[RP] Cathédrale Pascale Notre-Dame de Rouen

Invité

Tifa, en ce jour, avait mis un peu plus d'ordre dans sa tenue afin d'être présentable. Elle avait été avertie de l'arrivée du Roy et se dirigeait, maintenant, vers la Cathédrale où elle devait assister à l'office et accueillir le souverain comme il se doit.

Elle se présenta au service de sécurité qui se tenait sur le parvis et plus particulièrement s'adressa à jeune dame en armes :

Bonjour à vous, je me présente, Dame Tifa, maire de Rouen, je viens assister à l'office et présenter mes respects à sa majesté. J'espère que votre voyage a été plaisant et que votre séjour en nos murs le sera également.

Quant à ce coffret, n'ayez aucune crainte, il contient les clés de la Ville de Rouen que je dois remettre à sa majesté...

Puis-je entrer, je vous prie ?

Messages : 6003 Date d'inscription : 05/02/2010 Ville : Toujours en Normandie ^^

mercedes vit arriver Tifa et alla au devant d'elle

oh ! tifa tu es la , je me suis permise de dire a sa majesté
que tu serais un peu en retard
il est très gentil !!!
(tout est pret pour les festivites )

Invité

Je te remercie, mercedes, voyons maintenant si nous pouvons entrer.

Messages : 1679 Date d'inscription : 04/10/2009

Rouen Paris la route n’était pas si longue, le même cavalier dont le surnom ne faisait pas de doute, PTT faisant la liaison entre les rapports d’Elena et les courriers que le Colonel Keridwenn d’Aubignas faisait.
Du haut de sa monture, il arriva vers les soldats postaient à la cathédrale de la ville où se déroulait la cérémonie avec le Roy .

Courrier du jour ! lança t-il en voyant la soldate habituelle Elena du RDR une missive pour le premier ministre venant de Paris. un regard vers la cathédrale où la musique se faisait entendre.

Attendez peut être qu’il soit sorti pour lui remettre, le cachet urgent n’est pas inscrit dessus.

Spoiler:

le coursier salua la jeune soldate d’un simple geste de la tête et d’un sourire.

Soldat ! je serais à rouen jusqu’à midi, si vous avez un rapport à transmettre profitez de ma venue je vais à l’écurie principale….

Messages : 3405 Date d'inscription : 04/10/2009

La cérémonie avait commencé. Charles était installé un peu en arrière du Roi avec la Duchesse. Le reste de la cour était sur les bancs et autour, les mousquetaires veillaient.

Charles profita de ce moment religieux pour se recueillir un peu. Son esprit se perdit un instant. Il ne fut pas surpris de penser à Kery. Il se demandait si elle dormait toujours chez lui ou si elle était rentrée chez elle. Si elle prenait ses marques et si le personnel s'occupait bien d'elle. Il se faisait déjà une joie de rentrer à la maison et de la retrouver là.

Il releva la tête pour voir l'archevêque continuer la cérémonie. Ensuite était prévue la revue, une petite fête et certainement une nuit de repos avant de prendre la route pour Amiens.

Amiens, une ville qui lui faisait souci tout autant que la caserne. Il n'arrivait pas à comprendre ce qu'il se passait là bas. Pourtant pour le bien des habitants, il allait devoir trouver. Sinon, cette vile courait à sa perte.

Il se mit à penser à la suite. Après retour sur Paris et là le Sacre. Encore un départ. Mais cette fois, il l'emmerais avec lui.

Messages : 1830 Date d'inscription : 06/12/2009

Elle sourit au roi, et deja la ceremonie commençait. Le cardinal entonna le credo, auquel repondait les chants du Choeur et la devotion des fideles. C'etait ce qu'il y avait de bien avec les ceremonies de ce genre. Il suffisait de rester sagement à ecouter l'officiant et de se laisser porter par la priere, et l'angelisme des chants. C'était une ambiance propice au calme et au recueillement.
Elle pria, avec coeur, sans penser à rien. L'heure n'etait pas à considerer autre chose que de se rapprocher du Tres Haut dans la priere.

Messages : 291 Date d'inscription : 31/01/2010 Ville : Paris

Doe commençait à entendre le credo qui était récité lorsque le Soldat Elena s'approcha de lui pour lui parler.

Oui Soldat, tout vas bien de mon coté et vous ?

Doe comprit que la surveillance allait surement durer longtemps et que le Soldat Elena avait peur que l'on s'ennuie chacun dans son coins, enfin ... c'est ce qu'il pensait... Un peu plus tard une femme se présenta pour rentrer, elle discuta avec Mercedes avant de se présenter à la fouille pour pouvoir rentrer.

Soldat Elena, je vous laisse la fouille des femmes et moi je fouille les hommes. A moins qu'on iverse, ça ne me dérange pas le moins du monde ... Allez-y fouillez-là pour contrôler qu'elle n'est pas d'armes sur elle, mais rester polie...

Il lui souria en espérant qu'elle ne prenne pas mal la petite réflexion lancée. Après avoir répondue, Elena alla fouiller la femme qui voulait entrer. Un messager s'approcha ensuite du Soldat Elena lui transmettant une lettre. Celui-ci fit une annonce pour préciser qu'il resterait sur Rouen toute la journée pour donné notre rapport. Doe se dit alors que c'était le bon moment de l'envoyer... Il réfléchit donc à la tournure que prendrais son rapport en essayant de se rappeler tout se qu'il avait fait jusqu'à présent.

Messages : 375 Date d'inscription : 02/02/2010 Ville : Paris

Liet rejoignit les autres devant la cathédrale... Elena et Doe étaient la motivation même... Il était fier d'eux...
Tout avait l'air de bien se dérouler, tout semblait calme, nulle incident n'était venu troubler les dévotions du jour...

Il s'approcha de Doe et Elena, les salua en souriant :

- Tout se passe bien, tous les deux ? Rien de bizarre ou de suspect à signaler ? Si vous avez des questions, demandez-moi... Je suis là pour ça, aussi...

Il réajusta son uniforme, tout en continuant la surveillance vigilante qu'on attendait d'eux... Il pensait à la suite du programme, à ce qu'il restait à mettre en place, se demandant qui il enverrait en éclaireur pour la prochaine étape...

Messages : 291 Date d'inscription : 31/01/2010 Ville : Paris

Doe vit le soldat Liet approcher...

Non Lieutenant, rien de suspect pour le moment, espérons que ça continue ainsi ... Sinonpas de question pour l'instant mon Lieutenant, merci.

Elena en discution avec le lieutenant Liet et le soldat Doe, vit arriver un courrier s'arrêtant devant elle , lui tendait un message.

- Soldat Elena tranmettez ceci au premier ministre

- je vous remercie , je transmet de suite ?
,
Attendez peut être qu'il sorte, un pli urgent , non surement pas si c'est urgent , il vaut mieux lui remettre discrètement .

Elena enlevait son épée, son arme.

sodat Doe , puis-je vous confier mes armes s'il vous plait ? ; il ne faut pas que j'entre dans la cathédrale avec..

- Je dois voir le premier ministre, un pli venant de Paris.

Elena entrait dans la cathédrale aux chants allégresses, chercher le premier ministre , tout en visionnant le monde, il est vrai qu'il y avait beaucoup de monde.

Mais ou est il ? se dit elle , quand elle l'aperçut de dos juste en arrière du roi, tout près des mousquetaires.

Doucement la jeune soldate avançait jusqu'à lui , elle devait être rouge comme.. ba vaut mieux pas savoir , jusqu'aux oreilles, longeant l'allée, s'excusant des personnes qu'elle devait bousculer sans intention, arrivait derrière le premier ministre, en se penchant, lui tend les message, lui parle tout bas.

Monsieur le premier ministre , veillez excusez mon intrusion, mais un pli urgent venant de paris pour vous.

Spoiler:

Elena restait là , auprès du premier le ministre , elle n'osait pas bouger d'un pas , de plus elle se trouvait pas loin de ses majestés quelle aubaine pour elle, de les voir de très prés

Messages : 635 Date d'inscription : 12/10/2009 Ville : Rouen

Jean s'agenouilla un trés court instant puis pris le livre saint , l'éleva pendant ce temps les enfants de choeur encensait le livre et l'officiant , une fumée douce et légère embaumé la cathédrale, il le posa avec respect et d'une voix clair et douce il commença.

Citation :: Livre de St Pascal

c'était un magnifique soir de printemps, Rouen était en effervescence. En effet la ville allait recevoir Pascal l'enfant du bourg, tout était prêt pour le recevoir.

Pascal arriva en ville , l'accueil était des plus chaleureux et il décida de faire le tour de la ville afin de renouer avec ses habitants, car en effet cela faisait longtemps qu'il n'avait pas converser avec un rouanais. Il parcourait les rues lorsque tout à coup il entendit des cris , intrigué il se dirigea vers la source sonore de la cause de sa curiosité. Deux Hommes étaient en train de se disputer assez violemment au limite du contact physique, Pascal les séparaet leur dit

Mes enfants pourquoi tant de violence, quel est la source de vôtre litige ??

un des deux hommes reprit quelque peu son calme afin de répondre avec respect à Pascal et lui tint se language.

Père Pascal nous nous disputons car nous avons des points de vue diffèrent comment appliquer vos préceptes

Pascal sourit et leur dit calmement

Mais mes enfants vous avez tous les deux raisons , car peu importe la manière dont on applique mes principe venant du trés haut mais l'important c'est de les suivre

à ce moment là les deux hommes firent la paix et la fête reprit son cours

Jean pris un temps trés court de silence et répondit

Mes enfants, vôtre Majesté, vôtre Altesse le texte que nous venons de lire résume comme vous l'avez entendu deux hommes au point de vu différent à la limite des gestes pour un seul point de vue alors que le principal c'est le précepte que Pascal nous à enseigner. Le texte que j'ai choisi de vous lire ressemble étrangement à une histoire vrai non pas celle de deux hommes se disputant mais deux était , l'état religieux et l'état royal, leur point de vue ont diverger oubliant parfois l'essence même du pascalisme, aujourd'hui ils ont retrouvé leur racine et se dirige vers la voie de la réconciliation reconnaissant le droit divin royal.Certes les point de vue divergeront encore mais l'essentiel c'est de ne pas perdre les principe que Pascal nous a donné

Messages : 131 Date d'inscription : 02/11/2009

Muguet, curieux de nature, avait tenu à voir à quoi ressemblait ce nouveau Roi !
Il suivit de loin le cortège Royal et le vit entrer dans la Cathédrale.
Il était impossible de s'approcher tant la foule était dense tout autour du cortège.

Se souvenant avec tristesse de son dernier contact avec un Roi prédécesseur de celui-ci, il se garda bien d'approcher davantage.
Bien sûr, Elisabeth n'était pas de la fête ! Muguet n'avait plus de nouvelles d'elle et il ignorait où elle en était exactement de ses démêlés avec la Justice Royale.
Pas de Pénélope non plus ! S'était-elle décidée à s'enfermer dans un couvent ou à épouser son prétendu fiancé ?
L'un ou l'autre ne poussait pas Muguet à la retrouver.
En revanche il aperçut avec plaisir Doe en bel uniforme militaire, ce qui le changeait de sa robe de magistrat qu'il portait au temps où, juge clément, il avait prononcé un non lieu dans une affaire qui ne faisait pas honneur à Muguet.

L'office religieux risquant de durer longtemps, Muguet s'enfonçant dans les ruelles Rouennaises chercha un jardin tranquille pour y somnoler quelques temps.

Messages : 570 Date d'inscription : 01/06/2010

Qu’il était bon être en ce lieu.
Si le créateur était en tout lieux égal, l’homme était plus proche de lui, de la compréhension, de la méditation ici même.
Alexandre se posait, posait son âme, ces désirs, ces doutes ici même.
Et Dieu lui répondait, comme toujours.
Etre soi-même, ne pas douter, faire ce que l’on pensait juste.
Celui qui ne fait rien, ne fera jamais d’erreur, mais était t’il bon pour autant.
Se laver de ces pêchers, le Roy n’y tenait pas, son âme ira souiller retrouver le créateur, pour qu’il répare ou accepte, chacune de ces erreurs.
En cela Alexandre n’avait pas de doute, son devoir était de rendre au royaume sa grandeur.
Il écouta le prêche amusait du Cardinal.
Il n’avait pas eu besoin d’explication pour le comprendre.
Ni comprendre se message, plus politique que spirituel.
Toutefois Alexandre savait que le royaume de France et l’église était indissociable.
Le Roy se leva, avança vers l’autel fit une génuflexion se signa et franchit les marches qui le séparait du Cardinal.

Cardinal, je ne tiens à troubler cette cérémonie.
Mais votre prêche est pour moi, un tel réconfort que je ne pouvais me taire en ce lieu.
Cette maison de tolérance, liberté et d’amour.

Alexandre sourit de sa comparaison, que chaque esprit suivant qu’il est bon, ou mauvais, pouvait interpréter à sa convenance.

Je ne puis qu’être d’accord avec votre interprétation.
Et nos racines sont communes, l’état religieux et l’état royal suivront le précepte de Pascal.
S’il y’a querelle, cela ne pourra être que querelle de frère.
Et il va de soit que comme ces deux hommes.
L’un ne pourra se prévaloir d’être plus proche de Pascal que l’autre.
Tout religieux soit t’il.

Le Roy sourit de nouveau, mais il s’agenouilla et baisa l’anneau du Cardinal.

La foi est aussi mienne, et c’est un beau jour.

Messages : 3405 Date d'inscription : 04/10/2009

Charles sentit une petite main le toucher. Le soldat Eléna était là à lui glisser un petit mot. Il portait le cachet du Colonel Keridwenn. Par respect il le laissa fermé et remercia la jeune femme.

Le Roi se leva soudain après le prêche de l'Archevêque. Aussitôt le Prince se leva, en se signant. En aucun il ne pouvait rester assis alors que son roi ne l'était pas. Ce dernier s'agenouilla alors, entrainant la salle avec lui. Quelques bruits et murmurent résonnèrent dans la grande cathédrale.

Les mots du discours avaient été des plus clairs. Ce qui fit penser Charles à cette foi qui le travaillait tant depuis des mois. Une réconciliation avec Pascal...voilà ce dont il avait besoin. Il fallait qu'il lise et relise les préceptes. Qu'il s'en imprègne de façon à comprendre son malaise. Croire n'était pas attendre que quelque chose se passe. Lui attendait depuis bien longtemps et il était peut être temps de réagir.

Le discours du Roi sonnait la fin de l'office.

Messages : 291 Date d'inscription : 31/01/2010 Ville : Paris

Elena s'avança vers Doe et lui confia ses armes pour pouvoir entrer dans la cathédrale.

Bien sûr Soldat, donnez-les moi, je vais vous les garder le temps que vous reveniez.

Elena s'en alla retrouvé le Secrétaire d'Etat à la Guerre pour lui remettre l'enveloppe. Pendant ce temps Doe tenait les armes de la jeune Soldate tout en surveillant. Il cru voir un homme dont il avait jugé la destiné quelques mois plus tôt, mais il n'en était pas sûr, cela dater depuis leurs dernière rencontre et peut-être que son souvenir du visage de l'homme c'était erroné avec le temps. Mais le lieux correspondait bien. Doe se rappelait que Muguet devait se rendre à Rouen après le procès, mais il ignoré s'il était resté en ville ou s'il s'était déplacé. Mais de toute façon, l'homme s'éloigna, il n'y avait plus de raison de se souvenir si oui ou non c'était bien lui, d'ailleurs, il ne se souvenait même plus pourquoi il avait été jugé...
Elena ressorti de la cathédrale sans le pli du Colonel, Doe lui tendit ses armes.

Tiens je crois que c'est à toi J'ai vérifié j'ai déjà les miennes Alors qu'est-ce qu'il se passe dedans ?

Le temps que tout le monde se lève pour le prêche du cardinal, le roi se levait aussi, ainsi que le premier ministère, pour la jeune Elena , un moment très fort de louanges, elle pouvait voir les visages sereins de certains, plus sombres des autres, très recueilli les uns que les autres,

Aussi Eléna profitait tout en se signant du geste Pascal, doucement se retirait à reculons, elle aurait bien aimée rester, son devoir, l'ordre reçut du premier ministre, rester sur le parvis avec les autres soldats. Elena lui avait donné discrètement le message.

Quand finalement se trouve au dehors, la lumière un instant l'aveugle, dans l'ombre aperçoit le soldat Doe à qui confier ses armes.

- Oui c'est bien à moi, mon épée, mon arme, je vous remercie, sinon je ne pouvais pas entrer.

Elena tout en ajustant son uniforme, glissait son épée à son ceinturon, ainsi que son arme, répondant au soldat Doe.

- Soldat, c'est très recueilli dans la cathédrale, on dirait que la main de pascal, je ne sais comment dire, mais le prêche du cardinal est très vrai au sujet de la venue de Pascal à Rouen.

Vous savez ? un matin de printemps tout est en effervescence au village, et pascal demande pourquoi vous disputez vous, alors les deux hommes ne se disputaient pas, ils ont des avis différents.. D’après ce que j'ai écouté, c'est vrai que nous pouvons ne pas avoir les mêmes idées, mais cela ne nous empêche pas d'être amis sans violence.

- Et cela je viens de retenir, peu importe qui a raison où pas, car les deux ont raison; le tout c'est que tout le monde s'entendent bien, sans haine, sans rancœur, sans mauvaises pensées.

Citation :: Mais mes enfants vous avez tous les deux raisons, car peu importe la manière dont on applique mes principe venant du très haut mais l'important c'est de les suivre.

Elena visionnait à nouveau les lieux au xcotés du soldat Doe, où les badauds se sont réunis pour venir voir le roi , la princesse, surveillé sous hautes gardes.

Messages : 291 Date d'inscription : 31/01/2010 Ville : Paris

Doe vit Elena ranger ses sa rapière pendant que celle-ci répondait. Elena paraissait ailleurs, comme si elle avait été subjugué par quelque chose, d'ailleurs quand elle parlait Doe croyait vraiment cet endroit magique.

C'est plus facile à dire qu'à faire ... Quand tu défend ta position des fois tu t'emporte un peu trop, voir beaucoup, mais le fait est que tu ne peut pas rester tout le temps calme. Ces paroles sont pleines de sagesse mais pas toute la population obéira à ces paroles ... Malheureusement ...

Doe baissa le regard quelques secondes, laisser son regard au sol pourrait devenir très dangereux pour le Roy et le SEG. Il releva donc les yeux vers les Rues de Rouen afin de voir une éventuelle menace.

Bon... je vais faire un tour histoire de vérifier l'arrière de la cathédrale ou de demander comment se passe la surveillance derrière s'il y a des soldats. Ca te dérange pas de rester là sans moi ?

Doe se retourna et commença a faire le tour de la cathédrale. Il laissa la Soldate Elena seule devant la porte, en cas de problème majeur elle n'aurait aucun mal à appeler de l'aide si aide elle avait besoin. De toute façon, il ne comptait pas s'éterniser. Une fois son tour de garde terminé un autre soldat se baladerait autour de la cathédrale, s'il n'y avait aucun garde surveillant l'arrière. Les quelques petits cailloux qui trainaient autour de la cathédrale crissaient sous ses bottes. Aucun déplacement en silence n'était possible, et c'était seulement maintenant qu'il s'en rendait compte. Il y avait toujours eu quelqu'un a coté de lui avec qui parler, il ne faisait pas attention au bruit de ses déplacement jusqu'alors. Mais ça le rassurait un peu, tout individu voulant s'approcher de la cathédrale serait immédiatement remarqué.
Quand il amorça son changement de direction il regarda derrière son épaule et pu voir la Soldate Elena qu'il avait laisser quelques instant plus tôt scrutant l'horizon. Quelques seconde plus tard, il ne voyait plus l'entrée de la cathédrale, seulement d'autres rues, d'autres personnes, d'autre échoppes.

Messages : 169 Date d'inscription : 04/10/2009

La messe royale se terminait et le service de Lauranna devait reprendre, si tant soit peu qu'il fut interrompu. elle commença à se placer à proximité du Roi et s'agenouilla comme le reste de l'assemblée, il ne restait plus qu'à celui ci de donner le départ une fois sa prière faite.

La Colonel avait enfin retrouvé ses repaires, surement le passage dans ce lieu saint l'avait réconcilié avec le très haut, bien qu'elle ne fût pas fâché, mais cela faisait bien longtemps qu'elle n'y avait pas mit un pied, le travail qu'elle devait assumer ne lui laissait guère le temps pour la prière.

Elena regardait le soldat Doe s'éloigner d'un regard furtif, observe la foule. que se passe t'il ? pourquoi le soldat Doe eut cet air sombre d'un coup? Elena lui aurait dit quelques chose qui l'ai troublé à ce point ?

elle restât là un moment à bien garder sa place, a t'elle eut raison de lui parler ?.

il lui avait dit plus facile à dire qu'à faire , toute une population obéira à ces paroles ? qu'est ce que cela voulait dire? elle ne le saura surement jamais.

Elena a osé parler au soldat, devait elle avoir des remords? aurait elle dut ne rien dire?, faire comme elle a toujours fait, se taire, écouter.

quand la messe allait prendre fin, il lui aurai été facile de regarder ou se trouver le premier ministre , se mettre derrière lui et comme l'avait dit le colonel, " ne pas le quitter d'une semelle" mais la foule les paroissiens allaient tous sortir, s'incliner devant le roi, et si un incident survenait à ce moment? non ce n'était point possible , il y a assez de gardes vigilent, les mousquetaires, les grades royales , la caserne du RDR , aussi l'esprit tranquille , enfin presque, Elena aurait bien voulu voir son tendre aimé Wesley, elle n'a même pas pu l'approcher pour lui signaler sa présence.

Messages : 1830 Date d'inscription : 06/12/2009

L'omelie parlait de la divergence d'opinion, mais surtout de la reconciliation. Les mots penetraient la duchesse, comme rarement. Il y avait peu, le pape l'avait bannie de l'Eglise, pour un pretexte idiot, une mauvaise interpretation, une mauvaise comprehension. Depuis les choses s'étaient arrangées. Et elle pouvait à nouveau entrer dans les eglises pour prier.
Mais elle pensait à une autre reconciliation.
Quelques heures plus tot, son frere était revenu des ameriques. Un frere honni, banni, renié.
Peut-etre qu'il etait temps pour elle de faire la paix avec ce frere si different...
Elle sourit au roi.
L'office etait terminé. Ils allaient devoir maintenant surseoir aux divers invitations et solicitations.

Messages : 3100 Date d'inscription : 10/10/2009 Ville : ROUEN

ANJHELY avait assisté à l'office et avait été très touchée par le message du cardinal qui était aussi son ami.

Parmi l'assistance elle avait reconnu des amis mais aussi sa soeur et son frère. Elle savait qu'ils étaient là pour leur travail. Lui devant assurer la protection du roy. De ce fait, elle savait garder sa place, elle n'alla pas les déranger. Elle n'était rien et pensait que se retrouver devant tout ce beau monde n'était pas pour elle. Qu'allait-elle faire sortir ou attendre que le roy sorte?

Messages : 2647 Date d'inscription : 04/10/2009

Rejoindre Over, lui demander pardon...affronter ces types parce qu'il était certain que ça se finirait ainsi...assurer sa mission auprès du Roy...tout se bousculait dans sa tête, il resta debout, masqué derrière un pilier, tout le temps que dura l'office absorbé dans ses pensés comme s'il était en train de méditer sur ce que venait de dire le Cardinal mais ce n'était pas ce qu'il faisait et ce n'était pas bien compliqué de deviner vers où elles étaient tournées.

Le raclement des sièges sur le sol le sortit de cette fausse-vrai méditation et ses réflexes reprirent le dessus mais ça restait encore assez mécanique le corps ici et l'esprit à des centaines de lieux de là. Il fit placé ses hommes de manières à former une haie pour que le roy puisse sortir en toute sécurité, enfin pour l'atteindre il fallait tout de même être sacrement motiver parce qu'il fallait en abattre des hommes et leur lame n'était pas tendre !

La lumière du jour enfin ! La suite du programme...il n'en avait qu'une vague idée...en fonction des envies du roy surement même quasi certainement en sortant Firenze remarqua un visage il n'osa pas regarder plus longtemps, trop de souvenir se rattacher à elle...un fois le roy dans le carrosse en compagnie de la princesse il renvoya une partie de ses hommes vers la résidence du souverain pour sécuriser les lieux puis il monta sur son cheval.

Messages : 291 Date d'inscription : 31/01/2010 Ville : Paris

Doe termina de faire le tour de la cathédrale, il n'avais vu aucune personne suspecte lors de sa ronde. Arrivé près de la porte, il entendit des bruit de chaise raclant le sol il se rapprocha de la Soldate Elena. Il regarda devant lui et dis avec le sourire.

Il est temps de reprendre notre balade...

Doe se rapprocha de la porte, en attendant que le Roy et le SEG sortent de la cathédrale...

Messages : 635 Date d'inscription : 12/10/2009 Ville : Rouen

Jean vit le roy s'agenouiller, se signer et venir lui parler. Le cardinal apprécia trés fortement son discours, le vit s'agenouiller de nouveau et lui baiser son anneau et répondit

Je suis heureux que mon sermon vous ai plut vôtre majesté , en effet comme vous le souligné nous sommes frères et cette réconciliation est une chose qui me va à ravir

puis la cérémonie se terminant il prononça l'envoie

Mes bien cher frères et sœurs , vôtre majesté , vôtre Altesse, en vous souhaitant une bonne journée que st pascal et le trés haut vous garde à la sortie de la cathédrale la brioche Pascal vous sera offerte

la musique Royale résonnait dans toute la cathédrale près à accueillir le cortège royal

Messages : 3405 Date d'inscription : 04/10/2009

Au son de la musique royale jouée par quelques musiciens chevronnés, Charles se leva et suivit le Roi jusqu'à la sortie. Il fit un signe au colonel Firenze et à Lauranna pour qu'ils sortent les premiers et sécurise la sortie.

Devant la porte, le cortège stoppa. D'un geste il décacheta la missive de Kery et fronça les sourcils en lisant son contenu. Quelle était donc cette histoire avec Cylouan et Esmée. Il interpella le lieutenant Liet et changea ses ordres.

- Lieutenant, partez de suite sur Amiens avec le soldat Doe et le caporal Adamante. Vous fouillez toute le ville et la campagne alentour et vous me retrouver l'anspessade Cylouan ainsi que sa mère, Esmée. Il semble qu'ils soient tous les deux à Amiens. Si jamais vous les voyez avant mon arrivée, conduisez les sous bonnes gardes à mon domicile. Interceptez toutes personnes qui se mettra en travers de votre route.

Charles jeta un oeil à Léonore et lui glissa la missive.

- Je vous devance pour la revue Duchesse. Conduisez le Roi. Demain nous serons à Amiens, je m'occuperais de cette affaire. Le RDR va sur place immédiatement.

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