Post-it: [RP] - Fosses communes de la ville au vieux cimetière...

Sis assez loin au nord-est de la ville, ce vieux cimetière fait encore de nos jours son office..., les habitants d'Eu ayant aménagé depuis longtemps déjà, de grandes fosses qui encadrent de part et d'autre les tombes ancestrales de leurs aïeux.
Elles restent ouvertes en permanence, jusqu’à ce qu’elles soient pleines, accueillant les dépouilles des gens les plus modestes, ou bien les corps meurtris des victimes plus nombreuses lors de grandes épidémies. Plusieurs fosses sont ouvertes simultanément, correspondant aux différentes institutions percevant des droits à chaque inhumation. Pour la bourgeoisie, n'ayant plus le sous, la sépulture individuelle en ce lieu est la norme. Certains sont inhumés en cercueil, mais la plupart le sont dans un simple linceul...

Seul en son centre demeure le beau..., les anciennes tombes ou tombeaux, des grands de cette ville d'Eu, aux temps jadis...


Non loin de là, au bout de ce vaste terrain, subsistent les murs encore solides d'une ancienne chapelle romane...

Je lançais le traîneau à vive allure dès le franchissement du la porte nord-est, le vieux cimetière des fosses communes se tenait assez loin de la ville. Arrivés à quelques mètres du cimetière, je tirais sur les rênes de l'attelage pour faire ralentir les chiens de leur course tout en leurs cherchant un endroit pour un repos mérité. Je sentais les chiens nerveux qui piétinaient sur place tout en me demandant si c'était ce lourd silence et morne de ce lieu qui les stressait autant.

La neige sur le sol était épaisse car je m'enfonçais de plus en plus en profondeur jusqu'à hauteur de mes bottes, bien au-dessus de mes mollets, je regardais ma douce et m'avançais vers elle pour la prendre dans mes bras afin d'aller plus en avant au sein du cimetière.

Ma chérie, je vais te prendre dans mes bras car la neige est assez haute et tu risques de glisser et puis cela te rassurera puisque je sais que tu es assez craintive de ces lieux.

J'entendais comme des jappements d'autres chiens et m'aperçu qu'à divers endroits, il y avait des traces récentes de pas assez petits mêlés à de plus grands, dessinés dans la neige compacte. Pensant que nous étions point les seuls en ce lieu, je déposais ma douce au centre du cimetière où quelques tombes avaient été ouvertes, afin de pourvoir explorer les alentours. je montais sur un genre de plateforme en pierre et mon regard circulaire fit le tour des tombes puis s'accrocha à nouveau sur les traces fraîches qui menaient vers les murs d'un ancien édifice tout au bout du terrain. je repris ma douce dans mes bras et emboîtais mes pas dans les traces récentes qui nous menèrent jusqu'à cet édifice qui ressemblait à une ancienne chapelle romane.

Voilà, nous sommes arrivés mais soyons prudents en espérant ne m'être point fourvoyé en suivant ces traces. Donne moi la main, mon amour.

Main dans la main, pénétrant à l'intérieur des murs, je faisais attention où je mettais les pieds par crainte de surprises. La chapelle était quasiment debout avec des murs encore solides malgré l’altération du temps. Je m’arrêtais net croyant entendre un bruit sourd et m’écriais.

Il y a quelqu’un ? Si oui, montrez-vous ?

La course reprenait son cours à partir du château, en direction du cimetière aprés  avoir  donner aux chiens leur part de poisson je prenais position dans le traîneau, les chiens japaient, et d'un coup ils démarraient  à vive allure au signalelement de mon époux

Spoiler:

Le traîneau arrivait à vive allure aux portes nord- est de EU au Cimetière ?  mais c'est le vieux cimetière, des frissons me parcourraient  et si il y avait des bandits cachés entrain de piller des tombes ? Et si.... lorsque le traîneau  ralentissait pour enfin s'immobiliser , mêmes les chiens se taisaient devant les portes  du vieux cimetière à vous donner la chair  de poule, un croassement de corbeaux se fait entendre au loin  sûrement dans les branches des arbres recouverts de neige et dépourvu de feuillage,

Nous franchissions les grilles du cimetière , un regard à droite puis à gauche,  on s'enfonçait dans la neige épaisse jusqu'au genoux, tout en regardant mon tendre époux, ah la bonne idée de mon tendre amour me prendre dans ses bras, je n'aimais ces lieux là où repose les morts pour éternité , un silence pesant, à vous faire peur , un silence lourd, je repensais à cette phrase illisible,

Oui mon ange, tu sais que ce n'est pas un lieu ou j'aime me balader encore moins  pour chercher... je ne sais quoi, mais regarde il n'y a pas un chat,  que le silence et le vent  qui nous gifle le visage, mais quelle idée de venir déranger un tel lieu, à ton avis qui peut vivre ici ? Un gardien de cimetière ?

Nous ne somme pas seuls, il y a du monde lorsque mon tendre époux me déposais à terre  ha  par Pascal des tombes.. ben oui dans un cimetieres? on ne pouvait pas trouver autres choses que des tombes à perte de vue!   mais elles sont ouvertes? on dirait que quelqu'un soit passé par là , à voir les traces de pas , suivant du regard ces  empruntes de pas,ils  menaient   ce qui pourrait être une ......chapelle.... mais pas n'importe laquelle...  celle ci  est romane ,

j’espère aussi mon  ange, sinon je t'assure que le maire va m'entendre, il y a pas idée de nous faire venir dans un tel endroit,

tout en, serrant la main de mon tendre époux, ha ça non je ne risque pas de la lâcher,  nous arrivions vers la chapelle on dirait qu'elle est encore intact mais ? On entend du bruit , attention mon ange, attention que ce ne soit pas des pilleurs de tombeaux,  tout en tendant l'oreille  mais oui il y a du monde  ici

Sa petite promenade quotidienne terminée Melki, rentrait en son repère, un ancien oratoire du temps des Gaules, après la longue traversée du cimetière...  Le bâtiment que l'on nommait communement "chapelle des morts" était composé de quatre culs-de-four égaux en diamètre, dont les arcs portaient une coupole à base carrée, et un porche précèdait l’une des niches qui servait d’entrée.

Ce n’était pas seulement dans le voisinage des cimetières particuliers, ou des établissements religieux que l’on élevait des chapelles des morts. Tous les charniers placés au milieu des villes ou près des églises possédaient un oratoire, quelquefois même cet oratoire n’était qu’une sorte de dais ou de pyramide en pierre portée sur des colonnes, laissant des ajours entre elles, de manière à permettre à l’assistance de voir le prêtre qui, le jour des Morts, disait la messe et donnait ainsi la bénédiction en plein air...


Transformé en chapelle "de la Clarté" au début du moyen âge,  le moine ermite, ouvrit la lourde porte de bois massif de l'édifice qui fut fini en 1019, et qui malgré son apparence était encore fort solide, puis pénétra en son saint lieu.

L’intérieur était complétement dépourvu de sculpture, mais devait probablement jadis, être décoré par de nombreuses peintures, et l'on pouvait constater une absence presque totale de fenêtre.

Nous étions là semble-t'il, dans un édifice comme une de ces "chapelles des morts" que l’on élevait, pendant le moyen âge, au milieu ou proche des cimetières. Non point une église pouvant être utilisée pour le service journalier d’une communauté, même provisoirement. Sa forme ni ses dimensions n’eussent pu permettre de réunir, dans son enceinte, les moines d’une abbaye, et de disposer les religieux d’une façon convenable près de l’autel.


Une porte latérale donnait sur un petit terrain clos de murs et parsemmé de vieilles tombes creusées à même le roc, et recouvertes du blanc manteau neigeux de l'hiver. Les moines en ces lieux devaient apporter le mort processionnellement, et le déposaient sous le porche, les frères restant en dehors.
La messe funéraire dite, on bénissait le corps et on le transportait à travers la chapelle, en le faisant passer par la porte latérale, pour le déposer dans la fosse. On traversait donc la chapelle pour entrer dans le cimetière, qui cependant avait une porte extérieure. Les seules fenêtres qui éclairaient cette chapelle s’ouvraient toutes trois sur l’enclos servant de champ de repos.


La nuit, une lampe brûlait au centre du monument, et, conformément à l’usage admis dans les premiers siècles du moyen âge, ces trois fenêtres projetaient la lueur de la lampe dans le charnier. Pendant l’office des morts, un frère sonnait la cloche suspendue dans le clocher au moyen d’une corde passant par un œil, réservé, à cet effet, au centre de la coupole.

Se signant Melki mit un genoux à terre, puis se relevant, il traversa les lieux pour se rendre à la porte latérale, qu'il ouvrit, et s'éclipsa dans la cour en direction d'une petite dépendance attenante au fond, qui lui tenait lieu de résidence... Il s'appreta à y entrer quand tout à coup...


"Diantre !!!" Quelqu'un était là...  "Une femme ???!!!!" Mais que venait-elle donc faire en ces lieux et seule...?  Se demanda-t'il...

Mais d'autres bruits captèrent son attention, venant a priori de la chapelle...

- Il y a quelqu’un ? Si oui, montrez-vous ?

Apparemment elle ne l'était pas, et la voix ouie était celle d'un homme...

" Que de monde, que de monde soudain..." pensa-t'il !

Se tournant vers sa visiteuse..., et guettant par dessus son épaule pour voir l'éventuel mâle surgir...

- Que puis-je pour vous ma fille ?

En pénétrant dans la chapelle Alazaïs se rendit compte que son intérieur n’était pas aussi décrépis que pouvait en laissait paraître son extérieur. Certes elle était maintenant vide de toutes sculptures ou peintures sur les murs mais la structure n’en demeurait pas moins intacte. La jeune blonde s’arrêta un instant pour admirer les lieux n’ayant jamais eu l’occasion d’en admirer de tels auparavant.

N’ayant que peu de connaissance en la matière Alazaïs pensa que cette chapelle devait servir pour des messes funéraires au vu de sa présence proche du cimetière.  Ceci n’était une fois de plus pas une pensée des plus gaies. Se reportant à son examen de l’architecture la jeune femme remarqua que la chapelle était bien sombre. Même si dehors le temps était assez couvert il faisait tout de même suffisamment lumineux pour éclairer un intérieur.  Mais l’édifice semblait quasiment dépourvu de fenêtres.  Il n’y en avait que trois qui semblait donnait sur un jardin clos.
Alazaïs s’en approcha et aperçut soudain par l’une des fenêtres la silhouette d’un petit homme rondouillet qui se hâtait.

Un sourire éclaira le visage de la blonde lorsqu’elle se rendit compte que ce monsieur portait les habits d’un moine ! Exactement ce qu’elle cherchait !
Au loin Alazaïs avait cru entendre des chiens aboyaient autres que les siens puis des pas se rapprochaient mais elle n’y avait pas prêté garde outre mesure préférant rattraper le moine avant que celui-ci n’entre dans la petite maisonnette, attenante au cloitre et qui devait être sienne.

Le moine l’entendit arriver et se retourna surpris de sa présence et lui proposa son aide.

-Bonjour mon père, je suis navrée de vous importuner mais je participe à une quête organisée par le conseil de la ville d’Eu qui m’a conduite jusqu’ici. Pour être plus précise l’on m’a fourni un parchemin difficile à déchiffrer où je crois que l’on parle de vous. Alazaïs lui montra le parchemin et les phrases qu’elle avait déchiffré au dos de celui-ci. Si vous êtes bien le moine ermite dont il est question il semblerait que vous êtes le seul à pouvoir me révélait des secrets qui je pense m’aideraient dans ma quête. Peut-être pour déchiffrer les hiéroglyphes du parchemin.  Et je crois que je dois pour cela réussir les défis que vous me tendrait. Est-ce bien cela mon père ?

Il y avait du monde ici, pendant que mon tendre époux appelait, tout en visionnant les lieux, regardant vers la chapelle ha un moine,  ça doit être le moine en question, , mais que fait il ? Avec une dame ? Est ce une habitante de la ville participant aussi à l'animation ?  … mais que fait un moine au milieu des tombes?  La porte d'entrée de la chapelle  donnait prés d'un terrain parsemer de veilles tombes,  Nous pénétrions dans l'enceinte de la chapelle, tout en observant les murs, on pouvait entendre parler le moine avec la dame, il n'est pas questions d'aller les importuner pour le moment, i bien sure qu'on aurait pu écouter, mais ce n'est pas très correct de prendre part à une discussion,  alors nous attendions que la dame ait fini pour s'approcher du moine, nous étions en face d'un moine plutôt grassouillet  qui devait aimer la bonne  chair et boire le bon vin,  une bonne bouille en quelque sorte , mais bon nous ne sommes pas là pour juger un moine mais lui demander son aide à résoudre une énigme aussi,

tout en serrant la main de mon tendre époux , je lui murmurais doucement,

je crois mon ange que c'est le moine qui devrait nous aider, bien sure attendons qu'il finisse  conversation avec la dame,


tout en regardant les murs, on pouvait voir des petites fenêtre  une lueur de lumière pénétrait à l’intérieur,   c'est donc ici qui vit les moines retirer du monde,  en ermite, je me demandais bien de quoi pouvait vivre  ces pauvres moines, bien sure, ils ont ce que beaucoup n'ont pas, la paix  du cœur , être en paix avec soi même,  je repensais au pli tomber dans la neige ou des fragments de mot nous a amené ici au vieux cimetiére, seul un moine peut vous mettre sur la voix de la lumiere,et vous guider  voila ce que j'avais pu voir avec mon époux lorsque nous étions sorti de l'église st Lambert  

A la vue du parchemin le visage de l'ecclésiastique s'éclaira et il lui expliqua qu'il allait lui poser une énigme afin qu'elle lui prouve sa valeur. Diantre ! Alazaïs espérait que celle-ci serait dans ces cordes. L'ermite entra donc dans son logis et en ressortit presque aussitôt avec un parchemin qu'il lui tendit. Puis il lui fit part de quelques modalités liées à l'énigme.
La jeune blonde acquiesça puis prit connaissance du nouveau parchemin.

Elle plongea alors dans ses pensées afin de réfléchir à l'énigme et surtout à sa réponse. Puis après quelques minutes de réflexions Alazaïs répondit au moine :

- Si je pose bien le problème mon père nous avons le premier berger qui a 7 fromages et l'autre qui en a 5... Chaque personne a mangé 4 fromages.
Le premier berger a donc mangé 4 de ces fromages et a donné les 3 qu'il lui restait au voyageur.
Le deuxième berger a mangé 4 de ces fromages et a donné son dernier au voyageur.
Le premier donne donc trois fois plus de fromages que le second.

Donc si l'homme offre en signe de gratitude 12 louis, le premier berger devrait obtenir 3 fois de louis plus que le second.
Donc si je calcule... le premier berger aurait du recevoir 9 louis et le second seulement 3.

Par conséquent j'en conclue que le partage n'est pas équitable. Est-ce bien cela mon père ?

Ma voix partait en écho puisque le peu qu’on voyait de cette chapelle résonnait le vide. Ayant point de réponse, je portais mon regard sur les murs privés d’ouvertures et le haut plafond en forme de coupole, je cherchais dans cette pénombre une porte qui devait probablement exister et qui devait communiquer avec l’extérieur car à part la lourde porte d’entrée surmontée par un portique, je ne voyais rien d’autre à part trois fenêtres dans le fond de l’édifice. Me grattant le menton, geste qui accompagnait une certaine réflexion sur les traces de pas qui s’arrêtaient à cet endroit où nous étions et ne voyant point les traces de petits pas partant dans un autre sens, je me demandais comment le propriétaire de ces empreintes avait fait pour disparaître dans l’édifice même. Lorsque mes yeux qui s’habituaient peu à peu à la sombre lumière, s’accrochèrent sur une forme de couleur plus appuyée que celle des pierres du mur latéral droit de l’édifice, je regardais ma douce en lui disant.

Regarde, mon amour, sur notre droite, je crois que j’ai trouvé la porte qui doit communiquer soit avec d’autres pièces ou soit un couloir ou une cour et c’est peut-être là, que nous trouverons ce que nous recherchons. Enfin, espérons.

Serrant toujours la main de ma douce, je la guidais jusqu’à la porte et l’ouvrit doucement. La petite porte s’ouvrait sur un petit terrain clos avec une petite cour dallée qui se terminait en bout sur une dépendance et tout en regardant à droite et à gauche, j’entendis comme des voix qui venaient du fond de celle-ci, face à nous, voix d’une femme et d’un homme entremêlées. Nous nous dirigions vers celles-ci quand l’homme, petit et rondouillard, portant une robe de bure, regardait dans notre direction par-dessus l’épaule de la femme blonde. Je lui fis un petit signe de la main accompagné d’un sourire tout en restant sur place à une distance raisonnable de leur entretien. Je murmurais à la douce.

Tu as raison, c’est bien l’ermite que nous recherchons et je crois reconnaître la jeune femme blonde qui était au départ du château. Enfin, nous sommes dans la bonne voie. Par contre, je me demande bien ce que le moine peut y raconter.

Par  respect nous étions rester un peu en retrait, lorsque le moine nous observait, je lui fit un sourire un peu timide, tenant la main de tendre époux toujours un peu plus fort, bien sûre que je n'avais point peur du moine , mais le lieu si austère me donnait froid dans le dos, par Pascal, un tel silence,  seul, deux voix raisonnaient dans la chapelle , sans que l'on puisse  comprendre à la conversation, et puis ils ne parlaient pas fort non plus, je faisais signe de la tête au moine, lorsqu'il nous fait geste  de nous approcher. je chuchotais à voix basse à mon tendre époux.

La dame blonde ? c'est vrai qu'elle était au départ, juste avant que nous partions sur le traîneau ,  mon amour le moine,  nous fait signe d'approcher.

après que le moine eut donner quelque chose à la dame,bon sang comment ne pas avoir penser à porter un présent au moine, ne serais-ce qu’une bonne bouteille de vin de notre cuvé, mais  malin comme il est mon tendre époux a dut y penser, il  sait que les moines aiment le bon vin et après tout nous sommes en période des fêtes.

Qui sait la quête ne fait que commencer et nous serons peut être amener à revenir voir le moine ?  un sourire plus accentuer se dessiner sur mon visage., lorsque nous approchions tout prés du moine.

Nos respects mon père, nous participons à une quête de la nativité  organisé par  notre maire Esteban et son conseil,  nous avons besoin de votre aide et mon époux détient un pli vous concernant, vous pourriez avoir amabilité de nous aider dans notre quête .  je laissais parler mon époux qui lui détenait le pli en question, et qu’il a  su déchiffrer lorsque  celui-ci est tomber dans la neige .

Mais quelle étourderie, voila que nous nous n' étions même pas présentés au moine et pourtant il a eu la gentillesse de nous recevoir aussi,

Mon père? veuillez nous excuser, nous sommes Monsieur et madame De Lhavilland habitants d' EU, je suis vraiment confuse de cet oubli,  je sais que cela ne se fait pas, nous avons le droit de vous appeler père , mais quel est votre nom? bien sure vous n’êtes pas obligé de nous le dire et nous comprendrions que  vous pouviez taire votre  identifier

tout en l'écoutant nous poser un énigme , tout en fronçant les sourcils,  et bien voila  il nous fallait un moment de réfection à l'énigme,lorsque un sourire , un sourire presque d'ange se dessinait sur mon visage, nous avions presque la réponse, mais je laissais mon tendre époux lui répondre,

Non mon père, elle n'est pas trop compliqué n'est ce pas mon amour ?

Tout en ajustant mon manteau sur les épaules, je ne comprenais  pas comment  des moines pouvaient rester aussi dans une atmosphère  froide d' une chapelle,

Le moine en avait fini avec la jeune personne qui repartait avec un  parchemin à la main. Son regard se reporta sur nous tout en nous faisant signe de nous approcher. L’ermite avait un regard doux derrière ses petites binocles pince-nez et une bonne bouille joviale et malgré une vie de reclus, il se portait bien quant à son nom, inconnu au bataillon. Que faisait-il donc dans un cimetière au lieu d’être dans le monastère du Mont ? Ma douce lui expliqua notre quête d’où notre présence en ce lieu puis je pris la parole.

Mon respectueux bonjour, mon père !

J’allais faire les présentations mais ma douce me devança. Répondre à une énigme pour avoir la possibilité de continuer. Le moine nous donna les directives avant de nous passer un parchemin. Je déroulais celui-ci pour que nous en prenions connaissance. A sa lecture, je soulevais un sourcil puis l’autre faisant de gros yeux. Fichtre ! Il nous avait vus arrivé et ne nous avait pas ratés, le petit bedonnant. Je soulevais le nez du parchemin et de ma hauteur, je plongeais mon regard vers le bas pour atteindre le sien et lui dire.

Vous n’avez pas plus simple ? Non, je plaisante, mon père... Cela demande réflexion tout de même.

Je mettais le parchemin sous les yeux de ma douce tout en réfléchissant puis lui murmurais à l'oreille.

Je crois bien que la réponse est celle-ci, cette phrase est composée de trente-neuf consonnes et de vingt-cinq voyelles. Répond lui, mon amour.

Pendant que mon tendre époux déchiffrait l’énigme , je répondais aussi au moine

Enchantée  de faire votre connaissance  père Melki   pour moi, je suis Héléna et voici  mon époux Wesley, nous vous remercions de votre sollicitude,

bien voila pour la réponse je pense que mon époux en détiens la solution, alors qu'il me chuchoteà l'oreille  de donner la réponse et oui nous sommes en duo pour l'animation, un qui réfléchi et l'autre qui fonce, ha oui je sais mon époux  est un peu  mon frein.

alors nous disions donc mon père

Quels nombres écrits en toutes lettres faut-il inscrire dans chacun des deux espaces libres de cette phrase, pour que son contenu fasse d'elle une phrase autorférente ? Il n'existe qu'une seule solution :

Cette phrase est composée de ..............consonnes et de .........voyelle

cette phrase est composée de trente-neuf consonnes et de vingt-cinq voyelles,

  En espérant que se soit la bonne réponse ,tout en observant le moine, je serrais la main de mon tendre époux, mais que pouvait bien  faire un moine dans une chapelle aussi froide, il n'a même pas un peu de bois pour se chauffer ? Je m'en avait aucune idée à moins que notre maire dans sa  bonté  leur  fasses porter victuailles et de quoi se  chauffer , il est vrai que par un temps aussi hivernal  même un moine pouvait attraper  disons « la mort », j'en avais des frissons, pourtant il semblait en bonne santé et son sourire de bon moine,   même  les plus austères soit ils ? Après tout Esteban premier magistrat de la ville devait savoir les besoins de ses habitants aussi,