port.

Je vais m'entretenir avec Monsieur le Vicomte pour voir comment il se remet de sa mésaventure avec le capitaine du RAIM...vous connaissez son habitation en ville ?"

Une fois renseigné, Romeuf se rend chez le Vicomte, et se fait annoncer

Messages : 529 Date d'inscription : 04/10/2009

[La maison d'Aimelin et Quasi]

Elle prit la main sans hésiter et la serra, dans un reflexe conditionné. Mais le geste stoppa une seconde, imperceptible , quand Quasi comprit qui était son invité de fortune. Capitaine de l'armée du Roy...elle venait de faire entrer le loup dans la bergerie. Si les premiers instants l'avaient inquiétés par l'absence de Colin, elle en était maintenant heureuse.

Quasi dévisagea la femme. Pourquoi avait elle accepté de fuir avec elle, pourquoi avait elle suivit Dudule, si elle leur voulait du mal. Le texte d'Aimelin et l'indépendance des iles ne pouvaient déjà être connu de Paris et a part...voila la réponse, elle devait être là avec le Secrétaire d'État ..mais alors..pourquoi cette fuite?

Ici nous ne risquons rien Capitaine. Mon fiancé nous rejoindra dès que possible. Euh...Mon fiancé est le Prince, bien sur.

Puis je vous demander ce qu'il se passe ce soir? j'ai donné une messe en faveur....elle allait parler de la proclamation et se tut juste à temps ...des paroissiens et de Pascal et ensuite..je ne sais pas mais rien n'est normal aujourd'hui. Asseyons nous , voulez vous?

Quasi prit place dans la pièce centrale et invita d'un geste Oscar à faire de même

Messages : 1860 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Guernesey la Belle

[Peu avant au Palais]

France prenait la parole et à son ton, Aimelin savait qu'elle n'avait pu retenir ses mots. Comme lui elle s'investissait depuis aout dans des iles ou personne ne daignait poser ne serait ce qu'un effleurement du regard.
Que d'aides n'avaient ils eu besoin sans en trouver aupres de personne, juste quelques conseils de l'ancien prince tres peu présent. Quant à son conseil, hormis le nom du juge sur la porte, il n'existait plus et personne ne s'était pourtant inquiété de cela. Et voila qu'aujourd'hui, le roy était prêt à toutes les violences possibles pour prendre les iles.

- votre Altesse, le petit Dudule veut vous voir il dit que c'est important.

Haussement de sourcils en regardant vers la porte et apercevant le gamin qui s'était glissé dans l'entrebaillement et le regardait. Un regard vers France qui avait sans doute les mêmes craintes que lui.

- veuillez me pardonner Baron, j'en ai pour quelques instants

Si les iles étaient importantes à ses yeux, une chose l'était encore plus, ses proches. Et le garçon n'était pas là par hasard car il savait qu'il ne devait pas déranger Aime.

Le jeune prince se leva et apres avoir remercier son garde s'approcha de Dudule. Ce regard où se mêlait le soulagement et l'inquiétude, il l'avait vu de rares fois chez lui, la dernière fois était le jour de l'arrivée d'Erwan.

Il essaya de rassurer l'enfant d'un sourire et se pencha vers lui en chuchottant.

Tu sais que je suis occupé et j'espère que c'est important. As tu vu Quasi ? je la pensais avec toi.

P.N.J. Messages : 81 Date d'inscription : 10/11/2009

[Au palais]

Tu sais que je suis occupé et j'espère que c'est important. As tu vu Quasi ? je la pensais avec toi.

Le gamin tira le Prince de Guernesey par la manche et il faut bien avouer qu'en tant que Prince de ses ïles, il avait certainement raison.
La porte lui cachant les gens présents dans la pièce il jeta un oeil sur le garde qui s'était éloigné de quelques pas par discrétion et murmura à l'oreille de son ami.

quasi est à la maison et faut que tu ailles les aider... les gens veulent attraper ... il marqua un arrêt.. Quasi lui avait pas dit de parler du capitaine.
Son cerveau de gosse était en ébulition devant le dilemne et il finit par murmurer dans un souffle à peine perceptible... la jeune dame il faut l'aider.

Ses yeux noisettes croisèrent le regard gris du jeune Prince qui sourcillait, essayant sans doute de dénouer les propos de l'enfant.

Messages : 1860 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Guernesey la Belle

[Peu avant au palais]

quasi est à la maison et faut que tu ailles les aider... les gens veulent attraper........ la jeune dame il faut l'aider.

Aime regarda l'enfant les yeux grands ouverts.

quasi a des ennuis ? et quelle jeune dame ?

Les soldats avaient ils été trouver sa douce à l'église pour qu'elle se soit réfugiée chez eux et non au palais.
Il savait les personnes que connaissait Dudule et tenta de garder une voix calme, l'angoisse de l'enfant était palpable.

Il regarda la porte. Ca faisait longtemps qu'il désirait parler de Guernesey à quelqu'un qui venait de France, mais si Quasi lui avait demandé de venir le trouver c'était pour n'avertir personne d'autre. La peur s'était emparée de lui, comme à chaque fois que ça concernait celle qu'il aimait.

Il regarda Dudule

ne bouge pas j'arrive.

Il rentra à nouveau dans la pièce et se dirigea vers France à qui il murmura ... Quasi a des souscis je file a la maison, tu sais où c'est .. je reviens des que je peux avec elle. puis se redressa et regarda tout le monde à tour de rôle.

J'ai un soucis personnel. Continuez sans moi le temps que j'aille m'occuper de cela

Puis regardant le Secrétaire.

veuillez me pardonner.. France et Elisabeth ainsi que mon chancelier Chric restent en votre compagnie le temps de mon retour.
Continuez à discuter, les avis de tous me sont précieux.

Il se précipita vers la porte et se retourna... je fais au plus vite.. puis sortit, Dudule sur ses talons et se dirigea d'un pas rapide vers les écuries, où Altaïr fût prêt en quelques minutes. L'enfant grimpé derrière lui, il s'arrêta aux grilles du palais pour s'adresser aux deux gardes.

Si le gamin Bouillette arrive, envoyez le au premier étage retrouver Dame France.

Une pression des talons et un claquement de langue mit sa monture au galop sur le chemin qui partait vers les bois et la mer, vers leur maison isolée vers laquelle il arriverait dans quelques minutes.

Messages : 258 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Amiens

Oscar se doute que son identité doit destabiliser Quasi autant que la situation la destabilise...Lorsqu'elle lui propose de s'asseoir ,le capitaine acquiesse puis retire d'un geste la couverture qui l'enroulait.Elle a un instant ommis la presence de ses poignards ...Genée de se retrouver armée devant une eveque elle retire son atiraille qu'elle pose un peu plus loin ...

A present completement desarmée (sauf peut etre de son charme !!)elle finit par prendre place .La grande brune recoiffe sa mèche et repond à la jeune femme .

Je n'ignore pas qui vous etes!

Expliquer ce qui se passe ,meme Oscar l'ignore ,finalement elle n'a vu que le prince,le vicomte,un chapeau qui vole ,une foule en delire....Et l'enigme de cette voix qui revient sans cesse dans son esprit ...

Elle soupire...

Tout cela parait tellement surréaliste...En tant que capitaine,je me devais d'acceuillir le SEG sur nos terre,ils avaient eu des problemes en route avec le vicomte ,puis le prince arrive ,l'annonce de l'independance et soudain une diversion et nos soldats pris en joug et arretés sur ordre du prince et d'un homme dont j'ignore encore l'identité.Je suis parvenu à m'echapper ...Pourchassée,je tombe sur Dudule qui me sauve la mise .

Un instant ,elle tente de sonder le regard de la femme qui lui fait façe,cherche quelque chose dans ses yeux ,peut etre la confirmation que cette situation n'etait pas voulu...

Je sais votre fiancé juste mais quelqu'un attise la violence sur l'ile,la haine et la mefiance ,j'ignore qui il est et qu'elle est son but mais sachez que je me suis fait un devoir de proteger les habitants de cette ile ,depuis mon arrivé ...

On veut faire passer les soldats français pour monstres et la brune entend bien faire comprendre qu'on peut etre soldat et pacifiste,Oscar n'use de violence qu'en dernier recours et certainement pas contre un peuple....

Messages : 529 Date d'inscription : 04/10/2009

la haine et la violence, tout ce qu'elle exècre. Elle regarde la soldate, essaye de voir de la malice dans ses yeux, n'y trouve que le même désarroi qu'elle même ressent.

Aimelin est un homme de mots, Capitaine, pas un homme d'arme. Il n'hésitera pas à nous défendre tous et il est habile mais il préfèrera toujours les mots aux coups. Votre nom m'est familier, peut être l'ai-je entendu quand on me racontait l'histoire de cette ile, notre ile.

Quasi ne cesse de penser à Colin, à Dudule...Bouillette..où sont ses garçons, son fils..Aime appelle t'elle silencieusement..viens mon Ange, viens.

Doucement elle se redresse, prend la main de la jeune femme.

J'ai vu vos armes, je sais votre métier. Mais il n'est pas de meilleure arme que la foi . La foi en Pascal mais aussi la foi en nous même, en l'homme. Nous arriverons un jour à tous nous comprendre, je l'espère.

Avec lenteur elle s'agenouille, entrainant Oscar.

Voulez vous prier avec moi, prier pour que la raison habite de nouveau les hommes?

Question qui n'attend pas de réponse verbale bien sur. Quasi murmure au seul qui peut aider la paix a revenir.

Messages : 1860 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Guernesey la Belle

[Entre le palais et la maison.. un chemin]

quasi est à la maison et faut que tu ailles les aider... les gens veulent attraper........ la jeune dame il faut l'aider.

Les phrases de Dudule tournaient et retournaient dans sa tête... quelle jeune dame fallait il aider ? Il essayait de se remémorer la scène du port. Les soldats nerveux, mains sur leur arme prêts à s'en servir.
Ce soldat qui s'était mis nonchallement entre le Secrétaire et lui, et puis tout était allé si vite. Le capitaine qui disparait dans la foule, Romeuf qui crie, l'agitation qui gagne la foule sur le quai, Nemours qui se précipite vers lui et que sa garde neutralise.

yep yep Altaïr !!

Le gamin accroché à lui, le jeune gars chevauchait vers leur maison, ce refuge où personne ne venait les embêter, leur coin à eux, à l'abri, cette maison qu'il avait retapée et rebâtie pendant les longs mois de séparation avec sa douce. Lorsqu'elle apparût au détour du chemin il poussa un soupir de soulagement.
Apparemment personne n'était là, la plage était déserte et nule ombre de navire ne venait troubler l'eau de la crique. Il arrêta Altaïr au bas de la terrasse de bois et sauta à terre avant d'aider Dudule à redescendre.

Il se pencha vers lui.

Tu vas faire attention à qui viendra pendant que je parlerai à Quasi.

Tu sortiras de temps en temps voir si ton copain n'arrive pas.
Seule France et Dra connaissent la maison avec Bouillette et toi. Si tu entends quelque chose tu me le dis.

Il replaça sa cape sur ses épaules et grimpa en courant les deux marches de bois avant d'ouvrir doucement la porte apres avoir toqué de deux deux coups qui l'annonçaient.

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