[RP] Cimetière " La brise du souvenir "

[ 21 Août 1651 ]

Spawn, était décédé le 20 Août 1651 des suites de la Suette Anglaise.
Le lendemain nous le portions en terre. Avant que les fossoyeurs ne couvrent son cercueil de terre et ne posent
sa pierre tombale .

« Nous croyons que le Très Haut forma de la poussière de la terre le corps de l'Homme et que son souffle lui donna une âme. Le corps, fait de poussière, est fragile et mortelle, l'âme, quant à elle, étant divine, est éternelle. Cette alliance entre le temporel périssable et le spirituel éternel s'appelle la vie. La séparation entre les deux s'appelle la mort. le Très Haut, dans sa magnanimité, accorda à l'âme le pouvoir de régénérer son corps, quand celui ci n'est pas crucifié, brulé ou excommunié ,
c'est la résurrection. »

Je signais de Pascal la tombe .
" Ceci n' est pas un adieux, Spawn est dans nos coeurs et pensées "

Au côté de Luc je disais un dernier aurevoir à Spawn.

Citation :

" Ceci n' est pas un adieux, Spawn est dans nos coeurs et pensées "

je me signé puis nous laissâmes place au fossoyeur pour qu'ils recouvrent le cercueil de notre ami de terre.

En ce Mercredi 21 Septembre 1651 nous portion en terre Monseigneur Ode de Crassac, emportée par la peste.
Revêtu de la chasuble de ma charge je suivais le cercueil porté par six hommes et femmes des Corps Franc,
en hommage à la dévotion de cette personne de bien.

Les villageois firent arc de cercle devant la dernière demeure de Dame Ode.
- Amis Pascaliens, la grande maison de Pascal subi une grande perte avec celle de Monseigneur Ode.
Elle s' est donnée toute entière au service du Tout Puissant, sans ménager son temps et sa peine.
J' ai personnellement connu Dame Ode de Crassac ,..... ou tout simplement Ode car elle avait su
rester humble. Que cela soit en la ville de EU ou ici sur nos îles ou elle est malheureusement décédée
de cette horrible maladie. ...

- En cette triste journée ayons une pensée pour son compagnon Alban et leur fille Marine et prions
pour eux.

Je laissais passer un moment de recueillement, scrutant les visages alentours si quel qu' un voulait
parler avant que je ne procède a la cérémonie d' enterrement.

Debout près de Luc. Je regardais le cercueil devant moi.
Là où se trouvait une amie, une femme de coeur,une maman.
C'est la gorge nouée que je m'avançai dire quelques mots.


Aurevoir Ode, Veille sur ceux qui t'ont aimés et qui t'aiment encore.

Ma voix ce cassa, sous l'émotion..... et si cela m'arrivais.....
qu'en serait il de mon époux et des enfants..... Tant de questions
je chassai ces idées absurdes d'un battement de cils.

France et Chric arrivèrent au cimetière. Personne en vue ... A errer entre les tombes, un frisson parcourut France. Je me suis certainement trompée, l'énigme ne devait pas nous mener à cet endroit ? attendons un instant ... sinon ... peut-être l'église ? dit-elle à son époux à voix basse.

[ 21 Septembre 1651 ]
Je faisais signe aux fossoyeurs de couvrir le cercueil de terre, puis à la pose de la pierre tombale.

- Dame Ode ceci n' est pas un adieu, juste un à bientôt. Le Tout Puissant vous fera certainement un grand accueil
dans sa maison. Nous naissons, vivons, procréons, mourons, ainsi en va la vie, la même pour les petits gens
comme celle des grands. Devant le Tout Puisant nous sommes égos à notre naissance, seul nos actes dans
le temps de vie qui nous est donné importent a ses yeux. C' est en cela qu' il nous juge et nous prend
ou non dans ses bras.

Un dernier regard, mais pas une dernière pensée pour Ode et je prenais le bras de mon épouse pour quitter ce cimetière. On disait que c' était la dernière demeure, certes du corps, l' enveloppe , mais pas de l' âme.

C'est par un petit matin brumeux et froid que le Sieur Saidarte faisait son dernier voyage, son cercueil porté par six Corps Francs.

Il était né à Paris mais c' est à EU que je l' avais rencontré et converti au Pascalisme.
Je l' avais moi même conduit ici aux îles, ou il souhaitait s' établir. Le climat dur du pays avait eu raison de sa maladie .

Le cercueil fut descendu dans le trou creusé en pleine terre. Une pierre tombale garderait son souvenir en ce lieu.

Nous observions une minute de silence. Puis sur mon signe les fossoyeurs se mirent à combler le trou de terre.

fleur, eau et nettoyage des abords, c’était la tache du doc aujourd’hui dans sa robe de bure emmitouflé dans une manteau de laine au mitaines.
c'est qu'il ne fessait pas très chaud, un brun de soleil sans chaleur fessait son réparation parmi les nuages blancs; quelque d'oiseaux l'accompagnais dans sa besogne, un chat le suivait du regard.

Le cortège s'avançait lentement là où les fossoyeurs avaient creuser à la demande de son Éminence Luc dit Neu.
Des pleurs et des reniflements étaient audible. Plusieurs en ce jour avait grande peine.

Les porteurs déposèrent le cercueil au dessus de la stèle.
J'attendis que tous soient arriver tout autour pour commencer.

Luc à mes côtés puis Anne-Marie tous près....

Très Haut accueillez près de vous Marie-Hortense
Elle fut bonne ici bas pour chacun présent aujourd'hui.
Dans vôtre infinie bonté.

"Je crois en Pascal
Humble Paysan par qui la vérité Divine fût révélé aux Hommes.
je crois en la révélation, aux préceptes d'amour, de paix ,
de dialogue et de débat qu'il nous a transmis.
Je rejetterai le culte de la mort et observerai le bonheur de la vie
qui réside sous toute forme et dont le tout puissant en est l'auteur.
Je crois en Pascal , Prophète et saint et place ma foy dans son église.

c'est ma foy "

La voix de Marie-Hortense nous a enchanté maintenant elle enchantera ceux qui nous on quittés pour le grand voyage. Nous te disons au revoir car tout Pascalien fera un jour prochain ce grand voyage à son tour....

Les îles on perdu leur Rossignol mes les souvenirs restent gravés au fond des coeurs de ceux qu'elle à aidés.

Le chagrin est lourd mais fini par s'estomper pour laisser place à la sérénité des souvenirs qui éclairons les jours plus gris.

Après les prières et les paroles de Maria, je restais un long moment devant la tombe. Avant que Maria ne parte, je lui dis:

Je vous remercie, pour tout. J'espère que le temps nous permettra à devenir de bonnes amies. Je ne resterais pas longtemps sur les iles, à présent plus rien ne me retient. Je ne resterais que le temps de prendre les dernières dispositions. Je vous remercie pour tout.

Puis, je me tournais vers les Garcia:

Vous viendrez avec moi à Paris, tel que l'a désiré Marie-Hortense. Nous partirons dans deux jours.

Enfin, je rentrais après avoir déposé des petits plants d'hortensia sur sa tombe, comme elle le voulait.

Je laissait seule Anne Marie se recueillir ....
Prenant le bras de mon époux je quittais le cimetière.

Nous devions quitter les îles bientôt étant appelés pour servir Pascal en Normandie.

Le doc actionna la petite poigniez de la porte forger du petit cimetière de Spp, il l'ouvrit et la referma avec attention.

il passa devant les dernières demeure de Dame Anjhely falcone, vicomtesse d'Olonne et de Wall, Baronne de Lillebonne, de Sieur Spawn, de Dame Marie-Hortense dont il déposa sur chaque stèle une main bienfaitrice et une prière.
il en nettoya certaine, celle qui en avait besoin puis se dirigea vers la dernière tombe celle de Lina delarosa neuneu, son première amour.

il pria et la bénie une nouvelle fois.

"Dieu Tout-Puissant, que votre miséricorde s'étende sur l'âme de Lina, que vous venez de rappeler à vous il a deja quelque temps.
Puissent les épreuves elle a subies sur la terre lui être comptées, et nos prières adoucir et abréger les peines qu'elle peut encore endurer comme Esprit !
Bons Esprits qui êtes venus le recevoir, et vous surtout son ange gardien, assistez-la pour l'aider; donnez-lui la lumière et la conscience d'elle-même, afin de le tirer du trouble qui accompagne le passage de la vie corporelle à la vie spirituelle.
Inspirez-lui le repentir des fautes qu'elle a pu commettre, et le désir qu'elle lui soit permis de les réparer pour hâter son avancement vers la vie éternelle bienheureuse."

le cardinal arriva au cimetière et fit ses habitudes comme a chaque visite.
la porte grinça quand il la poussa, les pavée de l'allée central s’entrechoquait sous ses souliers, les arbustes et fleurs en terre n'avait pas bougée.

"bonjour ma Lina"

il dépoussiérera la tombe et la lava tout en lui parlant des choses quotidiennes.

HRP: sujet non besoin de disparaître.

merci.^^