[RP] Eglise de la Fraternité Pascale St Lambert

Suite à un échange épistolaire, Fulgence, qui était arrivé y a quelques jours à Eu, se présenta à l'église. Il entra dans l'église, long poignard à la ceinture, dans des vêtements assez misérables. Il s'avança vers les hommes déjà présent dans l'église, et ce présenta.

"-Messirs, je suis Fulgence Fontenoy !"

Citation :

"-Messirs, je suis Fulgence Fontenoy !"

le doc se retourna

"Messir Fontenoy, heureux que vous soyer venue si vite, Je suis le cardinal delarosa et voici Messire wesley, j'en espérait pas temps de votre ponctualité"

son cheval nerveux fulmina en levant la tète, il était vraiment temps d'y aller.

"Messir fontenoy, faite se pourquoi vous êtes la, mettez un peu d'ordre dans cette église et prêcher la parole de pascal, Wesley on y va"

il tira sur les reine et son cheval dévala le parvis, la compagnie de garde a cheval le suivit dans un bruit de sabot, rapière en main et bannière levée .

La nuit avait été très longue, et le maire s'était affairé à accueillir les réfugiés venant de toutes parts, recrutant au fur et à mesure les volontaires civils, désireux de prendre les armes et de défendre la ville. Fort déjà d'une centaine d'hommes valides, c'est au coté nord du parvis de l'église qu'il les faisait se regrouper, les armant avec le peu qu'ils avaient amené ou que la mairie avait de disponible, afin plus tard de les scinder en groupes qu'il confierait à leur chef respectif, désignés peu avant cela en accord avec les Cardinaux... Des éclaireurs avaient battu la campagne, cherchant traces de ces bandits et avertissant au gré de leur galop la population environnante de la menace qui planait, les incitant ainsi à se retrancher sur Eu, dont on organisait hâtivement la défense...

Esteban commençait sérieusement à manquer de sommeil, la faim le taraudait aussi par passade, et il décida de s'accorder une pause, cherchant dans sa besace de quoi se restaurer... Il marqua soudain un temps d'arrêt, il venait de refaire le point sur les événements de ces dernières heures, et il se rappela avoir laisser Gontran et sa fille à la mairie... Il ne pouvait en être ainsi et les abandonner à leur sort, il se serait bien mit lui-même des coups de pieds dans l'arrière train, de les avoir quasi oublié. Faisant fi de son rôle prédominant, estimant qu'une certaine accalmie régnait maintenant, l'homme décida d'aller les chercher au plus vite.

L'aurore pointait ses douces lueurs dorées, quant il revint accompagnant les deux rescapés du Crotoy, leur mule et une charrette remplie de vivres et de couvertures...

Apercevant de loin Wesley en compagnie du Cardinal Delarosa, il le héla pour qu'il vienne à leur rencontre...

- WESLEY ! Mon ami..., venez vite...! La demoiselle a été malmené par ces barbares, elle et son père sont les seuls survivants du Crotoy. Voyez ce que vous pouvez faire pour elle dans l'immédiat et revenez de suite sur le parvis, que l'on s'organise enfin !

Ces paroles s'étaient évanouies dans les airs, submergées par le brouhaha des fers des chevaux, qui emportaient son ami et la garde du Cardinal vers d'autres horizons... Parmi les personnes attroupés sur le parvis, il discerna Hélèna et puis coco dans des tenues guerrières qu'il venait seulement de prendre en compte, et qui ne seyaient guère d'ordinaire à des dames... Mais pour l'heure, il admit qu'elles avaient leur place.

- Coco, Hélèna... Je vous retrouve enfin... comment cela se passe ici ? Avons nous encore de la place en l'église ? J'ai ramené encore des vivres et des couvrantes dans la charrette..., remettez vite cela à leurs dispositions, et que des personnes se charge de la répartition aux plus nécessiteux...

- Venez de suite après, les hommes valides nous attendent là-bas... Levant le bras au nord du parvis pour indiquer l'endroit, l'on pouvait apercevoir dans les lueurs matinales des formes humaines attroupées, certaines debout, et d'autres allongées... Il est temps de constituer les groupes de défense et de les affecter. Y a t-il eut d'autres événements ou consignes depuis... ? Et où Wesley est-il parti ? Y a d'autres médecins en l'église...?

Fulgence était à peine arrivé, que déjà le cardinal s’élançait suivit de la garde pontificale en guerre contre ce pirate. S'il s'était présenté au cardinal Delarosa, c'est que Fulgence voulait devenir inquisiteur. Ce même Delarosa l'avait fait venir dans l'église de la Fraternité, et maintenant, Fulgence se retrouvait seul. Un inconnu parmi, la masse de monde qui venait chercher abri et refuge au sein de l'édifice pascalite.

Juste devant l'église, plusieurs personnes, surtout des familles des campagnes alentour de Eu, s'étaient réunit. On pouvait voir aussi une pille de caisse entreposé. Cela ferait une parfait estrade pour Fulgence, qui les grimpa. Une fois, en haut, il se mit à parler comme pour capter l'attention de tous.

"-Chers fidèles ! Les temps sont durs ! Le démon est arrivé, il a vogué par dessus les eaux et aujourd'hui se trouvent aux portes de notre sanctuaire. A l'heure même où je vous parle, la garde pontificale, en sa très prestigieuse mission, est parti pourfendre ce monstre de feu et de haine. Et, je ne doute pas un instant que les hommes du cardinal Delarosa seront capable de vaincre avec bravoure l'hérésie qui touche ce pirate. Mais en attendant, entrez dans l'église, et prions ensemble pour le salut de nos saint défenseurs qui périront. Mais prions aussi afin que la lame tenu par le bras de Dieu, renvoi ce monstre dans les abîmes de par delà les mers !"

Delarosa n'avait pas réellement donné d'ordres à Fulgence, qui se trouvait quelques peu perdu. C'est pour cela, qui s'occupa d'accueillir les fidèles, et de les aider à s'installer temporairement dans l'église. Jusqu'à que ce pirate soi chassé, où qu'il reçoive d'autres ordres !

Certains se mirent a entrer dans l'église, mais Fulgence vit un attroupement sur le parvis nord de l'église. Il descendit de ces quelques caisses, et prit le pas de courses vers eux.

"-Sir ! Je me présente, je suis Fulgence Fontenoy, c'est le cardinal Delarosa qui m'a dit de me rendre ici, afin d'aider sa très Sainte Eglise Pascale à ne pas tomber dans l'hérésie. En quoi puis-je aider ?"

Il n'y avait pas tant de chaos en l'église d'Eu. L'ordre mouvementé qui y régnait était typiquement féminin. C'était peut-être pourquoi les hommes ne voyaient pas à quel point on s'organisait bien. Tout, aux yeux d'Oksanna fonctionnaient plutôt bien.

En compagnie de Zelina, d'Anne-Laure et de quelques autres femmes, elles triaient des vivres, organisaient l'infirmerie improvisée et rassuraient la population.

- Nous aurions besoin d'une plus grande salle. Il devra avoir un hôpital de construit en cette ville sous peu. Cela aurait été bien pratique aujourd'hui. Nous ne serions pas obligée de réserver la Nef pour faire une infirmerie de fortune.

Oksanna parlait en général aux femmes. La petite fille aux boucles sombres s'accrochait toujours à elle et elle ne souhaitait pas la laisser seule. Elle rejoignit les frères dehors qui emportaient du lait, du pain et d'autres denrées et leur indiqua où déposer la marchandise avant de retourner rejoindre Zelina et Anne-Laure.

- Nous sommes prêts à tout, je crois. Il n'y a pas moyen de faire mieux pour l'instant ici.

Maintenant que les soldats partaient, un certain calme emplissait la chapelle et on pouvait y retrouver l'ordre que les femmes y avaient mis.

Achille écouta les ordres du Doc.

Il se dirigea en direction de son groupe et s'adressa à eux.

bon! Vous avez entendu les gags? En selle, nous partons

Achille monta sur son cheval et attendit le Doc pour partir.

Wesley en moins, cela inquiétait fortement le maire, surtout qu'il était à sa connaissance le seul médecin des lieux...

- Hummm organiser la défense, oui nous le faisons déjà et ces hommes là-bas sont tous des volontaires... J'aurai effectivement besoin de toi, pour commander un groupe d'hommes et vous affecter un point stratégique à défendre en ville... J'avais escompté sur la présence de Wesley, il va falloir trouver un ou des remplaçants... où est koubiak le Capitaine de Port ? Il nous serait bien utile... espérons qu'il ne soit pas parti pour Rouen... sinon quelqu'un a t-il vu messire Adamantes ?

Tout en discutant il entraînait le petit groupe vers les hommes attendant à une cinquantaine de mètre au nord du parvis...

la cavalerie de la garde partie au galop, le doc en tète s'arrêta au coin de la place lorsqu’il vit angélique et Achille, les dernier retardataire.

Citation :

Bonjour Doc, désolée pour le retard mais je n'étais pas en Normandie ! je suis à vos ordres !

"Capitaine, heureux de vous voir." son cheval tournoyais sur lui même "Allez voir le maire Esteban et MLLE COCO sur le parvis de l'eglise, ils vous feront un bref topo de la situation et de nos mouvements, vous restez avec Eux, ils sont en train de former des groupes d'hommes en armes, ils vont vous en donner un. vous serez notre arrière garde, dés que vous êtes prêtes vous partez défendre les rempart de la ville, voyer avec esteban. que pascal vous garde..."

il vit arriver Achille, il lui fit signe qu'il fallait partir.

Citation :

Cardinal Delarosa, je vous suit aussi, souvenez-vous aussi que j'ai été militaire et que je sais me battre

"Bien, vous nous suivez, mais vous restez en arrière ou avec votre marie, pas d’axée de courage, on n'en n'a pas besoin, ALLEZ YAAA"

Helena avait pris la poudre d'escampette a la suite de Doc, elle voulait aller sur le terrain et se battre plutot que de rester sur place et attendre sans savoir quoi ... Elle ecouta les questions d'Esteban, puis une fois qu'il eu fini elle lui repondit

Koubiak, je ne sais pas, il est peut etre en train de rapatrier les derniers villageois, je ne peux te dire il n'a pas donner de nouvelle, Adamantes devrait arriver il a ete informer par Anne, mais le port n'est pas a coter, et je pense que le temps qu'il s'equipe et prenne ses affaires il lui faut un peu de temps. Et puis vu qu'il est de la marine il va peut etre organiser une equipe se soldat pour surveiller que les pirates n'arrivent pas par la mer.

Puis elle vit Mercedes arriver et lui demander si il y avait besoin d'aide

Oui ma belle on va avoir besoin, si tu peux acceuillir les villageois qui vont arriver, Luc et ses gardes sont parti pour evacuer les villes voisines et nous les envoie ici et donc ils vont avoir besoin d'etre orienter si tu peux faire ca, ca serait bien utile et puis je sais que si il y a des enfants tu sera comment les calmes.

Puisse tournant vers Esteban.

Je suis prete dit moi ce que je doit faire ...

C'est a ce moment la qu'Antoine arriva, elle le salua de la tete, il n'avais pas du la reconaitre vetu comme elle l'etait, pantalon d'homme, chemise et bottes, les cheveux cacher sous un morceau de tissu et armée de son epee et de son fusil.

elferie entendit la cloche sonne lorsquelle etait dnas la bibliotheque etudie pour devenir un boulangere, dans la soiree du 8 fevrier.
se son resonne comme un apelle comme dans le plus profond de son ame. son corps se mi atramble se son ne resemble pas a selui des cloche de l'eglise.
elle essaye de se souvenir d'ou elle avant entendu se son elle fermea les yeux et vit un village en flamme les gens crier, les femems etaitent aperer, ce vilage etait le sienne il est attaque par des hommes. elle , encore une enfant, avait vu ses hommes pillers le village, et elle setait sauver dans la foret et avait ete ellever par des animeaux.
elle sorti appeure de la biblihoteque elle se tenait le ventre d'un geste inpulsif et protecteur. elle vit son cheval. elle se presipita ver lui. elle monta sur l'animal et le fit talonne jusqua le devant de l'eglise. elle entandi en chemin des gens parles de barbares au porte de la ville. elle sauta de son cheval.

kelpi part te cacher je ne voudrai pas que des barbare t'attrape par ta rarete.

le cheval la regard il ne voulait pas embadonner son amie. elferie entra dnas l'eglise elle apersu plume et achille et se desida d'aller les regoindre. ele vit plume au bord des larme elle la prise dans ses bras. a cette instant elle pensait a dorian elle espere pouvoir le revoir.

Je bouillonnais d’impatience de me battre car il fallait impérativement que j’évacue tout ce trop plein de colère qui était ancrée en moi depuis Paris. Soudainement, je soulevais la tête et tendis l’oreille vers des brides de voix qui semblaient appeler mon nom. Pour en avoir la certitude, je tournais la tête et entendis clairement la voix de Delarosa qui s’approcha de nous, du haut de son équidé.

Oui, j’arrive Delarosa !

Me retournant vers ma douce qui l’espace de quelques secondes, s’était esquivée en direction des chevaux quand un homme se présenta au cardinal pour lui parler un court instant, puis lorsque Delarosa donna l’ordre de partir, ma douce arriva sur le dos de Mistral tenant les rênes de Sorbonne. Je mettais le pied à l’étrier et enfourchais la selle de mon équidé.

Je suis prêt Delarosa, on peut y aller !

Fulgence, franchement débarqué quand même, n'en revenait pas. Sous les ordres des cardinaux, toutes la Normandie s'était préparer à recevoir l'attaque de Eu. Tous, dans ces heures si troublées ne pouvaient que sourire de la toute puissance des hommes d'Eglise. C'est donc tout sourire que Fulgence se dirigea d'abord vers les enfants qui jouaient dans un coin, sous la bonne garde d'une femme. Ne lui pretant que peu d'attention, il s'agenouilla vers les enfants.

"-Dites moi mes enfants, savez vous ce qui se passe ? Non ? Et bien de méchant hommes du diable viennent pour emporter vos parents. Non, ne pleurez pas. Si vous voulez aider les grands, il faut que nous prions tous ensemble. Prions pour que le Créateur nous aide à vaincre l'armée du démon, et que ce monstre retourne dans les abimes. Allez, prions .."

Les gosses avaient peur, ils ne comprennaient rien, et Fulgence leur faisait tout aussi peur. Pour eux, il n'était qu'un inconnu. Finalement, tous se mirent à prier. Et l'homme les laissa, ainsi que la femme a qui il n'avait pas parler pour aller voir un groupe de paysan qui installaient leurs quelques bagages comme ils pouvaient.

"-Allons, messirs, mesdames, installez vous dans ce coin. Essayez de ne pas trop vous éparpillez, puis priez. Priez le Créateur de nous venir en aide. Priez le Créateur d'épargner la ville d'Eu. Priez pour ce qui vous fera du bien. Priez tout simplement."

Dans la peur et la confusion, tous se prétaient au jeux et surtout aux prières. Mais Fulgence voulait voir le malin, car il le savait, le malin réussirait à s'échapper et il faudra le poursuivre. Où qu'il aille...

Zelina continuait de s'affairer avec les provisions et la préparation d'un semblant de petit lieux pour les blesser, en compagnie de Anne Marie elles fîrent de leurs mieux pour que tout soi en ordre le plus vite possible, Oksanna était près d'elles aussi avec cette petite fille brune qui était sage comme jamais elle n'avait vu. La petite devait être traumatiser de toute cette cohue qui l'entourait. Zelina avait dans la poche de sa robe un petit sac de gâteau et d'un sourire tendît un petit gâteau à la jolie Demoiselle qu'elle était.

Tout en se retournant à ses occupations avec d'autres Dames présente, dont personnes n'avait même pas eut l'once d'un regard sur elles..Certes elles ne partiraient pas au combat mais..Elles faisaient ce qu'elles pouvaient toutes.. Son époux vînt sur elle, il l'embrassa tendrement après lui avoir glisser quelques mots rapide.

Citation :

"Mon amour,je doit y aller mais je ne pouvais partir sans vous avoir dis au revoir et à plus tard,je vous aime mon tendre amour et je vous reviendrez soyez en sure"

Elle le regarda d'un air dépiter, craignant ne pas le revoir, son époux partait au combat, pour combien de temps, reviendrait t'il?!! Beaucoup de questions tourmaient dans la tête de Zelina, elle ne serait plus rien sans lui..Si elle perdait sa moitié..Elle le supporterait pas, elle retint ses larmes pour ne pas qu'il parte le coeur lourd et doucement lui repondit après avoir de nouveaux embrasser ses lèvres "Soyez prudent mon amour!! Je vais priais pour vous et vos compagnons d'armes, et que le Très Haut vous préserve tous.." Elle laissa partir son époux et revint sur ses occupations tentant de cacher sa tristesse à ses amies qui l'entouraient.