[RP] Sur la plage d'Eu

Mercedes arrive seule sur cette plage
enfin seule ;

Sasseoid sur le sable chaud , en ecoutant la mer

s allonge , l eau arrive sur ses pieds nus et dans quelque heures , l envahira toute entière

et c est une fin heureuse , elle pense a son amour , l oubliera t il ?

elle aurait une dernière fois etre dans ss bras , l aimer comme elle savait le faire

l embrasser avec fougue , douceur toucher son corps , ses mains parcourant son corps , ses levres le
goutant , sa peau oh je dois arreter d y penser

je t aime toi c est tout

mercedes leve ses yeux bleus vers le ciel aussi bleu

alors on est tous en vie , une blague , c était une blague

"se lève et danse sur la plage !

et aperçut son cousin bléssé
mais raurau , on m a annoncé ta mort et !!

le pris dans ses bras , je suis heureuse de te voir mon cousin

viens avec moi , je te ramène

mercedes apres avoir accompagné raurau au bar ou l attendait fleur

reviens sur la plage , toujours mélancolique et y trouva une amie
qu elle estimait beaucoup

[b]puis je faire une ballade avec Anne , si ma compagnie ne te dérange pas

elle alla lui faire une bise

"[i]tu as l air triste mon amie , veux tu venir au resto , je ferais un
chocolat et un gateau , et nous parlerons !

Maria marchait pieds nus le long de la plage. Le soleil amorçant sa descente vers l'horizon, le ciel se teinta d'oranger et de rosé entremèler au bleu azure du jour. Elle pensa à ce jour où elle avait rencontré son bel amour, Chawg. Son retour à sa chère ville lui avait été très bénéfique car elle y avait trouvé l'amour... La perle de sa vie. Se noyer dans l'océan de ses yeux et s'abreuver à ses lèvres. Elle ressentait un amour si grand pour cet homme.

Son regard se fixa du côté des maisons. Oui une demeure près de l'océan pour bercer leur amour dans le murmures des vagues s'échouant sur la plage.

IL était là, perdu dans ses souvenirs, au milieu des dunes. Il attendait,quoi,il ne savait pas,il ne savait plus. Cela faisait si longtemps qu'il était parti, qu'il fuyait la vie, sa vie.
Il était fatigué, il ne lui restait rien,il n'avait rien!
Il ne lui reste que l'espoir, l'espoir de revenir parmi cette vie qui vous fait regarder devant, foncer. Ce sera peut être depuis ce village qu'il repartira de l'avant. Il respirait la tranquilité des gens qui savent vivre, qui sait, l'âme soeur est par là, qui sait........

Perdue dans ses pensées, elle eût d'un seul coup l'impression que le ciel se voilait.
Une ombre lui cachait le soleil qui déjà tombait dans la mer.

Mais c'est la voix qui la fit sursauter. Elle l'aurait reconnue parmi cent autres...

Elle se mit à rire.

Oh, je suis sur votre trajectoire ? Vraiment ? Vous m'en voyez confuse monsieur ! Il est vrai que parmi ces kilomètres carrés de plage j'ai eu cette idée malencontreuse de venir me poser exactement là, sur votre trajectoire !


Mais je me moque ! Restez donc, vous ne me dérangez absolument pas ! Au contraire, même, je dirais que vous m'avez évité de rester ici jusqu'à la tombée de la nuit, tellement j'étais rêveuse.

Elle lui sourit. Elle avait encore en tête les proches souvenirs de leurs danses endiablées et troublantes aux Délices de Minuit. Elle vit qu'il était aussi pieds nus, tout comme elle et ne put s'empêcher de rougir légèrement. Cela lui donnait une allure très décontractée qui lui allait à merveille.

Et si nous continuions à marcher ensemble Frag ? Qu'en pensez-vous ?

Ses chaussures dans une main, ses jupons agrippés dans l'autre elle se tourna face au coucher du soleil et commença à avancer.

Elle se retourna vers lui. Il était resté immobile et la regardait d'un air étrange...

Vous venez ?

Elle le regardait, éclairé par les couleurs flamboyantes du soleil et se dit qu'elle le trouvait vraiment....vraiment....

Il fallait rompre le silence qui devenait dense, trop dense...
Certes elle l'avait tenu contre elle pendant un temps qui lui avait semblé à la fois long et court. Certes, elle l'avait revu à l'auberge et ils avaient discuté légèrement. Mais il demeurait un inconnu, bien qu'elle ait senti chez lui un caractère à la fois ferme et généreux...

Parlez-moi un peu de vous Frag...Je vous connais si peu...

Par cette belle journée de juin je me prommenait sur la plage mes pas me menèrent vers le quartier des Maraîchers. Mes yeux ce fixèrent sur la grande étendue bleu devant moi.

Les petits moutons sur le haut des vagues venaient s'échouer sur la plage sablonneuse. J'avançai jusqu'au lieu de naufrage des belles vagues couronnées de blanc remous. Mes pieds nus clapotèrent dans l'eau.

Mes pensées sont dispercées comme les blancs nuages dans le ciel de Eu. Mon coeur bat à tout rompre juste en évoquant le nom de mon aimé. Je remerci Saint-Pascal et le Très-Haut pour m'avoir permis de rencontrer un homme aussi charmant. A l'aide d'un bâton je dessine dans le sable un coeur où s'entrelace le nom de ChawG et le mien. Joliment décoré de coquillages.

Je regarde l'immensité du ciel en joignant mes mains. "Protègez ceux que j'aime: Chawg, mon parrain Jean, mes amis. Je vous remerci de toute bontés que vous disposer sur mon chemin"

Toujours attentionné, Firenze la porta pour aller sur la plage.

Il y avait un léger vent qui faisait voler ses cheveux, elle s'accrocha à son cou en le regardant amoureusement.
Qu'il était beau ainsi, beau et fier.

Elle regarda autour d'elle et aperçu une femme qui se promenait un peu plus loin.
Sinon la plage était déserte, juste pour eux.
Une belle journée en perspective.

Elle reporta à nouveau son attention sur son mari et son coeur se gonfla de bonheur.
Elle posa sa tête contre son épaule et murmura: Tu sais que je t'aime mon amour

Quand enfin il la déposa sur le sable elle vit cette lueur taquine dans ses yeux.

-Hum...je vais me faire une joie de te rouler dans le sable.


- Non... Tu n'oseras pas faire ça dit elle en se reculant un peu.
N'y compte même pas..... Non mon amour.....

Il se rapprochait avec un sourire coquin sur les lèvres.

Un flot d'émotion vint la troubler. Elle passa ses mains dans les cheveux de Firenze et se laissa glisser à son tour sur le sable près de lui.
Son regard se perdit au delà de l'horizon.

Que c'est beau murmura t elle c'est reposant.

Elle tourna son visage pour regarder son mari. Il avait le regard perdu au milieu des flots.
Qu'il était beau ainsi, elle ne put résister au désir de suivre le contour de son visage d'un doigt léger.

Si un jour nous avons un fils, j'aimerai qu'il est ton visage.

Elle posa sa tête sur son épaule et regarda avec lui le va et vient des vagues

Over se sentait bien. Ils commençaient à parler d'un bébé à venir et cela la comblait.

Elle enleva ses chaussures et ses bas et joua avec ses doigts de pied dans le sable.
Elle aimait cette sensation de fraicheur quand elle enfonçait ses pieds dans le sable
et cette douce caresse quand elle les retirait.

Elle finit par s'étendre en posant la tête sur les cuisses de son époux.
Elle ferma les yeux, posa ses mains sur son ventre et pria en silence

Seigneur Tout Puissant, vous qui décidez de la vie sur terre, exhaussez mon vœu et faites que notre couple est le bonheur de devenir une famille.
Nous sommes prêts l'un et l'autre à accueillir un enfant et je sais que nous serons les plus heureux des parents.

Elle continua sa rêverie encore un peu et se tourna à nouveau vers la mer. Le soleil commençait à bien chauffer.
Tout était réuni pour faire que cette journée soit merveilleuse.

Firenze la recoiffa puis il caressa sa joue avant de venir poser sa main, celle qui portait l'anneau, sur les siennes qu'elle avait posé sur son ventre. Elle semblait songeuse mais qu'elle était belle ! Il se pencha sur elle pour lui faire de l'ombre après avec bu une gorgée d'eau.

-Il ne faut pas rester trop longtemps ainsi sinon nous allons ressembler à une belle paire d'écrevisses !

Il enleva ses bottes et remonta son pantalon à hauteur de ses genoux.

-Allons marcher au bord de l'eau et ensuite nous mangerons.

C'est une très bonne idée, allons marcher un peu.
J'ai hâte de mettre mes pieds dans l'eau. Tu crois qu'elle est froide?

Elle tendit les mains vers son mari pour qu'il l'aide à se relever.

Je n'ai même pas pensé à prendre un chapeau pour me protéger, j'espère que ça va aller.

Maria arriva à la plage les yeux enflés par les larmes.... les larmes du désespoir..... Celle qui brûle les yeux tellement elles sont salées!!!!!

Et voila deuxième chagrin d'amour pour sa courte vie! Sa vie vallait elle encore la peine d'être vécue?

Etre bonne soeur ou devenir Courtisane? elle ne savait plus.... Elle prit la bouteille de vin la ouvrit et pris une grosse gorgée. Elle avait donné son coeur a ChawG et maintenant sans qu'elle sâche vraiment pourquoi son coeur lui fesait tellement mal comme le coeur d'une biche que le chasseur transperce avec la balle du fusil.

elle porta son regard vers la mer.... cette mer qu'elle aimait tant!!!

Elle se dit en elle mêmequ'elle ferai peut etre mieux de quitter Eu pour toujours. Elle reboucha la bouteille et la plaça dans le sable bien droite. Le dernier baiser de ChawG se jour l'a était tout ce qui comptait pour le moment. elle porta sa main à sa bouche et se coucha sur le sable en petite boule.. attendant que quelqun lui passa dessus un brigand saurait quoi faire d'elle il pourrait faire ce qu'il voulait d'elle puisqu'elle était morte à jamais.

Elle s'endormie les larmes aux yeux........

C'est main dans la main qu'ils se dirigèrent vers la mer.

-Pour la chaleur une solution peut consister à mouiller ton châle et à le mettre sur ta tête tu auras un peu moins chaud.

Tu n'y songes pas... a quoi vais je ressembler après.....tu auras pour femme un épouvantail.
J'aurai du penser à prendre une ombrelle ou un chapeau tant pis pour moi.

Quand ils arrivèrent au bord de l'eau, elle fut impressionnée par le bruit et par cette impression d'immensité.
Elle garda sa main serrée dans celle de Firenze et fit un premier pas dans l'écume d'une vague.
Elle sentit le sable glisser sous ses pieds en même temps que la vague se retirait.
Cette sensation était agréable et elle attendit la prochaine vague avec moins d'appréhension.
L'eau fraiche arrivât à nouveau et vint lui chatouiller les pieds.

Elle fit un pas supplémentaire et cette fois l'eau lui montât jusqu'aux chevilles.

Elle regarda son mari avec l'air d'une petite fille.

C'est merveilleux dit elle Pourquoi n'ai je pas osé avant?

Elle retenait sa robe légèrement levée pour ne pas la mouillée et fit encore un pas.