[RP] Bureaux de l'Hôtel de ville

Invité

Il aimait ce regard profond de la belle Pénélope dans toute son aura.
Oui c'est vrai que par moment ces regard qui se croisait a fin ce message de complicité et d'affection d'amitié sans retenue.

il entendit les propos de sa Maire préférée

Citation :: Vous allez bientôt avoir un premier procès.

Puis avant de prendre un petit four :
Vous voulez dire deux procès, et si le second est d'ordre politique, car il concerne à ce jour un homme qui a pris de l'importance dans la vie aristocratique de ce pays, et où l'on doit démontrer l'autorité de la souveraineté. De plus, de par vos relations avec lui, un proche de votre entourage devient un ami du mien.
Le premier me touche beaucoup plus et j'y mettrais autant de rigueur que d'attention puisqu'il vous concerne et que même en toute impartialité, il n'est pas question que cela vous blesse en votre émoi. N'oubliez pas que je suis devenu votre protecteur spirituel en quelques sortes et que le soin de votre âme à défaut de votre coeur est aussi mon domaine.

Invité

La nouvelle c'était répandue dans tout le royaume comme une trainée de poudre qui s'enflamme. Aussitôt averti des ordres furent donnés, des passages secrets empruntés et des affiches appelant le peuple de France à se révolter contre cette armée de traitres placardées de partout.

Citation :: Etat d’alerte
De William - 05 Janvier 1650

A tous ceux qui ouïront ou liront ceci,
A tous les habitants d’Ile de France

Qu’il soit su,
Qu’en ce jour du Cinq Janvier de l’an 1650, une tentative de coup d’état pour s’emparer du pouvoir et du trône a été menée par le marquis, François de Nemours, accompagné de troupes dont il s’attira la sympathie alors qu’il fut secrétaire d’état à la guerre.
Qu’il soit su,
Que votre Roy l’est encore, et qu’il ne compte pas abdiquer face à de tels agissements,
Le Roy, plus que jamais, compte sur la loyauté et le soutien de son Peuple, des Français, de vous Tous, envers la Couronne et la France

William d’Elswick
Comte-Gouverneur d’Ile de France

Messages : 27 Date d'inscription : 23/11/2009 Ville : Sur les routes.

Paris brisé, Paris martyrisé, mais Paris libéré... La France avec. Discrètement, toujours, le blondinet continua son œuvre. Il pensait les réussir de mieux en mieux. Encore quelques unes et il en deviendrait maitre. Vive la mairie pour avoir placardé de quoi être griffonné... Début de liberté d'expression ?

[RP] Bureaux de l'Hôtel de ville - Page 6 Na-1753eac

[RP] Bureaux de l'Hôtel de ville - Page 6 Na-1753eac

Citation :: Etat d’alerte
De William - 05 Janvier 1650

A tous ceux qui ouïront ou liront ceci,
A tous les habitants d’Ile de France

Qu’il soit su,
Qu’en ce jour du Cinq Janvier de l’an 1650, une tentative de coup d’état pour s’emparer du pouvoir et du trône a été menée par le marquis, François de Nemours, accompagné de troupes dont il s’attira la sympathie alors qu’il fut secrétaire d’état à la guerre.
Qu’il soit su,
Que votre Roy l’est encore, et qu’il ne compte pas abdiquer face à de tels agissements,
Le Roy, plus que jamais, compte sur la loyauté et le soutien de son Peuple, des Français, de vous Tous, envers la Couronne et la France

William d’Elswick
Comte-Gouverneur d’Ile de France

[/quote]

Invité

C'est encore un matin bien triste pour le royaume qui ce lève devant les événements passés.
Hélas ils étaient trop prévisibles t'en on lisait en eux comme dans un grand livre ouvert.
Le conseil Normand lui avait demandé de réunir tous ceux qui voulaient aller aider.
Enfin cela n'avait plus d'importance maintenant il fallait choisir son camps et nul doute que le leurs de serait au couleur du Marquis !
Il criait il n'y à pas si longtemps : j’y étais ! Et nous lui répondons en ce jour : nous aussi !
Un messager apporta donc encore une fois une lettre à une grande dame, demoiselle de son état, fidèle parmi les fidèles .
.

Ma dame Pénélope D'Estrées ?
J’ai un message pour vous de la par d'un '' demi Français '' Normand d'adoption, allergique à la bêtise.
Mais quelle connerie cette histoire, mais aussi faut bien le dire une franche rigolade ....

C'est en fredonnant une petite comptine qu'il attendait que l'on vienne le délester de sa missive :

Marquis c'est par les c...... qu’à la grille du Louvre nous te pendrons ......

Citation :: Ma chère amie

Aise qu'il sera dit et écrit que je ne pourrais venir vers toi que sous le couvert du canon ?
Je n'imaginais pas mes visites comme cela ,mais puisque la folie de certain impose les actions des autres ,c'est encore une fois parce qu'un fou ,menteur ,manipulateur et dangereux pour l'avenir du royaume le veut que je remonte donc vers Paris .

Je ne serais pas seul, des Normandes des Normands veulent eux aussi aller vers leur souverain, leur si jeune roi qui à besoin d’aide.
Nous montons donc encore une fois vers lui mais cette fois avec la certitude de ne pas y faire figure de faire valoir, mais bien lui prouver que quoi que l'on dise ou pense des Normands ils sont fidèles et sûrement plus noble dans leur cœur que la plupart des francs tireurs qui compose hélas son armée .
Nous voulons la paix, construire et aider, mais encore une fois si cela doit passer par la destruction nous sommes toutes et tous prêt à le faire.

Puisse le tout haut y retrouver dans cette marmelade, les âmes égarées et protéger le roi.

Ton dévoué ami
Godefroy .

Invité

Citation :: A Pénélope D'Estrées
Maire de Paris,

Penélope,

Je tenais par cette présente lettre à t’assurer le soutien de notre province. Je connais la situation difficile que connaît le royaume et plus particulièrement Paris. J’ai envoyé des aujourd’hui des troupes pour t’aider. Je te confirme donc le total soutien de mon peuple normand pour notre Roy Louis-Edouard.

Fait à Eu, le 10 Janvier 1650.

Largo Romanov
Gouverneur De Normandie.

Messages : 361 Date d'inscription : 04/10/2009

Gwen, entourée des normands s'avança vers le bureau de son amie.

Bonjour, bonjour, j'suis La Bulette, Conseillère Normande et Camerlingue. Je pense que Demoiselle d'Estrées nous attend.

Gwen regarda Alexei, serra sa main dans la sienne, y puisant toute la force qui leur serait utile pour défendre leur roi. Les gardes la laissèrent rentrer et elle alla toquer à la porte du maire de Paris

Invité

Alexei avait pénétré dans les lieux l'air grave, serrant fort la main de Gwen dans la sienne. L'heure était difficile pour tous les habitants du Royaume de France et il était plus que temps de prendre les choses en main. Les choses étaient très claires, il fallait s'unir contre les ambitions d'un intrigant qui voulait le pouvoir à tout prix !

Alexei écouta Gwen qui les annonçait et patienta tant bien que mal en attendant que Pénélope les reçoive. Il avait hâte d'en découdre, hâte d'en finir avec tout ça, et hâte de rentrer chez lui avec la certitude que tout serait définitivement pacifié !

Invité

Hiram entre à l'hotel de ville, se dirige vers le bureau du Maire et s'adresse à l'huissier :

Bonjour, voulez vous avertir Madame le Maire Pénélope d'Estrées
qu'un nouvel arrivant à Paris, Hiram, demande audience.

Hiram entend involontairement des bribes de discours...
Ils évoquent des événements graves... Hiram rejoint de suite l'huissier.

Veuillez m'excuser mon jeune ami, mais ne dérangez pas notre Maire...

Le sujet de ma demande d'audience me semble bien futile en rapport des faits graves que je viens d'entendre...
Il serait inopportun de ma part de distraire un part de son temps.
Je lui écrirai quelques lignes... Faites lui simplement part de mon passage, je vous en remercie.

La nouvelle de la disparition du cadastre a peiné Hiram, c'est le but de cette visite...
Il est désireux de remettre en place ce service indispensable à chaque ville, qui plus est... dans notre capitale.

Messages : 1077 Date d'inscription : 04/10/2009

Elle avait laissé la milice aux mains de son meilleur homme d'armes et avait quitté les grilles du Louvre pour venir exécuter les ordres reçu par sa majesté quelques jours plus tôt. Sur son chemin elle avait lu une affiche qui lui avait mis du baume au cœur et qui lui redonnait la force de se battre pour le peuple. Elle arriva dans son bureau, elle se sentit tout de suite mieux lorsqu'elle aperçut les personnes présentes. Elle allait les saluer, un valet passait par là l'interpella et lui fit part d'un message.

Citation :: Mademoiselle, un nouvel arrivant à Paris, du nom d'Hiram, demande audience.

Un large sourire éclaira son visage...Ils étaient donc presque tous là.

Très bien , je vous remercie, cette nouvelle me ravie...Je prendrais contact avec lui...

Elle s'approcha alors de sa mère et de l'époux de celle ci.

Gwen, Aleexei, qu'elle plaisir de vous revoir, avec vous, vous amenez la paix et la fraicheur de ma Normandie chérie...Avez vous fait bon voyage?

leur montre un siège

Installez vous?

Allez vous vous rendre aux grilles au Louvre?

Messages : 361 Date d'inscription : 04/10/2009

Coucou Ma Peny

Gwen s'installa en soupirant

Oui oui... nous allons nous y rendre avec la garde normande. Notre gouverneur est de tout cœur avec toi et tient à la présence de ses troupes. Mais bon, c'est toujours ce... pfttt... quel mauvais exemple de pascalien...

Gwen esquissa un sourire

Avec Alexei, on était juste venu au départ en dilettante et là, tout s'est compliqué... J'espère que ca va aller...

Invité

Hiram s'adresse à l'huissier

Mon garçon, voulez avertir Madame le Maire que j'ai envoyé un pigeon...
Oui... Oui.... à son domicile de la MéSaNge, sa demeure de Hotte Maille !

Messages : 1077 Date d'inscription : 04/10/2009

Pénélope sourit à sa mère voir la Normandie débarquer lui redonnait la hargne qui lui faisait défaut en ce moment. Comté ou liberté et fidélité étaient des mots qui avaient tous leur sens là bas.

Je suis bien peinée (lope^^) de vous savoir dans cette ville où tout n'est devenu que haine et batailles autant verbales qu'avec des coups, mais tout va rentrer dans l'ordre bientôt foi D'Estrées et de fidèle à sa majesté. Ils ne savent pas ce qu'on leur réserve, ils nous prennent pour des idiots qui n' ont pas vu venir la traitrise et bien ils se trompent grandement, tout ceci n'était qu'un piège pour pouvoir les démasquer mais là d'ici quelques jours, sa majesté fera l'annonce qu'il avait préparé et moi la mienne et tout le peuple de France y répondra.

regard en direction de la porte et voit Hiram juste derrière.

Entrer mon cher, nul besoin de vous faire annoncer, les portes sont toujours ouvertes aux parisiens quel qu'ils soient.

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Me trouvant seul au cadastre, maitre Hiram étant sur le terrain en reconnaissance, je découvrais avec un certain plaisir, la missive de dame d'Estrée, décident de répondre promptement. Une très bonne chose que la mairie prenne conscience de l'importance des relevés cadastraux. Dans une ville comme Paris, rien ne peut être omis, pour cela dame d'Estrée, était en tout points d'accord avec notre pensée commune sur cette nécessitée.

Je prenais donc ma plus belle plume , afin de m'appliquer dans mon écriture, il faisait froid et mes mains encore toutes frigorifiées de mon arrivée matinale, tremblaient un peu.

Il n'y avait personne encore dans nos bureau, j'en profitais pour mettre Farouche sur un coussin, une couverture sur elle, bien au chaud, elle dormait toujours après avoir tété.

[i]Ma missive rédigée, il me restais plus qu'à l'expédier, par habitude de travailler toujours tout seul, mécaniquement, je glissais Farouche sous ma chemise, prenais mes affaires, etm'en allais directement porter le pli à la mairie.

A l'accueil, une fois dans le bâtiment somptueux, de par ses ornements, je donnais le message au planton de garde, qui sitot disparu emportant mon message et ses intentions.

Il ne me restais plus qu'à faire demi-tour et m'en retourner dans mes locaux. Le vent me glaçait les oreilles et poutant la vie s'animait encore et toujours immuable dans son rythme quotidien.

Code:: Bonjour Gente dame Pénélope d'Estrées,

Il me semble réaliste aux vues des documents en ma possession, qu'une grande majorité des résidents ne soient plus de ce monde, soit effectivement ils ont déménagé, soit malheureusement ils sont décédés, que Dieu les acceptes en ses cieux.

Un recensement massif des habitants en notre cité, est la meilleur opportunité d'actualiser nos actes et plans de la ville de Paris. Mais peu importe l’état de la personne socialement, nous avons ce qu’il nous faut, pour l’installer.

Ne serait il pas judicieux de faire envoyer par le pigeon de la mairie une missive groupée, je pense que personne comme cela ne peut être oublié, il nous faut aussi préciser sur cette missive divers éléments, nous permettant d'aborder le futur des métiers proposés afin d'équilibrer les intérêts de chaque profession, au lieu d'être, trop ou trop peu dans une activité.

Il serait donc opportun de demander en plus du lieu de résidence occupé ou désirant occuper, le métier de chacun, ainsi que le niveau social, titres et évidement, s'il s'agit d'une femme ou d'un homme, le nom ne le signifie pas obligatoirement.

Je vous laisse à votre convenance le choix, soit d’expédier par la mairie, soit de me donner les moyens nécessaires pour accomplir cette lourde tache

Dans l’attente de vous lire prochainement.

Bien à vous,votre obligé.

Fait à Paris le 26 Janvier 1650.

Adjoint au cadastre Galerand

Messages : 626 Date d'inscription : 24/11/2009 Ville : Saint-Python

Citation :: Bonjour dame Pénélope d'Estées,

Je me vois dans le devoir de vous informer, que le sieur Hiram, mon enseignant est partit très tot ce matin dans un autre royaume que le notre, courroucé, par une missive d'injonction reçu.

Je me retrouve donc seul en ce lieu, j'aimerai vous voir afin de décider ensemble de la continuité ou non de ma fonction sur la ville de Paris, n'ayant que peu appris question dessins, je ne vous suis peut etre plus d'aucune utilité.

Il m'avait donné certains papiers et plans, que je me dois de vous avertir, qu'ils sont protégés, par une signature incrusté indélébile estampillée, il ne me nommait point par ironie, le Cerbère de la grande porte aux colonnes pour rien.

J'attend de vos nouvelles sous peu, je dois mettre en ordre mes tableaux, au cas ou, je devrai, moi aussi déménager.

Mes respects dévoués.

Galerand, adjoint du cadastre de Paris.

Messages : 2283 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : St Pierre de Port

Citation :: Madame le Maire,

Je vous écris en tant que Chancelière du Remensis, et Conseillère aux finances de Reims.
Le maire etant en jugement j'organise et régule les ventes sur notre foire. Cependant au vu du désagrément qui nous toucha il y a peu nous avons perdu bien des données et des denrées.
J'apprécierais donc si vous pouviez rendre service à la terre pascale dont votre père fut le protecteur, en nous envoyant une liste des prix de ventes sur votre foire, ainsi que une liste des denrées que nous pourrions vous acheter si besoin est.

Je vous remercie par avance,

ELisabeth Mézières-Vergy,
Princese de Tingry
Comtesse de Clermont et Tonerre
Chancelière du Remensis
Grande Ambassadrice des Etats Pontificaux
Conseillère aux finances

Messages : 1077 Date d'inscription : 04/10/2009

Pénélope se partageais en deux entre le conseil comtal et municipal. Lorsqu'elle poussa la porte de son bureau de l'hôtel de ville, une missive était posée sur son bureau. Elle provenait de son altesse Elisabeth. En prenant connaissance, elle s'installa.

Un pincement au cœur lorsqu'Elisabeth fit allusion a son père, voilà bientôt un an qu'il l'avait quitté...

Elle sortit de quoi écrire et répondit de suite à la missive.

Posant sa plume, elle aperçut une autre missive, s'en saisissant, elle la lu puis se leva d'un bond, sortit du bureau et se rendit au cadastre.

Messages : 1991 Date d'inscription : 04/10/2009 Ville : Bourges

Un pli arriva sur le bureau de Mademoiselle Pénélope D'Estrées, Maire de la ville de Paris de la part de son filleuil, le Docteur Wesley.

Citation :: Madame Le Maire,

C'est avec une très grande douleur que nous vous faisons part, Mademoiselle Keridwenn D'Aubignas et moi-même, de la perte cruelle de Madame Oriane De Lhavilland, Capitaine du RDR, décédée dans l'exercice de ses fonctions, dans sa seizième année.

Les obsèques auront lieu le 12 février 1650 à dix heures ainsi qu'une oraison funèbre sera célébrée à son intention en la chapelle de "l'Orchidée" au 801 Fbg du Luxembourg à Paris.

Mademoiselle Keridwenn D'Aubignas
Docteur William Philippe De Lhavilland dit Wesley

Messages : 1077 Date d'inscription : 04/10/2009

Les missives arrivaient mais ne se ressemblaient pas du tout. Lorsqu'elle ouvrit la dernière, elle pensa de suite à une bonne nouvelle en reconnaissant l'écriture de son filleul peut être allait il lui annonce qu'il allait être père que son épouse portait leur enfant...Dès les premiers mots, elle devait blanche comme un linge...

C'est avec une très grande douleur
..douleur...très grande...
Penny sentit sa gorge se nouer...

Dieu du ciel non pas encore s'il vous plait... pria t-elle mentalement. Elle reprit sa lecture, sa gorge se noua...Non pas la douce Oriane, elle lâcha la missive et sortit en courant de se son bureau. Les larmes lui brouillaient la vue, elle ne pouvait pas croire ce qui arrivait.

Invité

Jean de part ses nouvelles fonctions ne voyait plus le temps passé, ou plutôt le temps passé avait emprisonné Jean à des taches qui le cloîtrait dans son bureau.
Il se dit en lui-même que de prendre un peu l'air lui ferait le plus grand bien. Son amour de Procureur étant fort occupée sous des piles de dossiers elle aussi. Il lui aurait bien demandé de venir, mais un peu de solitude, ne faisait pas de mal à réfléchir à l'avenir et à ses amis.
D'ailleurs en parlant d'amis, il se dit qu'une visite chez Pénélope lui ferait grand plaisir à elle comme à lui.
D'un bon pas, il traversa le pont de la Seine et se retrouva à l'Hôtel de Ville. Il connaissait bien le dédale de couloirs et d'escaliers de cette grande bâtisse maintenant, et se retrouva à l'angle du couloir qui menait au bureau de Pénélope, quand il reçut un grand coup dans la poitrine à le faire tomber par terre

OUAOUFFFFFFFF

A peine, remis du choc, allongé sur le tapis de sol, heureusement très moelleux, il sentit un corps sur le sien et un visage rouge et en pleurs lui obscurcir toute la vue.

Pénélope?, vous !......... mais vous pleurez, ma parole........qu'est-ce que ceci.

La belle ne put dire mots et la tête dans l'épaule de Jean, finit par évacuer le reste de ces larmes.

Messages : 1077 Date d'inscription : 04/10/2009

Pénélope n'avait pas entendu entrer Jean. Perdue dans ses pensées, elle se souvenait de tous les moments passés en compagnie de son amie Oriane depuis leur première rencontre. Lorsqu'elle se rendit compte de sa présence alla se réfugier dans ses bras et laissa à nouveau les larmes couler, peut être cela apaiserait sa très grande peine.

Pénélope?, vous !......... mais vous pleurez, ma parole........qu'est-ce que ceci.

secouée par les sanglots.

O...or...Oriane...mon... mon... ame...mon amie...elle...elle ...nous a...nous a quitté...

Invité

Jean après la surprise, trouva une Pénélope qu'il ne connaissait point. Elle qui gérait si bien sa ville et n'avait peur des responsabilités, des hommes, des armes, elle qui avait le sang-froid d'un chirurgien en pleine opération ou d'un capitaine de vaisseau en pleine tempête, Jean avait dans ses bras une jeune femme effondrée par la terrible nouvelle.
Il la prit dans ses bras, et comme un bon père, il la réconforta.

Allons!..........Allons Penny......... reprenez vous, je suis là, venez ne restons dans le couloir, ça n'est pas la peine que l'on vous voit dans cet état.

Puis séchant ses grosses larmes avec un mouchoir, il lui fit un baiser sur la joue, le plus tendre possible pour apaiser sa peine.
Venez.......... entrons en votre bureau

L'ayant fait asseoir dans le petit canapé, il lui servi un verre de cherry
Je ne connaissais pas très bien cette jeune femme, mais je me souviens qu'elle m'avait rendu service lors du mariage de votre mère.

Tendant le verre
Tenez...... buvez cela vous fera du bien

Puis s'assit à côté de sa protégée
Allez racontez moi, comment avez vous appris la nouvelle, et comment se comporte son mari à un tel drame

Messages : 1830 Date d'inscription : 06/12/2009

Citation :

Mesdames, Messieurs,

Je vous informe que les sceaux destinés à vous courriers, et divers edits sont desormais disponibles dans le registre sigillaire de la bibliotheque royale de France. Je vous en rappelle l'ordonnance:
- sceau rouge pour les courriers privés dans le cadre de vos fonctions de maire
- sceau vert pour les edits administratifs à caractere perpetuel
- sceau or pour les edits et annonce à caractere courant.

Le sceau rouge ne peut etre utilisé que dans le cadre de vos fonctions. Pour vos courriers privé n'engageant pas votre fonction, vous devrez en faire la demande aupres de mes services.

Pour la France et pour le Roi!

[RP] Bureaux de l'Hôtel de ville - Page 6 Signat10

[RP] Bureaux de l'Hôtel de ville - Page 6 Heraud10

Messages : 1679 Date d'inscription : 04/10/2009

[RP] Bureaux de l'Hôtel de ville - Page 6 Cavalierlancier

le coursier du RDr arriva au devant des portes de la municipalité , le Colonel Keridwenn avait une missive à remettre au conseil municipal.

Il descendit de son cheval

bon PTT tu reste ici et tu bouge pas nous avons encore pas mal de courrier à amener repose toi le temps que j'aille voir le maire Ptt .. on pourrait croire à un sigle comme Petit Travail Traquille .. mais depuis quelques temps les missives fusaient et l'équidé était bien plus sur les routes que dans son box au chaud au milieu de foin à savourer de l'eau fraiche.

le garde arriva au devant de la porte et entra dans les bureau de la municipalité, il espèrait qu'un membre du conseil muncipal soit présent .. sa missive avait comme mention urgent.

Bonjour Madame, je voudrais savoir si Monsieur le maire , conseiller à la sécurité est présent? j'ai une missive important à lui transmettre de la part du Colonel Keridwenn

Messages : 469 Date d'inscription : 09/01/2010

Le maire passait le plus clair de son temps dans son bureau de l'hôtel de ville. Les multiples affaires qu'il avait à traiter ne lui laissaient guère d'autre choix que de s'enfermer tout du jour, lui qui pourtant aimait prendre l'air et travailler sur le terrain. Malgré tout, il répondait toujours aux sollicitations extérieures sans ronchonner. Il s'agissait habituelllement d'un de ses conseillers qui venait l'entretenir d'un quelconque sujet, mais cette fois-ci on lui annonça qu'un messager attendait à l'entrée de la mairie.

Et bien fais le venir dans mon bureau.

Il profita de ce que le milicien retournait chercher le messager pour se détendre un peu, fermant ses dossiers et se servant un verre de vin.

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